Le Temps d'un RP
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LE TEMPS D'UN RP

Vies, vues, vols...

3ko
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Univers fétiche : Fantasy - SF - Cyberpunk - Biopunk - Sauvage
Préférence de jeu : Les deux
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3ko
Mar 29 Mar - 20:11

Phäng

Vies, vues, vols... E4cba7c1

Description :
Dos noir et ensemble du pelage très sombre, ventre fauve. Yeux jaunes. Plutôt petit et vif.

Caractère :
Autonome (il ne cherche pas à prendre la place du dominant mais refuse de se laisser soumettre). Solitaire.

Histoire :
Jeune loup sauvage de trois ans. Vient d’atteindre sa carrure définitive. Il a grandit au sein d’une petite meute. Sa mère, son père, un vieux loup de 8 ans, et les cinq petits de sa portée. Puis cet été, des chasseurs humains et leurs hordes de chiens sont entrés sur leur territoire.
Après une semaine de chasse acharnée, ils ont finis par coincer et tuer la mère des jeunes loups, alors grosse d’une nouvelle portée.
Les autres purent s’échapper et rejoignirent des contrées plus sauvages.
Et au début de l’hivers, son frère de portée, un mâle blanc et à la carrure impressionante a défié son père et celui ci lui a cédé sa place au terme d’une lutte féroce.
Mais le jeune dominant, inexpérimenté, impose à sa meute une discipline de fer. Il se révèle tyrannique et très agressif.

Le vieux loup, bien qu’il paraisse désapprouver ce comportement n’a plus la force de reprendre la tête de la meute et assiste, solitaire et irrascible à la déchéance de sa meute.

Lors d’une chasse difficile, le loup blanc considéra que son frère noir avait fait une grave erreur et lui sauta dessus, déclenchant un combat sauvage.
Bien que plus petit, le noir refusa catégoriquement de se soumettre et il du finalement fuir pour sauver sa vie devant l’acharnement de son frère.

Il partit alors vers d’autres contrées en survivant seul. L’hiver avançant et la nourriture se raréfiant, il s’approcha furtivement de zones peuplées d’humains, observant pendant des heures les troupeaux dodus de moutons et les allées et venues des chiens de protections et de leurs maîtres…


Kiman Leidelinger


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Histoire :
Issu d’une famille de circassiens, le jeune voyageur a d’abord grandit très heureux et libre, malgré les fréquentes altercations avec la maréchaussée. Avec ses sept frères et sœurs, ils formaient une bande joyeuse d’acrobates, de jongleurs ou de musiciens lors des représentations que donnait leur famille dans les villages où ils passaient.
Ils apprenaient aussi l’art de tresser les paniers en osiers, celui de rétamer les chaudrons et vieilles casseroles pour leur rendre leur jeunesse, rempailler les chaises et fauteuils, affûter lames et outils, fendre, couper ou ranger du bois et bien sûr ! Surtout, à s’occuper correctement des chevaux. Les panser, parer leurs sabots et parfois les ferrer quand le sol est trop rude ou pour les long trajets.
Les mener à paître, les nourrir et les amadouer.
Les chevaux étaient leur fierté, leur richesse et bien le plus précieux. Mais surtout c’était le moteur qui les emmenaient eux et leurs verdines, les roulottes aux grandes roues, par les monts et les prés, sur les chemins ou hors des sentiers. Eux qui les tractaient d’un bout à l’autre du pays sur les terres des gadjes.
Malgré quelques tensions entre les communautés nomades et les sédentaires, ils vivaient la plupart du temps en bonne intelligence et parfois, les nomades se retrouvaient par familles entières pour s’échanger histoires, nouvelles et astuces. Et pour fêter la vie, la joie et la route.

Mais un jour dans un pays proche, une idéologie malsaine prit le pouvoir et plongea le monde dans la guerre.
En quelques mois tout fut bouleversé. Tout d’abord « assignés à résidence » ce qui est un comble pour des nomades, les « voyageurs » furent parqués sur des terrains vagues, dans de vaste prisons à ciel ouvert.
Puis peu à peu rassemblés dans des camps, déportés de toute l’Europe vers l’Allemagne.
Kiman y a vu mourir une sœur et trois frères, dans ces camps. Sa mère devint folle et son père contracta la tuberculose et mourut lui aussi.
En deux ans, trois fois il s’enfuit des divers camps où ils étaient menés.
La première avec ses deux dernière sœur et son unique frère survivant. Mais ils durent se séparer pour échapper à leurs poursuivants et jamais ils ne revis plus ses soeurs jusqu’ici.
Deux fois il fut rattrapé quelques semaines après sa fugue. Il recroisa son frère dans l’un des camps où on l’enferma et s’échappa une seconde fois avec lui mais ils durent à nouveau se séparer et lui fut rattrapé un moi plus tard lors d’un contrôle de police en ville.
Enfin il s’échappa une troisième fois du camps disciplinaire de travailleurs forcés où il était alors.
Il était n’était qu’a trois ou quatre semaines de marche de la frontière du pays de sa naissance.
Alors il prit la route.
3ko
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3ko
Ven 15 Avr - 7:16
Vies, vues, vols... Ob_c1d13

Zee'
Description : Jeune femme humaine de 28 ans. Métis Koriak-Russe. Cheveux teints en rouge. Carapace recouvrant ce qui reste d’organique dans son bras gauche, semi-bionique.
Vive et impulsive. Mal alaise en société, surtout dans les milieux citadins. Affiche un sale caractère qui cache un gros manque de confiance en elle.

Histoire : Née dans le ghetto sous terrain de la ville d’Anadyr, dans l’extrême est de la Sibérie. Son père est Koriak, d’une tribu issue des Terres Sauvages mais venue habiter aux alentours de la Cité, harcelée par des Hordes armées prônant la fin du monde.
Sa mère est issue d’une tribu de Russes, vivant dans le no man’s land séparant la cité de ses zones de culture et d’exploitation.
La fillette et son frère de trois ans son cadet ont grandis sans connaître leur père, disparu ou mort dans leur très jeune age. Ils n’ont aucun véritable souvenir de leurs premiers temps au sein de leurs tribus respective. Les enfants grandissent dans un environnement très pollué, le ghetto sous terrain surnommé le Dédale par ses habitants. C’est un véritable labyrinthe d’énormes conduites, parcourues de passerelles et de structures de tailles variées entourant de gigantesque piliers supportant la ville proprement dite. Dessous, coulent de noires rivières ou torrents acides et nauséabonds, produits de touts les déchets, même radio-actifs, de la cité. Celle ci est quasi hermétiquement séparée du Dédale par une chape étanche percée de quelques entrée destinée aux travailleurs embauchés pour contrôler et entretenir les piliers. Le sous terrain entiers et sous le contrôle de nombreux gangs, y exerçant une loi aussi féroce et cruelle, quoique qu’avec moins de poudre aux yeux, que celle imposée par l’ANDRA à la surface. ANDRA, méga-corporation qui s’est bâtie sur le nucléaire, possédant une grosse partie des territoires entourant le détroit de Bering. Néanmoins, et compte tenu de la haute dangerosité des lieux, tant sanitaires, dues aux pollutions, que physiques dues aux habitants eux même, les pertes sont catastrophiques. les salaires élevés et des prothèses bioniques sont offertes (et testées) sur les ouvriers acceptant de faire ce travail d’entretient. La mère des petits était une soignante réputée dans son clan d’origine. Dans le Dédale, elle se fit une réputation jusque chez les travailleurs issus d’en haut. Et juste après la disparition du père, elle emmena sa fille de trois ans et son fils juste né vivre avec elle au premier étage de la cité, où elle avait trouver un travail d’infirmière. Mais elle est rapidement tombée sous l’influence de médicament de plus en plus forts, puis de cyber-drogues puissantes, mélange de chimie et de nanotechnologie. En quelques année elle finit internée par les service de Cyberpsychose. Les enfants, adolescents à ce moment retournèrent d’abord vivre quelques années dans le dédale, dans une famille de Koriaks amie de leur père et chez qui ils vivaient avant de suivre leur mère en haut.
Puis, avec quelques amis, ils firent la rencontre du milieu militant, se mirent à ouvrir des squats dans les bâtiments inoccupés de la cité, à lire à apprendre à cultiver des aliments et à concevoir la possibilité d’un monde différents, plus humain. Ils eurent de nombreuse fois affaire aux forces de polices, autant dans leur vie courante que lors des actions de sabotage ou même lors de simple manifestations culturelle.
Assez jeune la Zee’ s’est découverte attirée par les femmes plus que par les hommes. Elle a eu une histoire avec Tash, son amie d’enfance mais elles ont maintenant une relation d’amies profonde et sincère. Et Zee’ n’est pas interessée par des histoire qui durent, de toute façon. Les romances et les machins à l’eau de rose c’est pas son truc. Pas déconner. Elle emmerde les bien-pensants. Et les guignols qui se prennent pour des semi-dieux, en haut, les Corpos. ACAB.
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Jeu 7 Mar - 17:05
Koï

Vies, vues, vols... Kozc_t10
Koï est né Dhajï.
Ses deux parents étaient tout deux Dhajïs.Celà signifie que dés la naissance, la symbiose entre le « lichen du vent » et lui même, ses propres cellules, était faite. Avant même sa naissance, la jonction s’était déjà opérée entre ces deux génomes différents. Se mêlant et s’harmonisant pour être capable de lutter contre l’environnement naturel devenu toxiqu et radioactif…
Il fait parti de la première génération à ne pas passer par la cérémonir d’initiation du Béo’Jï.


Son enfance est triste. A cinq ans, il perd ses deux parents le même triste soir. Victimes d’une bande de chasseurs de moon-eyes expérimentés, ils meurent en permettant à leur fils de fuir. Il ère alors pendant près de six mois seul, dans une taïga sauvage et meurtrière.
C’est un homme, un Koriak, qui le trouve un jour, à l’entrée de l’hivers, presque gelé sur pieds.
Cet homme n’est pas n’importe qui. Il se fait appelé Grand Khan des Pyros, un groupe de rebelles vivant hors des cités et luttant ouvertement contre le système corporatiste.
Lié à quelques dhajïs par l’amitié, cet homme recueille donc l’enfant en toute connaissance de cause.
De naissance, Koï est incapable d’articuler des mots de la pluparts des langues humaines. Il n’est cependant ni réellement muet, ni sourd le moins du monde. Au contraire. Vif comme un fauve, il se déplace beaucoup en s’aidant des mains. Ses crocs ont poussé très jeune. Alors que seul les plus vieux des dhajïs nés humains ont leurs premiers crocs qui apparaissent, ceux des nés-dhajïs poussent dés l’enfance…
Souvent, une sorte de fourrure vient avec l’âge.
Et leur peau tire clairement sur le vert, les rendant inconfondables avec un humain normal, ou… vielle génération...

Koï vit hors des sentiers battus. Souvent seul, ou accompagné seulement d’animaux. Il suit néanmoins une voie toute personnelle, vers un monde plus libre…


V2.O : Les Dhajïs

Normalement, tout Dhajï fut d’abord humain. Mutant peut être. Mais pas cyborg, pas au-delà d’un certain degré, en tous cas. Les individus choisi subissent une cérémonie dure, avec une longue phase d’initiation. Pendant la transformation, ils subissent une réelle métamorphose, au sens propre du terme puisque le processus s’apparente à celui d’une chenille devenant papillon, modifiant alors tout son métabolisme. Beaucoup ne survivent pas à la phase de cocon…
Une fois sortis, leur corps devient capable de maîtriser les mutations aléatoires induite par la radioactivité élevée de l’air, de l’eau, et de la terre. Lors de phase de transe méditatoire, un individu peut guider le processus.
Des sortes de shaman, ou hommes et femmes médecines sont expert dans ce procédé et capable d’influer même sur d’autres formes de vies proches.
Les dhajïs sont aussi plus animal, au sens où leurs facultés et sens sont sur-développés comparées à celles d’humains normaux.
Ils se régénèrent aussi beaucoup plus rapidement et leur corps exsude en permanence les cellules cancéreuses ou toxique de manière à garder le reste en bonne santé.
Leurs oreilles, allongées et pointues sont orientables. Leurs yeux, phosphorescent la nuit et aux pupilles fendues, comme celles d’un félin.
Enfin, plus le temps passe, plus les traits, le visage, la peau change et prends un aspect indéniablement différent des humains.
Mais… Les dhajïs reste des mutants. Ce qui aux yeux du reste de l’humanité, signifie paria. Certes ils ont un statut… privilégié, en quelques sorte… Une valeur supplémentaire.
Pour leurs yeux. Trophées côtés et cher payer au marché noir… Les Moon-Eyes… Ainsi que les appellent les chasseurs de mutants.
Vivants en marge lointaine des zones corporatives, ils font néanmoins de nombreux raids aériens sur les transports reliant les Méga-cités entre elles. Ce trafics indispensable au fonctionnement des villes et à la circulation de tout type de flux, subit en effet de brusques embuscades, annoncées en générale par des orages violents… Les pirates surgissent alors de leurs zeppelins à la fois archaïques et très sophistiqué, ou astucieux.
Ils pillent ce qu’ils veulent, détruisent le reste et tuent ceux qui résistent. Il ne font jamais de prisonniers, sauf des volontaires, il y en a parfois…
Recensés depuis une quinzaine d’années, les raids de ces pirates mutants se font de plus en plus nombreux et ciblés.
En retour violent des choses, la chasse au mutant se durcie plus encore, bien que cela soit difficilement imaginable…
Leur mode de vie est rude, mais joyeux. Entre eux, ils se voue beaucoup de respect, méprisent la hiérarchie, se liant plutôt par affinités et centre d‘intérêts.
Certains, les plus vindicatifs et aventuriers, naviguent beaucoup, tandis que d’autres eux restent cachés au fin fond des zones les plus sauvages. Ceux là vivent en nomades mais entretiennent des liens constant avec les pirates.

Les enfants nés d’une mère ou de deux parents dhajïs naissent donc déjà initiés, en quelque sorte. Ils naissent sous forme de cocon, ou plutôt d’oeuf et viennent donc au monde déjà métamorphosés.
Ils ont tendance à être encore plus profondément animal, et leur physique est lui aussi beaucoup plus marqué.
Mais leur physiologie est encore plus adaptée au monde que celle de leurs parents, et n’ont que très peu de cellules cancéreuses, celles ci étant gérées de manière bien plus harmonieuses.
Néanmoins, élevés en marge totale de la civilisation humaine classique, ils sont en général très très sauvages, discret et silencieux comme de simples ombres. Proches en revanche du monde végétale et animal, ils sont réellement capable de communiquer avec eux.

Dans un monde où l’humanité est en train de se subdiviser en plusieurs genre, ces enfants nés dhajïs font partie de la branche la plus en phase avec sa planète.
Néanmoins, la main mise de la branche dominante des familles corporatistes, élite proche de passer le stade d’une trans-humanité émancipée des contrainte classique de la vie, « supérieure », est loin d’être remis en question.
Parmis les autres constituant de l’humanité de cette fin de 21eme siècle, ceux ayant subie de nombreuse cyber-greffes doivent vivre avec l’insidieux « cyber-mal », une maladie étrange encore mal comprise provoquant des crises de férocité incontrôlée et une soif terrible.
Le reste de l’humanité doit faire face aux mutations aléatoires et pour la plupart incapacitantes ou mortelles. Touchés à divers degrés, les humains au génome non mutant sont néanmoins une absolu rareté, désormais dans ce monde glacial aux pollutions nucléaires terribles dues aux guerre du début et milieu du siècle, marquant le passage des états-nations aux méga-corporation privées comme modèle d’organisation social.
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