Le Temps d'un RP
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LE TEMPS D'UN RP

Heureux évènement.

Argawaen
Messages : 132
Date d'inscription : 14/11/2021
Région : Belgique
Crédits : Pintrest

Univers fétiche : Fantastique/Réaliste/Historique
Préférence de jeu : Homme
Tournesol
https://www.letempsdunrp.com/t4792-salle-aux-echos#97120 https://www.letempsdunrp.com/t4828-sommaire-rp-s#97505
Argawaen
Jeu 16 Déc - 1:10
Heureux évènement. The_an11

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Cillian Shtorm

Quelques chiffres :
Age : 27 ans
Taille : 1m90
Poids : 86Kg
Note social : 3/10
----------------------------------------
Quelques couleurs :
Cheveux : Noir
Yeux : Marron
Aura : Jaune
Préféré : Violet


Quelques détails :

Etude/Métier :"Chimiste"
Force : Ingénieux | débrouillard
Faiblesse : Extrémiste | blessé
Tout était là, si beau et immuable dans leurs peines. Les murs dégrader, débordant de peinture comme de rage, parsemé de débris, qu’ils soient humains ou non. Cette air, pollué de souffrance et d’idylle impossible. Toute cette ambition morte avant d’être né, toute cette rage renfermée et toutes ces âmes à sauver. Les rues étaient le reflet de ce monde, oublié dans un quartier mis de côté. Torturé par des quotas de bienfaits incessant et impossible. Borné à croire que le problème forme le point final d’une vie. Et je marchais, fantôme parmi les Hommes, parmi les miens, et partout où me portaient mes pas, cette même vision s’offrait à moi. Il était beau de voir les prouesses qu’on former la promesse de Darwin. Voir le mensonge bien polis, vernis, choyé des membres d’un conseil pourrit en son centre. L’Est, l’Ouest, tous empestaient de ce mensonge doré.

Il n’y avait plus rien à faire pour eux. Quelles pertes formaient-ils pour ce pays, après tous ? Que pouvons-nous faire pour ne plus subir cette lourde vérité ? Et je marchais, mon baril à la main, les pans de ma veste accompagnant mes pas, le vent maussade dans le dos. Inconnu dans la foule, je cachais pourtant en mon centre le héro propice qui viendrait tous les sauver. Celui, seul, qui avait perdu assez de chose pour reconnaître la solution. J’arrivais à un croisement, décidant de l’endroit de la même façon que le destin. J’allais ce soir, nettoyer ces âmes et ces peines de leurs tourments. Je dévissais donc le bouchon de mon baril, avec un léger sourire, personne n’aime ce héros. Car si personne ne se proposé pour soluté les choses, c’est parce que la réponse ne leurs plait pas. J’ai commencé à asperger les rues, les alentours et les vieilles poubelles du mélange d’essence et d’ammoniaque. J’ai posé un masque sur mon visage, me protégeant des vapeurs, des regards, je ne savais pas si les lieux étaient surveillés.

Je me suis redressé, craquant mes os avec mal, je pouvais encore entendre les échos des rumeurs qui parcourraient ces rues. Si ce coin n’était qu’un hasard, sont but n’en était rien et je refusais de voir encore le monstre qui régi ce nouveau monde, tourner les yeux à la peine du monde. J’ai pris mon briquet, m’allumant une clope, avant d’observer la flamme. Je ne fume pas ou rarement, mais il fallait toujours pouvoir expliquer la présence du briquet. Quand on place tous les ennuis en un même centre, certes ils pullulent, grossissent, se corrompent de haine et de rancœur, mais qu’ils sont faciles à ignorés, oubliés. Il n’y avait que le feu, pour purifier les âmes, pour laisser assez de fumée, pour créer un scandale si grand que personne ne pourrait plus fermer les yeux. J’étais fatigué.

Depuis un an, j’avais réussi à monter cette lourde tâche, qui était mienne, jusqu’à sa glorieuse apogée, mais rien n’avait substantiellement changé. La crasse, la haine, la rage, l’ignorance des regards étaient toujours immuable. Cette vérité m’était insupportable, et si mes coup ciblés n’avait pu que faire parler avant de s’atténuer, j’étais las d’épargner les gens qui refusent d’être sauvé. J’ai inspecté les lieux du regard, parcourut les malheureux qui trainaient sans but au loin, rêvant à présent d’un monde de cendre, semblable à mon ancien foyer. Toute la politique était corrompue, par le peuple qui le laisse agir et si j’avais pu à l’époque, brûler les décisionnaires fugaces et lâche, alors j’aurais peut-être encore une terre à chérir. Une terre de vie et non de cendre.

Je repense à ton regard, à tes discours, tu avais si tords. Tous le monde ne mérite pas le pardon, tes tendres sourires et un regard asservi. J’ai senti cette colère s’emparer de moi, cette haine autant passé que futur qui emplissaient mes veines, me nourrissant d’une vie nouvelle et dénuer de mœurs. J’ai posé mon biquet, laissant sa flamme s’emparer du glorieux mélange, grandir et s’emparer des murs à leurs tours, de la saleté, des oubliés et bientôt de la rue entière. Déjà mes pas me portèrent loin, ne laissant qu’une fumée acres derrières moi. Le feu purifie, mais dans mon cas, personne ne viendrait m’en remercier. J’ai parcouru quelques blocs, laissant la panique s’emparer des lieux, mais pas trop loin. Il serait étrange de s’éloigner du sujet qui interpellait tout le monde. Les flammes léchèrent le ciel de leurs magnifiques couleurs et bientôt les cries vinrent s’ajouter à la fumée.

Les frères, les pères, les sœurs et les mères devront me pardonner. Je ne leurs ai pas pris leurs enfants, j’ai simplement montré aux yeux de tous, ce que le pays leurs avaient déjà fait. J’avais appris de la même manière, apprendre la colère et la vengeance. Tous n’en seraient pas digne, ils ne seront bon alors qu’à nourrir un feu plus grand, révolutionnaire, qui feraient fondre nos chaînes. Personne ne me voyait, le monde était déjà devenu un amas de panique malgré l’heure tardive et combien de temps ils leurs faudrait pour voir que personne ne viendrait éteindre ces flammes ? Le pays vous a abandonner, laisser brûler ! Aller, il est temps de crier, mon peuple, marché et reprenez votre dû ! Mais ils restèrent à pleurer, paniquer, apeuré et j’étais las. J’ai jeté ma clope, l’écrasant avec haine au sol.

-  обман ! Vous n’êtes que mouton incapable de colère !

Je n’avais que faire qu’on m’entende ou me comprenne. Qu’on remarque ce russe à l’allure louche qui tente si fort de vous sauver, pauvre imbécile ! J’ai pesté à nouveau, avant de sentir un regard sur ma nuque. Je me suis tendu, un instant seulement, avant de remettre mon briquet en poche, tirant sur les pans de ma veste et faisant mine de rebroussé chemin pour voir les yeux qui m’épiaient. Je suis passé à contrecourant, le cherchant. La milice ne trainait pas ici habituellement, mais je n’étais jamais trop prudent, les racés, eux, rodaient partout. Et je ne pouvais toléré ces adorateurs, barbares, de Master.

Heureux évènement.
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