"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly
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Dim 24 Nov - 19:18
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Par le passé, la jeune femme s’était confiée sur son histoire, sur son passé et la lutte incommensurable menée par ses parents pour exceller à ce titre, au détriment du bonheur de leur enfant. Avec le temps, les anniversaires avaient perdu de leur magie, et étaient devenus des jours presque redoutés. C’était la raison pour laquelle Edward avait œuvré de manière à ce que cette soirée d’anniversaire soit pour le moins exceptionnelle, et que ce jour spécial le redevienne. Le jardin botanique était apparu comme une évidence, et la réaction d’Angie l’avait conforté dans son choix. Quant à l’argent dépensé pour réserver ce lieu, il garderait le secret jusqu’en outre-tombe. Constat auquel parvint d’elle-même la jeune femme, décochant un sourire au politicien qui ne put que confirmer par une de ses coutumières réponses monosyllabique « Non ». Il lui confia néanmoins ne pas être le maître queux du dîner de ce soir, délestant cet ouvrage à un traiteur de renommée à Manhattan. Et dans l’attente de l’heure du dîner, Edward décida d’entraîner Angelica dans les chemins traversant les divers jardins qui composaient ce lieu, sa main dans la sienne. Ce fut la jolie rousse qui fut à l’initiative de la conversation, l’enjoignant implicitement à avouer qu’il avait dû contraindre Flynn à lui confier la précieuse information qu’était sa date exacte de son anniversaire. À sa réponse, le politicien laissa échapper un petit rire sous cape « S’il ne m’avait rien dit, je n’aurais dû d’autres choix que d’user de mes relations ». Mais tôt ou tard, Edward aurait obtenu ladite information. Il préférait seulement l’acquérir de manière plus éthique. Puis ce joli rire résonna. Celui qui faisait bondir chaque fois son cœur dans la poitrine, qui l’enivrait et dont il ne parviendrait jamais à se lasser. « Je suis un homme obstiné Mademoiselle Gordon ». Le candidat au Sénat avait d’ores et déjà songé à cette possibilité, et avait orchestré un plan B qui se concrétisait par un panier en osier renfermant des mets de qualité, une bouteille de champagne et de quoi dresser une table à même le sol si nécessaire. Probablement qu’il aurait réquisitionné le toit de son immeuble pour profiter d’une vue sur la voie lactée. Mais il n’avait rien eu à faire de tout cela, parce qu’elle avait accepté. Parce que c’était lui.
Parce que l’instant si prêté tout particulièrement - les effluves des fleurs tropicales s’élevant dans l’air, la profusion de couleurs, et ce papillon virevoltant dans les airs – Edward combla l’espace entre les deux corps et déposa ses lèvres tout contre les siennes dans un baiser léger. Tous deux avaient fait le choix de donner du temps au temps, et ce soir ne dérogerait pas à la règle. Seulement, ce baiser, ils avaient tous les deux désirés, et ce, depuis bien longtemps maintenant. Il était un présent, tout autant pour l’un que pour l’autre. Et après l’avoir fait languir concernant la suite de la soirée, ils revinrent à la tente de fortune dressée pour cette nuit, et où avait été dressé le dîner, entre chandelles et pétales de rose. Ils prirent tous deux places autour de la table d’appoint et acquiesça « Je trouve aussi » avoua-t-il en humant les effluves de ses pâtes fraiches au foie gras de canard et aux truffes. Il lui offrit un sourire pour seule réponse, ravi de constater qu’il parvenait encore à la surprendre. Tout en remplissant de nouveau leurs coupes de champagne, il l’écouta et ne put qu’émettre un petit rire lorsqu’elle l’évoqua lui « Je n’envisageais pas cela autrement » et acquiesça « Une belle année, en autre ». Il porta la première bouchée à ses lèvres, et se délecta du mélange de saveur et reprit « Tu as réfléchis à ce que tu souhaitais faire lorsque tu aura quitté les réseaux sociaux ? ».
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Charly
Dim 24 Nov - 21:03
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Flynn avait finit par donner l’information. Elle ne voulait pas savoir si son meilleur ami avait résisté ou si Edward s’était montré plus qu’insistant. Finalement, grâce à cela, elle avait droit à une merveilleuse surprise. La plus belle… pensée et réfléchit par l’homme dont elle était éperdument amoureuse. Un homme qui jusqu’à elle, n’avait jamais véritablement aimer. Un homme qui n’y connaissait rien en amour et qui pourtant se révélait être parfait dans son rôle de conjoint. « -tes relations ? Sérieusement ? » elle le voyait demander à la police… Il y avait des moyens plus simple pour trouver la date de naissance de quelqu’un… « -fais moi penser à classer mon casier judiciaire comme top secret… » ajouta la jeune femme en riant. « -oh mais je le sais… » lorsqu’il avait une idée en tête, il ne l’avait pas ailleurs. Mais elle pensait qu’avec les montagnes russes qu’ils avaient traversé, son anniversaire et l’idée de le fêter, était passé aux oubliettes.
Lorsqu’ils furent de retour sous la tente, le repas avait été servit de la plus belle des manières. C’était romantique et magnifique. Et ce qui se trouvait sur la table basse semblait délicieux. Non, vraiment, elle ne voulait pas savoir le prix de cette soirée organisée rien que pour elle. Angy apporta quelques précisions sur sa vision de l’année qui s’ouvrait à elle. Rien de précis. Elle voulait seulement être avec lui. C’était sa seule certitude. Pour le reste, c’était encore flou. Elle prit le temps de commencer à manger et elle ouvrit de grands yeux. « -mon dieu c’est délicieux ! » commenta la jolie rousse. « -j’ai réfléchi. » lâcha Angy de manière énigmatique, prenant le temps de manger de nouveau avant d’ajouter : « -et pour l’instant, je n’ai pas trouvé de réponse à cette question. » c’était la stricte vérité. Il y avait des paramètres qu’elle ne contrôlait pas. Des contrats à terminer d’honorer. Cela allait prendre un peu de temps avant de réellement clôturer. « -j’ai été invité à une course automobile. » elle prit une nouvelle bouchée, avala et précisa : « -c’est organisé par un groupe féministe. Pour mettre en avant les femmes d’influences qui aident les autres femmes. » elle prit une gorgée de champagne et reprit : « -ça me tente bien. C’est dans deux semaines. Ça ne sera pas la première fois que je pilote, et j’ai vraiment envie de revivre cette expérience. » peut-être que faire de nouvelles rencontres lui permettrait d’y voir plus claire sur son avenir.
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Dim 24 Nov - 21:37
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Si Flynn ne s’était pas décidé à abdiquer à sa demande, il ne faisait nul doute qu’Edward aurait obtenu l’information par d’autres moyens, notamment grâce à ses précieuses relations dans la police de New York « Je suis adjoint au maire, bien sûr que j’ai des relations ». Un simple appel aurait suffit. Seulement, le politicien avait préféré opter pour la contrainte à l’encontre du meilleur ami de l’influenceuse, dont le rire ne pouvait que le faire sourire. « On n’a pas été sage Mademoiselle Gordon ? » la taquina-t-il, avant de rappeler l’obstination dont il savait faire preuve de temps à autre. Cela signifiait que peu importe comment le politicien aurait procédé, mais il aurait passé ces quelques heures à ses côtés, ne faisant que de peu de cas de ses hypothétiques dispenses. Bien qu’il devait avouer qu’il préférait que la soirée se déroule ici-même, en ce lieu, enserré par la flore sauvage et à l’abri du brouhaha incessant de la ville.
D’autant plus que le jardin botanique offrait un cadre idylle et romantique qu’il n’aurait pu substituer. Qui pouvait se targuer de dîner au milieu de la nature au cœur même de Manhattan, sans être interrompu par le moindre bruit ou présence d’autrui ?! Ce soir, ils étaient probablement les seuls à en être capable. C’était aussi cela qu’il souhaitait offrir à Angelica. Une sérénité au milieu du chaos qui pouvait régner à Manhattan. Ce à quoi ils aspiraient tous les deux. Entre autre. Un sourire étira de nouveau ses lèvres quand il entendit cette dernière s’exclamer à la saveur des mets présents dans son assiette « Humhum » confirma-t-il simplement, tout en reprenant une bouchée, et finit par laisser échapper un petit rire discret « Tu ménages le suspens mi amore ? », avant qu’elle ne lui avoue ne pas être parvenue à obtenir la moindre réponse « Rien ne presse, tu as le temps ». La jolie rousse ne manquait pas de moyen et n’avait donc aucune urgence à trouver un nouveau projet dans lequel se lancer corps et âme à la suite. Edward l’imita en enfournant sa fourchette entre ses lèvres, lorsqu’Angie reprit parole. « Je crois avoir entendu Suzie m’en faire part dans la semaine. J’y serais probablement ». Le politicien se souciait davantage des impairs de l’intérimaire, que des réelles informations qu’elle parvenait à lui communiquer de temps à autre. « Tu as déjà piloté une auto ? » finit-il par demander, en prenant conscience de la confidence de la jolie rousse.
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Charly
Mar 26 Nov - 16:48
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Une légère grimace, un penchement de tête comme si elle réfléchissait à son passé de pseudo délinquante. Et puis un petit rire joyeux et un aveu : « -non, tu n’aurai rien trouvé. J’étais sage, bosseuse et ennuyante au possible. » c’était la stricte vérité. Elle n’avait jamais fait de bêtise dans sa jeunesse. Même pas un PV. Comme elle venait de le dire, la jeune femme passait le plus claire de son temps à bosser ses cours et à jongler avec deux petits boulots pour pouvoir payer le loyer du minuscule appartement qu’elle partageait avec Flynn à l’époque. Elle ne s’était mise à faire la fête que bien plus tard, lorsqu’elle avait reprit sa vie en main, après avoir été détruite par son ex toxique. Elle avait réalisé également en perdant sa grand-mère que la vie était courte et qu’elle devait être vécu pleinement. Qu’elle devait en savourer chaque seconde, comme ce soir, ici dans le jardin botanique, avec l’homme qu’elle aimait.
Tout était parfait. Magnifique. Romantique. Elle ne savait pas comme elle pourrait remercier Edward du cadeau qu’il lui offrait ce soir. Grâce à sa surprise, Angy avait enfin la possibilité de voir sa date d’anniversaire d’une manière bien différente. Elle pouvait également mesurer l’intensité de l’amour que lui portait le beau brun. Il avait réfléchit à ce cadeau, en pensait à elle, pour qu’il soit unique et rempli de symbole. Encore une fois, elle fut incapable de lui donner une véritable réponse à sa question. Non, elle n’avait pas encore trouvé les réponses à ses questions. Elle ne savait pas ce qu’elle voulait faire après… mais ça viendrait, elle n’avait pas de doute là-dessus. Elle trouverait. Elle allait se réinventer. La seule certitude, c’était qu’elle voulait avoir du temps pour le passer avec lui. Vivre pleinement leur histoire. Elle désirait également un enfant de lui, mais elle n’avait toujours pas, non plus, trouvé assez de courage pour lui en parler. Elle redoutait sa réaction. Ils venaient de se retrouver, elle ne souhaitait pas le perdre pour une envie qui était peut-être passagère…
« -Suzie ? C’est qui Suzie ? » demanda Angy en fouillant sa mémoire. Elle n’avait jamais entendu ce prénom auparavant dans la bouche d’Edward. « -tu aura donc le privilège de me voir conduite un petit bolide comme une véritable professionnelle. » s’amusa Angy avec une assurance certaine. « -oui monsieur. Et j’adore ça… » elle s’était découvert une passion pour la vitesse il y avait déjà quelques années. « -mais tu n’as pas à t’inquiéter, je suis prudente. » elle savait parfaitement ce que pouvait évoquer un accident de voiture chez Edward. « -de toute manière, je n’y vais pas pour gagner. Pour participer et passer un bon moment. » elle ne voulait pas qu’il se fasse du souci ou que cela lui crée des angoisses. « -et de ton côté, comment va Ava ? » elle n’avait pas osé la recontacter, ne voulant pas se mêler de quelque chose qui ne la regardait pas. L’assistante d’Edward savait parfaitement qu’Angy était là si elle avait besoin d’elle.
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Mar 26 Nov - 20:11
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Ce dont ignorait la jeune femme, c’était qu’au préalable de leur rencontre, Ava s’était acquittée de vérifier ses antécédents judiciaires, et cela, afin de ne pas porter préjudice à son image de futur sénateur de New York. Par conséquent, il ne fut aucunement surprit de la réponse d’Angie quant à l’inexistence d’un casier judiciaire, bien qu’il décida de ne pas la conforter dans la perception qu’elle avait de la jeune femme studieuse qu’elle avait été par le passé « Ne dit pas ça » et renchérit par la suite « Avoir une mention au casier judiciaire ne te rend pas plus intéressante », puis haussa les épaules nonchalamment, tandis que ses lèvres s’étirèrent dans un sourire espiègle « Si tu veux savoir, en ce qui me concerne, je trouve l’idée de toi, étudiant sérieusement, un crayon de papier dansant entre tes lèvres, affreusement séduisante ». Edward l’imaginait sans mal le nez rivé dans des ouvrages complexes, un crayon dans les cheveux pour tenter désespérément de dompter sa chevelure de feu, et un autre tapotant tour à tour ses dents du haut et du bas. Nul doute qu’il aurait été séduit par cette femme-là. Mais il l’était plus encore de celle qu’elle était devenue aujourd’hui. Une femme indépendante, épanouie et assurément amoureuse de lui, au regard de la réponse qu’elle lui confia. Angie ignorait encore quelle carrière elle embrasserait demain, mais ce dont elle était certaine, c’était qu’elle ne voulait pas un autre homme à ses côtés pour partager son présent et son futur. Ce qui tranquillisa davantage le politicien qui nourrissait les mêmes ambitions les concernant.
Tout en portant sa bouchée de pâtes au foie gras et aux truffes à ses lèvres, Edward émit un petit rire à l’interrogation de la jolie rousse qui se tenait devant lui. Il prit soin d’avaler le contenu, avant de répondre « Un désastre » dans un premier temps, puis de renchérir « L’intérimaire qui remplace Ava ». La jeune diplômée issue de Columbia n’avait de cesse de cumuler les bévues. Pour un homme qui condamnait le moindre chaos dans son existence, ne tolérant aucun imprévu, il n’avait d’autres choix que d’évoluer dans un tumulte constant depuis le départ de son assistante. Toutefois, la dénommée Suzie était parvenue à l’informer de sa présence à la course de voitures de collection organisée en faveur des femmes d’influence. Un évènement auquel avait été également conviée Angie en sa qualité d’influenceuse, et de femme. Pour autant, Edward peina à s’enthousiasmer quant elle l’informa qu’elle serait également l’une des pilotes de la course. Des véhicules d’antan mis à disposition par des collectionneurs dans le cadre d’une course à grande vitesse sur un circuit automobile. Dans ce genre de circonstance, l’esprit du politicien se contentait d’un simple raccourci entre véhicule lancé à grande vitesse et accident mortel depuis le décès brutal de Tommy. Il tenta néanmoins de dissimuler son trouble et esquissa un maigre sourire « Je suis un chanceux alors ! », avant de poursuivre « Tu as conduit quand pour la dernière fois ? ». Angie n’était pas dupe pour autant, et tenta tant bien que mal de mettre un terme aux craintes qui germaient peu à peu dans son esprit « Tu me le promets ? » finit-il par demander, comme si une promesse pouvait déjouer tous les statistiques.
Tout en disposant ses couverts dans son assiette dorénavant vide, Edward prit le temps de répondre à la jeune femme « Elle vit actuellement chez ses parents, en attendant que le divorce soit prononcé et la maison vendue. Ils n’ont pas d’enfant, ça facilite la séparation » et se saisit de sa coupe de champagne « J’ai un temps hésité à l’héberger à l’appartement. Mais on aurait fini par s’entretuer après quelques jours ». Le politicien avait des habitudes préétablies et auxquelles il lui était difficile de renoncer. Il n’y était pas parvenu par amour, alors pour Ava… Sur ces mots, il pianota un bref message sur son portable qu’il délaissa aussitôt. Quelques minutes plus tard, un serveur fit son entrée dans le jardin botanique, tenant entre ses mains une tarte aux pommes illuminée par quelques bougies éparses. Aussitôt déposé sur le table de fortune que l’inconnu disparu de nouveau, pour leur octroyer l’intimité qu’avait acheté le politicien « Bon anniversaire La Mia Luce », puis extirpa une enveloppe de sa poche. Ignorant ce qui pourrait la combler en tant que présent, Edward avait fait le choix de leur réserver un week-end au spa AIRE Ancient Baths à New York, un lieu renfermé dans le sous-sol du quartier de Soho.
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Charly
Jeu 28 Nov - 14:55
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -affreusement séduisante ? Rien que ça… » s’amusa la jeune femme avant de grimacer légèrement : « -c’est exactement ce que j’étais… lorsque je ne jonglais pas avec les deux boulots, je passais mon temps à la bibliothèque, à étudier. » elle avait toujours été studieuse, à fond dans ses études. A fond dans tout ce qu’elle entreprenait. Peut-être que s’ils s’étaient croisés à l’époque, ils se seraient plu, se seraient attachés l’un à l’autre… Peut-être plus… Elle aurait pu être présente lorsqu’il avait perdu son meilleur ami… Ou alors il l’aurait repoussé comme il avait repoussé la terre entière… aller savoir… Ils avaient quelques années d’écart et n’avait pas fait les mêmes études… Alors la probabilité qu’ils se soient rencontrés, était mince.
Une fois de retour sous la tente, installée devant cette petite table basse devant ce merveilleux diner, Angy expliqua à Edward qu’elle avait été invité pour une course automobile. Elle le questionna au sujet d’un prénom féminin dont elle n’avait jamais entendu parlé. Un léger froncement de sourcils. Puis un haussement avant de sourire. « -la pauvre… ça ne dois pas être évident de remplacer Ava qui te connait si bien et qui travaille depuis si longtemps pour toi… » oui, vraiment elle plaignait cette jeune femme qui devait certainement avoir droit au Edward froid et austère… Angy évoqua ensuite son talent et son amour pour la conduite. Pour vitesse également. Sachant parfaitement que cela pouvait créer des angoisses chez Edward. Elle ne souhaitait pas lui mentir et elle ne souhaitait pas non passer à côté de cette opportunité. « -l’année dernière. » elle lui assura qu’elle serait se montrer prudente. Elle aimait la conduite, la vitesse mais elle n’était pas du genre à vouloir gagner à tout prix. L’idée était plus de passer un bon moment. Hors de question qu’elle mette sa vie en danger. « -je te le promets Eddy. » assura Angy avec douceur et sincérité.
La jolie rousse désira prendre des nouvelles d’Ava. Elles avaient eu des hauts et des bas, mais elles s’appréciaient réellement. Et Ava ne méritait pas ce qui était en train de lui tomber dessus. Un hochement de tête, avant ce petit pincement au cœur. « -oui… ça facilité les choses… » roh mais qu’est ce qui lui prenait ?! Elle n’avait jamais véritablement envisagé de devenir mère. Et voilà que cela lui faisait mal à chaque fois qu’elle réalisait qu’Edward ne voulait pas d’enfant… « -tu as bien fait. » sourit Angy avant d’ajouter : « -elle a besoin de traverser cela à sa façon… et même si elle compte beaucoup pour toi, tu es son patron… » une légère grimace.
Angy termina de manger clamant à nouveau que c’était délicieux et qu’elle se régalait. Elle ne dit rien au sujet du téléphone qu’Edward avait saisi, mais lorsqu’elle vit arriver un homme, tenant entre ses mains un gâteau avec bougie allumées, elle porta ses deux mains devant sa bouche, couvrant son nez un peu comme en prière. Lorsqu’elle constata qu’il s’agissait d’une tarte aux pommes, elle eut de nouveau les larmes aux yeux, le cœur rempli d’amour. « -merci mon amour… » murmura la jeune femme à voix basse, incapable de parler plus fort. Elle posa les yeux sur l’enveloppe qu’il lui tendait et se demanda quand est ce que les surprises allaient s’arrêter. Elle l’ouvrit, et son regard s’illumina. « -je sais même pas comment te remercier… tout est trop beau… » la soirée entière fut totalement merveilleuse. Un rêve éveillé.
Peu à peu ils tissaient à nouveau leur relation, épanouissaient leur amour, mettant de côté le plaisir charnelle. Seulement après plus de deux mois ainsi, Angie avait terriblement envie de gouter à nouveau aux plaisirs de la chaire et de la luxure avec Edward. Elle avait envie de sa peau, de son souffle sur la sienne. Elle voulait sentir ses caresses, puis ses coups de reins. Alors ce soir-là, elle l’attendait chez lui, après lui avoir envoyé un sms : rendez-vous chez toi ce soir, ne soit pas en retard. J’ai très très envie de te voir… Elle avait acheté pour l’occasion des dessous chic et érotique, qu’elle portait sous une robe légère. Elle avait préparé du champagne ainsi qu’une ambiance cosy et tamisée.
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Ven 29 Nov - 21:06
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Un « Humhum » lui échappa dans un sourire pour confirmer ses propres dires, tout en continuant de la couver tendrement du regard tandis qu’Angie se confiait sur l’étudiante assidue qu’elle était autrefois « Je ne suis pas le moins du monde surpris ». Edward l’imaginait sans mal cumuler les rôles et les postes pour parvenir à ses fins, sans devoir quoi que ce soit à personne. Elle ne devait sa réussite qu’à elle seule. Il aurait pu prétendre qu’il aurait été sans nul doute séduit si seulement leurs routes s’étaient croisées à l’époque, mais le politicien savait qu’il n’en aurait rien été. Il portait encore le deuil récent de son meilleur ami, et n’aspirait nullement à tisser le moindre lien avec quiconque. De toute manière, c’était la femme qu’Angie était devenue aujourd’hui qui avait su conquérir son cœur. L’influenceuse douce et pétillante, qui ne manquait pas pour autant de caractère lorsque cela était nécessaire. Elle était parfaite dans son imperfection, comme il se plaisait à lui dire. Et c’était pour elle, qu’Edward s’était évertué à organiser cette soirée qu’il désirait inoubliable pour la jeune femme. Cela n’empêcha pas d’évoquer brièvement leurs carrières respectives, et notamment l’arrivée récente de la dénommée Suzie que la jolie rousse prit en pitié. À ces mots, il posa sur elle un regard inquisiteur, tentant de discerner le sous-entendu « Tu peux le dire, tu sais » amorça-t-il avec légèreté, laissant ses lèvres s’étirer lentement dans un sourire malicieux « Que seule Ava est à même de gérer mes sautes d’humeur ». Bien qu’elle avait raison. À maintes reprises, Edward avait surprit Suzie émettre un petit sursaut en entendant le son de sa voix jaillir dans la pièce, bien souvent à raison.
Mais ce soir, Edward ne désirait aucunement évoquer l’intérimaire qui remplaçait temporairement son assistante. Cette soirée était uniquement dévolue à Angie qui lui confia son appétence pour la conduite, et notamment pour la vitesse. Une confidence dont se serait bien passé le politicien qui n’avait de cesse d’assimiler conduite et accident. Quant à son détachement apparent, il ne trompait personne, et encore moins sa moitié qui répondit à chacune de ses interrogations, acquiesçant de temps à autre, avant d’émettre une requête. Elle devait lui promettre d’être prudente le jour de la course automobile. Perdre son meilleur ami avait été une épreuve douloureuse, mais perdre Angie, lui serait insurmontable. Il se contenta de murmurer un timide « Merci… », avant que le sujet ne dévie sur Ava. En plein divorce, cette dernière n’avait eu d’autres choix que de retourner au domicile familial dans l’attente de liquider les biens acquis au cours de leur union. « Tu n’es pas d’accord ? » osa-t-il demander en distinguant une légère hésitation dans sa voix, espérant qu’elle le contredirait. Edward pensait que son désir de paternité se dissiperait avec le temps, avec cet éloignement qu’ils s’étaient imposés l’un à l’autre, mais que nenni. Il n’avait de cesse de croître, et plus encore depuis qu’ils apprenaient à se retrouver. Elle était l’amour de sa vie, et il espérait dorénavant qu’elle devienne la mère de leur enfant. Seulement, le politicien ne voulait pas la contraindre à quoi que ce soit. Pas après ce qu’elle avait enduré avec son ex-petit-ami. Alors il continuerait à se taire, priant pour que ce désir ne s’estompe peu à peu. « Je suis aussi son ami » précisa-t-il « Mais elle seule est capable de remettre sa vie en question. Je ne peux pas l’aider ».
Parce que tout anniversaire se devait d’être célébré par un gâteau, Edward pianota brièvement sur son portable pour appeler le serveur qui leur apporta une tarte aux pommes. Souvenir de sa grand-mère. Un détail qui toucha la jolie rousse qui le remercia, une fois encore. Sans mot dire, il glissa jusqu’à elle une enveloppe contenant une invitation de deux jours dans un Institut du centre-ville. C’était la promesse d’un rendez-vous en amoureux, coupé du monde extérieur. « Ton bonheur me suffit La Mia Luce ». Edward n’avait pas besoin d’être remercié. Son regard pétillant, son sourire, lui suffisait. C’était tout ce dont il désirait. La rendre suffisamment heureuse pour qu’elle parvienne à retomber amoureuse de lui une seconde fois.
« Ce n’est pas le bon dossier Suzie… » déclara-t-il d’une voix dangereusement sombre, presque menaçante et quelque peu lassé de ses innombrables impairs. Cette dernière se morfond en excuses qu’il balaya d’un revers de main, se contentant de se saisir du dossier qu’elle lui tendait, et l’enjoignit à quitter la pièce lorsque la brève sonnerie de son téléphone l’interpella. Il délaissa la pochette kraft pour se saisir du petit appareil et esquissa à la lecture de ces quelques mots. Il piano à son tour : Trop tard. Je suis déjà en retard. Je fais vite. Dès que son pouce pressa la touche en bas à droite de son écran, il rassembla l’ensemble de ses effets et prit place à l’arrière de la berline qui attendait patiemment devant le bâtiment de la mairie de New York. « Je suis en retard, je m’en excuse » déclara Edward aussitôt le seuil du penthouse franchi. Il se délesta tour à tour de son manteau et de sa mallette dans l’entrée, avant de constater l’ambiance tamisée. Edward déposa sur le comptoir le sac kraft détenant les sushis, et continua d’arpenter les quelques mètres jusqu’à la jolie rousse, un bouquet de fleurs à la main « Bonsoir mi amore ».
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Charly
Sam 30 Nov - 13:51
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -dire quoi ? » demanda Angy en faisant mine d’être innocente. Une légère grimace. « -je crois que vous avez surtout une dynamique bien huilé avec Ava. Elle connait ta personnalité, ton environnement… C’est logique que cette nouvelle jeune femme ne s’en sorte pas. » elle l’imaginait avoir légèrement peur d’Edward. Elle avait ressentit cela elle aussi, le premier soir où elle s’était retrouvée chez lui. Parce qu’il était impressionnant, parce qu’il était imposant, et qu’il pouvait se montrer blessant. « -je peux te demander de ne pas être trop dur avec elle ? » demanda Angy comme si elle avait pitié d’un petit animal. Elle n’était pas à la hauteur d’Ava, n’avait pas son expérience non plus… Mais pour le moment, Ava était incapable de reprendre son poste. Divorce, séparation des biens… « -oh si… si… j’imagine qu’avoir un enfant au milieu de tout ça c’est… c’est plus compliqué… » elle avala le reste de son verre de vin et ajouta : « -après j’imagine que l’un d’entre eux n’était pas prêt pour avoir un enfant… ou n’en voulait pas… c’est un sujet parfois sensible et compliqué à aborder… » un sourire et elle remercia mentalement Edward d’avoir ajouté une autre phrase. « -oui… mais elle sais qu’elle peut compter sur toi… » malgré le ton amer de l’autre soir, Ava et Edward avaient toujours une relation forte. Et ça ne changerait jamais.
La fin de soirée avait été merveilleuse. Angy était encore plus amoureuse d’avant, si cela était possible. Ce cadeau, cette surprise… elle ne savait pas comment le remercier car les mots étaient trop faibles pour décrire ce qu’elle éprouvait. Durant les deux semaines suivantes, ils s’étaient revus, ils s’étaient accordés plus de baisers, quelques caresses mais jamais ils n’avaient franchit l’étape suivante. C’était délicieusement frustrant. Ils en avaient envie l’un comme l’autre. Elle l’avait lu dans ses yeux. Alors ce soir, elle avait décidé de prendre les devant et d’organiser une petite soirée. Un sourire lorsqu’elle vit la réponse au message. -tu seras puni… avait-elle répondu sans grand sérieux. Lorsqu’elle avait entendu la porte d’entrée, elle s’était levée. « -bonsoir toi… » avait-elle répliqué en s’approchant : « -normal que tu sois en retard puisque tu es passé prendre des fleurs ! » s’amusa la jeune femme avant d’ajouter : « -elles sont magnifiques. » puis elle tendit ses lèvres pour l’embrasser avec douceur. Elle déposa les fleurs et glissa ses mains sous la veste d’Edward, sur ses épaules, pour l’aider à retirer sa veste de costume. « -j’espère que tu n’es pas trop fatigué… » lui souffla la jeune femme à l’oreille, avant de revenir en face de lui pour défaire sa cravate. Lorsque se fut chose faite, elle se hissa sur la pointe des pieds pour l’embrasser à nouveau, appondissent ce baiser, cherchant sa langue pour y mêler la sienne. Lorsqu'elle recula le visage elle lui demanda: "-j'ai sorti du champagne, mais je suis incapable d'ouvrir la bouteille. ça me..." elle grimaça. "-j'ai toujours peur du pop du bouchon." Elle l'entraina par la main, et ajouta en riant : "-et ce n'est pas une magouille. Je suis réellement incapable de faire ça."
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Sam 30 Nov - 20:44
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Son sourire se fit plus espiègle face à l’apparente candeur de la jeune femme « Le fond de ta pensée mi amore ». Edward n’était pas crédule et avait conscience qu’Angie insinuait bien davantage que ce qu’elle laissait entendre « Je te l’accorde ». Son assistante anticipait la moindre de ses requêtes, parfois même avant qu’elles ne parviennent à son propre esprit. Quant à Suzie, elle était son absolu opposé. Elle ne parvenait pas à répondre à ses demandes, même celles qu’il prenait la peine de formuler, et parfois d’expliquer. Peu importe que la jeune femme avait à cœur de protéger l’intérimaire de ses bougonnements, elle restait inapte à occuper un tel poste. Pour autant, Edward décida toutefois d’abdiquer à la demande de sa moitié, bien qu’il se montra hésitant l’espace de quelques instants, pour finalement souffler un « Oui… » résigné. S’il capitulait, c’était simplement parce que la demande provenait d’Angie et de nulle autre. L’absence d’Ava commençait peu à peu à se faire ressentir, et il lui tardait de retrouver son assistante à ses côtés. Seulement, cette dernière subissait les contraintes inhérentes au divorce, notamment le partage des biens et la recherche d’un nouvel appartement dans lequel résider. Ce qui rendait la procédure plus simple, c’était l’absence de descendance. Bien qu’il soupçonnait la jolie rousse de ne pas partager son avis. Ce qu’il espérait de tout cœur. Cela signifierait qu’elle envisageait de fonder une famille dans un avenir plus ou moins proche … Mais il n’en fut rien. Angie le conforta dans sa théorie fumeuse. Il acquiesça lentement, dissimulant son visage derrière son verre de vin rouge, et déglutit avec lenteur quant elle renchérit de nouveau. N’étant pas certain de la signification des mots prononcés, Edward fit le choix de poursuivre la conversation comme si de rien n’était. Seulement, ces paroles le hanta des jours durant, ignorant ce qu’ils signifiaient réellement. Était-ce une bouteille à la mer ?! Deux semaines après, Edward avait fini par se convaincre qu’il avait entendu ce qu’il souhaitait entendre, et ne désirait pas nuire à leur relation qui s’épanouissait peu à peu au fil du temps. Leur lien était solide et leur relation plus belle que jamais. Pour celui qui était convaincu de ne pas pouvoir l’aimer davantage, il prenait chaque jour un peu plus conscience qu’il n’en était rien. Il n’existait aucune limite à ses sentiments pour elle.
C’était la raison pour laquelle Edward ne fit pas languir davantage la jolie rousse et quitta son bureau aussitôt le message reçu, pianotant tout de même un : Un prix que je suis prêt à payer, sur la banquette arrière en cuir de la berline. Il s’autorisa toutefois un détour pour ramener le dîner et un bouquet de fleurs à sa moitié qui s’en saisit à son arrivée « J’aime t’offrir des fleurs » précisa-t-il sans parvenir à se départir de son sourire béat qui n’existait rien que pour elle « Je te l’accorde, mais pas autant que toi ». Sur ces mots, Edward lui rendit son baiser, savourant la caresse de ses lèvres tout contre les siennes. Sans mot dire, il la laissa ensuite se délester des fleurs pour venir combler l’espace entre leurs deux corps. Au contact de ses mains sur son corps, le politicien ne put réprimer un frisson « Jamais pour toi » murmura-t-il , tout en réprimant tant bien que mal l’exaltation qu’elle faisait naître en lui, et qui était la promesse d’une nuit d’étreinte charnelle passionnée. Il la désirait tant, et depuis trop longtemps maintenant. Elle aussi. Il le savait. La dévorant de ses prunelles azurées, Edward laissa sa moitié le délester tour à tour de sa veste et de sa cravate. Quand il ne fut vêtu que de son gilet et de sa chemise, Angie se décida à prendre possession de sa bouche de la plus délectable des manières. Sa main s’apposa sur sa joue dans une caresse, flattant sa langue avec la sienne avec une envie à peine dissimulée. Si Angie n’avait pas eu l’initiative de mettre un terme à leur baiser, il l’aurait sans nul doute fait sienne sur le canapé du salon sans attendre. Encore décontenancé par ce baiser, il bafouilla un « Peur… bouchon… ok » et se laissa entrainer jusqu’au salon, sa main dans la sienne « Tu as tout organisé. Je peux au moins faire ça » précisa-t-il en reprenant peu à peu contenance « Si tu le souhaites, j’ai ramené des sushis pour le dîner » et délaissa la main d’Angie pour se saisir de la bouteille de champagne. Il retira le petit chapeau en métal, et s’en suivit du bouchon. Il versa ensuite le liquide doré dans les flutes à disposition, et troqua la bouteille contre les verres, tendant l’un d’eux à la jolie rousse « À nous deux ».
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Charly
Dim 1 Déc - 15:32
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -et j’aime lorsque tu m’offres des fleurs… » avait répondu Angy avec un sourire amoureux. Cela voulait dire qu’il avait pensé à elle, qu’il avait souhaité lui faire un cadeau, un petit attention. Elle ne voyait jamais cela comme un moyen de s’excuser. Elle savait qu’il était très prit, et elle ne lui en tenait pas rigueur. Ce qui importait, c’était qu’ils parviennent à se voir, régulièrement, afin d’avancer de nouveau dans cette relation de couple qu’ils avaient décidé de reprendre à la base. Angy était amoureuse. Elle était de tout son être, de toute son âme. Elle avait Edward dans la peau, et elle ne souhaitait rien d’autre que de vieillir avec lui. « -oh tu trouves ? » demanda Angy en prenant la pause, baissant les yeux sur sa robe. « -j’ai acheté cette robe spécialement pour ce soir… » avait elle ajouté, soulignant ainsi que tout avait été pensé. Ce n’était pas l’anniversaire d’Edward, mais elle avait voulu également lui faire une sorte de surprise.
Angy commença à jouer avec lui, l’aidant à retirer sa veste, dont il n’avait plus besoin ici. La jeune femme poussa le petit jeu un peu plus loin, attirant les braises. Puis elle déclara qu’il était l’heure de boire du champagne et avoua être incapable d’ouvrir la bouteille seule. Elle sourit en constant le trouble présent chez Edward, tout en l’entrainant avec elle dans le salon. « -une très bonne idée… un repas qui ne refroidit pas… » souffla Angy en le fixant du regard, avant de faire un léger petit sursaut à cause du pop du bouchon de la bouteille. Elle cligna plusieurs fois des paupières, comme pour se remettre de ce petit bon qu’elle avait pourtant envisagé avant même qu’il n’arrive. Elle récupéra le verre qu’Edward lui tendait et elle le fit tinter contre le sien : « -à notre soirée… » avait elle ajouté avant de boire une gorgée sans le quitter des yeux une nouvelle fois. Elle prit place dans le canapé et posa sa main à côté, faisant signe à Edward de prendre place également. Une nouvelle gorgée et elle déposa sa flute sur la table basse.
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