Le Temps d'un RP
le seul rpg où tu joues qui tu veux, quand tu veux
Retrouve les animations du forum pour t'amuser,
découvrir de nouvelles plumes et vivre de folles aventures !
» Better Omens ? [DouxTeux & Aconit]
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 EmptyAujourd'hui à 16:41 par Aconit

» Présentation de Texarkana
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 EmptyAujourd'hui à 9:15 par Texarkana

» Love isn't soft, like those poets say. ... (avec Gina)
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 EmptyAujourd'hui à 1:52 par Gina

» "What ever you do? Don't eat the f***ing candy." avec Gäa
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 EmptyHier à 22:00 par Clionestra

» Et puis t'as dansé avec moi (ft Clionestra)
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 EmptyHier à 21:26 par Clionestra

» North Rivers, Spin-Off : Cocktail Explosif [FT. Cheval] [+18]
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 EmptyHier à 18:09 par Cheval de Troie

» Tous ceux qui errent ne sont pas perdus. [PV Lulu] [+18]
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 EmptyHier à 17:48 par Lulu

» Tu ne seras jamais mon ennemi (avec Lexis)
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 EmptyHier à 17:45 par Lexis

» Un frère éloigné vaut moins qu'un voisin (avec Lexis)
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 EmptyHier à 16:50 par Lexis

-21%
Le deal à ne pas rater :
PC portable gamer 15,6” Medion ERAZER Deputy P60 16Go/ 512Go RTX ...
629.99 € 799.99 €
Voir le deal

LE TEMPS D'UN RP

"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly

Manhattan Redlish
Messages : 4159
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart

Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Etoiles
Manhattan Redlish
Ven 8 Nov - 11:24

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 19gx89
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 Rv6ehl
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 B03nr4

Avatar : Tumblr - Gif : Keetika


Peu importe que ce soit écoulées trois semaines ou trois mois, sa présence était à ses côtés. L’éloignement et le silence qui en résultait ne signifiait pas que l’amour qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre s’était finalement éteint. Seulement, ils ne pouvaient pas poursuivre une relation jalonnée de disputes. Un jour ou l’autre, ils finiraient pas mettre un terme à leur histoire, parce que l’amour ne pouvait pas tout sauver, et aucun d’eux n’aspirait à un tel avenir. Ce temps avait permis à Edward de mener une réelle introspection et d’amorcer quelques changements dans son quotidien. Il avait à cœur de lui prouver qu’il était toujours prêt à se battre pour eux, pour leur bonheur. Une vie sans elle ne méritait pas d’être vécue, mais pour qu’ils parviennent à trouver leur équilibre au milieu de leurs existences mouvementées, Edward désirait qu’ils reprennent leur relation non là où ils avaient laissé sur le parvis du Metropolitan Opera, mais à ses prémices. Là où tout avait commencé. Ce que la jeune femme ignorait pour le moment. Ce n’était pas le moment opportun pour évoquer leur relation. Elle avait besoin qu’il soit un point d’ancrage sur lequel se reposer sans crainte, d’un homme capable de prendre soin d’elle et de lui offrir un environnement serein dans lequel elle pourrait se ressourcer. C’était la raison pour laquelle il était présent aujourd’hui et qu’il continuait de la maintenir blottie dans ses bras. Mais savoir que sa présence était appréciée lui réchauffait le cœur. C’était l’espoir que la jeune femme n’était pas disposée à le garder hors de sa vie. Elle voulait toujours de lui. Il déposa donc un baiser sur sa chevelure rousse pour seule réponse, et s’intéressa à elle. « Il s’en sortira » murmura-t-il avec douceur, avant de jeter son dévolu sur le repas. Edward n’était pas certain que ça lui convienne, mais contre toute attente, elle lui offrir le premier sourire de la journée et ça valait toutes les réponses du monde en cet instant « Si ça te va très bien, moi aussi ». L’entendre complimenter son plat le rassura également. Elle n’avait pas perdu complètement l’appétit. Une fois encore, le politicien ne se montra pas plus loquace, se contentant de sourire.

À l’issue du repas, ce dernier l’encouragea à rejoindre les bras de Morphée. Sa voix était brisée par la fatigue et ses traits tirés laissés aisément deviner les sombres péripéties de cette nuit. La laissant s’éloigner, convaincue qu’elle allait abdiquer à sa demande sans mot dire, Edward prit place dans le canapé, son portable à ses côtés. Mais contre toute attente, Angie revint à lui, un plaid sous le bras et le rejoignit sur le canapé, disposant sa tête sur ses jambes. Un sourire étira délicatement ses lèvres, et glissa ses doigts dans ses cheveux, les caressant inlassablement, jusqu’à ce qu’elle ne s’extirpe brusquement d’un mauvais rêve quelques heures plus tard. Ce fut en entendant la requête d’Angie qu’il sut que son regard trahissait toute l’inquiétude qu’il éprouva. Pour autant, il opta pour le déni « Comme quoi ? ». Bien évidemment qu’il était soucieux de son état. Le contraire aurait été pour le moins surprenant. « Bientôt » souffla-t-il d’une voix rassurante et convaincue. Puis elle eut ce geste à son égard qu’il avait toujours affectionné. Ses doigts caressant sa joue du bout des doigts. Il lutta pour ne pas l’embrasser à cet instant. Parce qu’elle était si belle, parce que c’était elle, et qu’il ne cesserait jamais de l’aimer. Angie parvint à lui tirer un petit sourire amusé « Le mot est faible La Mia Luce ».

À leur retour à l’hôpital Bellevue, Edward fit le choix de rester à l’extérieur de la chambre, tentant de la rassurer d’un simple regard avant qu’elle ne pénètre seule dans la chambre. Le soulagement fut absolu en apprenant qu’il s’était finalement réveillé. Durant les deux semaines qui suivirent, le politicien prit la décision de rester en retrait, se contentant d’un appel ou d’un message de temps à autre. Flynn avait besoin que la jolie rousse soit à ses côtés, et sans nul doute que la réciproque était toute aussi vraie.

« Non Suzie, nous ne pouvons pas nous permettre une telle dépense » « … » « Parce que c’est de l’argent public… » rétorqua Edward avec rigidité tout en évaluant les chiffres affichés sur son écran d’ordinateur. « Qu’en penses le maire ? » finit-il par demander tout en tendant l’oreille. Un coup d’œil pour l’heure, et se redressa sur ses jambes « Vous lui avez exposé les frais que cela allait engendrer ? » « … ». Le téléphone toujours blottie contre son oreille, Edward arpenta les quelques mètres qui le séparait de son entrée et ouvrit la porte sans le moindre regard dans le judas « Je lui en parlerais… » mais ne conclut pas sa phrase, restant interdit face à Angelica qui se tenait là, devant lui. « Écoutez Suzie, je vous rappelle » et raccrocha sans se soucier des objections de son assistante intérimaire. Un sourire étira lentement ses lèvre, et bafouilla un « Angie… Mais… Qu’est-ce que… Tu es… », et finit par se mordre la lèvre inférieure, s’interdisant de prononcer le moindre mot supplémentaire. Après une brève seconde, il finit par souffler « Bonsoir » tout en s’écartant, la laissant ainsi pénétrer dans son antre. Il referma la porte sans la quitter de ses prunelles azurées. Il n’était pas certain de trouver le mot adéquat pour définir ce qu’il éprouvait en la voyant ici-même, à quelques mètres de lui. Heureux n’était pas suffisant pour exprimer cette sensation de chaleur qui l’envahit en cet instant, alors qu’il se rapprochait de cette dernière « Je ne t’attendais pas ».

Charly
Messages : 4033
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor

Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Etoiles
Charly
Ven 8 Nov - 15:51

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 Tumblr_nnkyzq2yan1s8ccbto1_500
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 68747470733a2f2f73332e616d617a6f6e6177732e636f6d2f776174747061642d6d656469612d736572766963652f53746f7279496d6167652f67776b5742746f64544a496133773d3d2d3330343832343633372e313436663535323535363266363934613232333834353336333832332e676966

Avatar :Tennesse / Gif : Tumblr

Angy passa beaucoup de temps avec Flynn. A la limite d’emménager chez lui. Elle voulait être présente, prendre soin de lui, comme il l’avait toujours si bien fait avec elle. Il était impossible à Angy de réagir autrement. Elle savait qu’Edward serait se montrer patient, qu’il ne pouvait que comprendre ce qu’elle avait pu ressentir. Il avait perdu son meilleur ami de manière tragique. Alors oui, il était sans doute le mieux placé pour comprendre. Ils n’avaient cependant pas totalement coupé le contact. Quelques messages, des appels courts mais présent. Mais Flynn avait raison, il était temps pour elle de faire un pas en avant. Un véritable pas en avant. Flynn allait mieux et visiblement l’hospitalisation avait eut de bons côtés. Il avait rencontré Karim, un infirmier plus que sexy et surtout adorable. Angy était heureuse de le voir heureux. Il le méritait. Elle ne l’avait jamais vu ainsi. Amoureux. Véritablement amoureux.

Ce soir, elle avait décidé de faire ce pas en avant, sans prévenir Edward. Surprise surprise ! Elle avait décidé de débarquer chez lui comme ça. Lorsque la porte s’ouvrit enfin, la jeune femme sourit automatiquement. Un peu plus encore en voyant l’étonnement se peindre sur le visage de l’homme qu’elle aimait. « -je vends des calendriers, ça t’intéresse ? » demanda la jeune femme avec humour. Avant d’ajouter : « -tu comptes me laisser entrer ou on discute là ? » elle avait tellement envie de laisser tout ça derrière eux. « -ah oui, c’est vrai… Bonsoir… » la politesse enfin ! Elle avança de quelques pas dans l’appartement. Etrange sensation que de revenir ici après tout ce temps. Elle avait l’impression que cela faisait des siècles. « -oui… c’est le but de la visite surprise… surprendre la personne et aussi voir ça. » elle pointa le visage d’Edward du doigt en souriant, amusée. Elle ajouta : « -je peux… » demandant ainsi elle pouvait retirer sa veste, poser son sac. Enfin se mettre un tout petit peu plus à l’aise. Parce qu’elle ne comptait pas repartir tout de suite. Ils avaient des choses à se dire, du temps à rattraper. « -ça va toi ? » demanda la jolie rousse d’une voix douce. Elle le trouva beau… il était tellement élégant ans sa chemise blanche… « -tu sais tu… tu peux rappeler. Je peux attendre un peu ou bien repasser si ce n’est pas le bon moment… » en réalité, elle n’en avait rien à foutre de le déranger. Il était pratiquement 20 heures. Il était temps d’arrêter de travailler.

Manhattan Redlish
Messages : 4159
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart

Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Etoiles
Manhattan Redlish
Ven 8 Nov - 16:37

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 19gx89
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 Rv6ehl
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 B03nr4

Avatar : Tumblr - Gif : Keetika


À la suite de ces dernières péripéties, Edward avait fait le choix de rester en retrait faisant preuve de compréhension à l’égard de la jeune femme et de son meilleur ami, et de ce qu’ils venaient d’endurer. Sa compréhension résultait probablement en partie du fait que ces derniers évènements résonnaient en lui, au travers de son passé. Cela lui avait permis de prendre conscience qu’il ne lui avait jamais réellement dit aurevoir depuis cet accident, qu’il n’était jamais parvenu à faire son deuil. Edward avait donc mis à profit ces quelques jours éloignés d’Angie pour se rendre jusqu’au cimetière où il reposait depuis bien des années maintenant et se recueillir sur sa tombe. Debout face à l’épitaphe indiquant « Thomas J. Harrison. Né le 10 mars 1982 – Mort le 25 juin 2000. Fils et ami », il ne put retenir quelques larmes qu’il essuya vulgairement de la paume de sa main, et finit par émettre un petit rire nerveux en levant les yeux au ciel. Aux premiers mots, le politicien s’était senti stupide d’échanger avec une pierre, puis peu à peu, il s’était confié sur sa vie, sur son absence au quotidien. Au fil de l’eau, il avait évoqué Angelica et sa profonde croyance selon laquelle c’était lui seul qui l’avait dressé sur sa route. Il en était convaincu. Un silence avait suivi, et s’était contenté d’un « Je pense qu’il est temps pour toi de partir pour d’autres horizons… Encore merci ». La nuit qui suivit fut particulièrement agitée. Cette visite inopinée au cimetière avait ravivé les souvenirs de l’accident dans les moindres détails, jusqu’à ce qu’il ne s’extirpe des bras de Morphée en sursaut, et en sueur. Mais bien que par la suite, ses nuits retrouvèrent leurs calmes d’antan, contrastant avec le fardeau de ses journées, le manque consécutif à l’absence d’Angie était accablant.

C’était la raison pour laquelle Edward se réfugiait dans le travail. Ce soir ne faisant pas exception. Il était vingt-heures et n’était pas parvenu à s’extirper de son antre depuis son retour de la mairie. C’était donc en pleine conversation que le politicien s’était rendu jusqu’à la porte, songeant que seule Ava pouvait être l’instigatrice de cette visite inopinée. Mais contre toute attente, c’était la jolie rousse qui se tenait derrière la porte, arborant son plus beau sourire. Son habituelle aisance le délaissa un court instant, décontenancé par sa venue inespérée. « Seulement si tu es sur chacune des pages » parvint-il à articuler, avant de bafouiller tel un adolescent à son premier rendez-vous. Confus, Edward glissa sa main libre dans sa nuque, et s’écarta légèrement pour la laisser entrer dans son refuge. Il n’avait pas fallu davantage de temps pour qu’il arbore à son tour ce sourire épris et à la fois timide. « Je suis surpris. Agréablement surpris ». Pour celui qui n’avait jamais apprécié les visites inopinées, il était plus que ravi qu’Angelica ait eu cette initiative. Il avait enfin la sensation que tout son univers s’équilibrait en sa présence. « Oui » murmura-t-il ensuite tout en continuant de la contempler. Son sourire s’étira plus encore à sa question « Oui. Plus encore maintenant que tu es là… Et toi ? », avant de renchérir « Comment se porte Flynn ? ». Edward n’avait plus d’yeux que pour la femme qui venait de s’inviter à son appartement. Les compliments se succédaient dans son esprit pour la désigner. Magnifique, somptueuse, belle, parfaite… Pour que finalement, un « Non » quelque peu précipité ne s’extirpe de sa bouche à al question d’Angie. Il émit un petit rire nerveux et combla l’espace entre leurs deux corps, reprenant avec plus de douceur « Non. Je ne veux pas perdre une seconde avec toi ».

Cela faisait cinq semaines qu’ils communiquaient à peine. Maintenant que la jeune femme était présente, il n’était pas envisageable qu’il laisse échapper la moindre seconde de ce moment à deux. « Un verre ? » proposa-t-il tout en passant derrière elle, sa main caressant le bas de son dos tout en s’avançant jusqu’au bar où il remplit le fond de deux verres en cristal, puis tendit l’un d’eux à l’influenceuse « Tu m’accompagnes, je vais préparer de quoi grignoter ». Edward dépréciait l’idée qu’elle puisse être dans une autre pièce, loin de lui. Il l’enjoignit donc de le suivre jusque dans la cuisine où il s’afféra à préparer quelques amuses-bouches « Parle-moi de toi ».


Charly
Messages : 4033
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor

Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Etoiles
Charly
Ven 8 Nov - 20:46

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 Tumblr_nnkyzq2yan1s8ccbto1_500
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 68747470733a2f2f73332e616d617a6f6e6177732e636f6d2f776174747061642d6d656469612d736572766963652f53746f7279496d6167652f67776b5742746f64544a496133773d3d2d3330343832343633372e313436663535323535363266363934613232333834353336333832332e676966

Avatar :Tennesse / Gif : Tumblr

Devant la porte de l’appartement qui avait vu naitre leur amour, cet appartement dans lequel elle n’habitait plus depuis quelques temps déjà, Angy se sentait plutôt zen et déterminé. Elle imaginait sans mal Edward dans son bureau, devant une tonne de paperasse. Elle aima lire la surprise dans ses yeux en la voyant ici, devant lui. « -en bikini. » précisa Angelica pour poursuivre sur le ton de l’humour. Un humour qu’elle avait la sensation d’avoir quelque peu perdu avec le temps et les différentes difficultés qu’ils avaient traversé. Mais c’était du passé. Ils s’étaient laissés du temps et elle souhaitait repartir sur de bonnes bases. Peut-être faire les choses dans l’ordre. Pourquoi pas… Cette idée lui paru assez folle alors qu’elle détaillait Edward et ne pouvait s’empêcher de le trouver terriblement sexy.

Elle lui demanda l’autorisation de poser ses affaires avant de lui demandé comment il allait. Un sourire étira ses lèvres à la réponse qu’il osa lui donner. Sa venue l’avait déstabilisé, elle le voyait. « -ça va… » souffla la jeune femme en réponse, avant d’ajouter : « -de mieux en mieux. Il n’y a eu aucune complication. Et je crois que la rencontre avec un infirmier sexy lui a fait le plus grand bien. » elle était amusée de savoir son meilleur ami amoureux. C’était rare. Mais là, ses yeux brillaient d’une lueur différente. Comme s’il était assuré que Karim était celui qui lui correspondait. La jeune femme réalisa qu’Edward était peut-être occupé et que sa présence n’était peut-être pas souhaité. Finalement les surprises c’était sympa mais ça pouvait aussi tomber au mauvais moment. La réponse précipité d’Edward lui prouva le contraire. « -ok… » souffla la jeune femme avec un sourire taquin. « -j’aime beaucoup cette idée… » souligna-t-elle en levant le menton pour le regarder. Qu’est ce qu’il lui avait manqué…

« -avec plaisir. » pas la peine de lui demander ce qu’elle allait boire. Il le savait. Elle le suivit de quelques pas, sans pour autant lui bouffer tout son espace. Puis elle réceptionna le verre en le remerciant. « -je te suis… » ajouta-t-elle en faisait les quelques pas qui les séparaient de la cuisine. Comme si elle n’en avait jamais perdu l’habitude, elle s’installe pour le regarder faire, son verre posé devant elle sur l’ilot central. « -oh… et bien… » commença Angy avant de mettre ses lèvres en avant comme si elle méditait la question. « -je suis heureuse et soulagée que Flynn se porte bien. Je vais pouvoir petit à petit retrouver mes marques, un emploi du temps… et du temps surtout… » elle lui sourit : « -du temps pour nous surtout… » souligna la jeune femme avant de prendre une gorgée de son verre avec délicatesse, appréciant toujours l’alcool fort qui s’y trouvait. « -à ton tour… » renchérit Angy avec un sourire taquin.


Manhattan Redlish
Messages : 4159
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart

Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Etoiles
Manhattan Redlish
Ven 8 Nov - 21:54

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 19gx89
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 Rv6ehl
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 B03nr4

Avatar : Tumblr - Gif : Keetika


Après plus d’un mois au cours desquels ils n’avaient échangé que de brefs messages, et de tout aussi bref appel, Edward était bien loin d’envisager que la jeune femme se tenait derrière la porte. Depuis son départ à l’autre bout du monde, aucun d’eux n’avait osé mettre des mots sur leur histoire, et les derniers évènements avaient quelque peu ébranler leur quotidien. Mais tout laissait à penser qu’elle n’était pas encore lassée de lui, notamment sa venue inopinée à son appartement et le sourire qu’elle arbora au moment de croiser son regard. La jolie rousse semblait soudainement plus légère, en harmonie avec elle-même, se plaisant à le taquiner alors qu’il tenait encore la poignée de la porte enserrée entre ses doigts. « Humhum » se contenta-t-il de répondre, non sans afficher un petit sourire timide, rougissant presque à la pensée d’un calendrier à son effigie. Edward se décida à la laisser pénétrer dans son antre, et qui fut durant un temps leur appartement. Une époque qui semblait lui appartenir soudainement à un autre temps, et le constata plus encore à la demande formulée par Angelica. Oui, elle était libre de retirer talons hauts et manteau si elle le désirait. Cet endroit avait été son chez elle fut un temps. Ne souhaitant pas s’attarder outre mesure à une nostalgie qui n’avait pas lieu d’être, il l’interrogea sur son état, et celui de Flynn. La jolie rousse apparut plus laconique la concernant, que lorsqu’il s’agissait d’évoquer son meilleur ami qui se rétablissait promptement au contact d’un joli infirmier. Le politicien émit un petit rire sous cape à la manière dont l’influenceuse désigna le nouvel amour de son ami « On peut dire qu’il bénéficie d’un traitement de faveur », et ajouta « Je suis ravi d’apprendre qu’il se porte comme un charme ». Finalement, un certain ordre était établi. Si le jeune homme n’avait pas été agressé, probablement que jamais il n’aurait rencontré cet infirmier. Il fallait croire qu’il n’y avait jamais de hasard dans la vie.

Encore quelque peu décontenancée de la savoir présente dans son appartement, Edward ne mesura pas son entrain en répondant à la jolie rousse. Le travail pouvait attendre quelques heures. Quant à eux, ils avaient suffisamment attendu pour ne pas profiter de chaque seconde passée ensemble. Il ne voulait pas en perdre une seule. « Bien » murmura-t-il à son attention, tout en glissant sa main dans son dos en se dirigeant jusqu’au bar. La jolie rousse ne s’était pas éloignée suffisamment de temps pour qu’il oublie qu’elle aimait le wiskey japonais de cinquante ans d’âge qu’il affectionnait tant. À son retour, le politicien la laissa se saisir du verre contenant le liquide ambré et se dirigea jusqu’en cuisine pour préparer un semblant de repas-dinatoire, suffisant pour se substanter au cours de la soirée. Tout en prêtant une oreille attentive à Angie, il se délesta de son verre pour se saisir de charcuterie, fromages, légumes en tout genre et crème qui servira de base à une sauce fromagère. Il s’afféra en cuisine tout en levant de temps à autre ses prunelles azurées sur l’influenceuse. Un sourire vint étirer lentement ses lèvres quand elle évoqua le temps qu’elle était disposée à leur concéder à tous les deux « Dès que tu te sentiras prête » précisa-t-il tout en disposant les morceaux de carottes dans un récipient. « J’ai beaucoup réfléchis au cours de ces dernières semaines. Sur toi, sur moi et nous deux ». Edward interrompit momentanément son geste, osa un regard en direction de la jeune femme, puis reprit la découpe des produits frais pour le dîner « J’ai délégué toutes mes fonctions de gérant de l’Elyisum à Benjamin, bien que je reste propriétaire de la moitié des parts. Cet endroit me rappelle bien trop souvent l’homme que j’étais avant et que je ne désire plus être. Il accaparait bien trop de mon temps également, et j’ai besoin de ce temps ». Il glissa la crème dans un bol prévu à cet effet, et l’agrémenta de fromage blanc, d’ail et de persil, ainsi que d’un peu d’échalote, de sel et de poivre, tout en poursuivant « Je… Je me suis rendu sur la tombe de Tommy la semaine dernière. Je lui ai dit aurevoir… ». Le politicien resta un instant silencieux, tout en remuant la sauce fromagère qu’il s’évertuait à préparer pour agrémenter les légumes crus « J’ai aussi mis un terme aux espoirs de Bethany. Je lui ai expliqué que je patienterais le temps nécessaire pour te récupérer, qu’il n’y avait que toi et qu’il n’y aurait jamais que toi ». De nouveau, le politicien leva ses prunelles clairs sur la jeune femme face à lui « Maintenant, tu vas me dire ce que signifiais le petit « ça va » de tout à l'heure ?» tout en esquissant un petit sourire en coin.



Charly
Messages : 4033
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor

Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Etoiles
Charly
Sam 9 Nov - 17:09

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 Tumblr_nnkyzq2yan1s8ccbto1_500
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 68747470733a2f2f73332e616d617a6f6e6177732e636f6d2f776174747061642d6d656469612d736572766963652f53746f7279496d6167652f67776b5742746f64544a496133773d3d2d3330343832343633372e313436663535323535363266363934613232333834353336333832332e676966

Avatar :Tennesse / Gif : Tumblr

Une fois dans l’appartement, Angy s’employa à apporter quelques nouvelles de son meilleur ami à Edward. Flynn allait bien. Le pire était derrière eux. Maintenant, il avait encore besoin de repos et de soin. Mais ses jours n’étaient plus en danger. Karim était également là pour veiller sur lui, ce qui laissait un peu plus de temps à Angy pour reprendre correctement sa vie en main. Particulièrement sa vie sentimentale. L’homme debout à ses côtés, lui avait terriblement manqué. Elle n’avait pas les mots pour le remercier de sa présence le jour du drame, encore moins de sa compréhension pour la distance qui avait suivi. Elle accepta de prendre un verre, avant de le suivre jusqu’à la cuisine et l’observer amoureusement préparer quelque chose à grignoter.

Elle lui précisa par la suite qu’avec la guérison de Flynn en bonne voie, elle allait enfin pouvoir reprendre son propre rythme et leur accorder à nouveau du temps. Un sourire doux à l’adresse d’Edward avant de voler un bâtonnet de carotte et de le porter à sa bouche pour croquer dedans. Il avait réfléchit… Beaucoup réfléchit… Angy avait presque hâte qu’il annonce la suite. Qu’est ce que cela voulait dire ? Est-ce qu’il avait pris une décision radicale ? En même temps si c’était le cas, il ne l’aurait pas invité avec un sourire sur les lèvres, à entrer chez lui… Ou comment tenter de se rassurer. La jolie rousse plaça son coude gauche sur le rebord de l’ilot, avant de coller son poing sous son menton, écoutant avec attention le beau brun. Bien… plus de gestion… plus de temps… Un sourire plein de douceur étira les lèvres d’Angy lorsqu’il évoqua sa visite à son meilleur ami.

La suite du monologue d’Edward lui fit légèrement hausser les sourcils. Ce n’était pas rien ce qu’il était en train de lui dire. Il avait mit des limites précises, repoussant la belle blonde. Angy prit cela comme une preuve d’amour. Puis elle baissa les yeux en souriant avec tendresse en entendant sa question. Elle inspira et répondit : « -ba que ça va. » avec un petit haussement d’épaule. Mais elle savait qu’il allait creuser alors elle ajouta : « -moi aussi j’ai pas mal réfléchit de mon côté. A toi, à moi, à nous… » elle lui sourit parce qu’elle reprenait ses mots. « -j’avais déjà pas mal méditer en Thaïlande, mais l’agression de Flynn a remit pas mal de chose en perspective. » elle avait passé ses deux mains autour de son verre, observant le liquide, avant de regarder à nouveau Edward. « -j’ai décidé d’arrêter mes réseaux sociaux. » ça n’était pas rien. « -je n’ai plus la même envie qu’au début… je crois qu’il est temps d’évoluer vers autre chose. » elle sourit : « -ne me demande pas quoi dans l’immédiate. » précisa Angy avant d’ajouter : « -je ne suis pas encore fixée."

Manhattan Redlish
Messages : 4159
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart

Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Etoiles
Manhattan Redlish
Sam 9 Nov - 19:44

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 19gx89
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 Rv6ehl
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 B03nr4

Avatar : Tumblr - Gif : Keetika


Edward continuait de croire que cet éloignement leur avait été salutaire. Ça avait été une période d’introspection, et plus encore de réflexion, afin de lui permettre d’amorcer des changements qu’il jugeait indispensable pour avancer plus sereinement. Une réorganisation qui était intrinsèquement liée à sa relation avec Angelica, tant soit peu qu’elle soit disposée à entamer un nouveau chapitre de leur histoire, différent de ceux qui avaient précédé. Parce que cette distance avait également mis en exergue le manque incommensurable qu’il éprouvait lorsqu’elle n’était pas à ses côtés. Par conséquent, si Edward désirait que leur relation perdure dans le temps, il devait pour cela rectifier quelques aspects de sa vie, notamment le temps qu’il ne parvenait pas à octroyer à la jeune femme. Pour cela, il s’était délesté de la gérance de son night-club au cœur de Manhattan, sans pour autant en perdre l’entière propriété. Peu à peu, Edward se sentait disposé à faire table rase du passé afin de s’autoriser à enfin avancer, et entamer une nouvelle vie plus en adéquation avec l’homme qu’il aspirait à être dorénavant. Cela incluait également de guérir de ses blessures. C’était la raison pour laquelle il avait échangé ses derniers mots avec Tommy, tout en prenant soin de le remercier pour le présent qu’il lui avait fait et qui avait changé sa vie à tout jamais. Sans Angie à ses côtés, probablement qu’il ne serait jamais parvenu à être pleinement heureux. Progressivement, il s’abstrayait de tout ce qui pouvait nuire, d’une manière ou d’une autre, à leur bonheur, y compris l’ingérence des autres femmes, et plus particulièrement de Bethany avait outre-passé les limites de leur collaboration. Mais pour le moment, Edward ne souhaitait pas obscurcir cette soirée, et enjoignit la jeune femme à se confier à lui sur ses paroles plus que laconiques.

Tout en découpant le concombre en bâtonnet pour l’apéro-dinatoire qu’il s’évertuait à préparer, le politicien releva de temps à autre ses prunelles azurées sur Angie, l’encourageant à poursuivre. Un sourire amusé étira lentement ses lèvres alors qu’elle se plaisait à le citer mot pour mot. Il délaissa un instant la découpe minutieuse de ses légumes pour se saisir de son verre de whiskey qu’il porta à ses lèvres, la laissant mener la conversation sans l’exhorter à délivrer le résultat de ses longues réflexions. Pour autant, Edward peina à dissimuler sa surprise à cette annonce. Lentement, il reposa son verre et se saisit de son couteau pour poursuivre la découpe du concombre « Puis-je demander comment tu es parvenue à prendre une telle décision ? ». Sa société, c’était son bébé. Elle l’avait créé de ses mains au moment où elle en avait le plus besoin. Ils auraient pu se quitter pour la survie de son entreprise. Mais ce soir, tout semblait avoir changé brusquement. Il se saisit du torchon sur son épaule, s’essuyant ainsi les mains et s’éloigna de l’ilot central pour se saisir d’un plateau sur lequel il disposa les différents mets préparés, allant du fromage persillé enveloppée dans de fines tranches de jambon blanc, du chèvre entourée de jambon cru et recouvert d’un filet d’huile d’olive, puis les divers légumes découpés avec soin, et accompagnés de sa sauce fromagère, tout en l’interrogeant de nouveau « Qu’en penses Flynn de tout cela ? ».



Charly
Messages : 4033
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor

Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Etoiles
Charly
Mer 13 Nov - 16:25

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 Tumblr_nnkyzq2yan1s8ccbto1_500
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 68747470733a2f2f73332e616d617a6f6e6177732e636f6d2f776174747061642d6d656469612d736572766963652f53746f7279496d6167652f67776b5742746f64544a496133773d3d2d3330343832343633372e313436663535323535363266363934613232333834353336333832332e676966

Avatar :Tennesse / Gif : Tumblr

Ils s’aimaient. Ils se l’étaient assez répétés. Ils s’aimaient incroyablement. Vivre l’un sans l’autre était exclus. Après cette distance de pratiquement un mois sans interruption, ils s’étaient manqués et savaient qu’ils allaient se retrouver. Petit à petit. Sans précipitation. Ils avaient eu besoin de ce temps pour faire le point, l’un comme l’autre. Edward avait mis de l’ordre dans ses affaires et avait éloigné définitivement Bethany. De son côté, Angy avait beaucoup réfléchit et voilà qu’elle lui annonçait que les réseaux sociaux, c’était terminé. Elle avait vu la surprise dans les yeux et les gestes ralentit d’Edward. Alors sa question était légitime et ne choqua pas le moins du monde la jeune femme. « -la retraite spirituelle que Flynn a voulu faire en Thaïlande, m’a ouvert les yeux sur certaines choses. » elle sourit avec douceur : « -parfois il faut lâcher prise et prendre du recul. » elle prit une gorgée et ajouta : « -j’ai aimé ce travail, j’ai aimé le faire, m’investir pour mais aujourd’hui, c’est différent. Ça n’est plus un plaisir mais une sorte de lutte. Et je n’ai pas envie de ça. » elle termina son verre et reprit : « -j’ai la sensation de nager contre le courant, alors j’ai décidé d’arrêter et de me laisser porter. » un léger haussement d’épaules. « -depuis qu’on est ensemble toi et moi, les choses ont changé, évolué. J’ai envie de passer du temps avec toi, de réellement construire quelques choses de beau et de sain… » ce qui pour le moment n’était pas totalement le cas. « -j’ai la sensation qu’on ne fait que lutter contre tout un tas de chose depuis qu’on est ensemble. J’ai seulement envie qu’on s’aime… » elle inspira, soupira et ajouta : « -je sais que tu m’as dit de me battre… mais j’ai plus envie. »

Il allait peut-être ça comme de la lâcheté… Bien qu’elle espérait qu’il respecterait et comprendrait sa décision. « -j’ai pas besoin d’argent pour vivre. Alors… je vais faire une vraie pause, voir ce qui s’offre à moi, et aussi attendre de voir ce que ça donne de ton côté. » parce qu’il était toujours dans la course aux élections. S’il était élu, qu’est ce qui se passerait ? Est-ce qu’il laisserait tomber ? Elle avait envi d’y croire parce qu’elle savait à quelle point il aimait la photo. Qu’il aimait le projet qu’ils avaient imaginé à deux. En prenant du recule, elle aurait le temps de réfléchir à tout cela, à comment réaliser ce rêver concrètement.

Manhattan Redlish
Messages : 4159
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart

Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Etoiles
Manhattan Redlish
Mer 13 Nov - 17:30

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 19gx89
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 Rv6ehl
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 B03nr4

Avatar : Tumblr - Gif : Keetika


Sur le rooftop de l’Elyisum, Edward avait fait la connaissance d’une influenceuse, d’une femme entrepreneuse qui avait à cœur de faire prospérer son entreprise sur le long terme. Angie était profondément attachée à cette mission qu’elle s’était dévolue à la suite de sa séparation avec son ex-petit-ami, prônant le bien-être des femmes au fil de ses publications. Lorsque sa société avait périclité à la suite de l’annonce de leur relation, ils avaient fait le choix de mettre un terme officiel à leur union pour ne pas entacher davantage sa société. Par conséquent, à l’annonce inattendue du terme de son entreprise, Edward ne pouvait qu’être interloqué. Dès lors, il avait relevé brusquement son regard déconcerté sur la jolie rousse. Une gorgée ingurgitée après, le politicien parvint à l’interroger sur les raisons qui l’avait conduit à prendre une décision si radicale vis-à-vis de sa carrière professionnelle. Tout en lui prêtant une oreille attentive, Edward poursuivit la préparation de ce qui serait s’apparenterait à un dîner pour ce soir. Il lui adressa de temps à autre quelques regards, lui assurant ainsi qu’il restait attentif au moindre de ses mots. Sans surprise, le raisonnement d’Angie était le fruit d’une longue réflexion. Cet éloignement lui avait été tout aussi profitable qu’à lui. Lorsqu’elle évoqua leur relation, un sourire étira lentement les lèvres du quadragénaire qui disposait les différents mets sur le plateau « J’en ai envie aussi » osa-t-il, sans pour autant l’interrompre. Edward nourrissait les mêmes aspirations que la jolie rousse. Une vie sans elle n’était pas envisageable, mais une vie à constamment lutter à ses côtés ne l’était pas non plus. Ils méritaient d’être ensemble et heureux. Sans mot dire, il s’essuya les mains sur le torchon qu’il délaissa sur le rebord du comptoir et se rapprocha de l’ilot central « Tu ne m’as pas bien compris » rétorqua-t-il avant de venir préciser « Je t’ai demandé de te battre parce que je pensais que c’était la vie que tu désirais ». Un sourire et reprit « Tu viens de me confirmer le contraire. Si tu n’es plus heureuse ainsi, alors tourne la page et enclenche un nouveau chapitre. Je n’ai aucun doute que tu trouveras rapidement un nouveau projet qui saura t’animer, et je serais là pour te soutenir, même financièrement si nécessaire ». Edward ne manquait pas d’argent et il n’était pas contre l’idée d’être un futur investisseur.

Implicitement, Angelica évoqua sa carrière politique qui était toujours d’actualité. Les élections ne seraient tardés, et avec, une décision à prendre pour son avenir. Leur avenir à tous les deux. Sans un mot, Edward se saisit du plateau pour le disposer sur la table basse du salon, et revint jusqu’à la cuisine pour terminer de nettoyer les dernières traces de son passage sur le comptoir en marbre « Je n’envisage pas de partir à Washington » répliqua-t-il tout en arborant un sourire en coin quelque peu espiègle à l’attention d’Angie, dissipant ainsi toutes ces incertitudes à ce sujet. Se délaissant tour à tour de l’éponge et du torchon sur le rebord de l’évier, le politicien combla l’espace entre eux deux, et lui saisit la main pour l’extirper de sur le tabouret, et reprit mot pour mot ses paroles sans se départir de ce petit sourire en coin « Je veux qu’on s’aime, qu’on soit ensemble et qu’on construise quelque chose de beau et de sain moi aussi ». Lentement, ses doigts entrelacèrent les siens, et il s’autorisa un bref regard sur leurs mains liées « Tu… Tu peux m’ôter d’un doute… » et releva ses prunelles azurées jusqu’à son regard d’émeraude « Cette retraite spirituelle… Elle… Elle était similaire à ce que tu as connu en Inde ? », puis ajouta presque avec hâte « À la manière dont on s’est quitté ce soir-là, tu étais libre de penser que nous deux… que c’était terminé… alors je ne me fâcherais pas tu sais. Je veux seulement savoir ». Prétendre qu’il n’appréhendait pas sa réponse serait mentir. Même à l’autre bout du monde, Edward demeurait un homme possessif qui se considérait comme le seul légitime à pouvoir disposer de son corps après elle. Toutefois, leur relation ces dernières semaines étaient pour le moins ambiguë… « Et tu ne m’as pas répondu en ce qui concerne l’avis de Flynn sur ton désir de tout arrêter » précisa-t-il avec davantage de légèreté.



Charly
Messages : 4033
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor

Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Etoiles
Charly
Mer 13 Nov - 21:30

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 Tumblr_nnkyzq2yan1s8ccbto1_500
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 32 68747470733a2f2f73332e616d617a6f6e6177732e636f6d2f776174747061642d6d656469612d736572766963652f53746f7279496d6167652f67776b5742746f64544a496133773d3d2d3330343832343633372e313436663535323535363266363934613232333834353336333832332e676966

Avatar :Tennesse / Gif : Tumblr

Elle savait qu’Edward prenait soin de ne pas la couper lorsqu’elle parlait. Ou seulement par deux mots pas plus. Un peu comme s’il avait peur que cela perturbes ses pensées. Ou bien parce qu’il chérissait l’entendre parler… elle ne savait pas exactement mais cela la fit sourire ce soir. Elle fut presque contente qu’il ose dire ces quelques mots. Parce qu’elle avait la sensation de beaucoup trop parler. Elle apprécia surtout la sensation que ces mots lui procurèrent au creux du ventre. Un sourire doux étira ses lèvres alors qu’il précisait qu’elle n’avait pas totalement compris ce qu’il avait voulu dire. Le regard d’Angy lui envoyait des je t’aime silencieux. Même si elle n’osa pas lui parler du secret désir qui germait peu à peu en elle. Un autre projet… un autre enfant… mais bien réel et palpable cette fois. Ils se retrouvaient à peine, elle ne pouvait pas venir chambouler tout cela avec son envie de devenir mère… Comment lui parler de ça alors qu’il avait été des plus catégorique sur le sujet. Il ne voulait pas d’enfant. Angy se rassurait en se disant que cette envie était passagère. Qu’elle passerait comme elle était venue.

Leur avenir était encore brumeux. Particulièrement à cause de la carrière politique d’Edward. Il était toujours engagé, alors s’il était élu, les choses prendraient à nouveau tournant. Ils devraient s’adapter. Mais lorsqu’il précisa ne pas vouloir se rendre à Washington, Angy le fixa intensément du regard. « -je comprends, cette ville à bien moins de charme que New York… » minauda la jeune femme. La jolie rousse se leva et glissa sans mal ses doigts entre ceux d’Edward, son corps proche du sien, son regard accroché au sien. Son sourire amoureux illuminant toujours son visage.

Puis se fut un rire joyeux et franc qui éclata sur les murs de l’appartement. La retraite spirituelle… Elle fit non de la tête : « -ça n’avait rien avoir. Et si ça avait été le cas, je serais partie en courant. » elle resserra ses doigts autour de ceux d’Edward et précisa : « -on avait besoin de cette pause, mais je ne suis pas partie en te quittant. Je suis partie pour mieux te retrouver. » elle n’était pas partie avec pour objectif de s’envoyer en l’air avec d’autres hommes. Elle voulait faire un break, faire le point, voir à quel point il lui manquait. Cruellement… il lui avait cruellement manqué. Et ça lui faisait un bien fou de le retrouver ce soir. Ses sourires, sa compréhension, sa voix, son odeur, sa présence…

« -oh oui, c’est vrai… » s’amusa la jolie rousse. « -et bien, il est dans la même position financière que moi. Il ne sera pas obligé de retourner travailler. Financièrement, il est à l’abri. A notre retour, il n’était pas encore totalement convaincu, mais je crois que la rencontre avec Karim l’a pousser à mieux comprendre mon envie de me concentrer sur notre histoire et de la vivre pleinement. » en résumé, Flynn était en accord avec tout cela.


Contenu sponsorisé
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly
Page 32 sur 38
Aller à la page : Précédent  1 ... 17 ... 31, 32, 33 ... 38  Suivant
Sujets similaires
-
» Il y a des secrets qui peuvent tuer [Ft Charly]
» "Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly
» Tomber amoureux est un véritable parcours du combattant [ft Charly]
» "Il n'y a qu'une personne qui me donne l'impression d'avoir des ailes et de planer, et c'est toi." - Ft Charly
» "Un corps peut-il guérir, dont le coeur est malade ?" [Ft. Charly]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
LE TEMPS D'UN RP :: Les Univers :: Univers réel :: Amérique du Nord-
Sauter vers: