"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly
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Lun 23 Déc - 21:36
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Dès l’aube de leur relation, ils étaient devenus coutumiers des immixtions incessantes de son entourage. Ce soir ne faisait pas exception. Tandis qu’ils s’étaient autorisés à aborder un point crucial de leur relation, capable de reconsidérer l’ensemble de leur relation, ils furent interrompus par l’appel inopiné de Nonna. Sans cela, probablement qu’Edward aurait osé lui avouer que ses aspirations avaient changé, et qu’il désirait plus que tout au monde un enfant avec elle. Pour autant, il décida de saisir l’opportunité pour éluder la question qui risquait de nuire, d’une manière ou une autre, à leur relation. Pour Angie, il était prêt à tous les sacrifices, celui-ci compris. Seulement, il craignait que la jeune femme ne perçoive par d’un même regard ce choix. Pourtant, le politicien ne désirait pas être le père d’un enfant, mais de son enfant. À elle et elle seule. Cependant, cette épineuse conversation devra attendre encore quelques jours … L’état de santé de sa grand-mère maternelle venait de se détériorer et il était le seul à pouvoir se rendre à son chevet dès maintenant. Une fois, la jolie rousse fit preuve d’une compréhension sans faille. Elle acceptait de le voir partir sur l’instant, sans formuler le moindre reproche à son encontre. Elle était même disposée à lui prêter main forte dans l’organisation du séjour précipité. Excepté qu’aujourd’hui, elle n’était plus non seulement une petite amie liée à lui par un contrat, elle était aussi la femme de sa vie, et qu’il ne la laisserait pas l’attendre des jours durant à l’autre bout du monde. Quoi qu’en dise son entourage, la jolie rousse était sa famille. Il combla alors l’espace entre leurs deux corps et apposa ses lèvres tout contre son front la même douceur qui la caractérisait au quotidien.
Lorsqu’Angie prononça son nom, il pouvait d’ores et déjà entendre un refus suivre. Il décida donc de la faire abdiquer par une simple formule de politesse dont il n’était que peu coutumier. Cela signifiait qu’il n’accepterait pas la moindre protestation de sa part. Il ne voulait pas qu’elle vienne, il en avait besoin. « Merci… » murmura-t-il tout en déposant de nouveau un baiser sur sa peau et acquiesça, un timide sourire habillant ses lèvres « Oui ». Sur ce simple mot, Edward s’éloigna pour se vêtir et tandis qu’il préparait son sac de voyage pour les jours à venir, Angie lui fit part de la réservation de leur vol « Bien ». Quelques heures plus tard, l’avion survolait le pacifique en direction de l’Italie, et le politicien avait été incapable de prononcer le moindre mot depuis. Il songeait tout autant à l’état de santé de sa Nonna, que de la question que lui avait posé Angie avant cet appel. Comme si elle pouvait lire en lui, Angie entrelaça ses doigts aux siens, extirpant ainsi le quadragénaire de ses plus profondes pensées. Après un bref regard pour leurs mains liées, il releva ses prunelles azurées jusqu’à son regard d’émeraude « Je suis heureux que tu sois venue », et tourna de nouveau le visage vers le hublot, observant sans mot dire les nuages qui dominaient actuellement le ciel nocturne.
Les deux bagages en main, Edward s’avança jusqu’au hall de l’aéroport quand il marqua un arrêt. Plissant légèrement les yeux, il hésita un instant, et reprit sa marche jusqu’à une femme âgée qui se tenait à quelques mètres de lui. Son visage était marquée par les années et le soleil permanent de la côte italienne, quant à ses cheveux blancs, on les devinait aisément noirs comme l’ébène lors de ses jeunes ânées, tandis que ses prunelles sombres arboraient une lueur malicieuse qui laissait à penser qu’elle voyait au-delà des apparences. Ce qui faisait d’elle une redoutable joueuse de poker. Tout en reprenant son pas, il murmura un « Nonna » intrigué, jusqu’à ce qu’il ait confirmation lorsqu’elle s’exclama par un « Gattino » tout en serrant l’imposant politicien dans ses bras. Il se délesta donc de ses bagages pour lui rendre son étreinte, et se recula ensuite, ses mains posées sur les épaules nues de sa grand-mère « Nonna… Tu n’as pas l’air bien malade ». « Perspicace mon garçon ! Mon cœur avait mal de ne te voir cette année » et haussa les épaules avec nonchalance, ne culpabilisant pas le moindre du monde d’avoir inquiété son petit-fils « Vous devez être la femme qui m’a rendu mon gattino » déclara-t-elle ensuite, ne faisant que peu de cas de ses manigances, en s’adressant à Angie « Elle-même » confirma Edward en couvant tendrement du regard sa moitié « La Mia Luce, je te présente Nonna. Nonna, voici Angie » renchérit-il d’une voix tentée d’une certaine joie. Il était heureux de voir la jeune femme accueillie à la hauteur de ce qu’elle représentait pour lui.
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Charly
Mar 24 Déc - 13:34
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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La programme de la fin de soirée venait d’être chamboulé. Nonna avait de nouveau des soucis de santé, alors c’était sans réfléchir plus que ça que la décision se prenait. C’était un billet d’avion, un valise et Edward qui prenait le premier vol possible. Sauf que cette fois-ci, il lui demanda de venir avec lui. Angie pensa d’abord dire non. Et puis, elle finit par accepter. C’était peut-être sa seule change de rencontrer la grand-mère d’Edward. De plus, le reste de la famille ne serait pas présent. Alors elle avait dit oui, et avait réservé le plus rapidement possible des billets. Les valises avaient été faite, et ils avaient prit ce vol, remplis d’angoisses. Edward n’était pas de nature loquasse, mais lorsqu’il était en proie à du stress, c’était pire encore. Angie le savait, et elle pouvait uniquement lui tenir la main et lui montrer qu’elle était là. Pour lui. Avec lui.
Elle parvint à dormir un peu durant le vol, son visage blottit dans le cou d’Edward. Elle agrippa les accoudoirs au moment de l’atterrissage. Puis suivit Eddy pour descendre de l’appareil, récupérer les valises et suivre les couloirs afin de rejoindre un probable taxi. A partir de là, elle le laissait la guider. Elle ne savait pas si on devait venir les chercher ou non. Lorsqu’il marqua un arrêt, elle l’observa, puis elle le laissa avancer à nouveau jusqu’à une vielle dame très élégante, dont le sourire illuminait son visage. La jolie rousse resta interdite devant l’échange qui se déroula sous ses yeux. Elle trouva ces retrouvailles belles et attendrissantes. Elle resta quelque peu en retrait, les laissant se retrouver. Puis elle sourit avec douceur quand Nonna s’adressa à elle. Edward fit les présentations et Angie tendit sa main pour serrer celle de la vielle dame qui lui rappelait clairement la sienne. Nonna la serra contre elle et embrassa ses deux joues en faisant claquer des baisers. « -je suis vraiment heureuse de pouvoir vous rencontrer et que votre santé ne soit pas en cause. » oui, visiblement c’était un léger petit mensonge pour attirer son petit fils jusque ici. Ça avait parfaitement fonctionné. Et maintenant que la vérité était dévoilée, Angie était soulagée. C’était sans doute également le cas pour Eddy. « -allez venez les enfants, rentrons. » annonça Nonna en passant son bras sous celui de son petit-fils. Angie échangea un regard complice avec ce dernier, heureuse d’avoir dit oui pour l’accompagné. Heureuse d’être ici et de le voir également heureux.
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Ven 27 Déc - 14:30
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Le vol se déroula sans qu’il n’ait besoin de prononcer le moindre mot. Angie était coutumière de son habituel mutisme et ne le contraint pas à échanger, ne serait-ce que de simples banalités. Au lieu de ça, elle privilégia les bras de Morphée sans pour autant délaisser les siens, et ce, jusqu’à ce que les roues du Boeing ne pose ses roues sur le tarmac de l’aéroport de Rome. Durant les heures que dura le survol du Pacifique, Edward avait songé tout autant à la santé déclinante de Nonna, qu’à la manière dont il allait procéder pour avouer à la femme assoupie à ses côtés, que ses aspirations futures avaient changé depuis leur rencontre. À l’atterrissage, il n’était pas parvenu à obtenir davantage de réponses qu’à leur départ de New York, et décida d’omettre momentanément ses pensées pour apposer sa main sur celle de sa compagne, alors qu’il avait surpris ses doigts s’enfoncer dans le cuir des sièges de la première classe au moment où l’avion avait amorcé sa descente sur l’Europe.
Les bagages enserrés avec fermeté entre ses doigts, Edward arpenta les quelques mètres jusqu’au hall de l’aéroport, talonné de près par sa moitié qui l’imita lorsque l’hésitation le contraint à interrompre brusquement leur marche. Nonna se tenait alors à quelques mètres, arborant un lumineux sourire, non peu fière d’être parvenue à attirer son petit-fils jusqu’en Italie. Edward n’éprouva pas la moindre animosité devant le mensonge éhonté de sa grand-mère qu’il serra dans ses bras, bien que la dominant de plusieurs centimètres maintenant. Il présenta ensuite celle qui était parvenue à accaparer tout autant son cœur que son âme au cours de ces derniers mois. Celle qui était parvenue à percevoir l’homme derrière le politicien acariâtre. Celui que Nonna désespérait de revoir après toutes ces années. L’accueil que lui réserva Nonna le submergea quelque peu. Depuis qu’Angie avait apposé sa signature en bas de ce morceau de papier, elle n’avait jamais été accueillie par son entourage comme un membre à part entière de cette famille… Jusqu’alors. Lorsque Nonna glissa son bras autour du sien, l’entraînant ainsi hors des murs de cet aéroport, Edward échangea un regard avec la jolie rousse et mima un « Je t’aime » silencieux à son attention.
« Je vais préparer le café les enfants. Gattino, je te laisse lui faire la visite des lieux » « Si Nonna » répliqua-t-il tout en se saisissant des bagages dont il s’était délesté dans l’entrée de la petite maison en pierre façonnée par ses ancêtres. « Tu me suis La Mia Luce » murmura-t-il par la suite tout en ouvrant la voie. Il amorça la visite des lieux par la chambre qui serait la leur au cours de leur bref séjour, et en profita pour se décharger des sacs de voyage au pied du lit. Les mains de nouveau libres, Edward glissa l’une d’elle dans celle d’Angie, et lui fit découvrir les autres pièces de la demeure, marquant quelques arrêts inopinés pour qu’elle puisse découvrir les quelques photos qui jonchaient les murs du couloirs. Au sommet de l’escalier qu’ils s’apprêtaient à redescendre, le politicien l’attira à lui et apposa son autre main sur sa joue « Je n’ai pas oublié. On parlera de tout cela tôt ou tard. Je te le promets » murmura-t-il à son attention, et vint goûter ses lèvres avec lenteur, comme pour s’imprégner pleinement de leur saveur, et lui adressa un sourire quand il délaissa sa bouche « Je dois faire promettre à Nonna de ne rien dévoiler à notre sujet à mes parents… ». Pour son entourage, ils étaient séparés. Elle seule était privilégiée. Ils rejoignirent sa grand-mère dans le jardin fleuris que cette dernière se plaisait à entretenir au quotidien « Que penses-tu de la maison ? » interrogea Nonna tout en poussant l’assiette de biscuits jusqu’à la jolie rousse « Nonna… Je dois te demander de ne rien dire à maman et papa, y compris à Iris, pour Angie ». La vieille femme fronça les sourcils, les observant tour à tour « Gattino, me demanderais-tu de mentir ? ». Après un regard pour la jeune femme, il poussa un soupir et acquiesça « On a dû faire des choix » « Je n’aime pas ça mon garçon » « Je sais Nonna et je te le demanderais pas si ce n’était pas important » « Mais vous êtes si beaux tous les deux. Je ne t'ai jamais vu si heureux Gattino ». Sur ces mots, Edward rougit quelque peu tout en détournant timidement le regard en direction d’Angie, et porta sa main sur sa cuisse « Je crois que j’ai touché un point sensible » déclara Nonna tout en donnant un coup de coude complice à Angie.
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Charly
Sam 4 Jan - 22:43
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Voir la grand-mère d’Eddy les accueillir ainsi à l’aéroport était presque surréaliste. Ce n’était absolument pas ce que leurs esprits avaient imaginé. Mais c’était un sentiment doux et délicieux de découvrir cette femme âgée, souriante et ravie d’avoir joué ce petit tour à son petit-fils adoré. C’était comme si d’un seul coup, toutes les appréhensions qu’ils avaient eu, venaient de s’envoler. Angy était ravie d’être ici et de pouvoir faire la connaissance de Nonna, en pleine forme. Elle répondit à Edward de la même manière que lui, mimant avec ses lèvres un : moi aussi. Durant le trajet, la belle rousse se délecta du paysage, appréciant le soleil sur sa peau, et la beauté de la ville. Elle admira également la maison de famille et ses vieilles pierres.
« -est-ce possible d’avoir un thé ? » demanda la jeune femme avec une légère grimace, alors que Nonna venait de parler de café. Angy n’en buvait jamais. La vieille femme répondit en entourant son visage de ses deux mains : « -mais bien sûr ma belle. » comment ne pas aimer cette femme ? Angy lui sourit, avant de la remercier et de suivre Edward pour la visite. Elle prit le temps de découvrir chaque pièce, chaque photo également qui lui offrait une vue sur l’enfance de son bien aimé. La demeure était chaleureuse, Angy s’y sentit tout de suite très à l’aise. Lorsqu’Edward l’attira à lui, elle pencha légèrement la tête sur le côté avant de lui rendre son baiser puis de répondre avec douceur : « -ça peut attendre. Profitons de ces quelques jours avec ta grand-mère. » sans se prendre la tête. Angy ne savait que trop bien que les moments passés avec les êtres aimés et vieillissants, n’étaient que trop précieux. Alors oui, elle voulait qu’Edward profite pleinement de ces quelques jours avec sa grand-mère adorée. Un hochement de tête à la phrase suivante, avant de le suivre dans les escaliers et de rejoindre Nonna sous la pergola.
L’air avait des parfums de citron et de fleur d’oranger. Et de nouveau Angy apprécia la caresse du soleil qui réchauffait sa peau. « -elle est magnifique. J’aime beaucoup. Merci vraiment pour votre accueil. » ils auraient pu prendre une chambre d’hôtel, mais c’était perdre de précieuses heures en compagnie de la vieille dame. Puis elle avisa les biscuits fait maison dans l’assiette qui venait d’apparaitre devant elle, et comme prise par les sentiments, elle décida d’en prendre un et de le gouter. C’était délicieux. Croquant et savoureux. Elle avait presque la sensation que son enfance remontait à la surface, faisant jaillir dans sa mémoires les souvenirs de sa propre grand-mère tant aimée. Elle laissa le soin à Edward de parler de leur mensonge à Nonna, souriant en entendant à nouveau ce surnom affectif pour le désigner. Un regard pour Eddy, et elle prit un autre biscuit. Elle avait faim en plus d’être gourmande. Elle comprenait la réticence de Nonna. Puis elle adresse un sourire complice. « -vos biscuits sont un délice. » précisa Angy en s’autorisant à en prendre encore un. « -la prochaine fois, promettez nous de seulement appeler pour nous demandez de venir. Ça nous évitera des angoisses… » précisa Angy avant d’échanger un sourire doux avec Edward. Elle n’avait pas véritablement envie de s’éterniser sur leur mensonge et les complications de leur histoire.
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Dim 5 Jan - 19:43
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Leur voyage en Italie était impromptu, mais pas dénué d’attrait pour autant. Edward avait toujours affectionné ce pays, son architecture ancienne, ses rues pavées et la chaleur de ses habitants. Mais plus encore, il aimait octroyer de son temps à sa grand-mère maternel, qu’il surnommait affectueusement Nonna. Une vieille femme qui ne manquait pas d’ingéniosité pour attirer son petit-fils jusqu’à elle, lorsqu’elle le jugeait nécessaire, même si pour cela, elle devait prétendre une santé fragile. Ce fut ainsi qu’ils franchirent le seuil de la humble demeure familiale, aux côtés d’Angie. Être ainsi témoin de la complicité qui se tissait entre Nonna et sa petite-amie était pour le moins réconfortant pour celui qui n’avait eu de cesse de lutter contre son entourage pour qu’elle soit acceptée à sa juste valeur. À la demande de sa grand-mère, le politicien l’entraîna jusque dans les autres pièces qui constituaient la maison d’un autre temps, ainsi que les photos qui jonchaient les murs. Ce ne fut qu’au sommet des marches qu’Edward s’autorisa à reprendre parole, la rassurant sur le fait qu’il n’avait pas omis leur conversation brusquement interrompue. Elle obtiendrait une réponse à cette question restée en suspens. Il scella ensuite leurs lèvres dans un baiser et laissa un sourire habiller timidement sa bouche, se contentant d’un simple « Bien ». Il ignorait s’il parviendrait à maintenir le silence jusqu’à leur retour. Ce désir de parentalité qu’il tentait tant bien que mal de dissimuler à Angie le rongeait de l’intérieur. Edward n’avait jamais aimé lui mentir, même par omission.
Le jardin était en fleurs toute l’année. Nonna veillait à l’agrémenter pour chaque saison. C’était son petit paradis, comme elle se plaisait à le décrire. Un lieu où s’élevait une odeur d’agrumes, au milieu des parterres de fleurs colorées. Ils avaient fait le choix de prendre place à l’extérieur pour déguster le goûter que sa grand-mère s’évertuait à préparer à chaque fois que sa famille ou lui-même lui rendait visite. Un regard pour Angie qui complimenta la demeure fondée par leurs ancêtres « C’est un plaisir ! » confirma Nonna tout en poussant l’assiette de biscuit jusqu’à eux. Edward déclina poliment l’invitation et amorça la conversation dérangeante. Il ne désirait pas que leur relation soit de nature publique. Tout du moins, pas dans l’immédiat. Pour cela, il demandait à la vieille femme de rester silencieuse sur la venue d’Angie en Italie. Malgré sa réticence, elle finit par abdiquer, probablement parce qu’elle avait toujours eu une préférence pour son petit-fils. Aux mots de la jolie rousse à ses côtés, il esquissa un sourire et porta sa main jusqu’à sa cuisse, caressant le tissu de son pouce « Je te donnerais la recette » promit Nonna avant d’échanger un regard complice avec le politicien, puis émit un petit rire « Seulement si mon petit-fils me promet de répondre à ma demande ». Le quadragénaire observa tour à tour les deux femmes, poussa un soupir faussement las et acquiesça « D’accord ». Nonna frappa ensuite dans ses mains et s’autorisa un plaisir interdit en se saisissant d’un des biscuits « Le secret, c’est la pointe de vanille » précisa-t-elle « En parlant de ça. Que souhaitez-vous dîner ce soir ? » « Ne t’embête pas avec ça Nonna. Tout nous ira » répondit-il pour eux deux, sachant qu’Angie n’était pas particulièrement difficile. « Et toi Angie, que désires-tu ? ».
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Mar 7 Jan - 20:36
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Angy n’avait pas oublié ce début de conversation houleuse, voire peut-être douloureuse, qu’elle avait amorcé juste avant que le téléphone d’Edward ne sonne pour laisser entendre la voix de Nonna. Et elle fut heureuse de constater qu’Eddy non plus. Il souhaitait revenir sur le sujet. Il avait saisit l’importance de cette conversation. Elle ne savait pas si elle devait la redouter ou s’en sentir soulagée. Quoi qu’il en soit, ce n’était ni le moment, ni le lieu de rouvrir cette échange. Ils étaient ici pour passer du temps avec la grand-mère d’Edward. Et Angy tenait vraiment ce qu’il profite de sa Nonna adoré.
Alors ils l’avaient rejoint sur la terrasse et la jolie rousse avait savouré ce moment, ce lieu, ce paysage, tout comme les biscuits fait maison. Edward aborda un sujet complexe, et demanda à sa grand-mère de mentir pour eux. Jusqu’à présent, ils n’avaient pas re officialisé leur relation. Ils n’en avaient pas discuté, mais ils ne souhaitaient pas que la famille d’Edward se mêle à nouveau de leur couple. Angy était dans une période transitoire niveau travail. Ils voulaient avant tout être heureux et être ensemble. Avec la grossesse d’Iris, la famille d’Edward, avait sans nulle doute autre chose à faire que de ce mêler de leur affaire. Mais tout de même. La discrétion était de rigueur. Nonna accepta, même si elle n’était pas d’accord avec cette idée. Alors Angy décida de changer de sujet.
Elle remercia pour les gâteaux, et sourit à Nonna. « -je veux bien oui, merci. » elle l’ajouterait à son livre de recette, rédigé à la maison depuis sa plus tendre enfance. Cette recette rejoindrait toutes celles de sa propre grand-mère. Elle demanda ensuite à la vieille dame d’éviter de leur mentir à l’avenir pour attirer son petit fils ici. « -il le fera. » affirma Angy avec un regard tendre pour le beau brun. « -hum… j’adore les ingrédients secrets. » répondit Angy. Elle avait toujours aimé lorsque sa grand-mère lui donnait ce petit truc en plus qui rendait la recette fabuleuse autant pour les papilles que pour les souvenirs. « -que vous me laissiez-vous aider. » avait répondu la jeune femme avec un sourire mi tendre mi amusé. C’était tellement doux de retrouver une grand-mère.
Edward laissa les deux femmes à la cuisine, s’éclipsant sans doute pour passer quelques coups de fil importants. Nonna déclara qu’elle allait faire une spécialité d’ici, dont raffolait Eddy depuis qu’ils étaient tout petit. La jeune femme l’aida du mieux qu’elle pouvait. Elle versa de grosses larmes à cause des oignons, ce qui fit rire Nonna aux éclats. Elles discutaient de tout et de rien, appréciant seulement ce moment. « -merci vraiment de m’accueillir ainsi… c’est… c’est vraiment appréciable et apaisant. » Nonna sourit et répondit : « -ils finiront pas comprendre que vous êtes beaux et fait l’un pour l’autre. Ça saute pourtant aux yeux selon moi. » Angy sourit, touchée d’entendre ça. Emue aussi d’avoir enfin en face d’elle, quelqu’un de proche d’Edward, capable de l’accepter, sans la juger. « -il est au courant ? » demanda ensuite Nonna. Angy ne comprit pas, et la vieille femme se rapprocha pour parler d’une voix plus basse : « -que tu es enceinte ma chérie… » Angy ne put s’empêcher de rire : « -je ne suis pas en… » mais Nonna ne cessait de lui sourire, comme si elle était capable de lire en elle, de savoir quelque chose qu’Angy elle-même ignorait encore. « -je me trompe certainement… » finit elle par lâcher comme si de rien n’était. Mais le doute était semé dans l’esprit d’Angy. « -mais saches que si c’est le cas, je serais la plus heureuse de arrière-grand-mère. Même si j’aime de tout mon cœur les enfants d’Iris… »
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Mer 8 Jan - 14:17
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Dès l’aube de leur histoire, Angie s’était évertuée à être la lumière dans l’obscurité, le calme dans la tempête. Autour de cette table, aux côtés de Nonna, elle ne faisait pas exception. En faisant le choix de ne pas renchérir quant au mensonge qu’ils s’efforçaient de perpétrer pour maintenir leur relation à l’abri des désapprobations de son entourage, elle dissipait les tensions émergentes. La vieille femme se saisie du rameau d’olivier tendu et renchérit la conversation quant à ses biscuits, promettant de lui confier la recette. Un sourire étira les lèvres de Nonna lorsqu’Angie accepta, et plus encore lorsque cette dernière trouva pertinent de confirmer qu’Edward ferait le prochain vol sans qu’il ne soit nécessaire de formuler le moindre mensonge pour le faire venir jusqu’à elle. Ce que confirma aussitôt le politicien après un soupir faussement las, et se délectant de l’échange serein entre les deux femmes tout en dégustant sa tasse de café. « Moi aussi » renchérit Nonna, comme si c’était un secret, puis acquiesça avec enthousiasme « Avec plaisir. Je ne refuse jamais un peu d’aide en cuisine ». Savourant la complicité qui se tissait devant lui, Edward se contenta de rester silencieux, et de seulement caresser délicatement la cuisse de sa moitié. La vie pouvait parfois être douce.
Toutefois, ses obligations professionnelles étaient à l’image de l’Épée de Denys au-dessus de la tête de Damoclès, suspendue constamment au-dessus de sa tête. Donc tandis que les deux femmes s’affairaient en cuisine pour le dîner, il prit congés afin d’échanger avec ses interlocuteurs de l’autre côté de l’Atlantique. Il peaufinait les derniers détails de son intervention à la course de voiture au profit des femmes, et à laquelle devait assister Angie, et s’appliquait à rester informer de l’actualité inhérente à sa position de candidat au Sénat et d’adjoint du maire de New York. Tout cela en faisant les cents pas dans le jardin de sa grand-mère, une main dans la poche de son pantalon de costume.
« Mais saches que si c’était le cas, je serais la plus heureuse des arrière-grand-mères. Même si j’aime de tout mon cœur les enfants d’Iris… » furent les mots prononcés par Nonna lorsqu’il franchit alors le seuil de la cuisine. Son cœur se serra à ces mots. Il ne savait que trop bien la volonté de la vieille femme de devenir l’arrière-grand-mère de sa propre descendance. Toutefois, ce qu’elle ignorait, c’était que ce désir était plus qu’incertain. Angie n’avait jamais éprouvé l’envie d’être un jour mère, ne considérant pas ce rôle comme essentiel dans son épanouissement personnel. Quant en ce qui le concernait, ce besoin devenait peu à peu fondamental pour sa propre prospérité… Et il ne parvenait pas à trouver le moment opportun pour le lui confier, et moins encore en présence de la vieille femme. Il esquissa un maigre sourire et renchérit à l’attention de cette dernière « Ne commence pas Nonna. On n’a pas encore abordé réellement le sujet… » et posa ses prunelles azurées sur sa moitié « Et nous avons encore un peu de temps avant cela » « Ce que je dis, c’est que je serais heureuse de savoir que je serais de nouveau arrière-grand-mère » « Iris est enceinte » « Tu sais très bien ce que je veux dire Gattino ». Edward maintint son regard sur sa grand-mère un instant, sans mot dire et sa posture quelque peu raidie par ces quelques mots, et après quelques secondes de silence accablant, il déposa ses lèvres sur la chevelure blanche de sa grand-mère « Si vous n’avez pas besoin de moi, je vais prendre ma douche Nonna », et embrassa ensuite la tempe chaude d’Angie, avant de s’éclipser à l’étage supérieur.
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Charly
Mer 8 Jan - 18:45
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Faire la cuisine avec Nonna était un véritable plaisir. Si cette femme avait connu la grand-mère d’Angy, elles seraient certainement devenues de grandes amies. La conversation était fluide, légère, et petit à petit elles apprenaient à de connaitre un peu mieux. Mais lorsque Nonna parla grossesse, la jolie rousse fut forcée de la contredire. Non, elle n’était pas enceinte… enfin… non, c’était impossible. Où alors… même si la vieille femme déclara qu’elle se trompait certainement, la jeune femme en face d’elle ressentait comme une vague de panique à l’intérieure. Et si Nonna disait vrai ? Et si elle n’avait rien vu parce qu’elle n’avait tout simplement pas de symptômes ? Toutes les femmes n’étaient pas prises de nausées au matin… Elle avait passé un mois à l’autre bout du monde à se reposer. Alors elle n’avait sans doute pas sentit de fatigue…
Angy avait ouvert la bouche pour répondre que là n’était pas la question. Bien sur qu’elle devait adoré les enfants d’Iris. Mais elle savait parfaitement qu’elle adorait Eddy… qu’il était en quelque sorte son chouchou. La présence d’Edward fit refermer la bouche à Angy. Il avait forcement entendu… Elle se pinça les lèvres entre elle en entendant la réponse d’Edward. Si ils en avaient déjà parlé, mais le sujet avait besoin d’une mise à jour. Angy la redoutait quelque peu. Un peu plus encore maintenant que Nonna avait mit le doute dans sa tête. Elle observa l’échange entre grand-mère et petit-fils, restant silencieuse, et elle poussa un soupire lorsqu’Edward quitta la pièce.
« -je suis désolée… » souffla Angy, les deux coudes sur la table. « -notre histoire est un peu… compliqué… et comme il vient de vous le dire, on a pas vraiment discuté de ça… » Nonna ne cessait de regarder Angy avec douceur. « -tu n’as pas à être désolée, je connais ce garçon par cœur et je sais pertinemment que c’est une tête de mules. » et elle ajouta : « -et qu’il ne veut soit disant, pas d’enfant. » Angy hocha la tête. « -si jamais cela arrive un jour, vous en serez la première informée. » conclue la jeune femme avec douceur. Pour le moment, ils devaient surtout prendre le temps d’en discuter tout les deux. Le repas terminé de préparé, Angy laissa Nonna pour rejoindre Edward jusqu’à leur chambre. Sans rien dire, elle vint directement se blottir contre lui, alors qu’il était encore torse nu. Elle déposa ses lèvres sur sa peau. « -la douche t’as fait du bien ? » demanda la jeune femme. « -je vais faire pareil. Le décalage horaire commence à se faire sentir… »
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Mer 8 Jan - 19:45
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Entendre Nonna évoquait son désir de devenir l’arrière-grand-mère d’un enfant issu de la lignée d’Edward, ne fit que raviver des craintes qu’il tentait, tant bien que mal, de mettre en sourdine depuis qu’ils avaient posé pied à terre en Italie. Ils avaient quitté New York en laissant cette conversation en suspens, et ne souhaitait pas la poursuivre ici-même, en présence de sa grand-mère. Qu’importe toute l’affection qu’il portait à Nonna, le politicien ne désirait pas, qu’une fois encore, son entourage s’ingère dans leur histoire, et dans une décision qui n’appartenait qu’à eux seuls. Dès lors, il mit froidement à terme à cet échange oppressant pour trouver refuge à l’étage supérieur. L’eau chaude qui se déversait sur lui n’entraîna pas dans son cheminement les pensées du quadragénaire. Tôt ou tard, il savait qu’il devrait affronter Angie au sujet de ce désir inopiné de parentalité. Lui qui avait toujours envisagé de mener sa vie seul et sans enfant… Rêvait aujourd’hui d’une maison avec un jardin dans lequel s’épanouirait leur progéniture. Il venait de boucler sa ceinture de pantalon lorsque le corps chaud de la jolie rousse vint se blottir tout contre son dos, déposant ses lèvres sur sa peau « Pas vraiment… » avoua-t-il et acquiesça « Je vais m’excuser auprès de Nonna en attendant, mais avant… ». Sur ces mots, il se retourna et enveloppa son visage de ses mains, déposant ses lèvres tout contre les siennes « Je suis désolé La Mia Luce, je n’aurais pas dû réagir ainsi… ». Sa bouche rencontra de nouveau la sienne, et laissa ses mains glisser jusqu’aux siennes « Je te laisse prendre ta douche ». Il s’éclipsa de leur chambre pour rejoindre sa grand-mère à l’étage inférieur. Assise sur une chaise, ses lunettes de vue sur le bout de son nez, elle s’exerçait aux mots croisés, patientant que le dîner cuise. « Si tu viens t’excuser Gattino, ce n’est pas nécessaire. Je ne t’en veux pas ». Un soupir et un sourire étira bien vite les lèvres du politicien qui se rapprocha.
Ses mains sur les épaules de la vieille femme, il embrassa sa chevelure blanche « Pourtant, ça serait légitime » « Balivernes ! » déclara-t-elle en remuant l’air d’un revers de main. Elle se délesta ensuite de son stylo, puis de ses lunettes avant de lever son regard sur son petit-fils adoré « Cependant, je veux bien que tu m’expliques pourquoi tu as réagis ainsi ». Edward osa un regard en direction de l’entrée, et après s’être assuré qu’ils étaient seuls, pris place à ses côtés, laissant un bref silence s’installer, avant de décider de le briser « Peu de temps après notre rencontre, je lui ai avoué ne pas désirer d’enfants. Elle n’en souhaitait pas non plus ». Nonna opina de la tête, le laissant poursuivre après qu’elle ait formulé un « Mais… », ce qui le fit sourire « Mais tout ça a changé ces dernières semaines. J’ignore comment et pourquoi… Et lui avouer, c’est prendre le risque de la perdre » « Tu préfères donc garder tout cela pour toi » « Pour la garder auprès de moi… Oui ». Elle commenta d’un « Hummm » énigmatique, puis se leva pour venir remuer le dîner « Pourrais-tu me partager ta sagesse de Nonna ? ». Un petit rire résonna dans la pièce, celui de la vieille femme, qui se retourna vers le politicien qui restait presque pendu à ses lèvres en cet instant « Non. Vous seuls avez la clef ». Ce fut à son tour d’émettre un petit rire sous cape tout en baissant la tête « J’étais certain que tu allais me dire ça » « Tu me connais trop bien Gattino » dit-elle en comblant l’espace entre eux pour venir lui pincer la joue « En tout cas, je te félicite. Tu l’as bien choisie. Elle est adorable », et la corrigea ensuite « Non… Elle est parfaite ». Son pincement se transforma en caresse maternelle « Je suis heureuse de te voir si amoureux mon grand » « Moi aussi ».
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Charly
Mer 8 Jan - 21:20
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Ils se retrouvaient à peine. Angy était déterminée à ne rien laisser entraver leur bonheur. Alors elle gagna la chambre et combla l’espace entre leurs corps, évitant de laisser s’installer un malaise. Il avait eu une réaction étrange… mais le sujet était délicat et ils l’avaient laissé en suspens. En entendant la réponse d’Edward, elle se pinça les lèvres. Lorsqu’il se retourna, elle plongea son regard dans le sien, avant de lui rendre son baiser si doux. « -ne t’excuses pas… tu as certainement tes raisons d’avoir réagi ainsi. » il n’avait pas à lui présenter d’excuses. Mais ils allaient devoir avoir cette conversation tôt ou tard. Un nouveau baiser et elle le laissa partir avant de rejoindre à son tour la salle de bain. Une fois nue, Angy effaça la buée du miroir, et se regarda de profil. Elle posa ses mains sur son ventre, cherchant à savoir si Nonna avait raison… Si c’était le cas… ça voudrait dire qu’elle serait déjà pratiquement à trois mois de grossesse ? Angy n’avait pas envisagé avoir ce genre de pensée durant ce séjour en Italie. Elle poussa un long soupire, avant de se décida à prendre sa douche.
Elle prit son temps, laissant ainsi le loisir à Edward et sa grand-mère de pouvoir discuter sans qu’elle soit présente. Puis elle se décida à enfin rejoindre la cuisine. L’odeur lui donnait l’eau à la bouche. C’est vrai qu’elle mangeait peut-être plus qu’avant… mais elle avait toujours été gourmande de nature… cela ne prouvait rien. De toute manière, elle ne serait fixée qu’en faisant un test. Est-ce qu’elle devait attendre leur retour à New York ? Ou bien d’avoir cette fameuse conversation ? Angy était encore indécise. Et si c’était positif comme l’avait prédit Nonna ? Et si cela sonnait la fin de leur relation parce qu’Edward était incapable de changer d’avis ? Il avait été claire… il ne désirait pas devenir père. Et à l’époque, Angy lui avait dit que de son côté, elle ne désirait pas d’enfant pour le moment. Mais les mois avaient passé, ses sentiments pour lui n’avaient cessé de grandir et aujourd’hui, elle regardait avec envie les ventres arrondis des femmes enceintes… Comment lui dire sans le perdre ?
Deux pas de plus et elle entra dans la cuisine où se trouvait Eddy et Nonna. « -ça sent délicieusement bon… » commenta la jeune femme. Et le repas fut tout aussi délicieux. La conversation fut plus légère, parsemer de rire et de souvenirs. Avec le décalage horaire, Angy finit par monter de coucher, laissant à nouveau Eddy et sa grand-mère en tête à tête. Elle remercia la vieille femme chaleureusement, et caressa l’épaule d’Edward, avant de monter se mettre en pyjama et se glisser dans les draps. Elle était exténuée et n’entendit pas Edward lorsqu’il vint à son tour se coucher. Le lendemain matin, elle se réveilla avant lui et décida de le laisser dormir. Elle s’habilla rapidement et quitta la maison pour se promener dans le village. Par reflexe elle avait saisi son téléphone, pour faire un coucou à ses abonnés… mais elle s’était ravisée. Personne ne devait savoir pour l’Italie. Ses pas la conduisirent devant une pharmacie… elle hésita, et puis elle finit par entrer et demander un test de grossesse. Elle cacha la boire au fond de son sac, avant de revenir chez Nonna avec le petit déjeuner sous le bras.
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