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Tag 336600 sur LE TEMPS D'UN RP 3hez5h Sujet: Watch me walk like a zombie ft. Ash
Ash

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Rechercher dans: Survival/Apocalyptique   Tag 336600 sur LE TEMPS D'UN RP EmptySujet: Watch me walk like a zombie ft. Ash    Tag 336600 sur LE TEMPS D'UN RP EmptySam 31 Juil - 21:26
7zpn.png
Stella Doyle
J'ai 24 ans et je vivais à Newark dans l’état du New Jersey, aux État-Unis. Dans la vie, j’étais membre d'une équipe de football américain et j'étais plutôt douée. Sinon, je survis avec Charlie à une invasion mondiale de zombies et je le vis plutôt difficilement.

Couleur: #336600

Tag 336600 sur LE TEMPS D'UN RP Tumblr_n9e1dmJQfd1szxfwno8_250
> Sportive depuis des années, sa condition physique lui permit de braver les dangers et de vivre encore malgré l'invasion.
> Lors d'un jour de chance elle trouva une arme et ses balles dans un abri, lui permettant à ce jour de se protéger à l'aide d'un fusil de chasse, également armée d'un couteau de cuisine.
> Traumatisée, son caractère rebelle d'autre fois c'est en partie brisé, laissant place à une demoiselle plus introvertie et fragile. Malgré tout protectrice et courageuse, elle défendra ceux qu'elle aime quitte à y risquer sa peau. Plus prudente qu'à l'époque, mais toujours téméraire et faite d'un caractère de tigresse, elle reste une combattante et elle ne laissera rien ni personne s'en prendre aux siens. Bien décidée à ne plus reproduire ses pires erreurs.
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Magdalena Zalejska :copyright:komorebi.
Que certains aient préféré la mort à la survie n'a rien d'étonnant pour toi, cette idée t'était venue plusieurs fois en tête et ça devait être aussi le cas de tous les survivants ou au moins de la majorité. C'est la solution de facilité, une balle ou une corde et c'est fini, plus de peur, plus besoin de courir, plus besoin de trouver de quoi manger ou de quoi boire. Il n'y a rien de plus épuisant que de continuer à vivre dans un monde comme celui-ci et lorsqu'on est seul, difficile de se trouver un pilier sur lequel s'appuyer et ainsi continuer. Quand tu errais seule tu avais plusieurs fois espérée tomber sur un groupe de rôdeurs suffisamment imposant pour que tu n'aies plus aucun moyen de te défendre, ou que le champignon dans lequel tu croquais soit vénéneux. Dans ton fusil il te restait une balle et tous les jours tu hésitais à retourner le canon contre toi. Plusieurs fois tu avais essayée, mais à chaque fois quelque chose t'en empêchait, car au fond de tout ton désespoir il te restait encore un soupçon d'envie de vivre. Alors tu te traînais, couverte de sueur et de saleté, les cheveux te tombant devant les yeux et tes pieds qui glissaient au sol, comme si tu avançais encore et encore malgré toi.

Et puis, le jour où tu pensais que finalement ton chemin s'arrêterait, écroulée au sol, à bout de tout et vidée de toute ressource, tu vis une silhouette t'approcher. Ta vision floue t'avait laissée croire à un zombie, alors tu t'étais débattue avec les toutes dernières forces qu'il te restait jusqu'à ce qu'une voix vienne te rassurer. Alors tu t'étais laissée faire, tu avais senti ses bras qui te portaient vers un coin plus sûr, son eau qui coulait dans ta gorge, sa nourriture qu'elle glissait entre tes lèvres gercées. Elle avait prit soin de toi tel un ange gardien sans même savoir qui tu étais, sans même savoir si suite à son aide tu lui serais une alliée fidèle et loyale et jamais tu n'oublieras cette générosité peut-être désintéressée. Charlie t'avait sauvée et tu lui devais la vie. Elle a fait disparaître en toi toute envie d'en finir aussi facilement et t'a aidée à retrouver ton esprit combatif. Ensemble vous irez aussi loin que possible, ensemble vous survivrez.

Tu t'en voulais à cet instant de te montrer faible pour la seconde fois, tu estimais qu'elle avait déjà bien assez à s'en faire pour que tu n'ai pas à en rajouter. Cependant tu n'avais pas pu t'empêcher d'apprécier l'étreinte qu'elle t'offrait, ce n'était pas souvent que vous vous rapprochiez ainsi et les rares fois où cela arrivait tu appréciais grandement, au point de vouloir que cela dure plus longtemps. Peut-être parce que c'était justement rare, parce que les gestes d'affections sont toujours naturellement agréables, ou peut-être parce que ça venait de Charlie ? Tu ne le savais pas. Ou en tout cas pas encore. Et tu ne te posais pas la question, déjà occupée comme tu l'étais à essayer de reprendre sur toi en écoutant ses mots.

Continuer pour tous ceux qui ne sont plus là... Oui, pour Noah. Et peut-être pour ta mère ? Malgré toute la haine que vous aviez pu ressentir l'une pour l'autre, malgré tout ce qui t'agaçait en elle, elle arrivait pourtant à te manquer. Elle aussi, tu donnerais beaucoup pour la revoir. Mais aussi ton meilleur ami... Qu'un jour peut-être tu retrouverais. Lui, tu ne l'as jamais vu mourir.

Tu te tournes vers elle, ajoutant. « Et pour toi... » Tu voulais être honnête, sans pour autant devenir un fardeau. Tu avais simplement envie de lui faire comprendre tout ce qu'elle représentait à tes yeux, sans encore trouver les mots et si tu les avais tu n'oserais même pas les dire. Pour toi qui est surtout habituée à provoquer les autres, faire des compliments était un vrai challenge.

Les caresses de ses pouces sur tes joues t'arrachaient un sourire que tu n'avais pas su retenir, tu aimais l'affection qui s'y faisait sentir. « J'ai allumée le réchaud et sortie quelques conserves des placards, ça sera pas très gastronomique mais ça nous remplira bien le ventre. » Tu aurais pu à cet instant là décider que c'était le bon moment pour lui expliquer les raisons de tes larmes. Mais aujourd'hui vous aviez trouvés une maison qui normalement vous promettait une nuit paisible et confortable. Alors il vous fallait en profiter entièrement sans quoi que ce soit qui puisse vous gâcher cette soirée. Les confidences viendraient plus tard. Tu te lèves alors en lui tendant la main, galante pour la première fois de ta vie certainement. « Si madame veut poursuivre la préparation du repas alors je vais me charger du reste. Madame ce soir, je vais faire de votre nuit un rêve. » Dans une courbette digne d'un prince Disney tu reculais avec un sourire, ton trait d'humour répondant au sien à présent que tu avais retrouvée un peu de ta bonne humeur. La laissant vaquer à ses occupations toi tu te chargeais de chercher dans les tiroirs quelques bougies qu'ensuite tu dispersais à plusieurs endroits, ainsi, vous auriez de quoi vous éclairer si l'électricité ou les ampoules venaient à vous lâcher. Puis tu fermes les volets et allume les lumières, la nuit tombait et il fallait mieux éviter que la luminosité qui se verrait à travers les fenêtres attirent les monstres. Ensuite, en retournant vers le coin à photo tu couchais celle avec le petit garçon pour t'épargner cette vue et tu t'accroupissais vers les vinyles que tu n'avais pas manquée de remarquer plus tôt. « Tu crois qu'il fonctionne encore le tourne disque ? En tout cas, ça me dirait bien de danser un peu... » Après en avoir fait défiler plusieurs tu sortais du lot un disque des Beatles, sûre de tout coup. En général, tout le monde appréciait au moins un de leur titre.

Tu présentais ta trouvaille à la belle rousse non loin de toi. « Les Beatles, t'en dis quoi ? C'est l'un des rares groupes que je connais dans tout ce qu'ils ont. Pourtant mon ipod me lâchait jamais à l'époque. » En effet, tu étais une véritable accro, comme tu le répétais toujours "tu ne pourrais pas vivre sans musique." Aujourd'hui tes priorités avaient évidemment bien changées. Dans le même temps tu ouvrais l'appareil qui vous servirait très prochainement, cherchant à comprendre comment fonctionnait l'allumage.
Tag 336600 sur LE TEMPS D'UN RP 3hez5h Sujet: Watch me walk like a zombie ft. Ash
Ash

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Rechercher dans: Survival/Apocalyptique   Tag 336600 sur LE TEMPS D'UN RP EmptySujet: Watch me walk like a zombie ft. Ash    Tag 336600 sur LE TEMPS D'UN RP EmptyDim 27 Juin - 8:40
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Stella Doyle
J'ai 24 ans et je vivais à Newark dans l’état du New Jersey, aux État-Unis. Dans la vie, j’étais membre d'une équipe de football américain et j'étais plutôt douée. Sinon, je survis avec Charlie à une invasion mondiale de zombies et je le vis plutôt difficilement.

Couleur: #336600

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> Sportive depuis des années, sa condition physique lui permit de braver les dangers et de vivre encore malgré l'invasion.
> Lors d'un jour de chance elle trouva une arme et ses balles dans un abri, lui permettant à ce jour de se protéger à l'aide d'un fusil de chasse, également armée d'un couteau de cuisine.
> Traumatisée, son caractère rebelle d'autre fois c'est en partie brisé, laissant place à une demoiselle plus introvertie et fragile. Malgré tout protectrice et courageuse, elle défendra ceux qu'elle aime quitte à y risquer sa peau. Plus prudente qu'à l'époque, mais toujours téméraire et faite d'un caractère de tigresse, elle reste une combattante et elle ne laissera rien ni personne s'en prendre aux siens. Bien décidée à ne plus reproduire ses pires erreurs.
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Magdalena Zalejska :copyright:komorebi.
Le rôle de gardienne sur tes épaules tu fis lentement le tour de la maison, avisant les alentours, au-dessus de toi, devant toi et même en dessous de toi. Tu t'étais déjà toi-même entraînée lorsque tu veillais sur ton frère, mais depuis, Charlie t'a appris à te perfectionner même si tu n'es pas encore aussi douée qu'elle. A l'époque tu critiquais à cœur joie les flics et même leur tenait tête, aujourd'hui tu as tout le respect du monde pour leur savoir faire, mais surtout pour celui de Charlie, pour Charlie tout simplement même. Apercevant une petite cabane dans le jardin tu t'en étais approchée prudemment par curiosité, voulant jeter un coup d'oeil au travers de l'une des fenêtres sans vitre, mais une odeur affreusement pestilentielle te repoussa aussitôt, te faisant reculer avec une grimace. Certaine qu'en ouvrant la porte tu y trouverais un cadavre tu te contentas de tapoter sur l'un des murs pour vérifier s'il bougeait encore, un silence total te répondant tu retournais vers la maison, ta congénère revenant vers toi quelques minutes après.

Tu y entrais alors en toute confiance, il n'y avait pas mieux que Charlie pour être en sécurité à tes yeux. « Y a une sorte de débarras au fond du jardin, je crois que quelqu'un ou quelque chose pourrit là-dedans, mais en tout cas ça bouge pas. » Posant tes affaires à ton tour tu observes un peu le salon avant d'aller profiter sans plus tarder de la douche chaude qui t'attendait, aussi ravie que ta coéquipière d'avoir trouvée cet endroit. Les soupirs de satisfaction n'ont pas manquée de t'échapper une fois sous cette eau tiède, couverte d'une épaisse mousse te débarrassant de ta crasse accumulée, c'est fou ce qu'on peut rapidement devenir crade quand l'hygiène n'est pas à notre portée. Les doigts noircis, la peau bronzée par la saleté, les grattements, les ongles des pieds qui deviennent trop longs, les douleurs aux dents, plein de détails désagréables dont ils ne tenaient pas compte dans les films et les séries d'après tes souvenirs. D'ailleurs, une bonne nouvelle ne venant jamais seule tu n'avais pas manquée de remarquer les brosses à dents restées sur l'évier ainsi qu'un tube de dentifrice, de quoi retrouver occasionnellement une haleine un peu fraîche.

Une fois toute nettoyée tu fis signe à Charlie en retournant dans le couloir. « A ton tour ! Et bonne nouvelle, on a même de quoi se laver les dents ! Je pensais pas qu'un jour j'serais aussi heureuse de revoir une brosse à dents. » En partant vers une chambre tu ajoutes. « On a de la chance que personne ne les aient embarquée, mais faut avouer que c'est pas le premier accessoire de survie qui nous vienne en tête quand on doit fuir. » Tu souris en allant ouvrir un placard, espérant trouver une ou deux fringues à ta taille, celles que tu portes sentant elles aussi la mort. Dans la première chambre : Échec, si ce n'est la longue robe blanche que tu aperçois sans pouvoir t'empêcher de dire, sur un ton taquin : « J'ai trouvée ta robe pour le mariage ! ». Dans la seconde chambre, plus de chance, un jean et une chemise rouge à carreau allait faire office de nouvelle tenue, ça ne te tiendrait pas très chaud sous des températures plus froides mais pour le moment, ça ferait l'affaire. Rapidement enfilées tu pars ensuit vers la cuisine dans l'espoir d'y trouver de quoi vous faire un petit repas pour ce soir, un minimum consistant. La nourriture, autre point indispensable qui vous a manqué plusieurs fois, en plus de tous vos sprints vous étiez sûres de ne pas prendre un gramme, il te semblait même que tu avais déjà maigri.

Dans les placards il n'y avait pas de quoi nourrir tout un régiment, mais de quoi vous satisfaire toi et Charlie pour au moins un ou deux jours. Pour ce soir ça serait haricots et corned beef, en conserve bien sûr. Si de base tu détestais ça, aujourd'hui tu ne fais plus la difficile, tu ne pourrais plus te le permettre. Sortant votre réchaud tu commençais à préparer votre dîner et c'est là que tu les remarquas, les photos. Une en particulier. Celle d'un jeune garçon. Plus tu la fixais, plus ton imagination lui donnait des traits similaires aux Siens. L'image de ton petit frère te refaisait alors face, le sourire sur la photo laissant place à une grimace de douleur et à de la terreur dans le regard. Tu revois son visage au dernier instant de sa vie et tu t'écroules à nouveau dans les larmes. Depuis que Charlie t'avait trouvée tu n'avais plus pleurée, mais ton deuil n'avait pas encore pris fin...
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