"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly
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Mer 6 Nov - 12:03
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Nonchalamment appuyé contre le comptoir en marbre de sa cuisine, les chevilles croisées et le portable fermement enserré entre ses doigts, il attendait patiemment que l’eau ne bouille, tandis que son sachet de thé stagnait d’ores et déjà dans le fond de sa tasse posée à proximité. C’était un rituel qu’il avait instauré depuis bien des années maintenant, lui permettant de dormir plus paisiblement, et peu à peu, c’était également devenu un instant de partage avec Angelica où ils évoquaient leur journée respective et celle à venir. Cependant, ces dernières semaines, ce rite était redevenu celui du solitaire qu’il avait toujours été. À l’exception de ce soir. Au travers de ses messages, le quadragénaire avait presque la sensation que la jeune femme était à proximité, se plaisant à arborer ce sourire béat d’adolescent devant sa réponse ponctuée d’un émoji : J’aime ménager mes déclarations. Sans pour autant relâcher son emprise sur le petit appareil, seul lien entre Angie et lui, Edward se saisit de la bouilloire et déversa l’eau frémissante au fond de la tasse, qu’il se saisit par la suite pour venir trouver refuge dans le canapé du salon. Il photographia le récipient fumant et l’envoya à la jeune femme pour confirmer ses dires : Je suis prévisible. Mais il l’aimait l’être d’une certaine manière. Savoir qu’elle avait en mémoire tous ces détails de son quotidien lui donnait du baume au cœur. Cela signifiait que tout n’était pas encore terminé entre eux, qu’il restait un espoir … Et il le comprit plus encore lorsqu’elle accepta son invitation à venir le rejoindre à la réception. Il lui communiqua l’adresse et l’heure à laquelle ils étaient attendus. Lui qui n’était pas un fervent adepte des réceptions politiques à l’instar de celle organisée pour la fin de semaine, éprouvait soudainement une certaine hâte.
« Monsieur Wyler a su profiter du retrait précipité de son adversaire pour remonter dans les sondages, et ce, tout en maintenant sa ligne de conduite qui est … » mais Edward n’écoutait pas les louanges formulées à son encontre par son prédécesseur, convié pour l’occasion. Il n’avait de cesse que de fixer la porte d’entrée du lieu, dans l’attente de voir surgir Angelica. Si les premières minutes, il s’était rassuré en prétextant des soucis de circulation dans Manhattan, après plus d’une heure, il avait la certitude que c’était plus inquiétant qu’un simple embouteillage. « Elle a peut-être changé d’avis » déclara à voix basse la belle blonde à ses côtés. Il lui adressa un regard réprobateur, lui signifiant qu’elle devait pas s’autoriser à émettre de telles hypothèses. Elle ignorait tout de l’influenceuse. Jamais elle ne lui aurait assuré de l’accompagner, pour finalement le délaisser ainsi sans l’en informer préalablement. Sans mot dire, Edward s’éloigna de nouveau de l’assemblée et pressa l’icone avant de porter son portable à son oreille. Pour la onzième fois, il se retrouva confronté à la voix de sa messagerie. Cette fois-ci, il se décida à lui laisser un message « Angie… Je m’inquiète. Tu ne réponds pas et … Rappelle-moi au plus vite, je t’en prie ». Il raccrocha, resserrant son emprise sur le petit appareil. S’il devait définir la peur, il ne ferait aucun doute qu’il évoquerait ce qu’il éprouvait en cet instant… Edward décida d’accompagner son message vocal, de quelques mots pianotés sur son écran. Le vingtième de la soirée : Appelle-moi. Je m’inquiète Angelica. Les applaudissement et les visages tournés en sa direction eut raison de son attention. Ils attendaient tous à ce qu’il prenne la parole. Après un dernier regard préoccupé en direction de la porte, il se joignit à l’assemblée et prononça quelques mots.
À l’issue de son discours pour le moins laconique, comme à son habitude, Edward tenta d’appeler de nouveau la jeune femme, n’hésitant pas à la harceler jusqu’à ce qu’elle lui réponde. Il fut par la suite encouragé à échanger avec les autres convives, mais son esprit était ailleurs. Il n’avait de cesse de fixer la porte d’entrée ou son portable, dans l’espoir de plus en plus vain, qu’elle ne le contacte et le rassure. Il accepterait toutes les excuses du monde, tant qu’elle le rappelait et mettait un terme aux différents scénarios qui se déroulaient dans son esprit, tous aussi effrayant les uns que les autres. Après plus de trois heures, il prit congés des membres du parti, des organisateurs et de leurs électeurs. Bethany tenta de le retenir, sa main se refermant sur son bras « Vous ne pensez pas qu’elle aurait pu avoir d’autres projets. Vous appartenez à son passé dorénavant. ». La mâchoire crispée à son paroxysme, Edward se dégagea de son emprise dans un geste brusque et se rapprocha dangereusement de sa collaboratrice « Je vous encourage à rester à votre place Mademoiselle Winthrop », et se précipita jusqu’à la sortie du siège local du parti politique.
Malgré l’heure plus que tardive, Jeffrey avait répondu présent à son appel. Jamais jusqu’alors il n’avait vu son employeur dans un tel état de désarroi. Obéissant, il le conduisit jusqu’à l’appartement de la jolie rousse, tambourinant à sa porte de plus en plus fort, jusqu’à attirer l’attention du voisinage « Vous voyez bien qu’elle n’est pas là » avait finit par lâcher l’un d’eux, mettant un terme aux espoirs du politicien qui rejoignit sa berline tout en composant, une fois encore son numéro. Il avait évoqué le jardin botanique, mais les barrières de ce dernier était infranchissable la nuit… Il ne restait plus que son propre appartement. Mais si jusqu’alors, il avait été terrifié qu’il soit arrivé quoi que ce soit à, ce qu’il éprouva en apercevant son assistante fébrile et presque désemparée devant sa porte, n’était en rien comparable. « Ava… » osa-t-il « Qu’est-ce que tu fais ici à cette heure-ci ? ». Il avait une idée, mais ne voulait pas l’évoquer à voix haute et la rendre soudainement trop réaliste. « C’est Angelica, Edward… ». Ses jambes flagellèrent, et il aurait pu s’effondrer si la colère de la voir si évasive ne l’avait pas tenu debout « Parle Ava, bordel ! » hurla-t-il, la faisait sursauter « Elle est à l’hôpital… ». Ava n’eut le temps de préciser que Flynn avait été agressé, que le politicien dévala les marches à grande vitesse.
Dès son arrivée à l’hôpital public, dont Ava lui avait communiqué les coordonnées par message, Edward se hâta jusqu’à l’accueil « Angelica Gordon » « Pardon ? » « Angelica Gordon. Où est-elle ?! ». Le politicien n’était pas enclin à la patience et à la compréhension en cet instant. Il n’avait jamais éprouvé une telle peur, et n’était pas décidé à réprimer le tourment qui l’assenait intérieurement. Pas aujourd’hui, pas lorsqu’il ignorait tout de l’état de santé de celle qu’il aimait. « Elle n’a pas été admise. C’est son ami qui l’a été ». Flynn… C’était lui la victime… « Où se trouve-t-elle ? » « Une infirmière va vous y conduire ». Un certain soulagement l’accabla en la sachant saine et sauve, mais l’agression du jeune homme avait une étrange résonnance avec son passé, et il ne voulait pas qu’Angie endure une telle épreuve. En arrivant sur le seuil de la chambre, Edward resta sans mot. Elle était assise au fond du fauteuil, dans l’angle de la pièce, une couverture sur les épaules et le regard vide de toute expression. Il ne parvint qu’à souffler son prénom « Angie… ».
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Charly
Mer 6 Nov - 16:20
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Il était là, en train de faire une blague, de rire, de surtout chercher à la faire rire et puis l’espace de quelques secondes plus tard… elle avait les mains couvertures du sang chaud de son meilleur ami. Flynn s’effondrait sur le trottoir dans une grimace et un gémissement. Elle avait appuyé sur la plaie pendant un temps qui lui avait paru une éternité. Elle n’avait cessé de lui parler, de lui dire qu’arrêter de dire de la merde, qu’il n’allait pas mourir, qu’il n’avait pas le droit de mourir. Que ce n’était pas son heure. Impossible ! Non ! Et puis les sirènes, les lumières, les uniformes. On lui avait demandé de reculer. Elle s’était retrouvée sur les fesses, les bras en arrière, regardant impuissantes les secouristes tenter de stabiliser Flynn. C’était une femme urgentiste qui s’était approchée d’elle et qui avait demandé si elle était blessée. Angy avait secoué la tête, impossible de prononcer un mot. Lorsqu’elle avait vu qu’il déplaçait son meilleur ami, elle s’était précipitée. Non, pas sans elle. Elle devait être là. Il n’avait quelle. Elle n’avait cessé de lui broyer la main priant pour que l’hôpital soit bientôt là.
Une fois là-bas, de nouveau elle s’était sentie mise de côté, délaissée, ignorée. Mais bordel c’était inhumain de laisser les proches des gens ainsi ! Où est ce qu’ils emmenaient Flynn ? Qu’est ce qui allait se passer ? Est-ce que quelqu’un allait lui répondre ?! Son meilleur ami venait de disparaitre derrière des portes battantes. Elle n’avait pas l’autorisation de passer. Alors elle s’était laissée glisser contre le mur. C’était une infirmière cette fois-ci qui était venue la voir, pour l’aider à se redresser. Elle l’avait accompagné jusque dans une salle de consultation, lui avait offert un verre d’eau et avait proposé de l’ausculter. Angy avait seulement hoché la tête. Angy s’était lavée les mains, mais le sang de son meilleur ami était comme incrusté dans ses ongles… Elle n’avait pas fait attention aux messes basses entre les infirmières. Elle n’avait pas vu le téléphone la filmer de loin. La jeune femme sortie de sa torpeur en entendant son prénom. Cette voix…. Elle avait lentement lever la tête, et comme si elle pouvait enfin lâcher les vannes, elle s’était mise à pleurer en se précipitant dans ses bras. « -oh mon dieu Eddy… » avait elle gémit en blottissant son visage dans son torse. "-il peut pas mourir. J'ai rien vu... j'ai rien compris. D'un coup il a baissé les yeux sur son abdomen et... et..." elle sentait son coeur se remettre à battre à une vitesse folle alors qu'il était comme en pause depuis plus de deux heures déjà. Elle manquait d'air.
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Mer 6 Nov - 16:51
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Au cours des dernières heures, son angoisse était telle que son esprit avait cédé à des scénarios plus effrayant les uns que les autres. Parce qu’il savait au plus profond de son être qu’Angie ne l’avait pas délaissé au profit d’autres projets, comme l’avait suggéré sa collaboratrice. Si elle ne l’avait pas rejoint ce soir à la réception, c’était parce qu’un malheur avait surgi de nulle part, l’empêchant de l’appeler pour le rassurer. Plus les heures défilées, et plus Edward envisageait le pire… New York n’était pas une ville sûre, et moins encore à la nuit tombée. Une femme dans les rues de Manhattan était une cible toute désignée pour un prédateur. Parce que oui, alors qu’il la cherchait désespérément, n’hésitant pas à harceler également son téléphone d’appels et de messages, l’esprit du politicien songeait au pire. Une agression sexuelle, un kidnapping ou pire encore, un homicide. La peut était prépondérante, qu’il ne parvenait plus à raisonner avec clairvoyance. La présence d’Ava devant la porte de son appartement ne fit que croître ses peurs les plus ancrées, et quand elle lui avoua qu’Angelica se trouvait actuellement à l’hôpital, il n’en fallut pas davantage pour Edward qui se précipita aussitôt jusqu’à l’hôpital Bellevue. Pas particulièrement avenant à son habitude, il le devenait moins encore en apprenant que sa moitié se trouvait entre ces murs au moment où il tentait désespérément d’obtenir le numéro de sa chambre.
À la suite de plusieurs heures d’une angoisse viscérale qu’il n’était pas parvenu à réprimer le moins du monde, Edward put enfin poser ses yeux sur la jeune femme qui se tenait devant lui. Si on omettait le sang qui avait recouvert son tailleur, et son regard absent, elle semblait être saine et sauve. En apparence. Parce qu’actuellement, alors qu’il prononçait son prénom dans un souffle pour ne pas la faire tressaillir au son de sa voix, son meilleur ami luttait pour rester en vie à quelques couloirs d’ici. Son cœur se brisa en apercevant les larmes qui tracèrent un sillon sur les joues tandis qu’elle se hâtait jusqu’à lui, venant se blottir dans ses bras qui se refermèrent aussitôt sur son corps frêle « Je suis là… » murmura-t-il à son oreille tout en resserrant plus encore son étreinte, sa main caressant délicatement sa nuque chaude « On va retrouver celui qui a fait ça » renchérit-il d’une voix à peine audible. Il se recula légèrement dans l’espoir de croiser son regard d’émeraude et enveloppa son visage de ses doigts « Est-ce que tu es blessée ? ». Il ne lui ferait pas l’affront de lui demander comment elle allait. Son meilleur ami, sa famille, était entre la vie et la mort. Rien ne pouvait bien aller dans ces circonstances.
Edward déposa un baiser sur son front, et la serra de nouveau dans ses bras, puis la souleva comme si elle était une princesse en détresse, la soulevant jusqu’au fauteuil où il prit place, et la disposa sur ses jambes. L’étreignant toujours dans le creux de ses bras, il vint blottir sa tête tout contre la sienne « J’ai su qu’il s’était passé quelque chose ce soir… » lui avoua-t-il à voix basse. Seulement, c’était elle qu’il pensait avoir perdu ce soir et qu’il aurait pu perdre si cet agresseur n’avait pas fait le choix de l’épargner pour des raisons dont il ignorait tout, et qu’importe. Cet individu avait suffisamment fait de victime pour ce soir. « Est-ce que tu as soif ou faim ? » osa-t-il demander après plusieurs minutes d’un silence oppressant. « Un thé ou un chocolat chaud ? » proposa-t-il, avant de renchérir « Viens, on sort une minute ou deux. Ils sauront où nous trouver s’ils ont du nouveau », et l’enjoignit de se lever avec lenteur. Pour autant, Edward ne la laissa pas s’éloigner et se saisit de sa main, entrelaçant ses doigts aux siens.
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Jeu 7 Nov - 11:37
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Angy ne cessait de revoir la scène dans son esprit. C’était comme sur réaliste. Comment un homme pouvait il se faire poignarder dans la rue, de cette façon ? Pourquoi ?! Est-ce que c’était gratuit ? Une voix sourde dans la tête de la belle rousse lui soufflait que non. Est si c’était lié à elle ? Heureusement, une voix plus que familière la tira de ses angoisses et de ses interrogations oppressantes. Elle avait relevé les yeux. Est-ce qu’elle était encore en train d’halluciner ? Comme si tout cela n’était réel ? Pourtant Edward était là, dans l’encadrement de la porte. Elle avait entendu sa voix, son parfum lui parvenait aux narines. Il était véritablement là ! Angy en eu la confirmation en venant s’écraser dans ses bras, la visage dans son torse. Elle se mit à pleurer, un peu comme si cela venait d’ouvrir les vannes.
Entre ses sanglots, elle se mit à parler vite, expliquant sommairement ce qui s’était passé. « -non.. non j’ai rien… » cet homme s’en était prit uniquement à son meilleur ami et s’était enfui comme si rien ne venait de se passer. « -oh mon dieu Eddy… » gémit-elle de nouveau, le visage noyé de larmes. Elle le laissa la soulevée et l’installer sur ses genoux, ses bras s’étant noués autour de son cou. En entendant ces quelques mots, elle réalisa qu’elle avait totalement oublié le gala… « -je… je suis désolée… j’ai oublié de te prévenir… je… » il l’avait probablement attendu. Avait peut-être cru qu’elle avait changé d’avis. Elle fit non de la tête pour répondre à sa question. Elle voulait simplement qu’on lui dise que Flynn était vivant… De nouveau sur ses pieds, elle eut presque peur de tomber. Alors elle s’accrocha à cette main qui tenait la sienne. Comme si sa propre vie en dépendait. Sans rien ajouter, elle le suivit dans le couloir.
Une fois dehors, elle inspira l’air frais de la nuit à plein poumons, avant d’enfouir son visage entre ses deux mains pour en chasser ses larmes. Il fallait qu’elle garde la tête froide, les pieds sur terre. Alors elle inspira et expira avec lenteur. Flynn n’avait pas besoin qu’elle s’effondre. Elle regarda Edward et prit la parole : « -Flynn s’est proposé de me conduire au gala. On sortait de chez moi… on discutait, et puis… on a croisé un homme. Il a percuté Flynn, et il s’est tiré sans la moindre excuses… » elle avait besoin de faire le point dans son esprit sur ce qui s’était passé. « -et puis… » elle se pinça les lèvres. « -il n’a pas dit un mot… il a seulement baissé le visage, alors qu’une tâche rouge grandissait sur sa chemise blanche… » de nouveau ses yeux se noyèrent. « -il peut pas mourir… pas comme ça… pas à cause de moi… » parce qu’elle était convaincue que c’était sa faute. Durant ces trois semaines de voyage, elle avait mit en avant sa relation avec son meilleur ami, l’importance qu’il avait à ses yeux. Est-ce que l’homme qui avait osé poignardé Flynn faisait parti de ces personnes qui ne cessaient de pourrir ses réseaux sociaux ?
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Jeu 7 Nov - 12:27
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Au cours de la brève relation amoureuse, il n’avait été témoin des sanglots d’Angelica qu’à deux reprises. La première fois avait eu lieu dans leur salon, alors qu’il s’apprêtait à la quitter définitivement. Quant à la seconde fois, elle se déroulait maintenant, dans le creux de ses bras, à la suite de l’agression soudaine et brutale de son meilleur ami dont elle avait été témoin. Un individu qui avait fait le choix d’épargner la jeune femme. Et bien que cela pouvait paraître indécent, Edward ne pouvait s’empêcher d’éprouver un certain soulagement à sa réponse. Un apaisement à demi-teinte, qui ne parviendrait à être absolu que lorsque les chirurgiens leur confirmerait que Flynn survivrait à ses blessures. Silencieux à ses gémissements désemparés, Edward resserra son étreinte autour de son corps frêle, avant de la conduire jusqu’au siège où il prit place. Quelques minutes s’écoulèrent sans qu’aucun d’eux ne prononce le moindre mot, se satisfaisant uniquement de la présence de l’un et l’autre, et ce, jusqu’à ce que les sanglots de la jolie rousse ne s’estompe à son contact. « Ne sois pas désolée Angie, tu n’as rien fait » murmura-t-il à son oreille tout en venant blottir son front contre sa tempe « Tout ce qui m’importe, c’est que tu sois indemne, et que Flynn s’en sorte » renchérit-il à voix basse. Pour Edward, rien n’avait plus d’importance que ce qui se déroulait actuellement entre les murs de cet hôpital. La survie de Flynn était primordial, au même titre que de savoir que la jeune femme était saine et sauve, blottie dans le creux de ses bras. Pour autant, le politicien ne souhaitait pas qu’elle s’enferme dans cette pièce jusqu’à la venue du chirurgien qui n’interviendrait probablement pas avant plusieurs heures. Il accepta son refus d’avaler quoi que ce soit, mais ne fit pas pour autant l’impasse sur une sortie en extérieure.
En sentant la pression des doigts d’Angie sur les siens, Edward lui adressa un regard pour le moins inquiet et compatissant. Il resserra son emprise sur sa main et la conduisit jusqu’à l’extérieur de l’hôpital Bellevue. Sans mot dire, le politicien la laissa le délaisser un instant pour chasser ses larmes et inspirer à plein poumons l’air automnal. Puis, dans un geste, il retira sa veste de costume et la disposa délicatement sur ses épaules pour qu’elle ne prenne pas froid. Ses mains trouvèrent refuge au fond des poches de son pantalon de smoking. Pas un instant, Edward n’avait détourné le regard de la jeune femme, craignant qu’elle ne s’effondre à tout moment. Lorsqu’Angie prit parole, il la laissa se confier sans jamais l’interrompre. Flynn avait été victime d’une agression gratuite, comme cela survenait souvent dans les grandes villes du monde. Bien que l’influenceuse détenait sa propre théorie… Les sourcils au milieu du front, Edward disposa son index et son majeur sous son menton, l’enjoignant de lever son regard embué jusqu’à lui « Qu’est-ce que tu veux dire par-là Angie ? », et renchérit « Le seul et unique responsable est cet individu. Parce que si on part de ton postulat La Mia Luce, je suis tout autant responsable que toi. Si je ne t’avais pas convié à ce gala, vous n’auriez jamais été dans cette rue à cette heure-ci et il ne serait pas dans un bloc opératoire à lutter pour sa survie ». Lentement, sa main se glissa jusqu’à sa joue qu’il caressa de la pulpe de son pouce, alors qu’il l’enveloppait avec compassion de ses prunelles azurées « Que penses-tu que Flynn dirait s’il t’entendait Angie ? ».
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Jeu 7 Nov - 15:35
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Edward était là. Comment il avait su… Angy l’ignorait. Tout ce qui lui importait, c’était qu’il était présent là, maintenant. Au moment où elle avait sans doute le plus besoin de lui. Elle n’avait pas faim. Mais elle accepta d’aller faire quelques pas et surtout de sortir prendre l’air. Une fois devant l’hôpital, elle prit le temps respirer à nouveau, avant de prendre la parole. Plus les heures passaient et plus elle était convaincue que l’agression de Flynn était de sa faute. Un constat qu’Edward eut du mal à comprendre. « -il dirait que j’ai peut-être raison. » ajouta Angy. « -ce… cet homme l’a sans doute prit pour cible à cause de moi. D’habitude il reste dans l’ombre mais pendant ces trois semaines je… » elle se mordit à nouveau les lèvres. Une voiture de police venait de se garer. « -Bonsoir. » commença l’agent. Il salua Edward avant de demander : « -Melle Gordon, je sais que vous êtes sous le choc, mais nous avons besoin de prendre votre déposition… » Angy hocha la tête timidement. Un dernier regard pour Edward et elle suivit les deux agents à l’intérieur du bâtiment. Une heure plus tard, elle les remerciait avant de rejoindre Edward. « -je n’ai pas été d’une grande aide… je n’ai pas vu le visage de cet homme… je ne suis même pas capable de décrire ses vêtements… » elle soupira avant d’ajouter : « -je veux bien un thé… » avant de s’éloigner avec lui vers la machine à café.
Angy prit place sur un des sièges juste à côté, son gobelet en carton entre les mains. Ils restèrent silencieux, et elle finit par coller sa joue contre son épaule. Cette fois-ci, elle vit le téléphone. Elle vit les messes basses entre deux personnes qui se trouvaient à l’opposé de cette salle d’attente. « -merde… » murmura Angy. Elle se redressa et de manière très calme elle se dirigea vers les deux femmes. « -je vais vous demander d’effacer ça. » demanda-t-elle de manière neutre. « -quoi ? Mais on… » Elle la coupa : « -vous trouvez judicieux de filmer un des pires moments de ma vie ? Vous trouvez ça humaine ? Respectueux ? » les deux nanas semblaient gênées, mal à l’aise. « -soit vous effacez, soit je porte plainte. Vous avez compris ? » cette fois-ci sa voix était tintée de colère. La propriétaire du téléphone leva les deux mains et accepta sa demande. Angy retourna vers Edward et dit : « -on s’en va. » elle préférait attendre à nouveau dans la petite pièce dans laquelle on l’avait mise au départ. Encore deux longues heures d’attentes, qu’elle passa blottit dans les bras d’Edward, avant qu’un médecin viennent enfin leur annoncer que l’opération s’était bien déroulé. Que Flynn était en soin intensif. Que les prochaines heures seraient décisives. « -vous devriez aller vous reposer. Vous changez également… vous en avez besoin. Restez ici ne l’aidera pas plus. Je vous promets de vous appelez personnellement si jamais il se passe quoi que ce soit. » Angy n’avait fait qu’hocher la tête. Flynn était toujours en vie. Elle se mit à pleurer de soulagement. Comme si ces prières avaient été entendues.
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Manhattan Redlish
Jeu 7 Nov - 16:06
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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En s’extirpant des murs de l’hôpital Bellevue, considéré comme le plus ancien hôpital public des États-Unis, Edward souhaitait l’éloigner un instant du capharnaüm oppressant qui régnait à l’intérieur. Cela faisait probablement plusieurs heures qu’Angelica respirait l’air aseptisé de la salle de consultation, et avait besoin d’air frais. Passé les portes coulissantes du lieu, le politicien lui octroya quelques instants, se contenta uniquement de disposer sa veste de costume sur ses épaules sans mot dire. Elle se confierait à lui lorsqu’elle en sentirait le besoin. Ce qui ne tarda pas à se produire. Mais contre toute attente, ce n’était pas de la colère qui émanait de ses mots, mais de la culpabilité. Un ressentiment qu’il considéra inepte. Sa main délicatement posée sur son visage pour s’assurer qu’elle ne détournerait pas le regard, il rétorqua avec douceur « C’est que tu as envie de croire. Ça te conforte dans ta culpabilité ». Ils ne purent poursuivre la conversation, interrompu par la venue d’un officier en uniforme missionné pour récupérer sa déposition. « Tout ira bien » murmura-t-il à son attention, tout en laissant s’éloigner le cœur lourd. Il détestait la savoir seule, confrontée à ses propres souvenirs de l’agression, vulnérable et éreintée par les derniers évènements. Le politicien aspirait à la protéger des maux du monde, pour qu’elle ne cesse jamais de sourire à la vie. Or, c’était impossible. Cette nuit l’avait rappelé à cette funeste réalité. Personne ne pouvait protéger quiconque. Mais ce dont Edward était assuré, c’était qu’il pouvait être présent pour elle. Durant l’heure qui s’écoula, il resta donc posté dans l’entrée de l’hôpital, attendant patiemment son retour. Délicatement, il glissa son bras autour de ses épaules, embrassant sa chevelure rousse « Ce n’est pas grave Angie ». New York disposait suffisamment de caméras de vidéosurveillance pour permettre de l’identifier.
Assis sur les sièges contre le mur, faisant face aux distributeurs de boissons chaudes et de sucreries, ce fut en silence qu’ils dégustèrent le contenu de leur gobelet dont la qualité laissait à désirer. En sentant sa tête se blottir contre son épaule, le quadragénaire l’imita en déposant la sienne tout contre. Une étreinte brève qui fut interceptée par les groupies de l’influenceuse qui se précipita dès lors jusqu’aux deux femmes qui avaient osé les filmer à leur insu. Le politicien la talonna sans pour autant intervenir, restant légèrement en retrait en cas d’hostilité de l’une ou l’autre des parties. Angie sut employer les termes adéquates pour contraindre les deux femmes de supprimer le contenu sur leur téléphone, et acquiesça à sa requête. Ils trouvèrent refuge dans la salle d’osculation qu’ils avaient délaissé précédemment, se blottissant de nouveau l’un contre l’autre, appréciant seulement la présence de l’un et l’autre, en silence. Deux heures durant au cours desquelles aucun d’eux n’osa prononcer le moindre mot. Le politicien se contenta de temps à autre embrasser son front, ou caresser de haut en bas son dos emmitouflé dans sa veste de smoking. Ils auraient pu sans nul douter rester ainsi toute la journée durant si le chirurgien n’était pas venue à leur rencontre pour les informer que l’opération s’était déroulée pour le mieux. Les prochaines heures restaient décisives, mais on les encouragea malgré tout à rentrer. « Merci docteur » déclara Edward pour eux, tout en lui adressant une poignée de main chaleureuse, et serra de nouveau la jolie rousse dans ses bras « Il va s’en sortir » souffla-t-il à son oreille, puis récupéra le sac d’Angie, et glissa sa main dans la sienne « Je te ramène à la maison ».
Un taxi les avait déposé en bas de l’immeuble de la jeune femme. Une fois encore, aucun mot ne fut prononcé. Ils gravirent les quelques marches jusqu’à son appartement, et se saisit des clefs pour ouvrir la porte qu’il referma à double-tour derrière eux. Leur agresseur était toujours en liberté et il ne souhaitait lui faire courir aucun risque. Sa main se glissa dans son dos « Va prendre une douche, je m’occupe de préparer le déjeuner ». Elle avait besoin d’ôter sa tenue teintée du sang de Flynn, et de se retrouver un tant soit peu seule avec elle-même, pendant qu’il s’afférait en cuisine.
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Charly
Jeu 7 Nov - 17:09
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Ce fut un soulagement intense pour la jeune femme d’enfin avoir des nouvelles. L’opération s’était bien passée… ça ne voulait pas dire que Flynn était tiré d’affaires, parce qu’il y avait encore sorte de menaces. Les prochaines heures… cependant, on venait de lui annoncer que son meilleur ami était vivant. Alors elle voulait seulement se raccrocher à cela. Lorsque le médecin lui demanda de rentrer chez elle, Angy avait ouvert la bouche, mais avait fini par la refermer après avoir baisser brièvement les yeux sur sa tenue. Elle avait déglutit avec difficulté, puis avait hoché la tête. Flynn allait mettre des heures à ouvrir les yeux… elle devait les fermer également pendant ce temps afin de prendre un peu de repos.
Lorsque le taxi les avaient déposé, elle avait prié pour qu’il ne s’arrête pas à l’emplacement exacte de l’agression de Flynn. Elle ne voulait pas voir son sang sur le trottoir. Dans la rue, il y avait une voiture de police. Peut-être également des paparazzi… aller savoir. Quoi qu’il en soit, ce fut d’un pas rapide qu’elle gagna le bâtiment aux côtés d’Edward. Une fois dans l’appartement, elle resta planté au milieu du hall d’entrée. Un léger sursaut lorsqu’il prit la parole, sans doute dû à la fatigue et aux nerfs. Puis elle hocha de nouveau la tête et elle gagna la salle de bain en silence. Lorsque son regard croisa le miroir, elle vit clairement l’état dans lequel elle était… une de ses mains se posa sur l’évier devant elle, alors que l’autre vint se porter devant sa bouche, les larmes inondant à nouveau son visage. Après quelques minutes, elle prit le temps de respirer de nouveau, avant de retirer ses vêtements avec une certaine hâte dans ses gestes. Une fois sous la douche, elle ferma les yeux, laissant l’eau couler sur son corps durant de longues minutes. Puis elle prit soin de se laver, frottant ses mains avec force, effaçant ainsi totalement le sang de Flynn sur sa peau.
Lorsqu’elle réapparu dans le salon, elle portait un legging et un gros pull, comme si elle avait besoin de se réchauffer. Edward était dans la cuisine. Angy s’approcha avec lenteur, et elle vint se blottir dans son dos en silence, entourant sa taille de ses bras. Après une petite minute, elle souffla : « -merci d’être venu… d’être là… » après ces trois semaines de silence, les choses auraient pu être totalement différentes… Mais il était là. Présent. A l’écoute.
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Manhattan Redlish
Jeu 7 Nov - 17:36
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Les prochaines heures seraient décisives quant à la survie ou non de Flynn. Ils ne restaient donc plus qu’à patienter le moment où ce dernier déciderait de revenir parmi eux. Dans l’attente, le médecin leur conseilla de retourner à leur domicile afin de se reposer. La nuit avait été pour le moins éprouvante, et la jeune femme avait désespérément besoin de quelques heures de sommeil. Donc sans mot dire, Edward la raccompagna jusqu’à son appartement et la surprit à tressaillir au son de sa voix. Elle était éreintée. Contre toute attente, la jolie rousse abdiqua à sa demande et se dirigea jusqu’à la salle de bain sans formuler la moindre contestation. Quant à lui, il retroussa les manches de sa chemise immaculée de blanc, et s’affaira en cuisine pour préparer un dîner simple, suffisamment appétissant et consistant pour remplir l’estomac vide et malmené d’Angie. Durant la cuisson des pâtes, il se surprit à plusieurs reprises à lever les yeux en direction de la salle de bain. Le politicien n’était pas crédule. En l’enjoignant de s’isoler ainsi, il savait pertinemment qu’elle allait laissé s’exprimer ce tourment qui l’accablait, entre soulagement, épuisement et puis cette crainte omniprésente qu’il ne se réveille jamais… Après être partie en quête de sauces tomates, de condiments, d’herbes de Provence, ainsi que de viande hachée, il s’évertua à rendre les spaghettis plus affriolantes que de nature.
Lorsque l’influenceuse le rejoignit dans la cuisine, Edward remuait consciencieusement la sauce dans la casserole pour qu’elle ne brûle pas. Il glissa sa main libre sur les siennes, et savoura cette douce étreinte, sans qu’aucun d’eux n’ait besoin de prononcer le moindre mot. Quand Angie se décida finalement à prendre parole, ce fut pour le remercier. Il délaissa la cuillère en bois dans le fond de la casserole et baissa le feu au minimum, pour faire ensuite volte-face sans craindre de saborder le déjeuner. Il l’attira de nouveau à lui, glissant ses bras autour de sa taille « Ma place est à tes côtés ». L’observant quelques instants, le quadragénaire caressa délicatement sa joue du dos de sa main « La douche t’a apaisé ? », sachant pertinemment qu’elle avait laissé cours à ses émotions sous l’eau chaude. Il déposa un baiser sur son front, puis se tourna vers la casserole, continuant de remuer délicatement, sans pour autant laissé Angie s’éloigner « Est-ce que ça te conviens pour déjeuner ? » en désignant les quelques pâtes déjà disposée dans les assiettes, et qu’il agrément par la suite de viande hachée et de sauce « Tu n’es pas obligée de tout manger, mais essaie d'en avaler un peu » lui conseilla ce dernier tout en disposant les assiettes sur la table. Les premières bouches se déroulèrent dans ce même silence devenu coutumier depuis qu’ils s’étaient retrouvés aux aurores ce matin, au même titre que le reste du repas. Silencieux, Edward débarrassa la table, plaçant les restes au réfrigérateur, puis se rapprocha d’Angie, sa main se glissant dans le creux de ses reins « Va dormir un peu. Je te réveille s’il y a du nouveau ».
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Charly
Ven 8 Nov - 10:29
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Après leur dispute au gala, Angy leur avait imposé une pause de trois longues semaines. Beaucoup de choses auraient pu se dérouler durant ces trois semaines loin l’un de l’autre. Seulement ni l’un ni l’autre n’avaient évoqué une rupture. Une véritable rupture. Besoin d’espace et de temps pour réfléchir, pour se manquer, pour continuer de s’aimer… c’était ça qu’elle leur avait donné. Et elle avait été heureuse qu’Edward respecte cela, et ne cherche pas à la contacter encore et encore. Il avait sans doute lui aussi mis à profit ce temps pour réfléchir, même si elle avait constaté qu’il n’avait pas quitté le monde politique pour autant. La jeune femme s’était fait une raison. Elle devait arrêté de penser ainsi, de croire qu’il allait tout quitter. Elle ne devait surtout pas, lui mettre la pression là-dessus. Lorsqu’ils s’étaient rencontrés, Angy avait insisté sur l’idée que la plus part des personnes qui entouraient Edward, ne cessaient de lui dire ce qu’il devait ou non faire. Elle ne voulait pas être de ce côté ci de la barrière. Il était assez adulte, mature et réfléchir pour savoir ce qu’il faisait. Elle ne laisserait pas l’amour lui embrouiller le cerveau. S’il devait être élu, et bien ils feraient avec. De son côté, elle avait également prit une grande décision, en accord avec Flynn bien évidement. Ce qui venait de se dérouler ce soir, ne faisait que confirmer cette décision.
« -je suis contente que tu sois là… » avait ajouté Angy d’une voix douce et légèrement fatiguée. « -on va dire que oui… » soupira la jeune femme, qui ne voulait pas se laisser abattre. Flynn allait s’en remettre et vivre jusqu’à 98 ans ! Ils feraient des courses de feuilles roulant en maison de retraite ! Ils se l’étaient toujours dit. « -oui… » sourit Angy en penchant la tête sur le côté, amusée par ce qu’il venait de dire. Comme si elle allait faire la difficile alors qu’il avait prit le temps de faire à manger. « -ça me va très bien… » ajouta la jeune femme en réprimant une envie folle d’humer son parfum, juste là dans son cou. Elle s’installa et mangea quelques fourchettes. « -c’est très bon. » ce fut les seuls mots qu’elle prononça durant le repas. Le reste du temps, elle avait le regard un peu perdu. Un peu ailleurs. Puis elle avait relevé les yeux sur Edward lorsqu’il s’était levé. Plusieurs fois elle avait cligné des paupières, puis elle avait hoché la tête. Son activité favorite en ce moment… Elle avait quitté la pièce, et puis elle était revenue quelques minutes plus tard, avec un plaid. Angy avait grimpé sur le canapé, et était venue poser sa tête sur les genoux d’Edward. Pas un mot. Elle voulait seulement être avec lui.
Elle ne su pas vraiment combien de temps elle avait dormi. Elle avait ouvert les yeux avec précipitation, son cerveau ayant décidé de jouer au con et de lui faire revivre la scène. Avec lenteur, elle s’était redressée, se passant une main sur le visage, puis dans les cheveux, chassant ainsi le sommeil. Puis elle s’était retournée, et avait regardé Edward avec de lui adresser un sourire doux. « -tu peux arrêter de me regarder comme ça s’il te plais. » demanda la jeune femme avec douceur. « -ça va… » insista Angy. « -ça ira mieux quand j’aurai entendu ça voix… » elle détailla le visage d’Edward en silence, et lui adressa de nouveau un petit sourire, avant de caresser sa joue du bout des doigts. « -est ce que ça te va si on prends un café et un thé sur la route ? » elle sourit : « -j’ai vu ta grimace à l’hôpital, j’imagine que c’est pas terrible… »
En arrivant à l’hôpital, Angy fut autorisée à rentrer dans la chambre de Flynn. Un regard pour Edward, et elle avait passé la porte avec une certaine appréhension. Elle avait saisi sa main, caressé sa peau, et lorsqu’il avait ouvert les yeux en soufflant un : « -bouh » à peine audible, Angy s’était mise à rire. « -j’ai eu la peur de ma vie… » elle ne parlait pas de maintenant. Mais là tout de suite, c’était de joie qu’elle pleurait. Une semaine plus tard, Flynn était autorisé à rentrer chez lui. Angy était soulagée. Heureuse. Aux petits soins. Elle passait beaucoup de temps avec son meilleur ami, mais ce soir, c’était devant l’appartement d’Edward qu’elle se tenait. Elle avait sonné et elle attendait qu’il veuille bien ouvrir la porte. Elle n’avait pas prévenu. Elle voulait lui faire la surprise. Le voir.
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"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly