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LE TEMPS D'UN RP

LUCILE+ELLIOTT+NATHAN / à la rencontre du vaccin

@Robz
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Univers fétiche : Post-apocalyptique, touche à tout.
Préférence de jeu : Les deux
Code lyokko
@Robz
Ven 13 Nov - 19:09
7ei5.pngMise en Situation


Dans un monde rempli de zombis depuis quatre ans, seul un garçon âgé de 19 ans a un vaccin qui coule dans ses veines. Voici les méandres de sa vie à partir du moment où il a la malchance de rencontrer un couplé étrange qui n'imagine pas qu'un remède existe.


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❝ you have to be special to love me❞ and i'll love you a little bit more every day of our life. You are simply the woman I was waiting for to learn how to live and love.
@Robz
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Univers fétiche : Post-apocalyptique, touche à tout.
Préférence de jeu : Les deux
Code lyokko
@Robz
Ven 13 Nov - 19:28
KEKHTE8I.png
Lucile ''10K''
Lucile a grandit dans une famille d'accueil, et ce n'était pas toujours jolie à voir. Misérablement, sa famille a toujours été la même ; ils n'étaient pas bons, sans être mauvais non plus. C'est le fils de cette famille qui était pourri jusqu'à la moelle ; elle s'est fait violée pendant plusieurs années sous titre de l'amour. Ce n'était pas de l'amour. L'amour, elle l'a connu par la suite avec Elliott. Si elle était victime à l'intérieur de la maison, elle était tout le contraire à l'extérieur : à l'école et avec ses amies, Lucile a toujours fait comme si elle était une petite princesse. Elle est capricieuse, elle peut être histérique, mais surtout, elle est dominante. Elle a toujours le dessus sur les autres, et ça lui a fait croire qu'elle était parfaite. Lucile n'est surtout jamais tomber sur quelqu'un prêt à la faire taire, à prendre le dessus.

Elle a dix-neuf ans. Et comme elle a passé plus de temps dans cette apocalypse avec Elliott, que dans le monde tel qu'il était avant, elle a prit de mauvaises habitudes. C'est comme un jeu pour elle ; Lucile n'a pas la notion du danger. Elle s'amuse de tout quitte à mettre les autres dans de terribles situations. Son rêve est d'abattre dix milles zombis avant de perdre la vie, alors elle se présente sous ce surnom ; 10K.

LUCILE+ELLIOTT+NATHAN / à la rencontre du vaccin Tumblr16


Yuki Kuran :copyright: tumblr.
Deux jours plus tôt, le vent était si fort qu’elle était obligée de couvrir son visage avec une écharpe : pour ne pas avoir froid et être malade, mais surtout pour ne pas que ses cheveux volent dans tous les sens. Et comme Lucile a horreur que ses cheveux soient attachés, il ne pouvait en être autrement. Mais voilà qu’aujourd’hui, la météo a complètement changé. C’est ainsi qu’elle se rend compte que les saisons passent, qu’elle change : parce qu’elle a arrêté de compter les jours, les dates depuis longtemps. Il fait beau, mais il commence à faire de plus en plus frais ; même les journées sont de moins en moins longues. C’est l’automne qui hante les rues, au même titre que les zombis.

” - Attrape moi cette feuille, elle est jolie.” Orange, comme sa couleur favorite. C’est sa saison favorite, alors elle compte en profiter avant que l’hiver n’arrive, avant que la neige recouvre tout et que les arbres n’aient plus aucune feuilles. ” Tu vois, c’est une couleur qui me va à merveille. La prochaine fois que l’on croise cette fille, tu lui voleras son manteau pour me l’offrir.”

Voilà trois jours qu’ils l’ont vu passer, cette fille au manteau orange avec une large capuche où Lucile pourrait cacher ses cheveux noirs. Il aurait dû le lui voler à ce moment-là, mais elle n’était pas encore décidée. De toutes manières, ils vont bien se revoir un jour, n’est-ce pas ? Parce qu’ils finissent toujours pas recroiser les gens qu’ils ont vu au détour d’une rue. Plus l’hiver approche, plus les survivants se regroupent, se retrouvent dans ces villes mortes pour passer la plus dure des saisons. C’est encore plus facile de vivre en été, même s’il fait chaud, même s’ils doivent trouver de l’eau. Au moins, ils ne meurent pas de froid. Lucile est encore plus chiante et capricieuse en hiver, parce qu’elle s'ennuie, parce qu’elle trouve le temps long. Déjà qu’elle est une plaie pour Elliott, mais elle est sûre qu’en hiver, il voudrait la tuer juste pour qu’elle se taise, pour qu’elle le laisse tranquille.

Mais si Lucile est chiante, elle peut parfois être douce. Le grand sourire qu’elle a sur son visage lorsqu’elle décale la feuille orange de sa joue ne disparaît pas lorsqu’elle laisse retomber la feuille qui meurt au sol. Ils doivent continuer d’avancer, ils doivent trouver un endroit où passer la nuit. Serait-il simplement resté avec leur précédent groupe, si elle n’avait pas fait des pieds et des mains pour partir ? Lucile préfère être seule, que mal accompagnée. Et là-bas, elle ne se sentait pas à l’aise. Pas libre de ses mouvements. Peut-être est-ce seulement parce qu’elle n’avait pas la main mise sur Elliott, aussi facilement que lorsqu’ils sont tous les deux. Il faut qu’elle dicte tout tout pour être heureuse. Si elle n’est pas à la tête de leur duo, Lucile se fane, Lucile est triste. Lucile est dominatrice.

C’est dans cette ville qu’ils vont rencontrer Nathan. C’est dans cette ville que les choses vont changer. Mais serait-ce en bien, ou en mal ? Lucile a toujours été inspirée par les zombis ; elle les voit, elle veut les tuer. Elle voudrait en tuer 10 000 avant de perdre la vie. Alors on l’a facilement surnommé 10K depuis le début de l’apocalypse. C’est d’ailleurs ainsi qu’elle se présente, lorsqu’ils rencontrent quelqu’un. Il n’y a que Elliott pour l'appeler Lucile. Parce qu’il n’y a que Elliott qui la connaît vraiment.

PLOUF

C’est le bruit que fait son pied lorsque sa botte atterrit dans une flaque d’eau. Ses sourcils se froncent directement parce qu’elle est sûre qu’il n’a pas plus ces derniers jours, du moins, pas assez pour qu’il y ait autant d’eau qui stagne à cet endroit. En réalité, il y a eu une fuite d’eau dans le coin, et Lucile vient tout juste de le découvrir. Ils étaient discrets jusqu’à présent : la ville est pleine de zombis et ils ne pourraient pas tous les vaincre pour s’en sortir. Mais c’est trop tard, voilà qu’elle fait un autre pas dans la flaque d’eau. Elle saute même à pieds joints : peut-être pour embêter Elliott qui va se retrouver mouillé. Peu importe que les zombis l’entendent, elle n’y fait pas attention. Mais voilà qu’elle tombe, et c’est elle qui se retrouve complètement mouillée. Le pire ? C’est que sa main droite a glissé sur un morceau de fer ; voilà qu’elle saigne. Nathan sera-t-il assez prêt pour sentir son odeur? Car les zombis aux alentours sentiront très bien cette délicieuse odeur qui les fera directement venir jusqu’à eux.

Malheureusement pour Elliott, Lucile est toujours un problème.


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SneakySkunk
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Univers fétiche : J'apprécie les univers de survie. Je suis attirée par ce qui concerne les zombies. Je suis attirée par le science-fiction. J'aime toucher à tout.
Préférence de jeu : Les deux
Power Rangers
SneakySkunk
Dim 15 Nov - 3:40
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Elliott Larose
Depuis toujours, une peur ne cesse de tenailler Elliott, celle de ne pas être « assez ». N'est-ce pas pour cette raison qu'il accomplit les quatre volontés de la terrible Lucile, exigences et caprices, pour se sentir « assez »? Assez bien, assez intelligent, assez utile, assez responsable. Il ne s'occupait pas de lui-même, aussi bien dire qu'il apprend sur le tas pour être à la hauteur de mademoiselle. Tout ce que tu veux, ma douce raison de vivre.

Aujourd'hui âgé de 22 années, il n'avait que 18 ans lorsque le virus s'est propagé, fauchant de nombreuses âmes innocentes. À l'époque, son avenir n'était pas tracé comme celui de ses camarades. Certains se voyaient dentistes, d'autres entrepreneurs, et lui ne voyait pas plus loin que la fenêtre du sous-sol où se situait sa chambre chez ses parents. Il préférait les jeux dans lesquels il pouvait s'évader. De métier, il travaillait dans un parc d'attraction. Même là, les filles ne le regardaient pas. Il n'était pas assez intéressant.

Ses potes le narguaient souvent en disant qu'il ne saurait s'affranchir de ses parents, parce que ceux-ci faisaient sa lessive, le nourrissaient et payaient généralement ce dont il avait besoin. « Le jour où tu vas te dégotter une meuf sera un grand jour! » C'est ce que lui disait toujours son meilleur ami, car selon ses dires : « comment tu peux t'occuper d'une meuf si tu ne sais pas le faire avec ton propre cul? »
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Zero :copyright:️ Google
La prochaine fois que l’on croise cette fille, tu lui voleras son manteau pour me l’offrir.
Donc, à noter sur la longue liste de choses à faire pour la douce : voler le manteau de l'inconnue. Et tu préfères qu'on la coince au milieu d'une horde de morts-vivants ou qu'on la chasse au lasso?

D'accord, il veut bien lui trouver un manteau orange pour lui faire plaisir, car c'est sa couleur préférée, car elle le réclame avidement, mais pense-t-elle sincèrement qu'ils vont tendre un piège à cette inconnue pour la dépouiller? Il roule des yeux parce qu'il sait qu'elle ne démordra pas de son idée jusqu'à ce qu'elle obtienne son dû. Évidemment, la dernière phrase est une manière de la provoquer et de se moquer. Elliott a souvent tendance a exagéré certaines situations. Il se demande souvent comment ils parviennent à survivre l'un et l'autre. C'est ce qu'il pense au fond de son coeur. Il n'a jamais fait autant d'efforts pour quelqu'un auparavant. En même temps, Lucile est particulièrement exigeante. Et même s'il est prêt à tout pour être assez bien pour elle, il ne manque pas une occasion de soupirer, d'hésiter à refuser et/ou de la regarder comme s'il allait la tuer.

Même si Lucile est un énorme fardeau à elle seule, c'est également une héroïne à ses yeux. Comme ces héroïnes qu'on voyait autrefois dans les jeux vidéo. Prête à tout pour vaincre un maximum d'ennemis. On peut dire que Elliott ne manque pas d'imagination lorsqu'arrive le temps de massacrer quelques morts-vivants. Il souffle quelques idées à Lucile, ensuite elle s'amuse. Après tout, c'est elle qui tire du plaisir à voir tomber les têtes pour accomplir son objectif. Il se pense peut-être inutile, mais Elliott ne manque pas de ressources. N'est-il pas apte à maintenir Lucile en vie? Bon... c'est vrai, la vie est nettement plus palpitante depuis qu'elle s'accroche à lui. Si elle n'avait pas été là, peut-être serait-il mort comme ses parents? 

Il s'arrête net de marcher lorsqu'une vague éclabousse son pantalon. Baissant les yeux, il constate les dégâts. Lucile s'amuse encore sans se soucier de le salir ou de le blesser. Ses épaules s'affaissent, signe flagrant d'une irritabilité grandissante.

Tu crois vraiment que c'est le moment de jouer dans l'eau? Tu vas encore attraper froid, on a presque plus de médi...

Elle saute à nouveau.

Il sa plaint souvent, mais qu'est-ce qu'il se régale lorsqu'elle est frigorifiée et que les couvertures ne parviennent pas à la réchauffer, car dans ces moments, elle n'hésite pas à se blottir contre lui. Il ne pensait jamais qu'une fille allait un jour l'apprécier. Certes, Lucile ne ressemble pas aux filles sur lesquelles il fantasmait, mais elle est nettement plus originale. Et au moins, croit-il, il n'a pas à comprendre son cerveau féminin ; elle demande tout. La preuve étant qu'elle vient encore de faire à sa tête. Et qui sera là pour elle? Elliott.

Tu sais que je suis mauvais pour faire des foutus pansements... Alors pourquoi tu fais pas attention?

Sa voix ressemble à un reproche sans qu'il ne la gronde pour quoique ce soit. Ça manque de crédibilité. Il n'est pas son parent. Elle domine. Il s'accroupit à son niveau pour attraper son poignet et observer l'entaille. Du sang recouvre sa paume et quelques gouttes s'égarent dans la flaque d'eau. Il s'est improvisé médecin depuis qu'elle est entrée dans sa vie. Elle sait qu'il est médiocre pour la soigner, car ses compétences sont limitées. En contrepartie, il s'applique et met beaucoup d'efforts dans ce qu'il fait pour qu'elle ne manque de rien. Pour le moment, il se contente d'appliquer gauchement un tissu sur sa plaie. Il sait seulement que par ce froid, elle se plaindra bientôt que ses vêtements ne sont pas confortables et qu'elle veut se changer.

Son visage crispé par l'irritabilité se détend lorsqu'il pose finalement ses yeux sur son joli minois. Un minois plus diabolique que angélique à son avis, mais il n'arrive pas à la haïr, même dans ses commandements, même dans ses bêtises. Voilà qu'il l'aide à se lever même s'il doit se mouiller davantage. À peine sont-ils redressés qu'un fracas de verre de se fait entendre, accompagné de quelques grognements affamés. C'était inévitable, Lucile faisait bien trop de bruit pour qu'ils ne puissent passer inaperçus, et voilà qu'elle servira d'aimant à zombies avec cette blessure. Son oeil aperçoit une bouche d'égout, mais ça le fait grimacer d'avance ; il n'a pas envie de se cacher là, ce sera en dernier recours. Il l'entraîne donc dans la première bâtisse qu'ils croisent, parce que les grognements éclosent de tous les côtés.

C'est en voyant l'accueil et les panneaux d'affichage qu'il comprend où ils viennent de mettre les pieds. La piscine municipale. D'un côté, les vestiaires des garçons, de l'autre côté, les vestiaires des filles. L'agitation qui se rapproche d'eux prouve qu'ils ont été repérés et qu'ils doivent trouver un endroit où se cacher. Par automatisme, il se dirige vers celui des garçons sans savoir si Lucile laisse quelques traînées de sang dans son sillage. Par chance, ils pourront aisément tomber sur une trousse de premiers secours, étant donné que cet endroit n'a pas forcément été ciblé par d'éventuels pilleurs. Ça, c'est s'ils ont le temps de mettre la main dessus. Dans sa paranoïa de toutes éventualités, Elliott s'apprête déjà à barricader la porte des vestiaires comme si ces monstres savaient réellement en ouvrir une. Et si Nathan devait être présent, les aura-t-il aperçus? Que ce soit dehors ou via une fenêtre. Les prendra-t-il en chasse ou les aidera-t-il?


I'm just a woman in love with another woman
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Invité
Dim 15 Nov - 10:34
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Nathan
J'ai 19 ans et je vis dans la rue la plupart du temps en vadrouille constante. Dans la vie, je suis porteur d'un vaccin et moitié zombie à mes heures perdues. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis vraiment bien, je suis bien mieux tout seul. Je ne peux faire confiance à personne, de toute façon.



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Jusqu'à ses quinze ans, Nathan a grandit dans une famille tout ce qu'il y a de plus ordinaire. Ni trop riche ni trop pauvre, ils vivaient tous les trois ensembles, une existence paisible, ponctuée de leurs boulots pour les uns, de la scolarité pour l'un et des vacances qu'ils prenaient chaque étés. Bien avant toute cette histoire de zombies et de survie, le jeune garçon qu'il était avant avait déjà vu des tas de choses, et voyagé dans des tas de pays différents. Découvrant la diversité qu'offrait l'espèce humaine.

C'est sur la route de retour de leur voyage en Nouvelle-Zélande, qu'ils furent surpris par l'invasion déjà commencée. Par chance, ils ont pu se réfugier auprès d'un groupe pharmaceutique et de nombreux autres survivants chanceux. Mais avec les tentatives des pharmaciens pour créer un vaccin, de nombreuses vies furent enlevées et ce bâtiment, que tous pensait suffisamment protégé fut envahit à son tour par les créatures avides de chaires humaines.

Alors qu'il a vu ses parents mourir sous ses yeux, dévorés non pas par les zombies, mais par le virus transmit de leur plein gré, Nathan a réussi à s'échapper in-extremis du bâtiment, à présent le seul survivant du groupe.

Aujourd'hui, à dix-neuf ans, il erre dans les rues depuis un bon bout de temps. Parfois, il croise des survivants ou perçoit des traces de leur présence, mais il fait tout pour les éviter. Il sait qu'il peut aider, qu'il peut sauver les gens infectés. Mais il a aussi une partie sombre de son secret, que personne ne doit découvrir. Alors lui qui était un jeune garçon sociable et accueillant, est maintenant solitaire, distant et méfiant.

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:copyright:️️ avengedinchains


Déjà deux jours. Deux jours que je suis sur une route qui me semble interminable. Envahie de voitures à l'arrêt, les portières ouvertes, certaines vitres cassées. Couverte de débris de vie passée, d'objets dont nous n'avons plus l'utilité aujourd'hui. Le goudron humide de cette route et les quelques flaques d'eau éparpillées ici et là prouvent que la pluie est tombée il n'y a pas si longtemps. Je les évite, slalomant lentement entre une flaque par-ci et une flaque par-là. Non pas que je crains de faire du bruit si je pose un pied dans l'eau non, mais plutôt que je n'ai pas envie de me salir davantage. Mes vêtements - et le reste aussi, avouons-le - sont déjà bien assez sales comme ça, à force de vagabonder ici et là.

Parfois, je me surprends à rêver d'une bonne douche bien chaude et de vêtements propres. Mais aussi d'une bonne nourriture préparée avec amour, comme ma maman le faisait il y a bien longtemps. Ces rêves ne sont plus que des illusions, des fragments de passé que plus jamais je ne retrouverais. Alors que je continue de marcher droit devant moi en évitant les flaques, les contours d'une ville se profilent enfin à l'horizon. Je hâte le pas, pressé d'arriver enfin dans une nouvelle ville après si longtemps sans rien croiser. Je n'espère aucunement croiser d'autres survivants, je m'en fiche pas mal. Ce que je veux plutôt, c'est trouver un magasin pour me ravitailler, mon sac à dos est presque vide d'objets essentiels.

Je parcours les pavés humides des rues, longeant des kilomètres de bâtiments serrés les uns après les autres. Là ! Voilà ce que je cherchais ! Ma main se pose à peine sur la poignée du magasin déjà dévalisé par un autre passage, comme le prouve le bazar qui y règne, que je suspend mon geste. Surpris, je tourne la tête sur le côté. Une odeur de sang ? Se pourrait-il que... Qu'il y ait d'autres survivants ici ? J'en mettrais ma main au feu, cette odeur de sang n'est pas celle d'un zombie. Plutôt que de la mettre au feu, ma main lâche la poignée qu'elle tenait et moi, je tourne lentement dans tous les sens, essayant de repérer d'où vient cette odeur qu'une partie de moi trouve très attirante.

Une fois que je repère la bonne direction, l'un de mes pieds s'avance déjà, comme pour me faire y aller contre mon gré, animé par une nouvelle force qui n'est pas tout à fait la mienne. Mais soudainement, je me force à reprendre mes esprits en secouant la tête. Qu'est-ce qui me prend ? De un, il n'est pas question que je dévore de la chaire humaine à mon tour, cette idée est vraiment répugnante ! Et de deux, je n'ai pas non plus à me mêler d'affaire qui ne me regarde pas ! Chacun pour soi ! Je ne dois pas l'oublier. Je suis peut-être une menace d'un côté, mais les autres survivants le sont aussi pour moi.

Je m'apprête donc à reprendre ce pour quoi je suis venu, lorsque deux ou trois zombies surgissent comme des fous, attirés par une odeur enivrante d'où je connais la provenance, me dépassant sans se soucier de moi. Je soupire et lâche encore une fois la poignée du magasin. Et zut ! Parfois, je déteste mon côté humain et cette envie de sauver les autres. Je ne devrais pas me mêler à ça, mais cette fois-ci, c'est plus fort que moi. Si les zombies sont là, c'est que le ou les  survivants incapables d'être discrets, ne sont pas loin. Suivant mes " congénères " affamés, je finis par parvenir à un grand bâtiment qui n'est autre qu'une piscine municipale, devant laquelle de nombreux zombies s'amassent en cognant comme des fous contre la porte fermée.

Décidément, ces gens sont vraiment des idiots. En s'enfermant ainsi dans un bâtiment sans issu, ils ne sont plus qu'un garde-manger pour zombies. Certes, ceux-ci ne peuvent pas ouvrir une porte, mais tout peut arriver, tout événement imprévu pourrait leur permettre de réussir à entrer malgré tout. J'en sais quelque chose. Ramenant mon sac à dos plus près de moi, je fouille dedans un moment pour en sortir un couteau joliment sculpté, dont la lame se replie. Quand j'étais adolescent, j'adorais ce genre de couteau, mais aujourd'hui, je déteste devoir m'en servir. Le couteau en position, dans la main droite, je m'approche de mes " congénères " zombies.

Ils ne s'occupent pas de moi, je sais bien qu'ils ne me feraient rien de toute façon, même si c'était moi qui saignait. Je suis à moitié l'un des leurs désormais, que je le veuille ou non. C'est peut-être pour cela que je ressens une once d'hésitation, en cet instant. Pourquoi est-ce que je les tuerais, alors que ce n'est pas moi qu'ils cherchent à dévorer ? Pourquoi est-ce que je sauverais les uns au détriment des autres ? C'est toujours ainsi désormais, je suis continuellement tiraillé entre mes semblables humains et mes semblables zombies, éprouvant des difficultés à choisir entre les uns et les autres.

Soupirant de nouveau, je me résous à utiliser mon couteau. Zombie après zombie, je les retournent tous, les retenant avec force, pour planter mon couteau dans leur crâne. Tous le monde sait que c'est le cerveau qu'il faut toucher. Au fur et à mesure, les corps désormais définitivement sans vie s'entassent devant la porte. À peu près une dizaine, les plus proches qui se trouvaient dans les environs quand l'odeur du sang a commencé à se répandre. Une fois ma sinistre tâche terminée, je replie le couteau sur lui-même - je le nettoierai plus tard - puis j'ouvre la porte de la piscine municipale pour y pénétrer. Aussitôt, je remonte un peu plus le tissu du masque que je porte, au niveau de mon nez. L'odeur de sang est encore plus forte à l'intérieur, je dois me méfier.

Un pas après l'autre, je m'avance vers l'accueil du bâtiment, observant chaque recoins, à la recherche du ou des idiots qui se sont enfermés ici.

" Il y a quelqu'un ? "

En l'absence de réponses, je continue mes recherches et finit par repérer un indice bien frais et de couleur rouge sur le sol. Du sang. Je suis cette piste en silence, elle me mène jusqu'à la porte des vestiaires des garçons. Le cœur battant, m'attendant à toutes réactions positives ou non, ma main se pose sur la poignée de la porte et la baisse lentement. La porte s'ouvre progressivement à mesure que je la pousse. Et c'est là que mes yeux se posent sur eux. Ils sont deux.

Une jeune femme au long cheveux sombres et un jeune homme aux cheveux légèrement plus longs que les miens, d'une couleur peu ordinaire d'ailleurs. Je les observe un moment, les détaille. Leurs vêtements sont trempés, ils se sont amusés à sauter à pied joint dans les flaques d'eau, ou quoi ? Je remarque alors la blessure à la main de la jeune femme, mal recouverte d'un bout de tissu déjà bien imbibé du liquide vital. Toujours sans un mot pour l'instant, je sors de mon sac à dos le peu d'un rouleau de bandage qu'il me reste et même une petite bouteille de désinfectant presque vide, avec un morceau de coton en prime. Oui, le matériel médical est la première chose que je prend en priorité. Après la nourriture, bien sûr.

" ... Les zombies sont hors d'état de nuire. Mais vous devriez mieux soigner et protéger cette blessure, elle pourrait en attirer d'autres, il y a déjà bien assez de sang comme ça, partout dans le bâtiment. Tenez, prenez ça. "

Je leur tend le tout, attendant patiemment qu'ils réagissent. Je sais que je ne parais pas très accueillant, avec mon style plutôt mystérieux - en particulier le masque et quelques bandages visibles que j'ai moi-même, pour cacher les traces anciennes de morsures que les habits ne peuvent pas cacher, ainsi que mon côté distant malgré mon aide - mais peu importe. Je suis quand même en train de gaspiller pour eux le peu qu'il me reste.

" Et à l'avenir, éviter de vous cacher dans un bâtiment, c'est bien la pire des idées. Même bien fermé, un bâtiment ne protège pas des zombies. "

Je me demande bien comment ils ont réussi à survivre aussi longtemps. Enfin, si ils continuent comme ça, ça ne durera pas, c'est certain.
@Robz
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Mar 8 Déc - 15:56
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Lucile ''10K''
Lucile a grandit dans une famille d'accueil, et ce n'était pas toujours jolie à voir. Misérablement, sa famille a toujours été la même ; ils n'étaient pas bons, sans être mauvais non plus. C'est le fils de cette famille qui était pourri jusqu'à la moelle ; elle s'est fait violée pendant plusieurs années sous titre de l'amour. Ce n'était pas de l'amour. L'amour, elle l'a connu par la suite avec Elliott. Si elle était victime à l'intérieur de la maison, elle était tout le contraire à l'extérieur : à l'école et avec ses amies, Lucile a toujours fait comme si elle était une petite princesse. Elle est capricieuse, elle peut être hystérique, mais surtout, elle est dominante. Elle a toujours le dessus sur les autres, et ça lui a fait croire qu'elle était parfaite. Lucile n'est surtout jamais tomber sur quelqu'un prêt à la faire taire, à prendre le dessus.

Elle a dix-neuf ans. Et comme elle a passé plus de temps dans cette apocalypse avec Elliott, que dans le monde tel qu'il était avant, elle a prit de mauvaises habitudes. C'est comme un jeu pour elle ; Lucile n'a pas la notion du danger. Elle s'amuse de tout quitte à mettre les autres dans de terribles situations. Son rêve est d'abattre dix milles zombis avant de perdre la vie, alors elle se présente sous ce surnom ; 10K.

LUCILE+ELLIOTT+NATHAN / à la rencontre du vaccin Tumblr16


Yuki Kuran :copyright: tumblr.
Coincer l'inconnue dans une horde de morts-vivants ce serait risquer de ne pas récupérer ce manteau orange qui lui fait tant de l'oeil. Alors, même si Elliott plaisantait, même s'il voulait lui faire comprendre la bêtise de sa demande, Lucile opte pour une autre solution. Elle a tiré la langue lorsqu'il a parlé de lasso, parce qu'il se moquait d'elle. Mais la moquerie n'a pas duré bien longtemps. Elle préfère de loin lorsqu'il est aux petits soins avec elle, même si c'est pour se faire rouspéter un peu parce qu'elle abuse. Pourquoi tu ne fais pas attention? Parce que Elliott est là pour prendre soin d'elle. Peut-être qu'il serait mort dans la présence de Lucile, mais Lucile aurait vécu les pires horreurs s'il n'avait pas été là. Par les hommes, ou par la nature. Alors Lucile profite de ce qu'il a à offrir : lui tout entier. Elle aime le voir faire des pieds et des mains pour subvenir à ses besoins. Il est médiocres en pansements, mais ça a toujours fait l'affaire. Cela la fait même sourire, de le voir prendre tant soin d'elle, de le voir bander cette plaie qu'elle vient de se faire. Lorsqu'il l'aide à se redresser, Lucile était persuadée qu'il allait l'embrasser. Elle s'était même mise à sourire, prête à détourner la tête pour lui filer entre les doigts ; surtout pour décider elle-même du moment de ce baiser. Elle aime le mener par le bout du nez, c'est son activité préférée.

Elle voit ce monde comme un jeu, Lucile. Entrainée dans la piscine municipale, elle regarde simplement en arrière pour voir que les zombis ne peuvent pas les suivre jusque là. Ca l'attriste, parce qu'elle aurait voulu tous les coincer dans cette bâtisse pour pouvoir mettre sur leur tête un numéro qui la fera approcher de son but. Oui, elle laisse quelques traces de sang ; parce qu'elle colle son pansement de fortune sur le mur, parce qu'elle laisse un chemin jusqu'au vestiaire des garçons. Comme si c'était un jeu, et qu'elle attendait avec impatience que les morts vivants suivent sa trace. Elle est stupide de se croire invisible. Elle devrait avoir tant d'autres espoirs que d'en abattre dix-mille.

Dans le fond de la pièce, Lucile colle son dos mouillé au mur. Ca la fait frissonner, et déjà, elle est prête à se plaindre qu'elle a froid, qu'elle a fin, qu'elle veut se réchauffer et qu'elle veut de nouveaux vêtements. Ses petits yeux sournois regardent la silhouette de Elliott, en train de s'activer pour tenter de bloquer la porte pour que les morts ne les suivent pas jusque là. Mais elle n'a pas le temps de quémander quoi que ce soit, que la voit d'un inconnu se fait entendre. Tout de suite, Elliott semble s'arrêter pour tendre l'oreille, au même titre que Lucile. Et cette derrière, elle lui ordonne d'arrêter de bloquer la porte.

" - Laisse-les venir..." Qu'elle chuchote à l'attention de son amant, le regard pétillant d'une cruauté que lui seul peut connaître. " Si c'est une fille, on la tue. Je pourrais prendre ses vêtements..." C'est surtout par égoïsme qu'elle ne veut pas de filles avec eux : Elliott est le sien, et elle est la sienne. Une fille, c'est chiant. Une fille, ce serait quelqu'un de trop. " Si c'est un garçon..." Elle hausse les épaules, un léger sourire aux lèvres. Là, c'est la jalousie d'Elliott qu'elle veut voir ressurgir. " On se sert de lui..."

Lorsque Nathan ouvre la porte, Lucile est au fond de la pièce : un lance-pierre tendu entre ses mains, même si ça doit faire couler son sang un peu plus, prête à lancer de toutes ses forces un gros boulon qui lui ferait un beau trou au milieu du front. Comme c'est un garçon, et que ce n'est pas un mort, Lucile ne tire pas. Que fera Elliott ? Son regard est fixé sur celui qui fait sa paire, jusqu'à ce que l'inconnu sort de son sac un bandage qu'il aurait du garder pour lui-même. Il a du désinfectant, quelque chose dont les deux auraient bien besoin vu le nombre de bêtises que fait Lucile.

" - " ... Les zombies sont hors d'état de nuire." Lucile fronce les sourcils, parce qu'elle n'est pas contente d'entendre ça. Elle aurait du les tuer, pas lui. " Mais vous devriez mieux soigner et protéger cette blessure, elle pourrait en attirer d'autres, il y a déjà bien assez de sang comme ça, partout dans le bâtiment. Tenez, prenez ça."
" - Oh !" Qu'elle lance à l'attention de son Elliott, et lorsque ce dernier a tourné la tête vers elle, Lucile lui lance un coup de menton pour lui faire comprendre qu'il doit attraper ce que l'inconnu leur donne. " Merci Docteur."

Elle se moque, elle abuse, mais c'est Lucile dans toute sa splendeur. La fille laisse légèrement retomber son arme, pourtant, il ne lui faudrait que quelques secondes pour tirer sur l'élastique du lance-pierre pour être de nouveau prête à tirer. Mais pour le coup, elle se contente de regarder l'état de l'inconnu ; plein de bandages diverses, et un masque sur le visage qui doit cacher quelque chose de vraiment laid. Lucile imagine un vieil appareil dentaire, tout défoncé, qui restera à vie dans la bouche de ce type. Un sourire moqueur se dessine sur ses lèvres.

" - Et à l'avenir, éviter de vous cacher dans un bâtiment, c'est bien la pire des idées. Même bien fermé, un bâtiment ne protège pas des zombies."
" - T'es le plus intelligent de la terre, c'est ça ?"

Ses joues se gonflent, telle une gamine. Elle n'est pas contente, Lucile, d'entendre quelqu'un leur donner des conseils. Ils n'ont pas besoin de parents, ils n'ont pas besoin d'aide. Tous les deux, ils forment un duo qui fonctionnent assez bien, peu importe ce que peut en dire ce typé étrange. Mais il n'a pas l'air menaçant, au contraire. Ses bras retombent alors lourdement, et Lucile enfoui dans sa poche trempée son boulon qu'elle gardera pour une prochaine cible. Pour le coup, la fille se dit qu'elle a eu tord. Ils auraient du le tuer, peu importe son sexe, parce que vu ce qu'il leur donner, ce mec doit avoir encore pas mal de choses intéressantes sur lui. Tout aurait pu être à eux, s'ils l'avaient tué dès qu'il fut entrer dans les vestiaires.

Voilà qu'elle s'approche, mais d'Elliott. Elle vient caresser son bras, et lui tendre cette main qui n'est pas jolie, avec le bandage imbibé de son propre sang. Silencieusement, elle demande à Elliott de le refaire en profitant de ce que l'inconnu vient de leur donner. C'est utile. Alors elle prend. Pourtant, l'inconnu n'aura pas un merci provenant directement de la bouche de Lucile. Elle se contente de le regarder là, en étant tout prêt de son Elliott.

" - Moi, c'est 10 Mille." Qu'elle lâche comme toute présentation ; hors de question qu'elle lui donne son vrai prénom. Puis, d'un mouvement de tête, elle désigne le garçon qui est avec elle depuis bien longtemps maintenant. " Et lui, c'est le mien." Lucile ne donne pas le nom de son amant, mais marque bien sa propriété sur le front de se dernier. " Et si t'as vraiment tué tous les zombis dehors... toi et moi, on va pas être très copains. Parce qu'ils étaient aussi tous à moi, ceux-là."


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❝ you have to be special to love me❞ and i'll love you a little bit more every day of our life. You are simply the woman I was waiting for to learn how to live and love.
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