"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly
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Dim 29 Sep - 21:59
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Aussitôt prononcé qu’Edward condamna silencieusement le reproche à peine dissimulé de la jeune femme. La mâchoire brusquement crispée, il lutta pour ne pas se montrer désobligeant à son encontre, bien que l’austérité de son regard le trahissait en cet instant. Sans mot dire, il la laissa reprendre parole avant moins d’accusation dans le ton de sa voix « J’ai considéré que tu n’avais pas à porter le poids de cette décision, et moins encore la culpabilité qui en émane ». Considérant qu’Angelica avait suffisamment enduré au cours de ces derniers jours, assistant impuissante à la déferlante de haine injustifiée à son encontre, entraînant la déchéance de son entreprise qu’elle s’était évertuée à construire ces dernières années. Quoi qu’en dise la jolie rousse, il se considérait comme l’unique responsable et en assumait pleinement les conséquences. Seul. Maintenant, Angie allait devoir entrevoir son futur sans lui à ses côtés, aussi douloureux que cette réalité puisse-t-elle être. Le politicien aspirait seulement à ce qu’elle accepte de confier son cœur à un autre que lui. Un jour. Néanmoins, la jeune femme n’était pas encore disposée à songer ainsi à son futur, parce que le seul homme qu’elle désirait pour construire sa vie, c’était celui-là même qui était actuellement en train de mettre un terme à leur histoire, aussi belle soit-elle. À fleur de peau, et parvenant difficilement à réprimer la moindre de ses émotions, Edward haussa la voix pour la première fois, depuis des années, afin de se faire entendre par celle qu’il aimait et qui s’évertuait à ne pas l’écouter. Son cœur se serra aussitôt aux paroles prononcées, et ferma les paupières avec force. Pourquoi la Vie leur infligeait une telle souffrance ?! Ils étaient pourtant si heureux… Il rouvrit lentement les yeux et souffla « Non, je ne peux pas. Je peux simplement te le demander ». Parce qu’il voulait la savoir heureuse, même si c’était avec un autre que lui. Mais elle n’était pas certaine de l’être. Pleinement heureuse. Si ce n’était pas avec lui. Sa question le laissa au dépourvu, et hésita un instant avant de répondre un simple « Je… Je l’ignore… ». Moins d’un mois auparavant, ils parlaient d’acquérir une maison ensemble. Ce soir, dans le salon qui avait vu naître leurs sentiments mutuels, il mettait un terme à leur relation. Il ne disposait pas de toutes les réponses, et moins encore de savoir comment Angie pouvait être pleinement heureuse sans lui à ses côtés « Est-ce que moi, je t’ai rendu pleinement heureuse avant ce soir ? ». Telle était la question.
En évoquant tous les sacrifices auxquels il était prêt à recourir pour la garder auprès de lui, il n’avait pas envisagé que ça leur permettrait de trouver une alternative à cette rupture, jusqu’alors inéluctable. L’enthousiasme de la jeune femme fut soudain, et Edward avait la soudaine sensation de pouvoir respirer de nouveau. Ils allaient vivre cacher aux yeux du monde, le temps que leur situation se stabilise, autant pour l’un, que pour l’autre. « D’accord. D’accord. Ça me convient ». Comment dire « non » à cette porte qui s’ouvrait pour eux deux ?! Le politicien déposa ses lèvres sur les siennes avec passion, auquel elle répondit promptement, et déposa son front tout contre le sien, en douceur, et reprit parole. « C’est important… Je n’ai jamais voulu ça… » et se recula pour déposer seulement sa main sur sa joue « Mais j’étais prêt à souffrir toute ma vie, si ça pouvait te protéger… ». C’était un sacrifice auquel il s’était préparé. Il acquiesça lentement de la tête « Rien ne presse… » et finit par émettre un petit rire sous cape « Dans le fait qu’on ait sauvé notre histoire in extremis, ou qu’on va devoir se cacher pour continuer d'être ensemble ? ». Il caressa sa peau de son pouce tout en continuant de l’écouter organiser leur vie future. Edward s’apprêtait à prendre la parole qu’Angelica évoqua aussitôt Flynn. Il referma la bouche qui s’étira dans un sourire « Je le sais » et déposa ses lèvres sur le bout de son nez « Je n’ai pas envie de le confier à qui que ce soit pour le moment » et poussa un soupir tout en se détachant d’Angie « Tu veux une tasse de thé ? » et se rendit jusque dans la cuisine pour préparer les deux boissons chaudes, puis revint dans le salon, lui déposant le présent dans les mains. Il prit ensuite place à ses côtés dans le canapé, et glissa son bras autour du corps chaud de sa moitié, tout en maintenant la tasse de thé contre sa cuisse, fermement enserrée entre ses doigts « Quand j’ai annoncé mon désir de quitter la vie politique pour toi, pour nous, je n’ai pas apprécié qu’Ava s’oppose à moi en tentant de me convaincre de poursuivre. Elle aurait dû comprendre, elle ne l’a pas fait » et se sentait quelque peu amer vis-à-vis de sa réaction « Pour le moment, je prétendrais que nous nous sommes quittés, tout simplement. Si cela te conviens » et leva les yeux sur elle, attendant patiemment sa réponse.
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Charly
Lun 30 Sep - 15:31
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -seulement la subir. » conclue Angie avec une certaine froideur, pour avoir le dernier mot. Comme souvent. Elle comprenait. Mais elle n’était pas d’accord. Il n’aurait pas dû endosser cela seul. Il n’aurait pas dû la laisser de côté dans cette décision, tout cela par souci de protection. « -arrêtes de toujours vouloir me protéger Eddy. Je ne suis pas une petite fille fragile. Je sais faire front. Et on aurait pu faire cela ensemble. » mais c’était trop tard. Maintenant, ils en étaient là, à parler de cette fin de relation qu’ils ne souhaitaient pas. Elle était là à l’écouter lui demander de continuée d’être heureuse. Heureuse sans lui. De l’oublier, de disparaitre, de retomber amoureuse. Mais c’était impossible ! C’était haut dessus de ses forces. Il n’avait pas de réponse à lui donner pour qu’elle parvienne à être pleinement heureuse sans lui. C’était pourtant simple. C’était impossible. Plus maintenant qu’elle était tombée follement amoureuse de lui. « -alors ne me demande pas l’impossible. » conclue la jeune femme. La question d’Edward lui fit mal. Comment pouvait-il douter ? « -Eddy… » souffla la jolie rousse. « -bien sur que oui… j’ai aimé chaque seconde passé avec toi. Et si on dois ce quitter ce soir, je les chérirais chaque jour en souvenirs. » même si ça serait aussi douloureux que tendre.
Et pourtant, ils finirent par trouver une solution. Bancale et loin d’être parfaite. Mais c’était tout de même une solution. Vivre caché. Rester ensemble, mais avec une certaine distance. Ils allaient devoir s’adapter à cela, se faire à changement qu’ils allaient devoir mettre en place. Mais tout ce qu’elle retenait, c’était qu’ils ne seraient pas obligé de rompre et de se quitter. Après l’avoir embrasser avec passion, elle le rassura de nouveau : « -je sais Eddy, je sais tout ça. » stop, il devait arrêter de culpabiliser. « -je ne peux pas accepter ça Edward. Jamais. Parce que je veux, je souhaite, que tu sois heureux. Vraiment heureux. Pleinement heureux. » restait à voir comment ils allaient organiser tout cela. Le petit rire qu’il émis lui fit du bien et elle lui sourit en retour. « -un peu des deux… » ajouta Angie. Vivre cacher allait sans doute apporter des tensions, des frustrations également, mais elle avait envie de prendre cela un peu comme un jeu. Cela pouvait être également excitant.
Pour ce qui était du secret, elle ne pouvait pas cacher cela à Flynn. Et Edward en était totalement conscient. « -pas même à Ava ? » demanda la jeune femme avec un léger froncement de sourcils. Elle était pourtant son bras droit et sa confidente. « - oui je veux bien. » elle fit mine de se lever, mais son pied blessé la ramena à la réalité. « -je… je te laisse faire. » ajouta Angie passant de la grimace au sourire amusé. Lorsqu’il revint prendre sa place sur le canapé, elle se blottit contre lui, laissant la tasse reposer sur sa cuisse. Ce qu’il lui confia au sujet d’Ava lui fit baisser les yeux sur le liquide brûlant. « -ça ne me gêne pas. On fera comme tu voudras. » si Ava n’était pas au courant, c’était arrangeant pour Angie. Ça éviterait qu’elle ne s’en mêle. « -ta famille va être déçue. » souligna Angie avec une légère amertume. « -ils semblaient si heureux de ce que notre image de couple a généré pour les sondages… »
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Lun 30 Sep - 16:09
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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« Ne commence pas » l’exhorta aussitôt Edward avec froideur, ne souhaitant pas que leur relation se clore sur une dispute où les mots risquaient, sans nul doute, de dépasser leurs pensées. Il avait conscience de ne laisser d’autres choix que de la laisser éprouver sa décision, qui pourtant les concernait eux deux. Seulement, c’était le résultat d’une réflexion mûrement réfléchie, afin de la protéger du mieux qu’il lui était donné de faire, maintenant que le mal était causé. À ces mots, il l’observa longuement, et se contenta d’un simple « Non » pour seule réponse. Ils n’auraient pas pu songer à tout cela ensemble. Ça n’aurait été que plus douloureux encore que d’apercevoir dans son regard toute la souffrance qui résultait du même constat qu’il avait eu le temps de faire lui-même au cours des jours précédents. Il n’y avait aucune issue possible, à l’exception de celle qui entraînait leur rupture. Dorénavant, il ne restait plus qu’à laisser le temps faire son œuvre, et probablement qu’un jour, Angelica serait disposée à aimer de nouveau un autre homme que lui. Bien que ce soir, ça lui était douloureux de l’envisager avec un autre que lui. Plus encore, lorsqu’Angelica désigna sa requête comme impossible. Elle était incapable d’aimer un autre homme que lui. C’était et lui seul qui avait sa place dans son cœur. Ses paupières se refermèrent avec force, et déposa ses lèvres sur son front, avant de murmurer tout contre sa peau un simple « Pardon… » plein de signification. Quand il croisa de nouveau son regard d’émeraude, il lui posa une dernière question, qui était fondamentale pour lui, pour pouvoir partir le cœur plus léger, tant soit peu que cela soit possible … La réponse qu’elle lui donna lui serra le cœur plus encore que présageait, et déglutit avec difficulté « Si tu as été pleinement heureuse avec moi, alors c’est tout ce qui compte ». Ainsi, il ne s’inscrirait pas dans la liste des hommes qui lui avait causé du mal par le passé. « Cela signifie que j’ai réussi à t’aimer de la manière dont tu le mérites ».
Contre toute attente, ce fut en conversant qu’ils parvinrent à trouver une alternative à leur rupture. Mais peu importe le sacrifice que cela allait exiger d’eux deux, au moins ils resteraient ensemble. Ça allait exiger quelques ajustements, mais qu’importe. Elle continuerait d’être sienne, tout autant qu’il serait sien. Ils scellèrent cette réunification d’un baiser passionné, trahissant tout le soulagement qui les accablait en cet instant. Edward craignait toutefois que la jolie rousse ne perçoive ce début de rupture, comme une volonté personnelle, alors qu’il n’en était rien. Quand elle dissipa tous ses doutes en quelques mots, il parvint enfin à s’apaiser pleinement à son contact. Lorsqu’Angelica reprit parole, il l’observa en détail, la couvant tendrement du regard, puis murmura à son attention « Alors reste avec moi aussi longtemps qu’il t’ait possible de le faire ». Ainsi, il serait pleinement heureux. Le petit rire sous cape qui lui échappa trahissait le nouvel état d’esprit du politicien qui acquiesça, une lueur espiègle dansant dans ses prunelles azurées « Avoue que tu trouves cela particulièrement grisant, de jouer avec le feu, comme si nous avions seize ans et que nos parents refusaient qu’on se fréquente ». Parce que c’était tout du moins ce qu’il éprouvait. Ils allaient devoir s’accommoder à une autre manière de mener leur relation, mais qui pouvait être tout aussi grisante dans certaines occasions. Les prochaines semaines seraient jalonnées de baisers volées, d’effleurement discret, de longs regards en coins.
Pour ce qui était des contraintes qui allaient résulter de leur petit secret, ils allaient devoir mentir à leur entourage, parfois par omission, et Angie n’était pas encline à adopter une telle stratégie avec Flynn. Il était sa famille, son meilleur ami, et Edward n’envisageait pas d’exiger cela de la jolie rousse. Toutefois, en ce qui le concernait, il n’en dirait pas le moindre mot à qui que ce soit. Quand Angie évoqua son assistante, Ava, il répondit par un simple « Non ». Une réponse énigmatique sur laquelle il s’éclipsa momentanément afin de préparer deux tasses de thés. Il osa un regard amusé à l’attention d’Angie qui s’était résolue à rester sur le canapé « Oui, tu me laisses faire » confirma-t-il. Son absence ne dura que quelques minutes, et dès qu’il eut rejoint la jeune femme, il passa aussitôt son bras autour de son corps chaud, appréciant aujourd’hui, plus que jamais, sa présence dans le creux de ses bras, alors qu’il aurait pu la perdre… « Peut-être plus tard, mais pas maintenant. Je ne souhaite pas qu’elle nous dicte notre manière de procéder dans cette histoire ». Silencieusement, Edward porta sa tasse à ses lèvres, tout en prenant soin de souffler sur le liquide chaud, et après sa première gorgée, il fronça quelque peu les sourcils, dénotant avec le petit sourire qui étira ses lèvres « Pourquoi ça ? ». À sa réponse, il s’autorisa un petit rire sous cape « J’avais omis ce détail » et observa le liquide clair danser dans sa tasse posée sur le milieu de sa cuisse « Je m’en moque. C’est toi ma famille maintenant » et releva ses prunelles azurées sur l’intéressée « Et puis, ils oublieront vite cette déception quand je leur annoncerais que je deviens ton photographe attitré » déclara-t-il comme un cheveu sur la soupe, son sourire s’élargissant peu à peu, tout en attendant la réaction de sa moitié à cette annonce.
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Charly
Lun 30 Sep - 18:37
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Il y avait tant d’émotions dans cette soirée. Il y avait eut l’envie, l’extase de l’amour physique. Puis il y avait eut la douleur, la colère, l’impuissance face à la situation. L’amour qu’ils se portaient l’un à l’autre, toujours aussi fort. Et puis la culpabilité, la retenue pour éviter qu’une dispute éclate. Et enfin cette sorte de soulagement d’avoir trouvé cette issue. « -aussi longtemps que possible, je te le promets. » souffla Angie. La jolie jeune femme souriait de nouveau, et elle avoua trouver la situation assez amusante. Grisante à la fois. « -ah mais c’est totalement ça ! » s’exclama la jeune femme en riant. « -les rendez-vous secrets… faire le mur… » elle souriait enjouée par tout cela. Oui, elle ne laisserait pas son cerveau générer du stress. Ils allaient faire en sorte que cette solution fonctionne. Elle laissa Edward gérer la préparation du thé, l’observant de loin, un sourire tendre sur les lèvres.
Angie serait transparente avec Flynn sur ce qu’ils avaient décidé avec Edward pour l’avenir de leur couple. Peut-être que son meilleur ami serait soulagé d’apprendre cela. Peut-être pas. Le mal était fait. Aujourd’hui, ils pouvaient seulement trouver des solutions, faire front, et voir ce que cela pouvait donner. Mais elle le lui avait déjà dit, elle ne renoncerait pas à Edward pour son image de marque. Sa relation serait terminée aux yeux du monde, mais pas en réalité. Elle avait tout confiance en Flynn. Mais ce n’était pas le cas pour Ava qu’Edward ne voulait pas mettre dans la confidence. « -ça me va. » souffla Angie qui comprenait le point de vu d’Edward. Elle était d’accord avec lui. Ava avait trop pris part à leur vie depuis leur rencontre. Elle évoqua la déception de la belle famille lorsqu’ils allaient apprendre leur séparation, alors qu’ils venaient enfin de se réjouir, à leur façon, de ce couple qu’ils formaient. « -ça va leur paraitre étrange non, si tu es toujours heureux… » médita Angie à voix haute. « -quoi ?! » demanda Angie en se tournant vers lui, manquant de renverser du thé partout. « -oh pu… » mais par miracle le liquide encore chaud était resté dans son contenant. « -tu veux… attends… » oui, elle avait besoin de quelques secondes pour assimiler ce qu’il venait de dire : « -tu veux toujours aller au bout de ce projet-là ? » demanda la jeune femme qui avait un peu de mal à le voir concilier les élections et la photographie. « -ne vas surtout pas croire que je ne suis pas folle de joie. Je… c’est juste que j’imagine que tu vas avoir un emploi du temps encore plus chargé que d’ordinaire et que je… enfin… » comment comptait il gérer tout cela.
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Lun 30 Sep - 19:30
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Ce soir, ils expérimentaient les montagnes russes émotionnelles, de sorte qu’Edward peinait à réprimer chacune d’entre elles, et s’était parfois abandonné à ses tourments, extériorisant cet amalgame de colère et de douleur éprouvé. Pour finalement n’éprouver que soulagement à l’issue. Ils ignoraient si cette issue trouvée inopinément, au cours de leur conversation, allait leur permettre de vivre leur histoire en toute quiétude, mais ils étaient tous deux déterminés à tenter l’aventure. « Je crois bien que c’est la première fois que tu me fait une promesse » et sourit avec douceur « Pendant que nous y sommes, je te promets à mon tour de ne plus prendre de telle décision à l’avenir seul… Et de ne plus te faire de mal comme je l’ai fait ce soir ». Il aurait probablement longtemps en mémoire ces larmes qui avaient embué son si joli regard, et il ne voulait plus que cela se reproduise à l’avenir. Quant à ce rire qui se répercuta sur les murs de leur salon, il avait bien cru ne jamais plus l’entendre de nouveau, et ne pouvait que sourire davantage à ce son si doux à ses oreilles. Puis ce fut son propre rire qui retentit dans la pièce de vie quand elle évoqua leur futur quotidien d’amants cachés. Edward devait bien avouer que cela rendait cette nouvelle situation soudainement plus exaltante « Les baisers volés aux réceptions, mes doigts qui effleurent les tiens en passant à proximité… Hum… Je sens que ça va être très intéressant ». Oui, il y avait un certain charme à leur situation. Sur ce, il s’éloigna un instant pour préparer le thé et confia l’une des tasses à Angie à son retour, tout en venant prendre place à ses côtés.
Sans surprise, la jeune femme ne souhaitait rien dissimuler à Flynn, et le politicien n’objecta pas. Leur relation était fusionnelle, et sa décision était pour le moins prévisible, contrairement à la sienne, qui souhaitait tenir à distance son assistante. Bien qu’elle soit également son amie, il avait besoin qu’elle ne s’ingère pas dans leur relation, et pour cela, elle devait être tenue à l’écart jusqu’à ce qu’il en décide autrement. Une décision qu’accepta Angie sans tenter de le raisonner, ce qu’il apprécia. Quant à son propre entourage, ils allaient être probablement déçu d’apprendre que leur relation était officiellement terminée, et ce, après qu’ils aient pris la peine de l’accepter en tant que membre à part entière, bien que ça soit pour de mauvaises raisons. Edward n’en avait que faire de leur opinion. Aujourd’hui, sa seule famille se résumait à Angelica. Elle était la seule à le soutenir au quotidien, à l’aimer tel qu’il était, sans émettre le moindre jugement à son encontre. Elle l’aimait brisée, et ne tentait pas de le réparer à tout prix. Il en était de même pour lui. « Je suis un très bon interprète si je le désire. Je n’aurais qu’à redevenir le moi d’avant en leur présence ». Edward savait qu’il en était parfaitement capable.
Un joli rire sous cape s’extirpa de la gorge du beau brun qui fut spectateur de sa réaction soudaine, manquant de peu de recouvrir le tissu du canapé du liquide chaud. Tout en arborant un large sourire devant l’attitude pour le moins adorable de sa moitié, il la laissa poursuivre et acquiesça « Oui. Bien sûr. Je te l’ai dit : Je veux le faire avec toi ». Nonchalamment, il porta sa tasse de thé à ses propres lèvres tout en écoutant Angie évoquer ses propres appréhensions vis-à-vis de son annonce. Tout en reposant le récipient sur sa cuisse, il rétorqua « Ça sera parfois difficile et chronophage également, mais j’en ai envie. Les soirs de solitude, je travaillerais sur la campagne et quand tu seras présente, on pourra agrémenter ton fil Instagram de quelques nouveaux clichés ». Il n’était pas en manque d’inspiration en ce qui concernait les différents clichés qu’il pourrait faire d’Angie. Ce qui souleva un nouveau sujet « La mia luce… Que comptes-tu faire si ça ne fonctionne pas ? Je veux dire, si ton entreprise continue de couler… ». Avait-elle envisagé de nouveaux projets ?
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Lun 30 Sep - 21:15
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
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Angie se pinça les lèvres, étonnée du constat. Il avait raison, c’était la première fois qu’elle faisait une promesse. Mais c’était sans doute la plus importante qu’elle pouvait faire. « -je fais des promesses seulement quand je suis capable de les tenir. » précisa la jeune femme avec un sourire doux sur les lèvres. Elle ferait tout son possible pour que celle-ci soit réalisé. Son sourire s’attendit un peu plus encore en l’écoutant lui faire à son tour des promesses. « -merci mon amour… j’apprécie vraiment cette décision. Mais ce soir ce n’est pas toi qui m’a fait souffrir, c’est notre impuissance face à tout cela. » encore une fois, elle ne souhaitait pas le voir culpabiliser pour quelque chose dont il n’était pas responsable. Il n’avait pas à endosser cela. Elle rit et rit de plus bel en l’écoutant s’amuser de la situation dans laquelle ils avaient décidé de plonger. « -ça va être très enivrant. » ils aimaient jouer l’un comme l’autre. Ça allait finalement mettre du piquant dans leur relation. Enfin s’ils parvenaient à la vivre ainsi, sans laisser la frustration prendre le dessus.
Installé dans le canapé, avec leurs tasses de thé, Angie approuva la décision d’Edward de ne rien dire à Ava. Seul Flynn serait dans le secret. Il lui était impossible de ne pas mettre son meilleur ami dans la confidence. Il appréciait Edward, vraiment. Et il était heureux pour eux, même si ce que cela produisait sur l’entreprise qu’il avait construit avec Angie, lui faisait vraiment mal. Ils en avaient longtemps parlé, et ils s’en sortiraient. Ensemble. Jamais il ne lui avait demandé de quitter Edward, de renoncer à cette histoire. Il la savait heureuse et c’était important pour lui, surtout après ce qu’elle avait vécu avec le dernière homme en date dans sa vie. La jolie rousse sourit. « -je te confiance là-dessus. » pour jouer les cons finit, il était assez doué.
Ce qu’il lui annonça ensuite la chamboula au point de manqué de renverser sa tasse de thé. « -je pensais que… je pensais que tu allais vouloir laisser la photo de côté et te concentrer sur les élections. » oui, c’était la vérité, c’était ce qui lui avait traversé l’esprit. « -arrête j’ai envie de te faire l’amour. » s’amusa la jeune femme, heureuse de retrouver cette légèreté après toute cette douleur. « -oh ça veut dire que les soirs de solitude, j’ai interdiction de t’envoyer une photo sexy ? » s’amusa-t-elle de nouveau. Elle porta sa tasse à ses lèvres : « -je vais boire ça avant de me brûler les cuisses. J’ai déjà un pied en moins. » elle roula des yeux avant d’avaler une gorgée en écoutant Edward reprendre la parole. Elle fit descendre lentement la tasse et répondit : « -on en a pas mal discuter avec Flynn. J’ai des pistes, comme des formations en ligne, des séminaires ou des retraites bien-être. Je veux rester dans le soin pour les femmes. Elles en ont besoin. D’ailleurs, ce ne sont pas elles qui malmène mon job. J’ai reçu beaucoup de message me disait que tu étais super sexy, qu’on allait bien ensemble… » ses détracteurs étaient des hommes.
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J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Si ses souvenirs étaient exactes, c’était bel et bien la première fois que la jeune femme formulait une quelconque promesse, et pas des moindres. Elle lui promettait de rester à ses côtés aussi longtemps que possible. Il n’en fallait pas davantage pour ravir le politicien qui saisit l’opportunité pour formuler à son tour une promesse. Ne plus jamais prendre de décision qui les concernait, seul. Bien qu’il se soit montré pour le moins austère à ses reproches, il avait compris qu’elle s’était sentie mise à l’écart en agissant de la sorte, n’ayant d’autres choix que de subir ses choix. Par ces mots, Edward lui promettait de communiquer davantage afin de ne plus lui causer le moindre tort à l’avenir. « Tu as pleuré et je n’ai pas aimé ça », il déposa ses doigts sous son menton et reprit « J’ai détesté ça ». Ils allaient donc s’armer pour l’avenir, pour parvenir à surmonter les conséquences des attaques de leurs détracteurs, et ainsi, reprendre un jour le cours de leur existence comme si de rien n’était. En attendant, ils préféraient concevoir cette relation en coulisse sous un nouveau prisme. Ils ne pourraient vivre leur amour que tapi dans l’obscurité, entre deux mises en scène, à l’abri des regards. Ce qu’ils trouvèrent pour le moins exaltant, tout autant l’un que l’autre. Ça allait être particulièrement enivrant, comme le précisa si pertinemment Angie. Le politicien éprouvait presque une certaine hâte de croiser son chemin au cours d’un évènement public…
Toutefois, leur choix de vivre caché de tous n’était pas sans conséquence, et ils allaient devoir constamment interpréter un rôle, celui de l’amant esseulé et brisé par son histoire d’amour passée. Une interprétation qui n’aurait pas lieu d’être en présence de Flynn qui faisait figure d’exception. En ce qui concernait toutefois l’entourage du politicien, aucun ne disposerait d’un tel privilège. Ainsi, il n’aurait d’autres choix que de revêtir ce masque qui lui seyait si bien, celui de l’homme hautain et acariâtre qui défrayait la chronique au quotidien. Angelica lui faisait une confiance aveugle en ce qui concernait sa capacité à se faire détester du plus grand nombre, y compris de son propre sang « Que dois-je comprendre mon amour ? » osa-t-il sur un ton quelque peu provocateur qui allait de paire avec le petit sourire espiègle qui étirait le coin de ses lèvres.
Contre toute attente, Edward parvint à surprendre sa moitié avec sa révélation inopinée. Sans elle, il n’avait aucune raison de poursuivre la photographie qui lui aurait sans cesse rappeler son histoire avec Angie. Mais maintenant qu’ils envisageaient de nouveau leur futur à deux, il en était tout autre pour le politicien. Seulement, cela allait exigé une certaine organisation pour permettre de pallier aux deux emplois du temps. « Tu ne m’as pas compris Angie ». Il se pencha pour se délester de la tasse de thé encore pleine à moitié, et replia une jambe sur le canapé, disposant son bras sur le dossier, afin de faire davantage face à la jeune femme « Sans toi, il ne me restait que la politique pour me maintenir en vie… Avec toi, tout est différent ». Un nouveau rire résonna dans la pièce « Parce qu’il y a des moments où tu n’en as pas envie ? » ce dont il doutait fortement. Son coude tout contre le dossier du canapé, il laissa ses doigts s’aventurer dans les cheveux de feu de la jeune femme « Je n’ai jamais dit cela » précisa-t-il sans se départir de ce sourire qui avait élu domicile sur ses lèvres depuis qu’il savait que demain, elle ferait encore partie intégrante de sa vie. Du regard, Edward suivit le mouvement de la tasse jusqu’à ses lèvres, et acquiesça « Ça ne m’arrive pas souvent de jeter des verres contre le mur comme ce soir ». En fait, ça ne s’était jamais produit jusqu’alors. Tout en continuant de caresser ses cheveux, il l’interrogea sur sa manière de concevoir son futur professionnel dans l’hypothèse où leur idée ne fonctionnerait pas. Angelica souhaitait poursuivre sa ligne directrice qui consistait au bien-être des femmes. Attentif, il l’écouta sans l’interrompre, et émettant seulement un petit rire quand elle évoqua l’opinion des autres femmes sur son physique. Mais ce rire se dissipa quand elle l’évoqua implicitement le sexe de ses détracteurs « Qu’est-ce qu’ils t’ont dit ? » et se pencha légèrement vers elle, comme pour lui confier un secret « Je sais que tu ne me dit pas tout à ce sujet », et finit par déposer ses lèvres contre sa tempe chaude « Est-ce que je dois m’attendre à ruée de femmes en chaleur sous ma fenêtre après l’annonce de notre rupture ? Parce que ça ne va pas aider ma réputation d'antipathique si je brise aussi des cœurs ». Il n’y avait et n’aurait qu’elle dans sa vie, peu importe ce qu’il adviendra d’eux dans l’avenir.
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Charly
Mar 1 Oct - 19:09
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -je n’ai pas pleuré à cause de toi mais de cette idée horrible de cette séparation. » il n’était pas fautif. « -je crois qu’on dois faire des efforts l’un comme l’autre sur la communication lorsque nous avons des soucis. » ajouta Angie. « -tu ne m’as pas consulté pour ça, et je ne t’ai pas tout dit au sujet des soucis de mon entreprise. Mais on va s’améliorer. » oui, ils allaient réaligner cela. Ils avaient tellement l’habitude de gérer seul jusqu’à présent. Ils allaient devoir changer là-dessus. Comme ils allaient devoir faire certains efforts afin que le mensonge sur leur relation paraisse crédible. Ce qui passait par une mauvaise humeur, voir de la douleur à afficher aux yeux des autres. « -je veux dire par là que tu sais parfaitement jouer les connards lorsqu’il le faut. » déclara Angie avec un sourire moqueur et franc. Envoyer chier les autres, se montrer froid et distant, Edward était assez doué pour cela.
Elle eut du mal à comprendre et assimiler l’annonce suivante. Edward voulait toujours faire de la photo. Angie s’était imaginée qu’il allait mettre de côté cette idée afin de se concentrer sur les élection. Mais il n’en était rien. Il était toujours motivé par leur projet et souhaitait le réaliser en parallèle. « -ne parle pas comme ça. » elle détestait entendre ce genre de discours. Mais elle était aux anges d’apprendre qu’il voulait toujours se remettre à la photo et elle lui demanda presque d’arrêter de trop l’enjouer au risque qu’elle lui saute dessus. « -pas faux… » souligna la jolie rousse. Elle joua un peu tout de même et sourit malicieusement. « -à tes risques et périls… » déclarant cela avec un air faussement innocent. Qu’est ce qu’elle aimait le voir ainsi, si détendu et souriant. « -je sais… » elle avait bien comprit que ça avait été un geste de désespoir et d’impuissance face à la situation. Il s’était laissé débordé par la colère. Ça arrivait.
Angie expliqua dans les grandes lignes à Edward ce qu’elle avait en tête pour se réinventé si jamais son entreprise s’écroulait. Elle ne manquait pas d’idée. Elle ne doutait pas de ses capacités et savait qu’elle réussirait. Parce qu’elle n’était pas seule. Flynn était là, tout comme lui. Et malgré les mauvaises langues, elle avait derrière elle, toujours un communauté soudée. « -oh et bien… » elle posa sa tasse avec lenteur. « -il y a des insultes… il y a des jugements de valeurs… il y a des conseils préhistoriques… des propositions sexuelles rabaissantes… » beaucoup de mots blessants, humiliants. « -peut-être… va savoir… » elle ne pouvait rien lui assuré là-dessus. « -tu vas faire une annonce officielle ? » demanda Angie, qui ne savait pas vraiment encore comment annoncer cela sur ses réseaux.
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Mar 1 Oct - 20:22
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Edward n’avait pas souvenir d’avoir déjà vu la jeune femme pleurer ainsi en sa présence, et il avait détesté la savoir si vulnérable dans le creux de ses bras sans parvenir à trouver le moyen d’apaiser sa peine. C’était son bonheur qui contribuait au sien. Si elle n’était pas heureuse et épanouie, il était incapable de l’être pour eux deux. Ça paraissait insensé. Avant de la rencontrer et de succomber, il n’avait jamais rencontré la moindre difficulté pour mener son existence, sans dépendre de qui que ce soit. Aujourd’hui, il n’envisageait plus son quotidien sans elle. Ses émotions étaient également les siennes. La voir ainsi, si abattue, lui avait été tout aussi douloureux que la cause en elle-même. « Tout est derrière nous maintenant, mi amore » souffla-t-il avec douceur, puis l’observa avec intérêt « Est-ce que je te semble inquiet ? » et lui adressa un sourire « C’est en commettant des erreurs que l’on apprend le mieux, et puis je ne veux pas d’une histoire parfaite ». Il voulait d’une relation à leur image, parfaite dans son imperfection. Edward ne voulait pas que des éclats de rires et des étreintes chaque jour. Il aspirait aussi à ce qu’elle le contre quand elle le désire, qu’ils se disputent de temps à autre, pour leur permettre de mieux se retrouver ensuite, de consolider leur lien jusqu’à ce qu’il soit indéfectible. Bien qu’il appréciait aussi ces moments de quiétude après la tempête, comme en cet instant, alors qu’Angie se plaisait à se moquer gentiment de sa personne « Trop de compliment en une seule phrase mon amour, tu devrais te ménager » renchérit-il sur un ton léger « Enfin, tu es tombée amoureuse du connard. On peut donc s’interroger sur ton type d’homme » rétorqua-t-il de nouveau, tout en arborant ce petit sourire espiègle qui n’était destinée qu’à elle seule.
Sa tasse de thé encore tiède posée sur le rebord de la table basse, Edward se posta de manière à faire face à la jeune femme et éclaircit quelque peu les propos qu’il avait pu avoir un peu plus tôt dans leur conversation. Il ne nourrissait plus aucune ambition politique à ce jour. S’il avait souhaité poursuivre sa carrière jusqu’au Sénat, c’était uniquement pour tenter un semblant de normalité dans son existence après le départ d’Angie. Mais cela n’avait plus d’importance maintenant qu’ils étaient parvenus à trouver un compromis pour sauver leur histoire. « Tu ne comprends pas Angie… » et lui sourit avec douceur « Tu es entrée dans ma vie, tu as tout chamboulé sur ton passage, en commençant par mon cœur, puis ensuite mes projets d’avenir. Tu m’as comme extirpé d’une existence sans saveur, et tu l’as parsemé de couleurs. Tu ne peux pas me demander de me taire quand je te dis que si tu disparais de ma vie, j’aurais l’impression de survivre, et non plus de vivre au quotidien ». Angelica ne semblait pas avoir conscience de qu’elle avait engendré chez lui, et qu’en effet, il percevait la politique comme une bouée de sauvetage, le maintenant suffisamment hors de l’eau, pour qu’il ne sombre pas définitivement. Un nouveau rire discret résonna quelque peu autour d’eux « Je le savais ». La jolie rousse avait constamment envie de lui, de son corps chaud tout contre le sien. « J’ai de quoi me tenir chaud sur mon portable également » précisa-t-il tout en haussant plusieurs fois les sourcils, pour finir par rire de nouveau, son visage niché dans le creux de son propre bras.
Lorsqu’elle évoqua sa blessure au pied, le politicien trouva pertinent de la rassurer sur ses éclats de colère soudain. Ils étaient rarissimes. Ce soir était une exception. « Tu es venue parce que tu t’inquiétais ? ». Finalement, il ne lui avait jamais demandé les raisons qui l’avait poussé à venir jusqu’à la terrasse à ce moment-ci. La conversation dévia par la suite sur les projets futurs de sa moitié, et il fut agréablement surpris par ces derniers. Angie ne s’était pas laissé à l’apitoiement, et avait rapidement songé à une reconversion future. Toutefois, ce qu’elle sous-entendit vis-à-vis de ses détracteurs intrigua plus encore le politicien qui l’interrogea au sujet de ces derniers. Il sentit son corps se raidir mot après mot et sa mâchoire se crisper plus encore quand elle évoqua les messages à connotation sexuelle « Propositions sexuelles rabaissant… » et détourna légèrement le regard pour tenter de reprendre contenance, puis reprit « Qu’est-ce que tu veux dire par-là ? », et osa un « Pourquoi ne m’avoir rien dit Angie ? ». Elle avait dû gérer tout cela seul, et il n’aimait pas cette idée. Il finit par apaiser la colère qui commençait peu à peu à le ronger de l’intérieur, et évoqua les femmes qui avaient apprécié son physique « Je n’en veux pas de toutes ces femmes moi, j’ai tout ce qui me faut ici-même » et confirma en embrassant son cou. Il se recula pour se saisir de sa tasse dont le liquide s’était refroidit au cours de leur échange et apporta une réponse à l’influenceuse « La chargée des relations publiques du parti s’en chargera. J’étayerais peut-être ses propos. J’ignore encore la stratégie qu’ils vont souhaités adopter, et je m’en moque éperdument pour tout t’avouer. Et toi ? Tu y as réfléchis ? ».
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Charly
Mar 1 Oct - 21:52
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Angie donna une petite tape sur le genou d’Edward et ajouta en riant : « -hé bien tant mieux parce que malgré ton entêtement à me dire que je suis parfaite, je suis bien loin de l’être. » cela voulait dire que leur relation ne serait jamais un long fleuve tranquille. Mais c’était ainsi qu’évoluait l’amour et une relation. « -non, je suis tombée amoureuse de l’homme merveilleux qui se dissimule derrière le connard. » précisa Angie en riant, même si ces mots étaient sérieux.
« -qu’est ce que je comprends pas ? » demanda Angie en fronçant les sourcils, cherchant à avoir des explications dans les yeux d’Edward. Elle pencha légèrement la tête sur le côté en haussant les sourcils cette fois-ci. Oui, elle avait légèrement fait volé en éclat la vie bien rangée et monotone d’Edward. Ça elle en avait conscience. « -oui… dans le genre tornade je me pose là… » grimaça la jeune femme avec humour. « -dixit celui qui voulait que je tombe amoureuse d’un autre homme et soit heureuse sans lui. » elle sourit et ajouta : « -tu comprends donc exactement pourquoi je t’ai dit que c’était impossible pour moi de vivre sans toi à mes côtés. » sa voix était tinter de douceur, tout autant que son sourire.
Il s’excusa d’avoir fracasser son verre et elle affirma comprendre. Parfois on avait besoin d’extérioriser. La colère pouvait faire faire de drôle de chose. « -j’ai entendu du bruit et oui… oui je me suis inquiétée. » c’était pour cela qu’elle n’avait pas fait attention et qu’elle se retrouvait avec une blessure sous la voute plantaire. Ça allait vite cicatriser, elle ne s’en faisait pas pour ça. Angie avait parlé d’une meilleure communication entre eux lorsqu’il s’agissait de sujet complexe. Alors elle choisi de répondre à sa question, et ne plus faire de mystère. Oui, ce qu’elle recevait comme messages étaient loin d’être sympathique. Même si elle tentait au mieux de prendre de la distance avec tout ça. Elle ne les lisait même plus. Et surtout n’avait jamais prit la peine de répondre. « -tu tiens vraiment à le savoir ? » demanda Angelica qui n’était pas certaine que cela soit judicieux. Elle soupira et ajouta : « -du phrase du genre : si tu as besoin d’un mâle pour te baiser, je suis là. Ou encore : t’es qu’une putain d’allumeuse en legging, normal qu’il ait envie de te baiser. Ou de remplir ta bouche pour que tu la fermes… » en lisant cela, elle s’était dit qu’il fallait vraiment que leur photos ou vidéos intimes, le restent. « -des discours haineux, que je préfère imaginée comme de la jalousie à ton égard. » même si c’était faux. Elle le savait. Mais cela leur donnait moins d’importance. « -parce qu’en parler leur donnent plus d’importances. Parce que tu n’y peux rien. Et… » elle caressa sa mâchoire : « -cela ne peut que te mettre en colère, voir en rage. » c’était le cas, elle le voyait bien. « -mais c’est le monde des réseaux sociaux… » elle savait parfaitement comment cela fonctionnait. C’était tellement facile de dire des telles choses caché derrière un écran. « -chaque profil est identifié et donner à la police. Mais ça ne changera rien. » parce que c’était monnaie courante. Le cyberharcèlement.
Lorsqu’il embrassa son cou, elle rit joyeusement, avant de lui demander comment il comptait faire l’annonce de leur soit disant rupture. « -ok… » il y aurait donc une annonce. « -j’en sais rien. Annoncer ça c’est un peu comme donner raisons à tout ces cons. Et je déteste cette idée. J’imagine que Flynn aura les idées bien plus claires que moi à ce sujet. Je te dirais… » elle devait y réfléchir. « -mais je veux faire ça proprement. Une séparation en adultes. Pas de gros mensonges. » ça ne ferait qu’ajouter de l’huile sur le feu.
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