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LE TEMPS D'UN RP

"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Jeu 9 Jan - 11:51

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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En cet instant, alors qu’Angie était blottie dans son dos, la vérité lui brûlait les lèvres. Il désirait tout lui avouer, justifier sa réaction vis-à-vis de sa grand-mère, et de cette soudaine distance qu’il avait eu besoin de prendre à l’issue. Mais Edward n’en fit rien, se contentant de simplement l’observer en détail, imprégnant son esprit de chaque détail de son visage, comme il se plaisait à le faire souvent. Pour seule réponse, il déposa ses lèvres tout contre les siennes et s’éclipsa de la chambre, laissant ainsi la pièce à disposition de sa moitié, tandis qu’il arpentait les marches pour rejoindre la vieille femme dans la cuisine. Avec Nonna, il parvenait à mettre des mots sur cette profonde crainte qui le consumait de l’intérieur depuis bien trop longtemps maintenant. Parfois, il se fustigeait intérieurement à la seule pensée que c’était Angie et qu’ils avaient traversé suffisamment d’épreuves ensemble pour que celle-ci n’en soit qu’une de plus à surmonter. Mais ses appréhensions le ramenait à la raison. Ce désir d’enfant risquait de chambouler à tout jamais leur existence à tous les deux… Et probablement de mettre un terme à cette si belle histoire qui se façonnait de jour en jour. La voix de la jeune femme le ramena au moment présent et sourit en la voyant arriver jusqu’à eux. Elle était si belle, si douce. Le dîner se déroula dans une ambiance plus légère et chaleureuse, parsemée de rires et de souvenirs d’antan. Quand ce fut l’heure pour sa moitié de prendre congés, Edward caressa sa main qui se posa sur son épaule et souffla « Je vais arriver ». Il échangea quelques mots avec Nonna, mais ne s’éternisa pas pour autant. Quand il rejoignit la jolie rousse dans leur lit, celle-ci dormait d’ores et déjà à poing fermés.

Quant au lendemain matin, ce fut une place vide qui l’accueillie à son réveil. Surpris par l’absence de la jeune femme à ses côtés, le politicien se redressa sur ses coudes et observa la pièce, les yeux mi-clos, encore empreint de sommeil. Il se frotta l’un d’eux du dos de la main et finit par prendre parole d’une voix ensommeillée « Angie ? ». Devant le silence de la résidence, le politicien s’extirpa des draps. Vêtu d’un costume, dont il avait troqué la chemise pour un t-shirt immaculé de blanc, il descendit les marches jusqu’à la cuisine. Nonna y dégustait son petit-déjeuner dans un calme presque apaisant, et brisé de temps à autre par le chant mélodieux des oiseaux qui virevoltaient dans le jardin avoisinant « Bonjour Gattino » « Nonna » et déposa un baiser sur sa joue ridée « Tu as bien dormi ? ». Il se contenta d’un simple acquiescement, tout en versant du café dans le fond de sa tasse « Tu as vu Angie ce matin ? » « Non. Je suppose qu’elle est partie se dégourdir les jambes ». Sans mot dire, il porta sa tasse de liquide brun à ses lèvres, se laissant surprendre par la chaleur de ce dernier. Il venait de se servir la seconde tasse lorsque la portée d’entrée de la vieille résidence en pierre s’ouvrit sur la jolie rousse. Ses lèvres s’étirèrent aussitôt d’un sourire, et constata les mets pour agrémenter le petit-déjeuner entre ses doigts fins. Sans attendre, il combla l’espace entre eux et déposa ses lèvres sur les siennes, soufflant un « Bonjour toi », et laissa ses prunelles azurées se portaient sur le sachet « Tu as trouvé de quoi nous substanter pour ce matin ? ». Il s’en saisit et disposa le tout dans une corbeille en osier, qu’il plaça ensuite au centre de la table. Il s’affaira ensuite à lui préparer une tasse de thé « Tiens La Mia Luce », et prit place à ses côtés autour de la table « Comment trouves-tu le village Angelica ? » demanda Nonna, délaissant lunettes et pages de mots croisés pour s’adresser à sa compagne.


Charly
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Charly
Jeu 9 Jan - 14:50

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Elle aurait pu laisser un mot. Mais lorsqu’elle avait quitté la maison, Angy était fixée sur son besoin de prendre l’air. Elle n’avait pas envisagé qu’Edward allait se faire du souci. La jeune femme avait besoin d’être seule, pour tenté d’évacuer l’angoisse grandissante qu’avait fait naitre la conversation qu’elle avait eu avec Nonna. Elle avait besoin de savoir. Même si elle avait tout de même hésité devant l’officine… Nonna avait sans doute vu quelque chose qu’elle voulait voir. Parce qu’elle désirait voir Edward devenir père… La jeune femme avait tout de même passé la porte de la boutique. Ça n’allait lui prendre que quelques minutes de faire ce test. Et elle serait fixée. Peut-être que ça serait un extrême soulagement. Ou bien une horrible déception… parce qu’elle en voulait de ce bébé imaginaire. Elle voulait devenir mère… mais il y avait aussi cette conversation qu’ils n’avaient pas encore eu avec Edward…

En revenant de la boulangerie, elle était toujours partagée sur ce qu’elle éprouvait. Une seule chose était certaine, elle devait faire ce test Peut importait le résultat. Elle avait la sensation que l’avenir de leur couple en dépendait. Mais cela allait devoir attendre un peu. Elle passa la porte de la maison et sourit à Edward. « -bonjour bonjour. » chantonna Angy qui n’avait pas envie d’assombrir leur séjour ici. Elle lui rendit son baiser, le sourire aux lèvres. « -j’ai bien cru que j’allais acheter toute l’étalage… » s’amusa la jeune femme. « -tu te souviens… j’avais acheté ça le jour où on a décidé que j’allais emménager avec toi… » l’idée leur avait paru absurde ce jour-là, et pourtant aujourd’hui, c’était sans doute la meilleure décision qu’ils avaient prise. « -tu as bien dormi ? » demanda la jeune femme alors qu’il lui préparait un thé. Elle le regarda faire, les yeux plein d’amour. Comme si elle devait profiter encore de chaque minute avec lui…

Ils gagnèrent le jardin et elle salua Nonna en prenant place à table. « -magnifique… j’ai eu un peu de mal à me faire comprendre à la boulangerie, mais la vendeuse à vite comprit que je voulais gouter à toutes ses spécialités… » elle souffla sur son thé, avant de prendre une pâtisserie et la porter à sa bouche avec envie. « -hum… j’adore l’Italie… je pourrais facilement m’habituer à vivre ici je pense. » ajouta la jeune femme. « -le village est tellement tranquille. » ça changeait tellement de New York. C’était paisible, exactement ce qu’il lui fallait.


Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Jeu 9 Jan - 15:13

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Ce n’étaient pas dans les habitudes d’Angie que de disparaître ainsi au petit matin, et plus encore sans raison. Ce fut la raison pour laquelle Edward interrogea Nonna sur les allées et venues de sa moitié. Cependant, elle n’avait pas davantage de réponse à lui apportée. Il prit alors son mal en patience, et ce fut avec un certain soulagement que le politicien accueillit la jolie rousse qui revenait de sa promenade matinale dans les rues du petit village italien. Un sourire étira aussitôt ses lèvres tandis qu’il les apposés tout contre les siennes pour la saluer « On se ravitaillera avant notre départ si tu le souhaites ». Ainsi, elle pourrait redécouvrir les saveurs du sud à leur retour à New York. Lorsqu’il déposa les différents mets dans une panière en osier, Edward tourna la tête en direction de la jolie rousse qui rappela à son bon souvenir le jour où elle avait ramené ces pâtisseries à ce qui allait devenir leur appartement pour les mois à venir. À cette époque-là, ils n’envisageaient pas un instant que cette colocation allait donné lieu à leur plus belle histoire d’amour. Il était un autre homme en ce temps. Il arbora alors un sourire en se remémorant ce jour et acquiesça « Je m’en souviens ». Ce moment semblait appartenir à autre temps, à une autre époque lointaine. Tout en continuant de s’affairer pour préparer le thé de la jolie rousse, il acquiesça « Oui. Et toi ? », sans oser demander dans l’immédiat les raisons qui l’avait poussé à quitter la résidence avant qu’il ne se réveille.

Une fois dans le jardin, tous attablés autour de la table en fer forgé de sa grand-mère, Nonna l’interrogea au sujet de cette petite ville italienne dans laquelle elle séjournait depuis tant d’années maintenant « Lorsque ça concerne la nourriture, nous parvenons toujours à nous faire comprendre » précisa sa grand-mère devant un Edward attentif à leur échange, et qui dégustait silencieusement les mets de son enfance. Sa main se porta lentement jusqu’à la cuisse de sa bien-aimée, tout en lui prêtant une oreille attentive « Rien ne nous empêche de partager notre temps entre ici et New York » finit-il par proposer avec son calme habituel. Edward comprenait mieux que quiconque le désir de tranquillité d’Angie. Leur vie n’avait eu de cesse d’être sans dessus-dessous ces dernières semaines, ne leur offrant que peu de répit. Se trouver ici-même, dans la quiétude qu’offrait ce lieu, ç’en était presque ressourçant pour eux deux. « Je ne peux que vous encourager en ce sens » renchérit Nonna, qui aspirait à voir son petit-fils plus souvent, et probablement, d’ici quelques mois, la descendance de ce dernier. Parce que la vieille femme continuait de croire que les fringales de la jeune femme résultait avant tout du fait que la vie s’éveillait peu à peu en elle. Le politicien émit un petit rire « Le contraire m’aurait surpris » et posa son regard sur Angie « Ça serait une idée, qu’en penses-tu ? » et précisa aussitôt « Rien ne presse, mais d’ici peu, notre emploi du temps nous le permettra et on sera libre de vivre où bon nous sembleras ». D’ici peu, il aurait remis sa démission à la mairie de New York et à son parti politique, se libérant ainsi de toutes les contraintes inhérentes à sa carrière. Ainsi, ils seraient libres également de vivre de la manière dont ils le désiraient.



Charly
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Charly
Jeu 9 Jan - 16:08

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Angy avait décidé de laisser ses inquiétudes au placard, au moins le temps du petit déjeuner. Ils étaient pour passer du temps avec Nonna. Alors elle voulait éviter d’assombrir l’ambiance et surtout garder son moral à la hausse. Elle serait fixée une fois le test réalisé. Pas avant. Alors pourquoi s’angoisser pour le moment. Même si elle avait peur de la réponse positive… « -pourquoi pas oui… même si je risque de prendre dix kilos… » souligna la jeune femme, avant d’évoquer un souvenir qui paraissait si lointain déjà. « -je crois bien que j’ai commencé à te séduire avec ses pâtisseries… » s’amusa la jolie rousse avant de le regarder faire son thé. « -j’étais épuisée. Un peu de mal avec le décalage horaire je pense… » répondit la jolie rousse. « -j’avais les yeux grands ouverts assez tôt ce matin… et tu dormais si bien que je n’ai pas voulu te réveiller. » elle savait d’avance qu’il avait certainement dû se poser des questions sur son absence injustifié.

Une fois dans le jardin, elle répondit à Nonna d’un ton enjoué. Oui, elle avait aimé se promener dans ces petites rues. Elle avait aimé la tranquillité du lieu, et sa beauté. Tout comme ses yeux s’étaient illuminés en voyant autant de gourmandise dans la boulangerie. Un joli rire répondit aux dires de Nonna. « -exactement, je suis parfaitement d’accord. » oui, il lui avait suffi de dire celui-ci et celui là en pointant du doigt ce qu’elle désirait acheter. « -j’aime beaucoup cette idée… » souffla Angy avec un sourire doux, appréciant la caresse de la main d’Edward sur sa cuisse. Elle sourit à Nonna qui n’était pas du tout contre l’idée. « -j’aimerais beaucoup… » souligna Angy pour répondre à Edward. « -comment ça ? » demanda Nonna soudainement intriguée par les dires de son petit-fils. « -je croyais que tu avais choisi la politique… » la veille femme fronça les sourcils, cherchant une réponse dans le visage d’Edward. Angy décida de se taire et de laisser Edward gérer cela avec elle. Ce n’était pas à elle d’expliquer les changements d’objectifs d’Eddy. C’était à lui de voir ce qu’il décidait de confier ou non à sa grand-mère. Angy se contenta de boire son thé, en résistant à la tentation de prendre une nouvelle pâtisserie. Elle ne souhaitait pas alimenter les idées de Nonna.
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Manhattan Redlish
Jeu 9 Jan - 16:57

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Les pâtisseries italiennes, qu’il réunissait actuellement dans un panier en osier, semblaient avoir trouvé grâce aux yeux de sa moitié à qui il proposa de procéder à quelques emplettes avant d’embarquer dans l’avion qui les ramènerait, d’ici quelques jours, à New York. La réponse de la jolie rousse attira son attention et ne put que sourire à sa mise en garde insignifiante « Ça m’en fera que plus à aimer » rétorqua-t-il avec douceur, tout en la caressant de ses prunelles azurées. À maintes reprises, ces dernières semaines, le politicien s’était plu à l’imaginer avec des rondeurs, mais celles-ci n’auraient pas résulté d’un excédant de pâtisserie italienne, mais d’un petit être grandissant en elle. Il avait conscience qu’à songer ainsi à son avenir avec Angie, il ne se causait que davantage de mal que de bien… Et pourtant, il ne pouvait s’en empêcher. Elle serait si belle avec la vie en elle… Un petit rire finit par résonner dans l’intimité de la cuisine, tandis qu’il porta de nouveau son regard azuréen sur Angie « Si c’est l’heure des confidences, alors je dois t’avouer que cela à produit un certain effet sur ma personne », mais à l’époque, il avait été loin d’être séduit et elle en avait tout conscience que lui. Il ponctua ces quelques mots d’un clin d’œil et d’un plus large sourire, avant qu’elle ne l’interroge sur sa nuit. Exténué par leur nuit de plaisir et le vol inopiné, Edward avait rapidement sombré dans les bras de Morphée. Il en était de même pour la jolie rousse qui lui confia notamment les raisons qui l’avait poussé à ne pas le réveiller au petit matin « Tu sais que tu peux me réveiller tous les matins La Mia Luce ». Le quadragénaire affectionnait ces matins à ses côtés, bien trop rares à son goût. Il aimait sentir son corps chaud tout contre le sien, ses lèvres sur sa peau et sa voix encore empreint de sommeil, qui lui demandait s’il avait passé une nuit agréable dans ses bras.

Une fois installé dans le jardin qui bordait la maison en pierre de Nonna, ils se ruèrent chacun à leur rythme sur les pâtisseries ramenées par Angie qui était parvenue à se faire comprendre malgré la barrière de la langue, et tandis que sa grand-mère répondait par un sourire tout en engouffrant un morceau dans sa bouche, Edward observait silencieusement l’échange complice entre les deux femmes. En parcourant les rues du village, la jolie rousse s’était laissée doucement éprendre du lieu et du calme qui y régnait, à l’instar du politicien qui proposa de partager leur temps entre New York et l’Italie. Sa main sur sa cuisse, il sourit en constatant que son idée séduisait cette dernière « Moi aussi » murmura-t-il tel un secret, sans se départir du sourire qu’elle seule savait faire germer sur ses lèvres. D’autant plus que d’ici quelques semaines, il retrouverait une liberté dont il ignorait encore tout, mais qu’il lui tardait de découvrir aux côtés de la jolie rousse. Une révélation qui fit aussitôt réagir Nonna dont la curiosité était un trait prépondérant de sa personnalité. Sans mot dire, Edward porta son café à ses lèvres et osa un regard en direction de sa moitié, devenue soudainement bien silencieuse face aux interrogations de la vieille femme. Tout en reposant lentement sa tasse sur son socle, il rétorqua « Je démissionne Nonna. Ça sera officialisé d’ici peu » « Pourquoi ce changement soudain ? Je suppose que tes parents n’ont pas été avare en critiques » déclara-t-elle, intriguée par ce soudain retournement de situation « Ils ne sont pas encore au courant ». Et renchérit tout en délaissant la cuisse d’Angie pour se saisir de sa main, entrelaçant ses doigts aux siens « Grâce à Angie… Elle m’a fait comprendre qu’il y avait une vie différente qui m’attendait, et dans laquelle je pouvais être heureux ». Il posa son regard sur elle, l’enveloppant tendrement de ses prunelles azurées « Je vais dans un premier temps prendre du temps pour nous deux, pour se retrouver pleinement, et ensuite, je vais créer ma société de photographie » précisa-t-il tout en reportant son attention sur Nonna qui se mit à sourire plus encore en écoutant son petit-fils. Sans se départir de ce large sourire, elle se leva de table, entoura son visage de ses mains ridées et embrassa bruyamment chacune de ses joues « Enfin ! En voici une bonne nouvelle Gattino ! » et tandis la main en direction d’Angie, la serrant fermement entre les siennes « Merci à toi ! ». Elle réitéra ses embrassades sur les joues mal rasée du quadragénaire et repris place sur sa chaise « Vous avez conscience, tous les deux, que tu vas tuer tes parents en leur annonçant ». Edward échangea un regard avec Angie et haussa les épaules « Je m’en contrefiche ».


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Jeu 9 Jan - 20:55

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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« -oh c’est mignon ça… » minauda Angy. Si elle était véritablement enceinte, il allait être servit… De base gourmande, elle s’imaginait sans mal prendre dix kilos durant la grossesse. Une grossesse… enfin… la possible grossesse… Mais peut-être qu’il ne serait plus au prêt d’elle pour le voir… La jolie rousse chassa cette idée obscure de son esprit et préféra faire remonter un souvenir. Elle sourit. « -je m’en étais rendu compte. Tu avais aligné plus de trois mots et ignoré durant quelques secondes nos soucis du moment et surtout Ava. » ça n’était pas rien. Elle s’était dit qu’elle avait marqué un point. Sans même en avoir l’attention. Toucher la corde sensible de l’Italien qui sommeillait en lui. Angy s’était approchée de lui, et avait entouré sa taille de ses bras. « -je sais… » avait elle soufflé en l’embrassant. « -mais tu avais besoin de repos… » et elle d’un moment en tête à tête avec ses angoisses.

Edward avait un certain don pour lancer le sujet épineux… Il ne connaissait pas assez sa grand-mère, ou alors il avait besoin d’en parler… A quelqu’un qui serait heureux de sa décision, autre qu’Angy. Quoi qu’il soit, Nonna se montra curieuse et la jolie rousse laissa à Edward le soin de prendre la parole. Elle délaissa lentement sa tasse vide sur la table, comme ne pas briser le moment de confidence. Puis elle noua ses doigts à ceux d’Edward, lui souriant avec douceur. Elle espérait de tout cœur voir ce jour arriver au plus vite. Elle ne doutait plus. Elle savait qu’il le ferait. Quand il serait véritablement prêt. Comment ne pas lui sourire avec tendresse, le regard rempli d’amour en l’écoutant énoncer de vive voix ces projets. Angy fut très émue de voir la réaction de cette grand-mère embrasser son petit-fils, heureuse, plus qu’heureuse même d’apprendre qu’il avait fait le choix d’être heureux. Un choix de cœur et non une vie dictée par la pression familiale. Angy eut du mal à éviter d’avoir les larmes aux yeux lorsque Nonna lui tendit les mains, avant de la remercier. Elle fut incapable de dire quoi que se soit, se contentant de sourire en retenant ses larmes. Puis elle fit non de la tête, comme pour contredire silencieusement Nonna. « -il rejetterons la faute sur moi. Et ça ne changera pas vraiment grand-chose… » la famille d’Edward n’était que reproche… alors un peu plus un peu moins. Elle adressa un léger sourire à Nonna. Un peu triste, un peu déçue.

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Jeu 9 Jan - 21:49

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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En entendant la jeune femme minauder à la suite de sa réponse, le sourire d’Edward se fit plus espiègle tandis qu’il lui adressa un nouveau regard, lui rétorquant sur le ton de l’évidence un « Mais je suis toujours mignon ». Pourtant, ils avaient tous deux consciences qu’il n’en était rien. Le politicien pouvait s’avérer irascible au quotidien, n’épargnant pas même celle qu’il considérait comme l’amour de sa vie. Sa rudesse avait régulièrement mis à mal leur relation, notamment à ses prémices. Bien que de temps à autre, Angie parvenait à l’appâter, notamment en apportant des viennoiseries italiennes qui lui rappelait ses origines maternelles et qu’il affectionnait tant. Cela leur avait permis d’obtenir un bref répit. « Je constate que je n’ai pas été particulièrement agréable avec toi au début La Mia Luce ». Ce qu’il regrettait tout particulièrement. Toutefois, ces mêmes frictions faisaient partie intégrante de leur histoire, et avaient également façonné peu à peu leur union. Ils étaient dorénavant lié par un amour inébranlable. Tout du moins, c’était ce que voulait croire Edward. Que rien ne pourrait les séparer… La question posée par Angie l’extirpa brusquement du fil de ses pensées et il esquissa un sourire, tout en la conviant à l’extirper des bras de Morphée chaque jour qui soit. Il affectionnait tant se réveiller à ses côtés, de sentir son corps blottis dans le creux de ses bras et de simplement la saluer d’une voix endormie. Probablement parce que ces moments passés à ses côtés avaient de temps à autre la saveur de l’éphémère… Ses bras se glissèrent autour de sa taille, alors qu’Angie venait de combler l’espace entre leurs deux corps et lui rendit son baiser avec douceur « Tu me le dirais si jamais il y avait quelque chose, n’est-ce pas ? » finit-il par demander, encore intriguée par sa promenade matinale inopinée.

En prenant place autour de la table de jardin en fer forgé, auprès de la jolie rousse et de sa grand-mère, Edward n’avait pas envisagé que la discussion ne dérive si tôt autour de son avenir dans la politique. Devant la curiosité à peine dissimulée de Nonna, il abdiqua et lui avoua mettre un terme, d’ici peu, à sa carrière politique. Un choix uniquement dictait par sa quête du bonheur, d’un bonheur initié par la venue d’Angie dans son existence, et qui n’avait eu de cesse de croître chaque jour à ses côtés. Aujourd’hui, il aspirait à un avenir plus serein et loin des projecteurs et des critiques constantes de la presse. Une nouvelle qui ravie au plus haut point sa grand-mère qui n’hésita pas à exprimer sa joie en embrassant les joues mal rasée de son petit-fils, avant de remercier l’instigatrice de ce changement brutal dans la vie du quadragénaire. Le politicien ne put que sourire aux larmes perlant dans le regard d’émeraude de sa moitié, resserrant aussitôt l’étreinte de ses doigts sur les siens.

Toutefois, la vieille femme avait également conscience que cette décision aurait un impact tout autre son entourage. Ses parents nourrissaient de grand espoir concernant son avenir politique, l’imaginant sans mal siéger à la Maison-Blanche d’ici quelques années. Edward allait devoir mettre un terme à leurs idéaux et se contrefichait que cela altère leurs relations futures, ce qu’il n’hésita pas à exprimer à voix haute, avant qu’Angie ne renchérisse à son tour. La jolie rousse était moins optimiste concernant leur réaction, notamment à son encontre et les mots qu’elle prononça furent douloureux pour Edward dont le regard se dissipa aussitôt. Il retira sa main de la sienne, et se mouva sur sa chaise pour lui faire face. En cet instant, il n’existait plus qu’elle dans son monde. Il enjoignit Angie de lui faire face, et déposa sa main sur sa joue, essuyant ainsi le coin de ses yeux d’un geste du pouce « Ne dit plus jamais cela, tu m’entends Angie ? » et tout en ancrant son regard au sien, il reprit avec conviction « Je ne les laisserais plus jamais t’atteindre, d’une manière ou d’une autre. Si je dois m’éloignais d’eux pour que tu sois à l’abri de leurs critiques, je le ferais sans une once d’hésitation ». Avec plus de douceur, Edward reprit, n’hésitant pas à faire abstraction de Nonna en cet instant « Je t’aime et rien n’y changera quoi que ce soit ». Sur ces mots, il déposa ses lèvres sur les siennes, comme pour étayer ses propos. En se reculant, il croisa de nouveau ses prunelles vertes et sourit de manière plus taquine « Je t’ai dit aujourd’hui que tu étais belle ? » et caressa sa joue « Non ?! Hum... - Il hocha lentement de la tête et reprit sans se départir de son sourire - Alors sache que tu es belle mi amore ». Sa main se retira de sa joue dans une caresse et reprit place face à la table, pour constater que sa grand-mère s’était éclipsée pour leur offrir un semblant d’intimité. Plus ou moins. Et ça, il le comprit lorsque la voix de cette dernière lui parvint « Puis-je revenir ? mon café va refroidir les enfants ? ». Edward émit un petit rire et confirma par un simple « Oui » tout en apposant sa main sur la cuisse de la jolie rousse « Bon, qu’est-ce que nous disions ? Ah oui ! Votre avenir à tous les deux. Et toi, Angelica. Que désires-tu faire ? ».


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Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Angy avait esquissé une petite grimace, juste pour se moquer de lui. Non, il n’était pas toujours mignon. Il était loin d’être un agneau… mais malgré ce qu’il se plaisait à dire, elle était loin d’être parfaite également. « -tu en fais seulement le constat ? » demanda la jolie rousse avec un sourire en coin. Elle aimait la taquiner et ne s’en privait jamais. Elle avait ensuite combler l’espace entre eux, et évoqué le fait qu’il était fatigué et qu’elle n’avait pas osé le tirer de son sommeil. Elle se pinça les lèvres, et baissa le regard en entendant sa question. Le tout en souriant avec douceur… « -j’avais besoin d’être un peu seule pour mettre en ordre mes pensées… » elle releva les yeux sur lui. « -on en parlera plus tard d’accord ? » demanda la jeune femme qui ne tenait pas à parler de tout cela comme ça. Le sujet était important, et plus que sérieux. Mais elle voulait avoir la réponse du test de grossesse avant.

Un autre sujet sérieux fut abordé dans le jardin. Edward allait se retirer de la vie politique pour renouer avec son amour de la photo. Voilà… Nonna était maintenant au courant. Et visiblement, elle était comblée par cette nouvelle. Elle leur signifia à sa manière, avant qu’Angy ne réponds que la fautive ça serait elle. C’était contre elle que les parents d’Edward allaient pester. Lui, il serait seulement celui qui se serait fait monter la tête… la victime en quelques sorte. Lorsqu’il lui demanda de lui faire face, elle souffla son prénom après sa première phrase. Comme pour lui faire comprendre que non, elle ne pouvait penser autrement. C’était la vérité. Même s’il en voulait pas l’entendre. Elle fit un non de la tête. Elle ne souhaitait pas cela. Ils restaient sa famille. « -je t’aime aussi Eddy… » elle se pinça les lèvres, et décida de taire la suite de sa phrase. Un sourire tendre étira ensuite les lèvres de la jeune femme lorsqu’il lui demanda si il lui avait parlé de sa beauté ce matin. A nouveau, Angy se dit qu’elle devait faire ce test au plus vite. Parce que s’il était positif, elle allait perdre l’homme qu’elle aimait plus que tout au monde. Si elle était véritablement enceinte, elle serait incapable de se séparer de cet enfant… ce n’était pas une option.

Elle sourit en entendant Nonna. Puis elle se saisit de son verre pour le remplir de jus de fruit. « -moi ? » demanda Angy comme si elle n’avait pas exactement comprit la question. « -je… je veux être pleinement heureuse… » ça paraissait sans doute utopique. « -et si votre question porte sur mon emploi, et bien… je ne suis pas encore véritablement fixée. Mais je sais que je veux continuer d’aider les femmes… » c’était toujours aussi important pour elle.


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Ven 10 Jan - 21:28

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Aux prémices de leur relation, la jeune femme l’avait pratiquement perçu comme un prédateur vis-à-vis d’elle. Alors prétendre aujourd’hui qu’il avait toujours été un homme charmant, c’était ironique. Ils en avaient conscience tout autant l’un que l’autre. Encore aujourd’hui, il parvenait encore à renouer avec l’ancienne version de lui-même, froide et hostile, même à l’encontre d’Angie, les ramenant tous deux à l’aube de leur cohabitation contraignante. Et lorsqu’ils se remémoraient ce temps passé, comme ce matin, dans l’intimité de la cuisine de Nonna, le politicien prenait davantage conscience de son agressivité à son encontre. Edward n’avait pas attendu ce jour pour en faire l’amer constat, comme s’en amusa sa moitié à qui il offrit une légère moue « Non. Je l’ai fait depuis bien longtemps ». C’était la raison pour laquelle il s’évertuait à vouer sa vie à la rendre heureuse. Parce qu’une femme comme Angie ne méritait pas d’être malmenée de cette manière. Moins encore après les nombreux rameaux d’olivier qu’elle lui avait tendu, bien souvent en vain. Aujourd’hui, elle était son présent le plus important et c’était pour cela qu’il se souciait de chaque détail qui laissait sous-entendre que la jolie rousse cogitait plus qu’à son habitude. Et si cette dernière pensait que sa réponse pouvait apaiser ses appréhensions, elle se fourvoyait. La jeune femme ne fit que croître ses craintes, mais pour autant, Edward respecta sa décision et souffla un « Quand tu seras prête, je serais là », avant de déposer ses lèvres sur les siennes, comme une promesse silencieuse.

L’ambiance qui régna entre eux deux à la suite de l’annonce de sa démission à Nonna ne fut pas plus légère. Edward ne souhaitait aucunement que sa moitié porte le poids de ses propres choix, quoi qu’en dise son entourage. Angie avait éveillé sa conscience et lui avait permis d’avancer dans une vie qu’il subissait depuis de trop nombreuses années maintenant. S’il devait s’éloigner de sa famille pour qu’elle puisse échapper aux critiques infondées de cette dernière, il le ferait, et ce, malgré la réponse négative et silencieuse de la jeune femme « Tu es ma famille Angie » renchérit-il, tentant désespérément de lui faire entendre raison, avant de lui rappeler qu’il l’aimait plus que tout au monde. Aujourd’hui, et plus encore demain. Un sourire étira ses lèvres, savourant toujours autant ces trois petits mots à son attention. Puis, comme s’il désirait balayer tout cela d’un revers de main, le politicien changea diamétralement de sujet en évoquant sa beauté qu’il aimait complimenté chaque jour, pour qu’elle n’oublie jamais qu’elle était belle, surtout dans son regard. Alors il le lui rappela aujourd’hui, comme il le ferait chaque jour, jusqu’à son dernier souffle.

Le retour de Nonna amusa le couple qui la laissa reprendre le fil de la conversation en évoquant les projets futurs de la jeune femme à ses côtés. Sa main sur sa cuisse, sa tasse de l’autre, il lui prêta une oreille attentive, esquissant même un sourire à cette première question et à laquelle Nonna répondit par un « Oui, toi ». Les mots qui suivirent le firent sourire que davantage, espérant l’aider à réaliser ce souhait. « Qu’est-ce que ça signifie pour toi, d’être pleinement heureuse ? » osa demander la vieille femme après un bref regard pour le quadragénaire à ses côtés qui n’avait plus d’yeux que pour sa moitié qui poursuivit « Je trouve que c’est une très belle cause ! Nous avons été bien trop longtemps délaissées ! » l’encouragea la vieille femme avec enthousiasme «Ça serait comment écrire des articles qui feraient la promotion de la féminité ? ».

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Sam 11 Jan - 14:34

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Ils étaient bien loin des vacances sans prise de tête. Peut-être que s’ils étaient partis dans un hôtel de luxe, avec piscine et plage à proximité, ils seraient parvenus à rester loin de ces conversations sérieuses. Mais ce n’était pas le cas. Edward venait d’annoncer à sa grand-mère qu’il quittait le monde politique pour la photo. Et que c’était grâce à Angy qu’il avait comprit qu’il pouvait lui aussi avoir le droit à une vie heureuse. Nonna était touchée et ravie. Angy fut également plus qu’émue par cette réaction et par les remerciements que lui offrit la vieille femme. Cependant, cette nouvelle vie avait un prix à payer. La famille d’Edward n’avait pas la même façon de voir les choses. Et ils trouveraient bien vite la fautive. Angy le savait. Mais visiblement Edward s’en moquait. A plus de quarante ans, peut-être qu’il était capable de vivre sans sa famille. Après tout, Angy le faisait depuis ses 18ans… « -et tu es la mienne… » souffla la jeune femme en réponse. A nouveau elle avait la gorge nouée, les larmes qui faisaient briller ses yeux. Elle l’aimait tellement…

La retour de Nonna la fit sourire, tout autant d’Edward. Lorsque la vieille femme lui demanda ses projets d’avenir, Angy fut quelque peu surprise. Mais la réponse première était qu’elle souhaitait être heureuse. Elle précisa à sa demande : « -ça passe par continuer d’avoir Edward dans ma vie. » ce qui n’était pas encore certain… « -avoir des projets ensemble et les voir naitre et grandir. » elle sourit en réalisant les mots qu’elle venait d’employer… Puis elle évoqua son envie toujours présente d’apporter de l’aide aux femmes. « -je ne suis pas encore fixée. Mais oui, peut-être… même si j’aimerais également quelque chose de plus concret. » avoua la jeune femme, heureuse de voir que Nonna appréciait ses idées.

Le reste de la journée se déroula tranquillement. Angy emmagasinait un maximum d’images et de souvenirs d’Edward. Elle en avait besoin. Vers la fin d’après-midi, Nonna s’absenta pour se rendre à son club d’ancien. Une activité qu’elle ne souhaitait en aucun cas louper. Angy laissa Edward passer ses appels pour le travail, et elle s’absenta quelques instants. Elle devait savoir. Alors elle récupéra son sac à main, puis le précieux test, qu’elle fit une fois enfermé dans la salle de bain. Elle trouva l’attente interminable, n’osant pas regarder tant que le chronomètre sur son téléphone n’était pas terminé. Lorsqu’il afficha que le temps était écoulé, elle inspira et expira lentement avant de poser son regard sur le petit plus qui était apparu. Les larmes lui montèrent aux yeux. Intérieurement elle était un mélange d’émotion contradictoire. Il y avait de la joie dans ce petit plus rose. Oui, parce qu’elle avait envie de ce bébé. D’un bébé de lui… mais il y avait également de la peur… Elle devait lui dire. Maintenant. Ça ne pouvait pas attendre. Alors elle descendit l’escalier avec lenteur. Edward était dans la jardin. Il avait préparé un café et un thé pour elle. Angy s’approcha doucement, fixant l’homme qu’elle aimait, dos à elle. Puis elle glissa le test sur le bord de la table et souffla un : « -on dois parler… »

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