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LE TEMPS D'UN RP

Behind every great fortune lies a great crime Feat. El Profesor

Berlin
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Berlin
Mer 13 Jan - 0:03
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Angelo
J'ai 48 ans et je vis à Athène, Grèce. Dans la vie, je suis une mauvaise personne à temps plein et je m'en sors très bien (je travaille pour la mafia Albanaise). Veuillez vous référer à Berlin pour plus d’information. Cordialement.

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Pedro Alonso
Fort heureusement, je ne pouvais lire ses pensées et être dans sa tête. Ça serait une activité fortement épuisante. Douter de tout, en tout temps. Ou peut-être n’en avais-je tout simplement pas de besoin compte tenu de ma personne qui était apte à réagir rapidement devant une situation dangereuse. Ou alors avais-je aussi sans le savoir une certaine aura un brin psychotique qui me protégeait. Aucune idée, mais j’aimais bien vivre la vie comme elle s’offrait à moi sans dépenser énormément d’énergie à analyser les humains avec qui j’avais la joie (ou le malheur) d’interagir. Dans le pire des cas, après tout, aim for the head with a knife. J’ai bien dit dans le pire des cas, qui impliquait l’urgence et le manque de temps. Car autrement devant le danger contrôlable, il va de soit que si possibilité il y a d’avoir un petit moment d’amusement, j’allais le prendre dans la majorité du temps et aim somewhere else. Bref. Je ne devais pas trop y penser et me concentrer sur autre chose. Des plans pour me donner des idées et changer le thème de la journée. Mais ce fameux thème allait bien changer d’une manière ou d’une autre, car : la vie est imprévisible, et encore plus les humains qui habitent cette planète. Étrangement certains plus que d’autres. Les américains par exemple était décidément un pays bourré de surprises.  « Indeed.  But we have to admit the hand isn’t that exaggerated. It’s just comes naturally. » Je n’avais pu m’empêcher de le faire légèrement pour terminer à la fois ce volet de la conversation et cette petite blague qui, n’en était pas vraiment une.

C’était un peu étrange tout de même de laisser le destin de la journée entre les mains de mon ennemi. Ça promettait d’être divertissant pour ma personne. Je n’avais évidemment pas la moindre idée de ce que je faisais, en pleine improvisation. Mais c’était tout aussi bien un domaine qui me plaisait bien. J’allais voir par le fait même à quel point il pouvait être ce petit nerd qui avait passé sa vie le nez dans les bouquins. Ses dires si peu surprenant, que mon air pouvait peut-être bien démontrer. « I guess I’ve made the right choice today then. Don’t take it the wrong way but you look like that kind of guy who loves to learn and books and well. Things like that. I guess I was right and that I’m not gonna loose my time with you. » Ce qui n’était ni un compliment, ni une insulte. Un simple fait. Vous auriez dû voir ma tête lorsque j’avais enfin découvert qui se cachait derrière le cerveau. Si je m’attendais à un stéréotype d’un vilain dans les films américains, surprise. Il avait plutôt l’air d’un vierge innocent. Ce qui rendait en fin de compte le tout plus intéressant. En un sens. Je me comprends.

Mais si lui laissait paraître quelques informations à travers son apparence, il en était clairement de même pour moi. Moi qui effectivement, aurait refusé de prendre un transport familier pour me rendre du point A au point B. Hors de question, si j’avais la possibilité de la quiétude loin de l’humanité envahissante dans mon espace personnel. J’avais bien souligné que j’avais les moyens après tout, autant les prendre pour un peu plus de confort et d’aisance. Ces petits éléments que Sergio le guide touristique avait compris. Ou peut-être avait il écouté mes dires plus tôt et conclus que si l’autobus touristique n’était pas dans mes goûts, une logique certaine s’en suivait. Il me démontrait aussitôt sa capacité d’observateur, mais aussi son aspect planificateur à travers la journée qui s’annonçait. Décidément pleines d’informations. Entre passion et désir de me montrer la grosseur de son cerveau j’imagine. Il s’amusait tout seul comme un grand. Je le laissais faire, préférant l’observer et le laisser sortir par lui-même ses informations. Je l’écoutais, oui. De un car je devais jouer mon rôle de touriste, et de deux car ces informations avait quelque chose d’intéressant en soi. Pour moi, pour cette petit idée malfaitrice qui venait de naitre entre mes deux oreilles. J’étais capable de faire plus d’une chose en même temps oui. L’écouter, enregistrer ses informations, poser des questions et planifier un petit quelque chose. Un plan qui se formait doucement au creux de ma tête. Si dans les jeux il existait des side quests, dans ma vie il existait presque la même chose. Des petits side jobs, des petits extras qui n’avaient rien à voir avec mon principal boulot. Non mais il fallait avouer qu’autre la richesse du savoir, il y avait la richesse tout court qui pourrait intéresser quelques-uns de mes contacts. À voir. À mijoter surtout. J’avais le temps.

Cette journée qui avait été bien remplie à donner mal au crâne aux plus faibles sans le moindre doute, mais qui dans mon cas n’était pas encore terminée. Elle finissait plutôt bien dans un petit endroit tout aussi chic que moi. C’était presque romantique, si ce n’était pas adorable. Notre premier diner en tête en tête. Mais bien entendu, du moins je crois, il n’avait pas la moindre idée de ma réelle identité. Pedro jouait bien son jeu, après tout. « Obviously I did. » Plus qu’il ne pouvait s’en douter. « It’s okay, I can take it. I have a lot of information in my brain but I can handle it. » J’imagine de toute manière qu’il serait bien le genre de guide enjoué à proposer un petit quizz pour découvrir s’il n’y avait pas un humain à sa hauteur ou pour son petit plaisir de masturbation mentale en voyant bien qu’ils étaient tous des idiots qui ne se souvenaient de rien. Peut-être bien un peu des deux. J’apprenais à le connaître sous un aspect plus personnel après tout, et ce genre de chose prenaient du temps. Enfin. Ce n’était pas réellement mon plan de passer énormément de temps en sa compagnie mais, maintenant que j’étais persuadé qu’Angelo n’existait pas à ses yeux, n’étais-ce pas plus amusant encore de développer un potentiel lien, et puis de lui dévoiler au grand jour ma réelle identité? Tant de pensées, tant d’idées en moins de 24 heures. Et surtout : tant de possibilités. Je ne manquais décidément jamais de m’amuser il faut croire. « It would be my pleasure to follow you another day. I’m here for that after all. » Pour ça et autre chose, évidemment. Mon sourire charmeur fut de retour ainsi que mon regard qui l’accompagnait merveilleusement bien, bien qu’un brin caché derrière cette gorgée de vin. « I guess this is a pretty romantic place if I ever find a nice date. Is this where you bring yours? » Je savais bien que ce sujet le rendais mal à l’aise oui. « I don’t know if I would spread my legs for that wine, we’ll see with the food I suppose. » Je ne parlais pas spécifiquement que moi, j’allais le faire. Mais j’étais capable de me mettre à la place d’une femme et d’analyser la situation comme telle. J’avais fait exprès de ne pas le mentionner, du moins pas tout de suite. « I mean, if I was a lady. »
El Profesor
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El Profesor
Ven 29 Jan - 22:50
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Mateo
J'ai 44 ans et je vis à Athène, Grèce. Dans la vie, je suis un criminal mastermind et je m'en sors très bien (je travaille pour la mafia grecque). Sous mes airs nerdy et inoffensif, j'ai du méchant.

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Álvaro Morte
#6666cc
Si l'on me connaissait le moindrement, il serait facile de deviner que je n'avais aucune idée coquine derrière la tête en choisissant spécifiquement ce restaurant. Bien que je fasse parfois les choses en fonction de mes plans afin de placer chaque pièce du jeu pour préparer une attaque grandiose, aujourd'hui il s'agissait plutôt de faire goûter à mon nouveau compagnon les délices typiques du pays et je n'avais trouvé mieux pour ce faire que ce restaurant, en dépit de son atmosphère romantique et de la confusion qui pouvait s'y mêler. Pedro n'en avait pas encore fait de cas, mais je le connaissais maintenant assez bien pour savoir que les commentaires viendraient un jour où l'autre- il était ainsi.

J'avais aussi l'impression qu'il pouvait prendre toute l'information que je lui avais bombardée par la tête tout au long de la journée, il me semblait quelqu'un de réfléchi qui n'avait pas du jello pour cerveau, et il me le confirma d'ailleurs par ses mots, me tirant un sourire malgré tout content. De moi, de notre journée. Si le matin avait été un peu particulier avec cette rencontre inattendue, la suite avait été assez agréable. Il était aussi prêt à remettre la partie le lendemain, ce qui me réconfortait grandement, considérant que j'avais déjà fait des plans ... oui, il aurait peut-être été plus sage d'attendre sa confirmation avant de réserver une chambre d'hôtel, mais tout s'arrangeait au final.

Sauf qu'il restait un petit quelque chose qui n'allait pas selon les plans, la nature humaine qui se chargeait de venir gentiment me bousculer par moments. Un sourire bien charmeur derrière sa coupe de vin, par exemple. Un regard, un sourire que je n'arrivais pas à bien saisir, à savoir s'il s'adressait réellement à moi ou bien reflétait simplement la personnalité de monsieur, un de ceux qui ne peuvent s'empêcher de jouer de charme à gauche et à droite, une seconde nature. Si ce n'avait été que du sourire ... mais il y avait les mots pour en rajouter une couche, pour amener une teinte rosée à mes joues et m'inciter à prendre une gorgée de vin pour faire une mince diversion. Il parlait de dates, de sexe ... Il était vulgaire, voilà. Je désapprouve. « A woman -or a man- would think very lowly of themself if they spread their legs for food or wine. » Peu difficile à voir que je n'étais pas du genre à avoir une vie sentimentale et sexuelle très rocambolesque ... Je savais qu'il voyait probablement très clairement tout ce que j'étais, pas que ce soit si bien caché. « But the food is delicious, that I can confirm. »

Tentative de changer le sujet alors que ce que nous avions commandé arrivait enfin, me donnant une excuse pour ne pas prolonger la conversation là-dessus. Après une première bouchée, je lui fis alors part de mon plan, sans penser que le nouveau sujet pouvait ma foi très bien coller au précédent. « I booked us a room in a nice hotel for the night »

Berlin
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Berlin
Mer 3 Mar - 0:49
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Angelo
J'ai 48 ans et je vis à Athène, Grèce. Dans la vie, je suis une mauvaise personne à temps plein et je m'en sors très bien (je travaille pour la mafia Albanaise). Veuillez vous référer à Berlin pour plus d’information. Cordialement.

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Pedro Alonso
J’ignorais encore où il pouvait bien se placer entre ennui mortel face à ce genre de réponse ou plutôt amusement. Il avait beau répondre tel une vierge offensée, c’était malgré tout délectable de se nourrir de ses réponses à en faire rouler des yeux plus d’un. Il faut dire que je devais trouver le moyen de tirer profit de tout. Je savais que ma vulgarité le provoquait, mais ce n’était encore pas grand-chose devant la suite qui se dessinait : « And what if I told you I don’t need food or wine for them to do so? » Si un petit regard de ma nature un brin dangereuse ne venait-elle pas de sortir, en simple avertissement qu’il ferait bien mieux de se raviser de dire qu’il en était de même. Une attaque personnelle qui lui mériterait une fourchette entre les deux, sous-entendu de mon regard le temps d’un instant.  Mais en vrai ce n’était même pas une provocation, plutôt un fait véritable. Enfin je n’étais pas sans failles et parfois, j’avais devant moi un petit défi. Mais c’était encore plus agréable de les surmonter, un peu comme des trophées, bien humain. « I shall believe you then. You don’t really look like the Kraft Diner type anyway. » Simple logique de me douter qu’il ne devait pas se nourrir de merde pour entretenir son si précieux cerveau.

Et de fait, ça n’avait rien à voir à une quelconque catégorie de nourriture insipide. Elle avait du goût, de quoi plaire aux bouches les plus raffinées. Et si monsieur avait tenté de s’échapper de la conversation sous un thème qui avait le pouvoir de le rendre si aisément malaisé, il tendait lui-même des perches. Moi qui avais dit oui un peu plus tôt à cette idée de poursuivre nos aventures pour une deuxième journée, je fus surpris d’apprendre qu’il avait déjà prit la peine de nous louer une chambre. Comment dire… J’étais mieux de dire oui. Connaissant le personnage, étais-je surpris? Lui qui devait tout calculer et planifier? Oui d’un côté car je découvrais que cet aspect se reflétait dans chaque parcelle de son existence et non de l’autre car : son cerveau était tout de même à la tête d’opérations qui faisait gagner du territoire à la mafia ennemie. Ça devait être épuisant de vivre dans sa tête tout de même, avec l’aspect plaisir de son cerveau qui devait à ce jour être aussi sec qu’une grand-mère incinérée depuis au moins l’âge de son adolescence. J’avais tout de même joué la carte de la surprise, la plus certaine, car n’importe qui l’aurait été en d’autres circonstances. « Oh did you? And when did you decided to book that? After I convinced you to be my guide? Or maybe it’s my natural charm. » La porte, elle était ouverte. « Are you sure you’re not that kind of man? Who doesn’t need food or wine? I usually fuck with ladies but there’s a first time to everything. » La provocation encore et toujours. Mais quoi, si j’avais dit oui pour continuer à jouer au guide touristique, partager une chambre était autre chose. Il n’avait pas demandé mon consentement après tout.

Et si j’avais rigolé doucement pour au final le laisser tranquille pour le restant de la soirée, du moins devant ce sujet qui avait le don particulier de le sortir sauvagement de sa zone de confort… Il faut dire qu’une fois arrivé à l’hôtel, la porte ouverte de notre chambre, c’était autre chose. Une chambre, avec un grand lit king. Mais UN lit. Si à ses yeux, le karma devait lui en vouloir, de mon point de vu ceci avait tout de positif et de cocasse. « I see… You play la vierge offensée. The shy and virgin type but you DO want to see me naked, don’t you? I have to admit you play your cards very well when you wanna have sex. I’m more the charming type but hey, there’s a lot of cards we can play in that kind of game. » Avais-je dis le tout en le regardant droit dans les yeux pour enregistrer la moindre de ses réactions et m’en délecter? Bien entendu.
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