La science-fiction a fini par rejoindre la réalité. En l’an 2321, un virus s’est rependu sur Terre tel une trainée de poudre, transformant les infectés en des espèces de zombies assoiffés de sang et friands de chair fraiche. Il suffit d’un rien pour être infecté : une goutte de sang, de la salive, une morsure ou une griffure, bref, tout contacte moléculaire avec un zombie.
Trois ans ont passés depuis le début de l’épidémie et aucun pays n’a été épargnés. Certains sont même rasés de la carte, considérés désormais comme des territoires zombies.
Dans ce chaos, des zones dites “sécurisées” ont vu le jour afin d’accueillir les quelques rescapés. L’une d’elle abrite un laboratoire à haute sécurité dans lequel des médecins travaillent jour et nuit à la recherche d’un remède contre Le Fléau.
Peter Long est l’un d’eux. Son rôle est de tester des patients infectés mais n’ayant pas développé les symptômes afin de comprendre pourquoi ils ont résisté au virus. Le problème, c’est qu’avec le temps, les tests ne donnant aucuns résultats, ils sont devenus de plus en plus violents et de moins en moins humains. Les patients sont devenus des sujets, des prisonniers soumis au bon vouloir de la médecine sous prétexte de sauver ce qu’il reste de l’humanité.
Dans ce contexte, c’est à se demander qui des zombies ou des membres du laboratoire sont les pires monstres...
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Lexis
Mer 7 Aoû - 22:56
Peter Long
Agé de 39 ans, Peter vit dans les locaux du laboratoire SafeLife, situé dans ce qui reste de Paris, depuis un an maintenant. Médecin et chimiste, il a perdu sa famille à cause du Fléau voilà un peu plus de deux ans. Célibataire depuis, il semble que son humanité soit morte avec sa femme et ses deux filles... Peter à rejoins le labo dans l’espoir de trouver un remède qui pourra éviter à d’autre de vivre ce qu’il a vécu. Le Fléau lui a enlevé sa famille, sa raison de vivre. Depuis ce jour, il est prêt à tout pour parvenir à éradiquer la maladie, peu importe le prix à payer.
Froid, méticuleux, Peter est l’un des médecins les plus redouter du labo, mais aussi l’un des plus efficace.
Profondément affecté par la perte de sa famille, l’homme s’est muré derrière un bouclier d’indifférence apparemment impénétrable.
Mais c’est sans compter sur le nouvel arrivage de sujets tests...
Chanson thème de Peter
Aujourd’hui, Peter s’est levé de bonne heure, trop impatient que pour réussir à dormir. En effet, ils attendent un arrivage de nouveaux sujets fraichement “embauchés”, et il espère trouver la perle rare dans ce nouveau lot.
“Embauché”... Un terme mensonger parmi tant d’autre mensonges en ce lieu ressemblant depuis longtemps plus à une prison expérimentale qu’à un laboratoire... Mais l’homme n’en a cure. Pour sa part, il ne parle pas de “capture” plus par habitude que par réel soucis des conventions... Et puis ce qui l’intéresse, au final, c’est d’avoir des sujets qui pourraient permettre d’enfin faire avancer la recherche sur ce foutu virus qui gagne chaque jour un peu plus de terrain. La façon dont ils arrivent au labo lui importe peu...
Dissimulant sa nervosité derrière son masque d’impassibilité, le médecin attend dans le garage que le bus blindé arrive. Ce véhicule était autrefois utilisé pour le transport des prisonniers, ce qui n’aide pas à continuer de croire que les sujets sont là de leur plein gré...
Lorsqu’il arrive enfin, Peter patiente à distance avec deux de ses collègues : une jeune femme aux cheveux bruns coupé court et un homme d’une cinquantaine d’années à l’air avenant.
Le bus est à peine immobilisé que des soldats ouvre ses portes arrière et s’engouffre à l’intérieur pour détacher les sujets. Ceux-ci ont la bouche recouverte d’une sorte de masque en métal et les mains étroitement liées dans des menottes maintenant leurs poings fermés et attache à leur corps. Ce matériel permet d’éviter toutes morsures ou griffures jusqu’à ce que les sujets soient sécurisés.
Sept sujets font face aux trois médecins. Deux hommes, trois femmes, une jeune adolescente et un garçon qui ne doit pas avoir plus de dix ans. Ce dernier pleure sans retenue. Le vieux médecin s’approche alors d’un pas et va lui adresser quelques mots dans le but de le rassurer. Peter, lui, ne bouge pas. Il observe chaque sujet avec attention puis désigne l’une des femmes, une blonde au regard perçant.
"Je m'occupe d’elle et de l’adolescente. Prévenez-moi quand leur contagion aura été testée."
Sur ces mots, il tourne les talons et sort du garage sans un mot de plus. Sept, c’est un bon lot, mais il ne se concentrera que sur les deux désignées dans un premier temps. C’est ainsi qu’il fonctionne, cela lui évite de se disperser. Ses collègues s’occuperont très bien des autres...
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Yama Neko
Jeu 8 Aoû - 14:05
Anna Evans
Agée de 36 ans, Anna vivait en communauté en Bretagne. Elle était chasseuse et s’en sortait bien. Anna est Celibataire Depuis des années maintenant et ne le vis pas trop mal, ayant Accepté l’idée. Anna était de ces personnes solaires et lumineuses avant que la catastrophe ne se produise et qu’un groupe armé lui arrache l’homme de sa vie. C’était il y a quelques années maintenant et bien qu’elle ait appris à vivre avec, cette tragédie semble lui avoir ôté presque toute sa joie de vivre. Depuis elle à rejoint un camp de réfugiés dans la forêt et y restera quelques années comme chasseuse expérimentée, ce qui n’empêche malheureusement pas ses compagnons de la vendre dès qu’ils eurent connaissance de son immunité, lui faisant un peu plus perdre foi en l’humanité.
Anna émerge difficilement, ayant tout juste réussi à somnoler dans ce bus qui semble la mener droit vers les enfers. Cela fait désormais plusieurs heures qu’elle attend, attachée et masquée, tout comme un chien d’attaque que l’on aurait muselé, elle patiente, lançant de temps en temps un regard rassurant au jeune garçon qui était assis, sanglotant, quelques sièges plus loin.
Autour d’elle, six autres personnes, dont l’enfant, semblent attendre leur sort, tout aussi nerveux qu’elle. La jeune femme regarde alors par la fenêtre et vois apparaitre un vaste complexe au loin, signe que le voyage touche à sa fin.
Son stresse monte alors en flèche. En effet, depuis que l’apocalypse avait eu lieu, l’humanité semblait avoir renoué avec ses plus bas instincts et ces « instituts de recherche » étaient particulièrement réputés pour leur cruauté et leurs pratiques deshumanisantes.
Anna repensa à l’ignoble trahison qui l’avait conduite ici. Au clan de survivants dont elle faisait partie et qui n’avait pourtant pas hésité à la vendre contre des réserves d’eau et de vivres. Car bien qu’ils aient tenté de faire passer ce geste pour une bonne action, pour « aider l’humanité » Anna savait qu’ils avaient surtout peur de se retrouver avec une immunisée, dont la contagiosité n’était pourtant pas établie.
Tout ça à cause d’une simple griffure… Marmonne t’elle intérieurement.
Le camion commence alors à ralentir, la sortant de ses pensées.
Deux soldats entrent alors dans le bus, et commencent à détacher chaque individu de sa place, avant de les inciter à sortir vigoureusement. Anna suit le mouvement, comme résignée.
Les gardes les placent ensuite en ligne, côte à côte, et elle commence alors à détailler chacun des individus présents.
Un des médecins, un homme d’une cinquantaine d’années aux cheveux grisonnants, semble particulièrement doux, voir sympathique lorsqu’elle le voit s’approcher du petit garçon pour le rassurer. A ce moment précis une étincelle d’espoir renait légèrement en elle. Et si tout n’était pas perdu ?
Un peu plus assurée elle tourne la tête vers le médecin aux cheveux noirs à coté et croise son regard. Deux yeux froids comme le givre, avec une petite lueur indéfinissable dans les pupilles qui lui glace la colonne vertébrale. En effet, contrairement à son homologue masculin celui-ci ne parait ni avenant ni sympathique mais plutôt renfermé et dur.
"Je m'occupe d’elle et de l’adolescente. Prévenez-moi quand leur contagion aura été testée." Dit-il alors sans quitter Anna des yeux, avant de faire demi-tour et partir.
Un peu sonnée elle n’écoute pas les autres médecins se répartir leurs sujets, et reprends ses esprits lorsqu’on la bouscule pour qu’elle se mette en marche à la suite des autres afin d’entrer dans le bâtiment.
Les gardes en tête, le petit groupe se met à arpenter les vastes couloirs de l’institut avant d’être placés dans une petite pièce sans fenêtres dont on les fait sortir à tour de rôle. Le garde la conduit alors dans un bureau ou se trouvent deux personnes, une femme visiblement médecin ou infirmier, à en croire sa blouse immaculée, tandis qu’un jeune homme semble pianoter sur un ordinateur à côté.
- « Installez-vous… » Dit machinalement La femme dans la quarantaine, dont les traits tirés dénotent une grande fatigue.
« Nom, prénom, âge, ainsi que la façon dont vous avez découvert votre immunité. » Elle parlait d’une voix monocorde, presque sans vie.
- « Evans, Anna, 36 ans. » Répond celle-ci, la voix légèrement éraillée.« C’était une mauvaise rencontre en forêt lors d’une chasse. J’ai vu le mort trop tard et je me suis faite griffer. C’était… » Anna lève les yeux au ciel et réfléchit. « Il y a trois semaines à peu près. »
- « Bien, nous allons procéder au test maintenant », dis le médecin en lançant un regard vers son collègue suivit d’un hochement de tête.
Le jeune homme se dirige alors vers un meuble d’où il sortit une espèce de pistolet muni d’une épaisse seringue en son bout. Anna lui lance alors un regard plein d’effroi, ce à quoi le médecin ricane.
- « Oui, ça va piquer un peu… »
Anna ferme fort les yeux et se met à bien respirer en sentant l’homme se rapprocher, ce qui malheureusement n’atténue en rien la douleur fulgurante de l’aiguille qui s’enfonce dans sa chair., lui arrachant un cri.
Un petit bip se fait entendre alors.
-« Immunisée et non-contagieuse. » Dit alors l’homme, retirant la seringue, mettant fin à son affliction avant de ranger de pistolet et de revenir s’assoir à son poste, le cliquetis des touches se faisant de nouveau entendre.
"Bienvenue sujet… Il regarde son écran, sujet 142."
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Lexis
Jeu 8 Aoû - 15:43
Peter Long
Agé de 39 ans, Peter vit dans les locaux du laboratoire SafeLife, situé dans ce qui reste de Paris, depuis un an maintenant. Médecin et chimiste, il a perdu sa famille à cause du Fléau voilà un peu plus de deux ans. Célibataire depuis, il semble que son humanité soit morte avec sa femme et ses deux filles... Peter à rejoins le labo dans l’espoir de trouver un remède qui pourra éviter à d’autre de vivre ce qu’il a vécu. Le Fléau lui a enlevé sa famille, sa raison de vivre. Depuis ce jour, il est prêt à tout pour parvenir à éradiquer la maladie, peu importe le prix à payer.
Froid, méticuleux, Peter est l’un des médecins les plus redouter du labo, mais aussi l’un des plus efficace.
Profondément affecté par la perte de sa famille, l’homme s’est muré derrière un bouclier d’indifférence apparemment impénétrable.
Mais c’est sans compter sur le nouvel arrivage de sujets tests...
Chanson thème de Peter
Le test d’immunité et de contagion à bien évolué avec le temps. Les premiers tests de contagion ont dû être effectués sur des sujets sains, généralement des gens ayant commis un crime aux yeux des nouvelles lois régissant la ville et le laboratoire. Les zones sécurisées ont en effet dû revoir leurs règlements afin d’éviter tout débordements, pénuries, etc. Et ceux tout comme avant, ceux qui ne respectent pas les règles sont punis.
Heureusement, une technique moins barbare a rapidement été mise au point, évitant ainsi de perdre un peu plus de gens. Désormais, une simple piqure suffit. Pas des moins douloureuse pour le sujet, mais elle évite au moins les pertes inutiles...
Moins d’une heure après l’arrivée du convoi, on vient chercher Peter dans son bureau. La femme est non contagieuse. C’est une autre affaire pour l’adolescente. Parfait, le fait d’avoir deux sujets aussi différents est une aubaine. Cela lui permettra de mener ses recherches en parallèle et d’ainsi pouvoir les comparer en directe.
Un petit sourire traverse brièvement son visage alors qu’il consulte vite fait les dossiers tout en se dirigeant vers la première chambre, celle de la femme. Celle-ci a été libérée de l’attirail de sécurité, a pu prendre une douche et subis un rapide examen médicale de base. N’étant pas contagieuse, elle est plus libre de ses mouvements.
Peter rentre dans la chambre sans frapper, termine de lire une phrase du rapport puis relève les yeux vers la blonde.
"Sujet 142, Anna Evans... Je suis le docteur Long. C’est moi qui vous ferais passer la plupart des tests destinés à comprendre votre immunité. Je vous informe également que cette partie du complexe vous est accessible sans restriction en dehors des examens. Pour votre sécurité, votre chambre sera par contre verrouillée pour la nuit. Avez-vous des questions ?"
Les non-contagieux, ou les porteurs comme ils sont appelés ici, ont plus de “liberté” que les contagieux (les infectieux), quand ils ne sont pas en examens.
Peter a parlé d’une voix neutre. Il tend alors une feuille à la jeune femme sur laquelle est imprimer une grille horaire.
"Vous avez ici les horaires des repas et des tests de base. Quelqu’un viendra vous chercher pour vous amener à chacun d’eux. N’enlever jamais le bracelet qui vous a été donné. Vous ne voudriez pas savoir ce qui est réservé aux sujets récalcitrants, n’est-ce pas ?"
Le bracelet contient une puce électronique. Il n’est pas enlevable facilement, mais certains ont déjà tenté de s’en défaire... perdant ainsi le peu de privilèges qui leur est accordés...
Le labo est un peu comme une prison : sois sage et coopératif et tu seras lotit au mieux. Rebelle toi et tu seras puni.
Le médecin relève les yeux sur la blonde après une dernière consultation du dossier. Il a hâte de pouvoir commencer...
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Yama Neko
Jeu 8 Aoû - 17:21
Anna Evans
Agée de 36 ans, Anna vivait en communauté en Bretagne. Elle était chasseuse et s’en sortait bien. Anna est Celibataire Depuis des années maintenant et ne le vis pas trop mal, ayant Accepté l’idée. Anna était de ces personnes solaires et lumineuses avant que la catastrophe ne se produise et qu’un groupe armé lui arrache l’homme de sa vie. C’était il y a quelques années maintenant et bien qu’elle ait appris à vivre avec, cette tragédie semble lui avoir ôté presque toute sa joie de vivre. Depuis elle à rejoint un camp de réfugiés dans la forêt et y restera quelques années comme chasseuse expérimentée, ce qui n’empêche malheureusement pas ses compagnons de la vendre dès qu’ils eurent connaissance de son immunité, lui faisant un peu plus perdre foi en l’humanité.
Suite au test d’immunité, Anna peut enfin reprendre une respiration normale quand un homme s’approche d’elle pour lui enlever ses menottes et son horrible masque. Elle hoche la tête en signe de remerciement et frotte ses poignets et sa nuque douloureuse avant d’être envoyée dans une petite pièce ou on la fait se déshabiller sans ménagement afin de procéder à un court examen médical et psychologique. Le gardien ne fait même pas semblant de regarder ailleurs pour préserver sa pudeur lorsqu’il lui indique la pièce attenante comportant une douche.
Malgré l’inconfort de la situation, la jeune femme ne peut s’empêcher d’apprécier la sensation de l’eau fraiche coulant sur son corps et l’odeur du savon, sa dernière vraie douche remontant à des lustres, n’ayant pas d’approvisionnement en eau dans sa précédente communauté. Une tenue propre l’attend au sortir, avec des sous-vêtements qui grattent un peu ainsi qu’une tenue grise bleue composée d’un pantalon fin et d’une chemise toute aussi fine.
Pour finir, celle-ci atterrit dans une petite chambre qui, de tout évidence serais la sienne désormais. Basique et blanche, de type hôpital, la pièce modeste est pourvue de tout ce qu’il faut. Un bureau, un lit, des toilettes. Ses yeux continuent de parcourir la pièce et s’arrêtent sur une petite camera au plafond, fixée sur elle, lui faisant froncer les sourcils. Ce n’est pas vraiment comme si j’avais le choix de toute façon… maugréa t’elle avant de s’assoir sur son lit, quand soudain, quelqu’un entre dans la pièce brusquement, la faisant sursauter. Il s’agit du médecin à l’air froid qu’elle a rencontré un peu plus tôt en arrivant.
"Sujet 142, Anna Evans... Je suis le docteur Long. C’est moi qui vous ferais passer la plupart des tests destinés à comprendre votre immunité. Je vous informe également que cette partie du complexe vous est accessible sans restriction en dehors des examens. Pour votre sécurité, votre chambre sera par contre verrouillée pour la nuit. Avez-vous des questions ?"
« En effet… dis t’elle en attrapant le papier qu’il lui tend. Vous comptez rentrer sans frapper à chaque fois ? »
Puis, jetant un œil à la feuille qu’il lui remet et la survolant elle poursuivit. "Oui, oui… J’ai bien compris ne vous inquiétez pas… Cependant j’aimerais bien savoir ce que vous entendez par sujets récalcitrants, nous sommes bien là pour le bien commun non ? Quels genres de test faites-vous dans cet institut ? " Anna avait terminé sa phrase en le regardant droit dans les yeux, appréhendant la réponse. Quand soudain, un hurlement paraissant venir du bâtiment sembla alors apporter un élément de réponse à sa question…
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Lexis
Ven 9 Aoû - 12:58
Peter Long
Agé de 39 ans, Peter vit dans les locaux du laboratoire SafeLife, situé dans ce qui reste de Paris, depuis un an maintenant. Médecin et chimiste, il a perdu sa famille à cause du Fléau voilà un peu plus de deux ans. Célibataire depuis, il semble que son humanité soit morte avec sa femme et ses deux filles... Peter à rejoins le labo dans l’espoir de trouver un remède qui pourra éviter à d’autre de vivre ce qu’il a vécu. Le Fléau lui a enlevé sa famille, sa raison de vivre. Depuis ce jour, il est prêt à tout pour parvenir à éradiquer la maladie, peu importe le prix à payer.
Froid, méticuleux, Peter est l’un des médecins les plus redouter du labo, mais aussi l’un des plus efficace.
Profondément affecté par la perte de sa famille, l’homme s’est muré derrière un bouclier d’indifférence apparemment impénétrable.
Mais c’est sans compter sur le nouvel arrivage de sujets tests...
Chanson thème de Peter
Le sujet affirme avoir une question, qui n’a rien à voir avec sa situation...
Peter la fixe un instant. Une femme de caractère, voilà qui risque de compliquer un peu les choses...
"Le temps est précieux, ici. Il n’y a pas de place pour ce genre de futilités. Il faudra vous y faire."
La politesse de base tel que le respect de l’intimité peut faire perdre un temps précieux dans la recherche. Le sujet doit être accessible n’importe où, n’importe quand. Chaque seconde compte contre le Fléau.
La femme regarde alors l'horaire puis pose une nouvelle question. Bien, au moins elle sait pourquoi elle est là.
Le médecin s’apprête à répondre, mais un cri retentit alors, laissant une seconde de blanc. Peter n’a pas cillé. Il reprend comme si de rien n’était.
"Vous le découvrirez bien assez tôt. Si vous n’avez pas d’autres questions, nous allons commencer par une séance de psychologie. Veuillez me suivre.”
En fait, il se fiche bien de savoir si oui ou non elle n’avait bien plus de questions à poser. Sans attendre, il sort de la chambre et longe le couloir jusqu’à un ascenseur. Il verra l’adolescente plus tard, lorsqu’elle sera sécurisée.
Peter emmène le sujet deux étages plus bas. Ces locaux étant souterrains, ils sont éclairés par une lumière crue émanant de vieux néons. La technologie actuelle permet désormais de reproduire la lumière naturelle dans des endroits clos, mais le labo a choisi le vieil éclairage d’un autre temps comme une partie des tests. Les sujets sont observés en permanence, et rien n’ai laissé au hasard dans leur environnement.
Peter et Anna sont rejoint par une femme, elle aussi en blouse blanche, qui se présente comme étant psychiatre. Ils s’installent tous les trois dans une sorte de petit salon, les deux médecins ayant de quoi noter. Les tests commencent toujours doucement.
- Bien. Anna, c’est bien ça ? Parle-moi un peu de toi. Ton histoire, d’où tu viens, ta famille... n’importe quoi qui te vienne en tête. Tout à son importance, même ce qui te semble idiot.
Le docteur Mendez, une jeune femme douce tant dans sa voix que dans sa façon d’être, est l’une des meilleures psychiatres du complexe. Peter ne travaille qu’avec elle. Mettant les sujets à l’aise, elle obtient toujours le meilleur d’eux.
L’homme observe les deux femmes, prêt à écrire. Son visage ne trahis aucune émotion.
"Voyons voir de quoi est fait le sujet 142 ?”
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Yama Neko
Ven 9 Aoû - 22:55
Anna Evans
Agée de 36 ans, Anna vivait en communauté en Bretagne. Elle était chasseuse et s’en sortait bien. Anna est Celibataire Depuis des années maintenant et ne le vis pas trop mal, ayant Accepté l’idée. Anna était de ces personnes solaires et lumineuses avant que la catastrophe ne se produise et qu’un groupe armé lui arrache l’homme de sa vie. C’était il y a quelques années maintenant et bien qu’elle ait appris à vivre avec, cette tragédie semble lui avoir ôté presque toute sa joie de vivre. Depuis elle à rejoint un camp de réfugiés dans la forêt et y restera quelques années comme chasseuse expérimentée, ce qui n’empêche malheureusement pas ses compagnons de la vendre dès qu’ils eurent connaissance de son immunité, lui faisant un peu plus perdre foi en l’humanité.
"Le temps est précieux, ici. Il n’y a pas de place pour ce genre de futilités. Il faudra vous y faire."
Anna reste scotchée l’espace d’un instant par l’incivilité du médecin. Ne sachant quoi répondre elle attrape vivement la feuille qu’il lui tend et la survole machinalement.
Un cri retenti alors au loin, faisant sursauter la jeune femme, qui fut plus surprise encore de voir que l’homme n’y preta pas la moindre attention.
"Vous le découvrirez bien assez tôt. Si vous n’avez pas d’autres questions, nous allons commencer par une séance de psychologie. Veuillez me suivre.”
L’homme est clair, il n’y a pas de réponse admise à ses propos qui sonnent presque comme un ordre, surtout qu’il se met immédiatement en route et sors de la chambre. Anna inspire profondément, n’étant pas le genre de personne à se laisser diriger facilement, et encore moins par un individu aussi arrogant et méprisant.
Mais ne souhaitant pas commencer à chercher les ennuis c’est sans un mot qu’elle le suit jusqu’à un ascenseur qui semble les mener un peu plus bas.
L’ambiance dans ces locaux est relativement désagréable. Une lumière criarde émane du plafond et tout est vide, dénué de toute décoration ou de superflu. Ça s’annonce sympa.
Ils finissent par arriver dans un petit salon « accueillant » avec quelques fauteuils d’un gris terne et délavé, ainsi qu’une petite table avec une plante en pot, sensée rassurer les patients certainement. Une femme, encore un médecin visiblement, s’avance vers nous.
- Docteur Mendez, je suis psychiatre, enchantée ! Dit la femme, un sourire chaleureux aux lèvres. Installons-nous.
Elle semblait gentille, et douce, tout le contraire de son collègue aux yeux froids. Anna lui sourit et hoche la tête.
- Bien. Anna, c’est bien ça ? Parle-moi un peu de toi. Ton histoire, d’où tu viens, ta famille... n’importe quoi qui te vienne en tête. Tout à son importance, même ce qui te semble idiot.
La porteuse sourit en coin, réprimant l’envie furieuse de les envoyer balader. - Mon histoire vous la connaissez déjà, j’appartenais à une communauté ils m’ont vendue a votre institut et me voila dis t’elle en souriant amèrement. Le reste n’appartient qu’a moi… elle sembla se perdre un instant dans ses mots puis repris, De toute façon je ne vois pas en quoi tout cela peut aider à trouver un remède à l’infection…
- Détends toi Anna, nous ne sommes pas tes ennemis. Et si je te pose toutes ces questions c’est juste pour apprendre à te connaitre un petit peu. La doctoresse sourit et pose sa main sur le bras d’Anna, rassurante. A ce geste, la blonde se crispe, peu à l’aise avec les contacts physiques, tout particulièrement venant d’inconnus. Le docteur retire son bras rapidement et présente ses excuses.
- Vous inquiétez pas, c’est pas vous c’est moi, j’ai du mal avec les contacts… réponds la demoiselle avant de tourner la tête vers le docteur Long, le regard perçant. Et lui, il est toujours aussi joyeux ?
- Allez, un petit effort… Ajoute la psy, pour que l’on puisse s’aider mutuellement il va falloir participer un peu plus, nous œuvrons pour la même chose vous savez…
Anna remonta une jambe sur son fauteuil et pencha la tête sur le côté avant de soupirer.
- Ok… J’ai perdu mes parents tôt, j’avais une dizaine d’années, j’ai été élevée par mes grands parents et j’ai rencontré Damian, mon mari, en 2319 soit deux ans avant le cataclysme. Elle baisse le regard, son cœur envahi d’une profonde tristesse. Il…Il m’a été arraché quatre ans plus tard par un groupe armé venu nous piller…Anna secoue la tête, comme pour tenter de chasser ces souvenirs douloureux. Voila… termina t’elle en relevant la tête
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Dim 11 Aoû - 21:39
Peter Long
Agé de 39 ans, Peter vit dans les locaux du laboratoire SafeLife, situé dans ce qui reste de Paris, depuis un an maintenant. Médecin et chimiste, il a perdu sa famille à cause du Fléau voilà un peu plus de deux ans. Célibataire depuis, il semble que son humanité soit morte avec sa femme et ses deux filles... Peter à rejoins le labo dans l’espoir de trouver un remède qui pourra éviter à d’autre de vivre ce qu’il a vécu. Le Fléau lui a enlevé sa famille, sa raison de vivre. Depuis ce jour, il est prêt à tout pour parvenir à éradiquer la maladie, peu importe le prix à payer.
Froid, méticuleux, Peter est l’un des médecins les plus redouter du labo, mais aussi l’un des plus efficace.
Profondément affecté par la perte de sa famille, l’homme s’est muré derrière un bouclier d’indifférence apparemment impénétrable.
Mais c’est sans compter sur le nouvel arrivage de sujets tests...
Chanson thème de Peter
Le docteur Mendez commence tranquillement, mais le sujet est sur ses gardes. Lorsqu’elle questionne à nouveau le pourquoi de tout ça, Peter s’apprête à répliquer mais sa collègue le devance. Lorsque la blonde se crispe au contact de la psychologue, il inscrit quelques mots. Ils ne sont pas là que pour apprendre à la connaitre, non, mais bien pour l’analyser. Quel est son caractère, qu’a-t-elle vécu jusqu’ici et comment l’a-t-elle vécu ? Est-ce que quelque chose en elle a provoqué son immunité et, si oui, quoi ?
Tous les sujets sont questionnés de la sorte et toutes les notes sont régulièrement comparées afin de faire ressortir d’éventuels points communs.
Lorsque le docteur Mendez s’excuse, la jeune femme la rassure et Peter prend note de sa sollicitude. Lorsqu’il relève les yeux, elle le regarde en demandant cash s’il est toujours aussi joyeux. Il lui répond par un sourire en coin, dénué de toute joie, avant que la psy ne reprenne la parole pour recentrer le sujet. Celle-ci se referme un peu sur elle-même avant de finalement coopérer. Peter prend note de tous ses mots, mais il se fige un instant en écrivant la dernière phrase.
- Je suis désolée, Anna... C’est pour ça que nous sommes là, pour trouver enfin une solution au Fléau et pouvoir nous reconstruire...
L’homme baisse les yeux aux paroles de sa collègue. Se reconstruire... Pas sûr que ce soit encore possible pour beaucoup d’entre eux, que ce soit les sujets ou les médecins...
- Cela a dû beaucoup t’affecter... Ma question va te sembler bizarre mais... pourrais-tu me dire ce que tu as ressenti à ce moment-là ? Comment tu t’es sentie ?
Concrètement, que s’est-il passé dans sa tête ? Son cerveau ou son corps aurait-il ressentit quelque chose qui aurait produit une enzyme ou quoi que ce soit d’autre qui aurait déclenché son immunité ?
Peter relève les yeux sur le sujet, attentif. Il n’a pas prononcé un mot depuis qu’ils ont quitté la chambre, mais il observe énormément... Il ne sait pas pourquoi, mais il sent que le sujet 142 va être un sujet très intéressant...