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LE TEMPS D'UN RP

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Disaster
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Univers fétiche : Je suis ouverte à tous les univers
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Valise
Disaster
Mer 27 Avr - 15:43
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Disaster & Cheschire
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« Switch your mind off, take a deep breath, let it all go I know we’re not perfect, we speak a language of young hearts I want you to know now, I wanna be with you »

12 mai 2022

Lors de test d'une grande entreprise nucléaire, une citerne contenant un gaz décrit comme innofensif fuite laissant la substance se mélanger à l'air ambient. Les autorités et les experts en toxicité n'ont rien trouvé de dangereux, aucune trace de ce gaz n'était perçue.

16 mai 2022

Après quelques jours, un étrange cas de mutation fût son apparition dans une grande ville aux États-Unis, personne n'avait fait le lien entre cet évènement et la fuite de gaz... Du moins pas encore. La personne présentait des signes de décomposition, une colère énorme et elle semblait déconnecté de la réalité. Pour la sécurité de tous, elle fût enfermée en laboratoire pour l'examiner. Après s'être échappée, la créature tua plusieurs scientifiques avant d'être abbatue par l'armée.

24 juillet 2022

Chaque jour, les cas de mutations se répétaient jusqu'à ce que la moitié de la population et peut-être même plus soit transformé en ces créatures ressemblant vaguement à ce que les films nous montraient comme étant des zombies. Bien que la souche de cette mutation soit la même, elle semblait se développer de deux façons différentes, d'un côté il y avait les Sauvages, une mutation qui rendait les personnes affectées beaucoup plus agressives et colèriques, mais cette race était aussi moins réfléchit. De l'autre côté, les Veilleurs se caractérisent par l'absence de leur yeux qui ont fondus, ils sont donc beaucoup plus calme, car ils se dirigent seulement avec leur ouïe, ils semblent toutefois plus intelligents que les Sauvages.

20 novembre 2022

Ceux qui sont encore humains après ces six derniers mois sont probablement immunisés au gaz, on estime qu'environ 5% de la population aurait eu cette ''chance'', bien que rien ne garantie qu'ils sont aussi immunisés de la mutation par morsure... Heureusement, bien que l'hiver soit arrivé, au Texas, il fait toujours assez chaud pour survivre sans chauffage ni électricité.


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Disaster
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Disaster
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Disaster
Mer 27 Avr - 17:48
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Asher Reyes
J'ai 29 ans et avant que toute cette merde arrive, j'étais mécanicien. Mon plus grand talent dans cette situation c'est que je suis débrouillard et capable de me construire des petites choses qui peuvent m'aider. Pour ce qui est de l'apocalyspe, je m'en sors assez bien même si c'est vraiment difficile.

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Asher était un homme plutôt extraverti certains pourrait même dire un tantinet arrogant, mais ça c'est eux qui le disent. Ash a toujours été quelqu'un qui aime être entouré et faire rire les autres, c'est d'ailleurs une des choses qui lui manque le plus depuis le début de cette apocalypse.

Bien qu'il ne soit pas un athlète, Asher est en bonne condition physique et il est aussi capable de se défendre. Tuer ne faisait pas partie de ses valeurs, mais vivre oui. Alors il faisait ce qu'il devait faire pour ne pas mourir.

Parfois un peu impulsif et impatient, il s'est déjà mit quelques fois dans des situations que seul la chance lui a permit de s'en sortir indemne. Bien entendu, il avait déjà essayé de trouver d'autres humains comme lui pour traverser cette épreuve, mais les rares personnes qu'il avait trouvé étaient maintenant plus que des Sauvages...

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--20 novembre 2022--

«Merde... Merde!», grogne Asher entre deux courtes respirations. L'homme courait en direction d'un batiment qui semblait assez solide pour se barricader, avec une dizaine de sauvage qui le suivait en criant. Jetant de petits coups d'oeil rapidement une fois de temps en temps pour s'assurer qu'il n'était pas en train de se faire rattraper, Ash monte deux par deux les marches du balcon de l'édifice pour tenter d'ouvrir la porte. Malheureusement, ou plutôt evidemment, la porte était barrée. Frénétiquement, il brasse la pognée en tirant et poussant dessus comme si par magie, elle allait s'ouvrir après les dizaines de fois où il avait déjà essayé dans les dernières trente secondes.

Découragé et voyant les Sauvages se rapprocher dangereusement, Asher décida de changer son plan. Il scruta la facade du bâtiment dans lequel il voulait s'introduire et apperçu une fenêtre au deuxième étage qui semblait ouverte. Il lâcha un soupire de soulagement en se disant qu'il allait peut-être vivre une journée de plus finalement. D'un élan, il saute sur la goutière qui pendait le long du balcon afin de l'escalader pour pouvoir atteindre le rebord de la fenêtre. Avec un peu de difficulté, il réussi à se hisser jusqu'à l'intérieur. Avant de prendre le temps d'analyser la pièce dans laquelle il venait d'entrer il se retourne vers la fenêtre et sort sa tête. En fronçant les sourcils, il s'exclame « Ah-ah, bien fait pour vous les débiles ! Ash 1, zombie 0» tout en leur envoyant un doigt d'honneur. Il se retourne en rigolant avant d'entendre des bruits près de lui.

Par précaution, il tend sa main jusqu'à sa ceinture et sort sa machette sans faire plus de bruit qu'il en avait déjà fait en soulignant sa victoire aux Sauvages encore à l'extérieur. Il s'approche du cadre de porte de la pièce dans laquelle il se trouvait et observa le couloir vaguement éclairé par des bougies. Il n'y avait rien à l'étage... Le bruit venait donc du rez-de-chaussée. Dans un film d'horreur c'est toujours à ce moment que quelqu'un meurt, se dit Asher dans sa tête avec un soupire d'énervement contre cette merdique apocalypse.


Disaster
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Cheshire-
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Cheshire-
Jeu 28 Avr - 0:14

Riliana Carlson
J'ai 26 ans et avant l'apocalypse j'étais en prison. Mon plus grand talent dans cette situation est ma vitesse de fuite et mon sens du combat et je m'en sors mieux dans le chaos que dans la vie normale d'il y a 6 mois.



Riliana a un tempérament audacieux et solitaire. Ce serait une erreur de croire qu’elle a toujours été ainsi, mais comme la guerre forme des soldats, sa vie n’a pu faire différemment que de former qui elle est aujourd’hui.

Sa famille ? Son père a été décimé de ses propres mains bien avant l’apocalypse. Quelle mauvaise fortune. Si elle avait su, elle aurait attendu un peu. L’apocalypse serait occupée du cas de son connard de père. Quant à sa mère, c’est une autre triste histoire qui s’est déroulée avant celle de son père. Tout ce qui lui reste, c’est un morceau d’espoir que son frère puisse potentiellement être un survivant quelque part. De cinq ans son aîné, il vivait à des kilomètres d’où Riliana était incarcéré lorsque l’apocalypse a débuté.

J’avance en catimini le long de la route en longeant les voitures abandonnées. Même ma respiration se veut silencieuse pour permettre à mon ouïe d’être attentive. Il le faut. Les Veilleurs, eux, ne ratent aucun bruit. Une respiration saccadée suffit à les attirer. La prudence est de mise. C’est ainsi que j'arrive à me déplacer aisément sans me retrouver les pieds dans les plats avec des morts à mes trousses.
Au bout de longues minutes, contournant des hordes de zombies à travers des ruelles désertes, je parviens au magasin de chasse et pêche. Probablement qu’il ne restera plus rien. Il est clair que ce type de magasin a déjà été pillé, mais avoir des armes c’est essentiel dans cette situation. Malheureusement, je n’ai aucun talent de confection. J’aurais peut-être dû moins me moquer de mon frère quand il regardait des vidéos YouTube à deux heures du matin sur « Comment fabriquer une arbalète ». D’ailleurs, je souhaite de tout cœur qu’il ait survécu à cette apocalypse. Toutefois, si je veux un jour découvrir s’il a pu sauver sa peau, je dois m’assurer de sauver la mienne d’abord. Cela commence par trouver davantage d’armes. Debout face à la porte vitrée fissurée, je vérifie que les magazines enroulés autour de mes bras avec du ruban adhésif tiennent correctement. Tout semble tenir. Agrippant avec énergie mon couteau, j’ouvre délicatement la porte. J’ai appris à mes dépens qu’il est préférable d’éviter de faire sonner la petite cloche qui, parfois, est accrochée à l’entrée de certains commerces. Une fois à l’intérieur, j’observe la place. Vide. Abandonnée. Il n’y a personne. Aucun mort non plus. Certaines étagères sont tombées et des choses ont été brisées. Puis sans aucune surprise, il ne reste rien. Rien de bien utile, du moins. Aucun fusil, aucun couteau, aucune arbalète, etc. Je soupire. Je le savais, mais j’espérais qu’un petit quelque chose de pratique ait été oublié. Soudainement, mes yeux s’illuminent. Certes, ce n’est pas une arme. Il n’empêche que j’en avais besoin après que la tempête d’il y a trois jours ait déchiré ma tente. Traversant la pièce en me faufilant entre deux rangées, je souris quand mes mains se posent sur la boîte neuve contenant une tente. Retirant mon sac de mon dos, je l’ouvre puis commence à le remplir. Tente, jumelles, savon, shampoing, lampe, vêtements… Mon élan s’interrompt au même instant que mon enthousiasme s’efface. Mes sens se mettent en alerte. Un bruit sourd provenant de l’étage semble avoir percuté le sol. Sur mes gardes, je m’empresse à fermer mon sac et le glisser sur mes épaules. En toute honnêteté, les derniers humains que j’ai croisé date d’il y a quatre mois. D’ailleurs, croisé est un euphémisme. Ils hurlaient tandis qu’ils se faisaient dévorer par des Sauvages. Nos regards se sont captés durant une fraction de seconde. Ensuite, mes jambes m’ont fait prendre la fuite pour éviter de finir comme eux. C’est pourquoi, après plusieurs mois à devoir écouter le silence ou le grognement des ces morts, il me faut un délai pour saisir qu’une voix  humaine avec de vrais mots, mais un peu éloignée, vient d’envahir le lieu. Malheureusement, le silence est d’or. Cela suffit à faire surgir un Veilleur qui séjournait dans l’entrepôt. Cherchant à reculer incognito, je percute une étagère de laquelle des objets tombent lourdement par terre, attirant le zombie défiguré aux yeux fondus. Il s’avance vers moi, claquant des dents. Bien que mon pouls s’accélère face à l’adrénaline, je suis en confiance lorsque je donne un coup de pied dans le thorax du mort. D’ailleurs, il s’écroule au sol en grognant. Bien sûr, sans douleur. Le grognement n’est qu’une piètre habitude. Ou plutôt, une simple caractéristique chez les mangeurs de cerveau. Au moment où il s’apprête à se relever, je fonce sur celui-ci. Nous traversons ensemble les portes ballantes de l’entrepôt. Sa tête cogne le sol. Mes genoux maintiennent ses bras puis l’une de mes mains son front. Ses dents claquent entre elles, prêtent à me mordre. Je lève mon couteau avant de le lui enfoncer dans le crâne. Il faut de la puissance et de la vitesse. Cela semble si facile dans les films, mais le crâne est vraiment dur à percer. C’est à deux mains que je réussis à retirer le poignard. Mon corps s’affaisse. Je suis encore vivante. Soulagement de courte durée, puisque je les vois. Dans l’obscurité de l’entrepôt qui s’éclaircit aux cinq secondes devant les portes qui n'ont pas cessés de se basculer. Un, deux, trois, quatre… Sauvages. Le temps de reprendre son souffle n’existe pas dans ces circonstances.
Je traverse les portières à la volée, talonnée par les Sauvages qui se déplacent bruyamment. Mes pieds glissent me poussant à changer ma trajectoire quand je rencontre des zombies qui cognent contre les fenêtres à l’extérieur. Virage à gauche, car rebrousser chemin n’est pas une option. L’étage. Je dois monter. Direction les escaliers. Pas une ni deux marches, mais trois. Je saute trois marches pour accélérer mes enjambées. L’un des sauvages m’agrippe le bras et plante ses dents dans le magazine. J’enfonce ma lame sur le côté de sa tête et la retire aussitôt. Un deuxième se jette sur moi, mais mon couteau tombe par terre. Je grimace et mon cœur palpite. Les bras étendus, je tente d’éviter de me faire mordre. Heureusement, je parviens à le repousser en le projetant par-dessus les rampes. Reprenant mon élan, je termine de monter les escaliers.
Puis je l'aperçois. Vous savez, les anciens détenus vous le diront. On se souvient du bon goût des choses lorsqu’on ne les a plus ou lorsqu’elles sont remplacées par de la moins bonne qualité. C’est pourquoi son visage est si beau. Il est possible que vivre six mois entourés de tronches décomposées et de regards blancs sans vie m'ait rappelé le goût qu'avait la beauté. Ça fait du bien de voir de la chair bien vivace. Malgré tout, il y a encore au moins deux sauvages à mes trousses.
Je me jette sur l’étagère vide, prête à la déplacer, mais clairement pas assez forte pour y arriver seule.
« Tu penses m’aider ou t’as envie de crever ? », crié-je dans l’espoir de le dégourdir.
Le temps presse. Les râlements se rapprochent dans les escaliers.
Le mec réagit enfin en venant poser ses mains contre les parois opposées aux miennes. De la sueur perle sur mon front. Un mélange d’anxiété, de peur et d’effort. Je sens mes muscles brûlés tandis que je déplace l’étagère. Pour avoir passé trop de jours avec des zombies, je finis par grogner également. Un petit cri d’encouragement pour accélérer le processus. Cela semble fonctionner, car l’étagère se déplace un peu plus vite. Suffisamment pour qu'elle soit relâchée devant les escaliers pour créer une barricade. Le bras d’un zombie s’y coince. Il s'en est fallu de peu.
À bout de souffle, je me laisse tomber au sol. Je m’allonge complètement par terre. Je ferme les yeux une fraction de seconde. Reprenant mes esprits, je me souviens que je ne suis pas seule. Redressant entièrement mon corps, je me braque devant le mec. Il peut être beau, frais et avoir le sang chaud, tout au sens propre des termes, mais j’ai manqué y rester.
« J’ai failli crever à cause de toi », lui fais-je remarquer en le pointant du doigt, colère dans les yeux.


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Ven 29 Avr - 4:29
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Asher Reyes
J'ai 29 ans et avant que toute cette merde arrive, j'étais mécanicien. Mon plus grand talent dans cette situation c'est que je suis débrouillard et capable de me construire des petites choses qui peuvent m'aider. Pour ce qui est de l'apocalyspe, je m'en sors assez bien même si c'est vraiment difficile.

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Asher était un homme plutôt extraverti certains pourrait même dire un tantinet arrogant, mais ça c'est eux qui le disent. Ash a toujours été quelqu'un qui aime être entouré et faire rire les autres, c'est d'ailleurs une des choses qui lui manque le plus depuis le début de cette apocalypse.

Bien qu'il ne soit pas un athlète, Asher est en bonne condition physique et il est aussi capable de se défendre. Tuer ne faisait pas partie de ses valeurs, mais vivre oui. Alors il faisait ce qu'il devait faire pour ne pas mourir.

Parfois un peu impulsif et impatient, il s'est déjà mit quelques fois dans des situations que seul la chance lui a permit de s'en sortir indemne. Bien entendu, il avait déjà essayé de trouver d'autres humains comme lui pour traverser cette épreuve, mais les rares personnes qu'il avait trouvé étaient maintenant plus que des Sauvages...

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--20 novembre 2022--

Scrutant toujours le couloir sombre le corps à moitié sortie de la pièce dans laquelle il se trouvait, Asher sursauta en entendant ce qui semblait être un, deux… Non même plus, sûrement trois meubles tomber à l'étage inférieur. Sans avoir le temps de réagir plus que sa petite crise cardiaque intérieure, Asher aperçu dans le haut des escaliers une Sauvage qui courait maintenant dans sa direction. Les mains moites, il sert sa machette plus fortement. Heureusement, la créature qui se rapprochait ressemblait de moins en moins à une morte-vivante, mais ses quelques poursuivants eux grognaient assez intensément pour en être.

Finalement rendu au niveau de la pièce où il se trouvait, Asher pouvait maintenant confirmer que les traits faciaux de la femme étaient bels et biens ceux d'une humaine. Aucune trace de yeux fondus ou de peau qui décolle de son doux visage quoi que légèrement abimé par la présence de quelques égratignures. La brune toujours en fuite pénètre dans la pièce sans avertir. Elle se précipite sur une grande étagère afin de probablement bloquer la porte, enfin, c'est ce qu'Asher comprend lorsqu'elle lui pousse un cris pour qu'il l'aide. Reprenant finalement ses esprits, il se précipita sur l'armoire pour la pousser vers l'ouverture de la pièce coinçant par le fait même le bras d'un des monstres qui poursuivait la femme.

Celle-ci était d'ailleurs couché au sol sous le regard confus et incrédule d'Asher. Peu de temps après, elle se redresse et s'exclame sur le fait qu'il l'aurait presque fait tué tout en le pointant du doigt. « Moi t'avoir presque fait crever ?! », dit-il en se prenant la tête. « J'te ferais remarquer que c'est toi qui les a conduit jusque dans ma pièce ! » s'exclame-t'il en pointant la pièce dans laquelle tout deux se trouvait. Le bras du Veilleurs était toujours en train de se tortiller dans tous les sens faisant un bruit humide et franchement écœurant, d'un geste rapide et habitué, Asher l'arracha faisant grogner le zombie de l'autre côté. « Oh ça va, c'est pas comme si ça t'avais fait mal » soupire-t'il avant de jeter le membre sur le sol pas très loin de la brune. Avec un peu de dégout il regarde l'espèce de liquide visqueux qui ressemblait vaguement à du sang qui se trouvait sur sa main et l'essuie rapidement sur un des rideaux de la fenêtre. Il profita du moment pour regarder si la horde de sauvages était toujours à l'extérieur et sans réel étonnement, ils frappaient contre les murs du bâtiment comme des.. zombies? Il grommelle quelques insultes contre les morts et tourne en rond dans la pièce en essayant de planifier un plan pour sortir. Pendant une demi fraction de seconde, alors que son regard croisa celui de la brunette il s'est imaginé l'utiliser comme diversion, mais il savait très bien qu'il n'avait pas la force de le faire. «Bon, puisque t'as tout foiré mes plans, j'imagine que tu sais comment sortir d'ici sans utiliser la porte, ni la fenêtre ?», soupire-t'il en se laissant tomber sur une chaise en bois.




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Sam 30 Avr - 1:06

Riliana Carlson
J'ai 26 ans et avant l'apocalypse j'étais en prison. Mon plus grand talent dans cette situation est ma vitesse de fuite et mon sens du combat et je m'en sors mieux dans le chaos que dans la vie normale d'il y a 6 mois.



Riliana a un tempérament audacieux et solitaire. Ce serait une erreur de croire qu’elle a toujours été ainsi, mais comme la guerre forme des soldats, sa vie n’a pu faire différemment que de former qui elle est aujourd’hui.

Sa famille ? Son père a été décimé de ses propres mains bien avant l’apocalypse. Quelle mauvaise fortune. Si elle avait su, elle aurait attendu un peu. L’apocalypse serait occupée du cas de son connard de père. Quant à sa mère, c’est une autre triste histoire qui s’est déroulée avant celle de son père. Tout ce qui lui reste, c’est un morceau d’espoir que son frère puisse potentiellement être un survivant quelque part. De cinq ans son aîné, il vivait à des kilomètres d’où Riliana était incarcéré lorsque l’apocalypse a débuté.

Je ne sais pas ce que j’espérais entendre de sa part. Peut-être de piètres excuses ou une tentative d’explication. En fait, un simple « désolé » aurait suffi à me contenter. Cela dit, six mois de solitude n’auraient pas dû m'amener à oublier la nature humaine à ne jamais assumer ses fautes. D’ailleurs, je lève les yeux d’exaspération lorsqu’il essaie de rejeter la situation sur moi. Après m’avoir fait comprendre qu’il n’était question que de sa petite personne, car clairement il est le seul à avoir failli crever à ce qu’il paraît, il s’avance vers le zombie ayant un bras coincé. C’est quoi son problème à ce mec ? C'est le premier humain que je croise réellement en six mois et il fallait que ce soit un demeuré ayant un trouble de victimisation et d’hyperactivité. J’hésite entre le laisser en plan puis retourner à ma vie de survivante solitaire puisque je ne l’aime déjà pas ou faire équipe avec pour que l'on s'entraide pour s'en sortir à deux. C’est connu, les personnages comme lui survivent à 7 saisons d’apocalypse. Soit on déteste le personnage durant 7 saisons, soit on commence à lui découvrir des qualités une fois que l'on est parvenu à la sixième saison. Dans tous les cas, c'est parfois bénéfique d'avoir un crétin avec soi durant une post-apo.
Celui-ci arrache le bras du zombie qui se met à davantage grogner à ce geste. « Oh ça va, c'est pas comme si ça t'avais fait mal », lui répond-il. J’observe le membre traverser l’air pour atterrir non loin de moi. Je pose mon regard sur le mec qui se trouve occupé à grimacer de dégoût devant le sang visqueux du mort qui a abouti sur sa main. Pauvre petit garçon, est-ce de la faute du zombie si tu te retrouves avec la main sale ? Plus j’analyse ses agissements, plus mes sourcils se froncent d’exaspération. Installé près du rideau de la fenêtre, il utilise celui-ci pour nettoyer sa main. Ensuite, il balance des insultes aux macchabées qui se situent à l’extérieur comme si cela allait servir à quelque chose à excepter d'attirer leur attention. Dès qu’il cesse, il se déniche immédiatement une autre occupation. Celle de tourner en rond dans la pièce. Il ne s’arrête jamais de bouger ou de parler, cet abruti ? Je soupire. Le laissant vaguer à son activité, c'est à la fenêtre que je fais un constat de la situation. Coulant mon regard, je vois un regroupement de zombies qui se cognent contre le bâtiment. Génial… Nous sommes cernés de partout. En plus, j’ai perdu mon couteau à cause de ce con. À cette réflexion, je lui jette un regard noir. Nos yeux se captent. Alors que je pense à peut-être l’abandonner en pâture aux zombies, il semble visualiser la même alternative avec moi. C’est bien, on est presque d’accord, cette fois. Toutefois, sa résolution est de courte durée quand il choisit de se choir sur une chaise. «Bon, puisque t'as tout foiré mes plans, j'imagine que tu sais comment sortir d'ici sans utiliser la porte, ni la fenêtre ?», me lance-t-il.
Je le toise quelques secondes. La colère me fait fulminer de l’intérieur. Traversant la pièce, je ramasse le bras du zombie. Je m'avance vers le mec puis je propulse le membre qui lui assomme une claque derrière la tête. Le bruit de l’impact résonne dans la pièce. Le bras pointé vers lui tandis que je lui fais front debout face à face, je m’énerve.
« Pour commencer, tes plans étaient probablement déjà foireux avant même d’être foiré. Deuxièmement, si t’avais fermé ta gueule dès le départ, je ne me serais pas fait pourchasser par des Sauvages et je n’aurais pas perdu la seule arme de défense qu’il me restait. Alors on peut imaginer que t’as foiré tes plans tout seul comme un grand. Troisièmement, ne lance plus jamais de trucs vers moi. Pigé ? »
Après avoir laissé sortir tous ces mots, je jette le bras du zombie qui s’écrase plus loin sur le sol. Je soupire et glisse une main dans mes cheveux les ramenant vers l’arrière. Je n’ai aucune idée de la manière de nous échapper d’ici. Il y a des morts dehors devant la fenêtre et à l’étage inférieur. Ce deuxième étage ne semble pas avoir de sortie de secours. Quel bâtiment de merde !
Alors que je désespère, mes yeux se posent sur le faux chevreuil grandeur nature. S’il est considéré comme un appelant pour la chasse, cela devrait fonctionner avec les zombies.
« Et si on l'utilisait pour faire diversion ? », proposé-je pointant d’un coup de tête l’objet.
Le mec paraît un peu dubitatif face à ma suggestion. Je hausse les épaules nonchalamment.
« Ou je peux aussi me servir de toi. C’est selon ta préférence. Sauf que je suppose que ce n’est pas dans tes options de servir d'appât. »
Bien qu’il me fasse quand même penser à un ver de terre puisqu'il semble aimer se tortiller sans arrêter de grouiller.
« J’ai une radio solaire, donc elle fonctionne. On pourrait la disposer près du chevreuil. Ils seraient attirés par le son et verraient l’animal. On en profiterait pour descendre à l’étage et replacer une armoire en guise de barricade. Il devrait avoir une seconde sortie en bas, sûrement dans l’entrepôt. T'en penses quoi ? »
Les chances que mon plan fonctionne sont plutôt incertaines, je dois l’avouer.
« Si t’as une meilleure idée, ne te gêne pas à la partager. »


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