"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly
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Jeu 8 Aoû - 7:19
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Allongés de tout leur long sur les draps qu’ils venaient de souiller, ils se plaisaient à imaginer un quotidien où ils pourraient s’adonner librement au plaisir de l’acte charnel, sans être happé par leurs obligations professionnelles respectives. « Je l’ignore » déclara simplement avec la légèreté qui caractérisait leur échange. Les sourcils au milieu du front, Edward se mura dans son mutisme quelques secondes, peu convaincu par l’observation ubuesque de sa moitié, et finit par sourire quand elle prit conscience que ça ne se produirait jamais. Il déposa ses lèvres sur l’épaule de son amante, avant d’approuver ses dires « C’est impossible, je te le confirme ». L’attirance et l’alchimie entre eux étaient bien trop évidente pour envisager qu’elles puissent se dissiper un jour, ébranlé par le temps et la routine. Un petit rire résonna et il acquiesça « Piment. Ça me convient parfaitement », trouvant le mot plus qu’adéquate pour eux deux.
Mais dans l’attente de l’utiliser un jour, ils devaient s’apprêter pour se rendre dans les divers magasins de décoration et d’ameublement dont regorgeait New York. Pour cela, Edward avait souhaité s’apprêté de manière élégante et décontractée, il s’était alors vêtu d’un costume dont il s’était délesté de la chemise au profit d’un simple t-shirt. Il voulait seulement être beau aux yeux de sa moitié, rougissant même à cet aveu alors qu’ils n’avaient pas encore franchis le seuil de leur entrée. Il se cantonna un simple « Humhum » pour seule réponse, avant de sourire et de combler l’espace entre leurs deux corps « Le costume me sied mieux que le sac poubelle » et déposa un baiser sur ses lèvres, avant d’habiller ses yeux d’une paire de lunette de soleil, et de glisser sa main dans le bas du dos de la jolie rousse, la conduisant jusqu’à la sortie du penthouse tout en délicatesse. Toutefois, la proximité dont ils étaient capable dans la sphère privée leur semblait impossible dans un lieu public. Pourtant, ce n’était pas l’envie de lui saisir la main et d’entrelacer leurs doigts qui le retenait, mais bel et bien ses propres appréhensions vis-à-vis du monde extérieur, ainsi que de l’envie ou non d’Angelica d’être perçue en public à ses côtés. Ils s’autorisèrent néanmoins à déguster un burger et des frites sur le rebord d’un banc sur lequel la jeune femme avait jeté son dévolu, affamé et prête à combler son appétit croissant après leurs activités matinales.
Déjeuner ainsi, au milieu d’un parc, sur un simple banc, n’était aucunement inscrit dans les habitudes du politicien qui ne se montra pas particulièrement à l’aise. Sa gêne était évidente, et il apprécia qu’Angelica ne le materne pas, si toutefois elle l’avait constaté d’elle-même. Parce qu’il ne souhaitait nullement prendre place à la table d’un restaurant. Il appréciait cette simplicité que lui offrait la jolie rousse. Pas de fioriture. Uniquement eux deux, dégustant un burger à même l’emballage, dans un parc. Peu à peu, il s’adapta à sa nouvelle condition d’homme avide de moment simple, et se laissa porter par les idées d’aménagement de sa moitié, en lui exposant quelques idées supplémentaires. Coussins, rideaux ou encore bien plaids. Il était tout disposé à faire de son appartement, leur appartement. Néanmoins, l’engouement qui le gagna à ce moment-ci se dissipa bien promptement quand elle évoqua un tableau rassemblant quelques-unes de ses photographies. Passées et présentes. D’un geste lent, Edward reposa son burger aux côtés de ses frites et acquiesça, sans mot dire. « Ce n'est pas ce que j'ai dit ». Il n’y était pas opposé. Il était seulement … décontenancé par sa demande. « Je l’ignore. Ça fait des années que je n’ai pas ouvert ses boites. Peut-être que j’ai édulcoré mon talent, que sais-je » rétorqua ce dernier, peu confiant du rendu de ses clichés après tant d’années.
Lentement, Edward releva ses prunelles azurées sur sa moitié, caressant chaque trait de son visage avec douceur. La jeune femme était constamment empreint d’une telle douceur à son égard, ne faisant que l’aimer plus encore. « Je ne peux pas te garantir que je ne serais pas frappé de nostalgie ou d’une certaine mélancolie en les découvrant mais… J’ai envie de les faire découvrir la mia luce. Je veux partager ça avec toi ». Les boites avaient sûrement pris la poussière depuis, ou tout du moins son contenu. Mais Edward se sentait prêt à lui découvrir son passé, son monde quand il n’était encore qu’un adolescent heureux de vivre et avide de photographie. Un peu comme celui qu’il était en train de devenir à ses côtés. Pour autant, Edward était curieux de connaître les raisons d’une telle idée. Qu’est-ce qui faisait qu’Angie désirait exposer ainsi son travail sur tout un pan de mur. Bercé par ses mots, Edward délaissa momentanément la fin de ses frites pour n’écouter qu’elle. Il fut quelque peu troublé par sa manière de porter ses doigts à ses lèvres, mais en fit vite abstraction lorsqu’elle reprit parole « Je… Je n’avais jamais associé la photo aux livres et … » Il sourit avec douceur « Je veux bien le faire ». Il s’essuya les mains avec le rebord de sa serviette en papier, et la débarrassa de ses emballages vides, ainsi que des siens, jetant le tout dans la poubelle à ses côtés, puis se redressa sur ses jambes avant de tendre la main à Angelica, l’attirant à lui pour l’embrasser avec tendresse « Je veux avancer avec toi… ». Sans attendre, il glissa sa main dans la sienne, entrelaçant leurs doigts « J’en ai envie depuis que nous sommes partis, mais si tu préfères, on peut être plus discret en public » souffla-t-il avec douceur, arborant ce sourire qui n’appartenait qu’à elle.
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Charly
Jeu 8 Aoû - 12:12
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Angie était une sorte de caméléon. Elle était capable de s’adapter rapidement à n’importe quel milieu dans lequel elle évoluait. Elle avait révélé ses talents lors des différents galas auxquels ils avaient assisté. Elle s’était présentée avec classe, tout en étant capable de rester elle-même. Aujourd’hui, alors qu’ils venaient de commander à manger burgers et frites, elle démontrait être tout aussi à l’aise dans une existence classique. Chaque jour des tonnes de gens faisaient ce qu’ils étaient en train de faire. Manger sur le pouce, sur un banc, dans le parc. Profitant seulement du moment, des rayons du soleil et de la présence de l’autre. Elle devina rapidement qu’Edward n’était pas aussi à l’aise avec l’exercice, trop longtemps prisonnier dans sa tour d’ivoire. La jolie décida de ne pas me materner, faisant comme si tout était normal, parlant des projets déco qu’ils allaient mettre en place durant la journée, exposant ses idées à Edward. Elle ne tenait pas à tout changer. Juste ajouter un peu de couleur et plus de vie dans l’appartement. Il était trop sobre et trop froid à son gout. Le blanc et le gris n’étaient pas de couleur selon elle. Edward semblait d’accord, et elle adora son idée de coussin et de plaid pour le canapé.
Pour ce qui était du mur de la bibliothèque, c’était différent. En l’entendant chercher à lui faire comprendre que ce n’était pas une bonne idée, Angie précisa que justement ce n’était qu’une idée et qu’il était en droit d’être contre. La décision lui revenait. Elle sourit avec tendresse. « -comment un homme comme toi peut-il autant douter de lui… » elle avait tellement mal pour lui lorsqu’il se dévalorisait de la sorte. Bien sur qu’elle voulait voir ces photos. Cela faisait un moment déjà qu’ils avaient évoqué le sujet. Elle était curieuse de les découvrir, mais seulement s’il était d’accord pour cela. « -alors si tu te sens prêt, on ouvrira la boite ce soir. Et nous ne sommes pas obligé de toutes les regarder si cela te devient pénible. » l’idée n’était pas de venir remuer le couteau dans une plaie qui commençait à cicatriser peu à peu.
Angie lui exposa sa vision des choses. Pour elles, les photos n’étaient pas faite pour rester enfermer dans des boites ou des albums qui prenaient peu à peu la poussière. Elles étaient des œuvres d’art, des moments de vie figés. Elles devaient être vu, attiser la curiosité, être caresser du regard et appréciées. Elles racontaient toutes une histoire, appartenaient à des personnes qui vivaient ou avaient vécu. Elle sourit en voyant que son petit discours n’avait touché et le faisait soudainement réfléchir. Son sourire se fut plus lumineux encore lorsqu’il accepta. Elle se redressa lorsqu’il saisit sa main, et fut surprise par le baiser qu’il lui donna. Lieu public… mais visiblement là tout de suite, Edward n’y accordait pas d’importance. Elle lui rendit son baiser avec la même tendresse, tinter d’amour tendre. « -d’accord… » souffla-t-elle ensuite avant de baisser ses yeux sur leurs doigts entrelacés. Son regard remonta sur Edward qui se justifiait de ce geste. « -je te l’ai déjà dit, je m’en fou qu’on soit vu en public ensemble, heureux et amoureux. » elle ne voulait pas vivre éternellement dans l’ombre sous une forme de secret. « -et j’avance mieux avec ta main dans la mienne… » ajouta Angie en déposant ses lèvres sur les siennes avec douceur. « -on y va ? »
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Jeu 8 Aoû - 13:14
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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La photographie avait toujours fait partie de l’existence d’Edward, d’aussi loin qu’il puisse s’en souvenir. Il avait été de nombreuses fois sollicité au cours de sa scolarité pour les évènements en tout genre organisé par l’établissement. Toutefois, après plus de vingt ans sans avoir ne serait-ce que posé son regard sur un appareil, le politicien doutait de son talent. Les souvenirs pouvaient être parfois édulcorés, et probablement qu’il tomberait dénue devant les clichés du temps passé. Le cas échéant, Angelica n’aurait d’autres choix que d’exposer ses propres photographies ou d’envisager une alternative pour habiller le mur de la bibliothèque. « J’ai confiance en moi quand il s’agit de décisions politiques, d’argent ou encore de certains engagements. Parce que c’est ce que je fais depuis toujours. Quant à certains de mes talents ou … - il la désigna de la main avec un doux sourire sur ses lèvres – l’amour, je suis moins confiant ». Ce qu’elle n’avait sans nul doute remarqué au cours de ces dernières semaines. À maintes reprises, Edward avait douté de l’amour qu’elle pouvait lui porter, ne se considérant pas légitime à être aimé ainsi et par une telle femme. Peu à peu, il réalisait qu’elle lui était tout simplement destinée, et se contentait de remercier le Ciel pour ce présent qu’était Angelica, au lieu de continuer d’alimenter ses craintes les plus profondes. Quant à la photographie, il ne serait assuré de son talent qu’au moment de poser son regard sur les différents clichés. Ce qu’ils entreprendraient ce soir, si la jolie rousse le désirait elle aussi. La prévenance dont faisait preuve sa moitié le toucha tout particulièrement, et la couva tendrement du regard sans mot dire le temps de quelques instants, et finit par souffler « Je sais mon amour ».
Maintenant qu’il comprenait davantage les raisons qui conduisaient Angelica à vouloir recouvrir le mur de la bibliothèque de ses photographies, passé et présente, il était plus enclin à répondre à sa demande. La symbolique était forte. Bien qu’Edward appréhendait quelque peu de se retrouver face à face avec un passé qu’il n’avait eu de cesse de désirer oublier au fil des années. Seulement, il avait probablement de cela pour accepter ce qui s’était passé, pour mieux avancer. Le faire avec la jeune femme le rassura plus encore. Elle était un soutien indéfectible, et il l’aimait pour tout ce qu’elle lui apportait au quotidien. C’était pour laquelle il était lassé de devoir occulter sa relation aux yeux du monde. Ce n’était pas ainsi qu’il concevait sa relation avec Angelica. Il l’attira donc à lui et déposa ses lèvres aux siennes sans attendre. Si la jeune femme refusait de partager leur intimité en public, elle saurait trouver les mots. Devant son silence, il s’autorisa à glisser sa main jusqu’à la sienne, entrelaçant leurs doigts et justifia aussitôt son geste « Bien » et sourit « Parce que je m’en moque aussi ». S’ils venaient à être surpris, Edward aviserait au moment venu. Toutefois, il voulait vivre pleinement sa relation avec l’influenceuse, sans contrainte, ni entrave. « Je t’aime » murmura-t-il à son attention, tout en lui rendant son baiser empreint de sentiments, et acquiesça « On y va ».
En franchissant les portes battantes du premier magasin, Edward ôta aussitôt ses lunettes de soleil de sa main libre, glissant la branche dans son t-shirt. Il balaya rapidement le hall du regard, surprenant quelques regards à son attention. Il était une personnalité politique publique. Il était légitime qu’il soit reconnu. Néanmoins, il ne s’en soucia pas outre-mesure et porta la main d’Angie à ses lèvres, déposant un baiser sur sa peau « On commence par le commencement ? ». Le politicien était en congé et n’était nullement pressé. Pour autant, il se montra particulièrement silencieux au fil des allées qu’ils empruntèrent, percevant la décoration aussi sérieusement qu’un bilan financier.
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Jeu 8 Aoû - 16:02
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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En proposant d’afficher les photos d’Edward, Angie savait d’avance que cela pourrait être douloureux. Mais comme elle l’avait précisé, il n’était pas dans l’obligation d’accepter. C’était à lui de choisir s’il voulait ressortir ces photos trop longtemps garder enfermé. A l’image de l’homme qu’il était, prisonnier de sa propre existence. Il doutait de son talent, alors que sans avoir vu les photos en question, elle était convaincue qu’il avait du talent. Si ça n’avait pas été le cas, comment Nonna aurait elle pu le pousser à devenir photographe ? La photographe était une passion, quelque chose qui le faisait vibrer, qui animait son âme à l’époque. Angie était certaine qu’il allait très vite reprendre gout à cela, et qu’il serait pleinement heureux de reprendre cet appareil photo en main. « -parce que tu n’as pas été habitué à cela… mais cela ne veut pas dire que ton talent est médiocre ou que tu ne sais pas aimer. Que ne tu mérites pas une chance de développer à nouveau ta créativité ou que tu ne mérites pas d’être aimé. » Angie connaissait par cœur ces doutes, elle les avait vécu. Elle avait mit du temps à apprendre à se faire confiance, à croire en elle. C’était un travail de longue haleine. Elle avait été entourée de belles personnes pour se reconstruire. Aujourd’hui, elle serait cette personne pour lui.
Elle lui expliqua par la suite pourquoi elle désirait voir ces photos tapisser le mur vierge de la bibliothèque. Et elle tenta de trouver les mots les plus rassurants qui soit pour aider Edward à franchir ce cap. Si voir ces photos s’étaler sous ses yeux était quelque chose de trop douloureux, alors ils arrêteraient. Toujours et encore, elle ne voulait que son bonheur. Mais elle fut heureuse de constater qu’elle l’avait décidé et qu’il se sentait assez en confiance avec elle pour franchir ce pas.
Elle fit surprise par le baiser qu’il lui donna, ici en public, au milieu du parc. Il lui avait explicitement signifié qu’il ne souhaitait pas être vu sur ses réseaux sociaux. Alors oui, elle avait été légèrement surprise mais cela ne l’empêcha pas de lui rendre son baiser avec douceur, savourant ce moment de tendresse physique. Il s’était visiblement posé les mêmes questions quelle. Est-ce qu’ils pouvaient se montrer au grand jour ainsi ? La réponse d’Angie fut sans appel. Elle se fichait de savoir ce que pouvait penser les gens. Ils étaient heureux et si bien ensemble. Elle emmerdait le reste du monde. « -moi aussi je t’aime… » répondit Angie avec un sourire doux, avant de l’embrasser à nouveau.
Ce fut main dans la main qu’ils passèrent la porte du magasin. Elle vit les regards sur eux, mais n’y accorda aucune importance. « -ça me va. » répondit la belle rousse en avançant toujours main dans la main jusque dans les premières allées. Elle chercha le tapis qui conviendrait, lui proposa plusieurs modèle. « -j’aime bien celui-ci. Tu en penses quoi ? » demanda la jeune femme : « -ou celui-ci, il est plus grand… mais moins doux… » elle leva les yeux sur Edward. « ça va ? On peut rentrer si tu préfères tu sais… » ils pouvaient tout aussi bien passer commande sur internet.
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Jeu 8 Aoû - 20:14
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Pour la presse politique qui prenait plaisir à détailler le moindre de ses faits et gestes, Edward Wyler était présomptueux et suffisant. Il détenait toutes les caractéristiques de l’héritier d’une fortune démesurée, mais nullement celles d’un sénateur à en devenir. Jusqu’alors, il s’était plu à paraître prétentieux et odieux, pour ne citer que l’un des nombreux défauts qu’il s’était réjoui à mettre en exergue au cours des deux dernières décennies. Et bien qu’il était cet homme décrié par les médias, il ne l’était en totalité. Edward était aussi un individu empreint d’un doute constant sur sa propre valeur. Angelica avait pu en être témoin à maintes reprises dès à compter leur cohabitation. Progressivement, la jeune femme avait constaté que dernière les apparences, le politicien était défiant de soi. Leur relation en avait pâti à ses prémices, et aujourd’hui, c’était son don pour la photographie qu’il remettait en cause, alors que d’ici quelques heures, la jeune femme allait découvrir toute la teneur de son talent qu’il tenait solidement enfermé dans des boites en carton depuis des années maintenant. « Comment fais-tu ? » finit-il par la questionner, posant sur elle un regard pour le moins intrigué « Tu es toujours si sereine et confiante ». Alors qu’il n’avait de cesse de se laisser guider par ses appréhensions, le contraignant à réprimer constamment ce qu’il pouvait éprouver, pour ne pas lui nuire de quelconque façon que ce soit.
En appréhendant la conception que se faisait la jeune femme de la photographie, il abdiqua face à sa demande. Il était tout disposé à laisser Angelica utiliser ses photographies d’antan pour tapisser le mur virginal de la bibliothèque. Au même titre qu’il lui laissait le plaisir d’apporter quelques nuances de couleurs dans son appartement parfois considéré comme froid et austère. Un peu à son image. Mais avant qu’ils ne franchissent le seuil du premier magasin d’ameublement dont regorgeait Manhattan, Edward déposa ses lèvres sur les siennes, comme pour la remercier de sa bienveillance naturelle, sa douceur à son encontre. Il éprouva une totale indifférence au monde extérieur en cet instant. Le politicien était lassé de constamment se dissimuler pour ne pas compromettre son image publique ou plus encore nuire à celle de l’influenceuse. Certes, il ne désirait pas apparaître en première page des médias people, mais il ne souhaitait pas non plus se censurer, alors qu’il ne désirait que tenir la main de sa moitié tout en arpentant les rues de New York. Un plaisir simple qu’ils s’étaient refusés jusqu’alors. Edward avait donc prit la décision d’y remédier, glissant sa main dans la sienne. « Je ne me lasserai jamais d’entendre ces trois petits mots ». La sensation que cela prodiguait était toujours la même qu’au premier jour, quand elle les lui avait dit alors qu’il s’affairait en cuisine pour préparer le petit-déjeuner. Il lui rendit son baiser, avant d’amorcer la marche jusqu’à la première boutique de décoration.
Sans surprise, Edward attira l’attention dès qu’il eut franchit les portes battantes de l’établissement. Il était une personnalité politique, et publique de surcroît. Tous les citoyens de New York connaissaient son nom ou son visage. Il prit toutefois la décision de faire abstraction et porta la main de sa moitié jusqu’à ses lèvres. Une promesse silencieuse pour lui signifier qu’il ne regrettait aucunement son choix de laisser paraître leur relation au grand jour. C’était une décision réfléchie et assumée. Néanmoins, le politicien se montra particulièrement silencieux au fur et à mesure qu’ils déambulaient dans les allées du grand magasin. Il exprima un simple « Humhum » à sa première question, ne portant pas grand intérêt au tapis qu’elle lui désignait. Son attention était rivée sur les différents passants qui soulignaient sa présence en ce lieu, en présence d’une femme autre que son assistante. La voix d’Angelica eut raison de son intérêt et croisa ses prunelles émeraudes « Non… » et poussa un soupir, l’attirant à lui pour la blottir dans ses bras, ses lèvres contre son front « Non. Je suis bien là avec toi… Je suis juste un peu distrait. Je m’en excuse » et se recula, maintenant seulement son bras autour de sa taille « Je préfèrerais que le tapis soit épais et doux… J’ai des projets pour nous deux » murmura-t-il à son oreille, tout en souriant. Il embrassa sa tempe chaude, et reglissa sa main dans la sienne, s’avançant vers un tapis épais à poils long, que l'on pouvait régulièrement observer dans les pages de magazine de décoration, au pied d'une cheminée, qu’il caressa de la main « Que penses-tu de celui-ci ? » tout en tentant de faire abstraction à la conversation qu’il surprit à proximité « Ce n’est pas l’adjoint au maire là-bas ? » « Avec une femme. Qui l’aurait cru ?! » « Qu’est-ce que tu crois. L’argent… » la suite fut inaudible alors que le duo s’éloignait pour poursuivre leur découverte du magasin. La mâchoire crispée, il resserra son emprise sur les doigts d’Angelica et souffla à son oreille « Je n’aime pas que tu puisses entendre ce genre d’allégation… » et reporta son attention sur le tapis « Tu en désirais un coloré ou uni ? ».
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Angelica Gordon
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Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Angie émit un léger rire. « -toujours non… » c’était faux. « -le chemin de libération et de reconstruction que tu commences à emprunter, je l’ai parcouru il y a quelques années déjà. J’ai quelques longueurs d’avance sur toi, c’est tout. » expliqua la jolie rousse. « -il y a des choses qu’on ne peut pas contrôler. Et même si lâcher prise est un bien grand mot, et qu’il est parfois compliquer de le faire, et bien… c’est une belle solution. » un léger haussement d’épaules. « -quand on se prends la tête dans une situation qu’on ne peut pas contrôler, c’est un peu comme donner des coups d’épaules sur une porte verrouillée. Une sorte de bras de fer épuisant qui ne mène à rien. » elle sourit : « -il faut seulement se laisser porter. » un nouveau sourire : « -je ne dis pas que c’est facile tout les jours, mais ça aide… et petit à petit on s’habitue et on apprécie d’autant plus la vie. » douter de ses capacités, elle connaissait cela par cœur. Elle s’était pourrie la vie durant des années avec ça. Aujourd’hui elle aspirait à mieux vivre sa vie.
Ils ne pouvaient pas contrôle le regard des gens, et leur pensées. Angie se foutait bien de savoir ce qu’ils pouvaient dire. Elle était heureuse avec Edward, et c’était tout ce qui comptait. Elle n’avait jamais aimé ainsi, et surtout jamais autant reçu d’amour en retour. Il l’aimait pour ce qu’elle était, pas pour ce qu’il voudrait qu’elle soit. Et c’était tellement précieux à ses yeux. Si les gens ne voulaient pas comprendre cela et dire n’importe quoi, grand bien leur fasse. Elle s’en foutait. Et c’était pour cette raison qu’elle n’accorda aucune importance aux regards qui se posaient sur eux dans ce magasin. Ce n’était visiblement pas le cas d’Edward, et elle lui proposa de rentrer. Ils n’étaient pas obligés d’acheter ici. Le vente en ligne, c’était très bien aussi. « -concentre toi sur moi, et le son mélodieux de ma voix. » elle sourit en écoutant sa confidence : « -oui, ou sur ce genre de pensées, ça me va aussi. » renchérit la jeune femme avec un grand sourire.
« -j’aime bien… » avant de faire une légère grimace parce qu’Edward venait de resserrer ses doigts sur les siens. « -évite de me casser un doigt tu veux… » lui souffla la jeune femme toujours souriante. « -tu veux la vérité ? Je les emmerde. » c’était rare qu’elle dise des gros mots, mais là, c’était totalement approprié. « -s’ils ont du temps à perdre pour dire des choses sur notre dos, et bien c’est que leur vie doit être bien triste. » elle travaillait encore beaucoup sur cela. Le regard des autres. Ici, ce n’était que des passants, des gens qui leur étaient étranger. C’était assez facilement finalement de les ignorer. Cela faisait moins mal que lorsqu’il s’agissait des proches d’Edward. « -et tant que tu n’auras pas définitivement arrêter… » sous entendant la politique « -je vais devoir faire face à ce genre de commentaires. Mais bon, je ne vais quand même pas publier les chiffres de mon compte en banque pour les faire taire. » elle regarda de plus près le tapis : « -il est super doux, j’adore… » elle lui sourit avec une lueur d’envie dans les prunelles. « -je trouve ça triste aussi que les gens pensent forcement que c’est la femme qui soit vénale. Pourquoi ne pas imaginé que ça soit toi qui soit venu me chercher ? » elle sourit, cherchant à dédramatiser tout ça. Elle ne souhaitait pas que leur moment soit gâché par des cons. « -J’aimerais mieux coloré. »
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Manhattan Redlish
Jeu 8 Aoû - 21:49
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Cinq mois auparavant, Angelica n’était qu’une sombre inconnue pour lui, mais depuis leur rencontre, elle n’avait eu de cesse de lui renvoyer l’image d’une femme constamment sereine et confiante. Edward ne pouvait donc que sourire quand cette dernière le désapprouva. Renoncer à se battre contre une adversité hors de contrôle. Tel était le remède à tous ses maux. Le politicien peinait à le croire. Mais plus Angelica étayait ses propres propos, et plus il n’avait d’autres choix que de concevoir sa théorie comme plausible. Après tout, elle était la preuve vivante que sa théorie fonctionnait. Cependant, il n’était pas certain de parvenir à rester inerte vis-à-vis des complications de la vie, même lorsqu’elles étaient hors de son contrôle. Pas un adepte de la maîtrise constante comme lui. « Je te propose que tu sois le calme, et moi la tempête » proposa-t-il en finalité, non sans un rire sous cape « Je suis tout bonnement incapable de lâcher prise ainsi. Je suis un adepte du contrôle ». Il se saisit de quelques frites qu’il enfourna dans sa bouche, et reprit « J’aime réellement la femme que tu es aujourd’hui, et plus encore quand je constate le travail que tu as menée pour y parvenir ». Il n’était pas certain de détenir suffisamment de force en lui pour chambouler ainsi sa nature profonde, jusqu’à son état d’esprit. Par ailleurs, Edward aimait l’idée qu’ils soient suffisamment opposés pour parfaitement se compléter l’un et l’autre. Il le prouva une fois arrivé dans le premier magasin d’ameublement. Angelica parvenait sans mal à faire abstraction de leur environnement pour seulement se soucier de la décoration de leur intérieur, pendant qu’il ne cessait de focaliser son attention sur les regards qu’on leur adressait, et les murmures qui lui parvenaient malgré lui. Le politicien n’aimait pas être ainsi absorbé par le monde extérieur, alors que le plus important, c’était de partager ce moment de bonheur simple avec la jolie rousse qu’il serra dans ses bras. Il ne put que s’excuser de son manque d’intérêt pour l’instant présent, pour ce qui comptait réellement. Un sourire habilla lentement les lèvres de ce dernier qui acquiesça « Je n’aurais que d’yeux pour toi maintenant » lui promit-il à demi-mots, avant de s’opposer au choix du tapis de la jeune femme, considérant ce dernier pas suffisamment confortable pour les projets qui se dessinaient peu à peu dans son esprit lubrique « Le contraire m’aurait surprit » susurra-t-il à son oreille, avant de venir déposer ses lèvres contre sa tempe chaude.
Ils firent quelques pas dans l’allée du magasin, permettant ainsi à Edward de caresser le tapis sur lequel il venait de jeter son dévolu, et qui correspondait en tout point à ses attentes. Néanmoins, il ne parvenait aucunement à faire abstraction du monde les entourait et pour lequel, ils étaient devenus l’attraction du jour. Instinctivement, il resserra malencontreusement la pression sur les doigts d’Angelica alors que sa mâchoire se crispait peu à peu jusqu’à son paroxysme. À la remarque de cette dernière, il apaisa aussitôt la tension qu’il imposait à la main de la jeune femme tout en murmurant un « Désolé » tout juste audible. Jusqu’alors, Edward avait toujours été particulièrement insensible à ce que l’opinion publique pouvait penser de sa personne. Il ne s’était jamais sentit lié par le regard qu’ils pouvaient porter sur son existence. Ils n’évoluaient aucunement dans le même monde, et n’attendait pas leur considération pour gravir les échelons de la politique. Toutefois, aujourd’hui, il en fut tout autre parce qu’il n’était pas le destinataire de ces jugements de valeur pour le moins arbitraires. C’était Angelica. La femme à qui il vouait un amour incommensurable et qu’il désirait protéger de tous les maux de son monde. Sa mâchoire dansant nerveusement sous sa peau, Edward sentit son ses prunelles azurées s’obscurcirent de colère, redevenant sans mal l’homme qu’il avait toujours été avant sa rencontre avec la jolie rousse qui, quant à elle, semblait peu soucieuse de l’opinion d’autrui. « Je ne veux pas qu’ils te fassent du mal … Tu n’as pas choisi de m’aimer et … ». Sa mâchoire se serra davantage, tentant de réprimer au mieux ses ressentiments « Je veux te protéger ». La jeune femme avait raison. Tant qu’il continuerait d’évoluer dans ce monde, ils resteraient la cible de ses détracteurs. « Trois semaines… » murmura-t-il, avant de déposer ses lèvres sur sa chevelure rousse « Je te l’interdit. Ils n’ont pas à savoir » et la laissa approcher du tapis qu’il avait désigné préalablement « Assez pour ton corps nu ? » osa-t-il non sans rougir. Il émit un petit rire tout en venant blottir son torse contre son dos, ses bras enserrant sa taille, observant sans vraiment d’intérêt le tapis devant eux « À un détail près, c’est que c’est Ava qui est venue te chercher la première fois » et embrassa son cou, tout en se détachant lentement du corps d’Angie, pour lui saisir de nouveau la main « Je m’en serais douté » déclara-t-il sur un ton léger, et reprirent leur découverte du magasin « On pourrait modifier la décoration de la chambre également » et se laissa choir sur l’un des matelas exposé « Qu’est-ce que tu en penses ? ».
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Charly
Ven 9 Aoû - 12:24
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Angie avait souri, d’un de ses sourires qui montait jusqu’aux oreilles. Elle n’avait pas dit que c’était simple. « -non c’est vrai ? » demanda-t-elle en tentant de le faire rire. « -lâcher prise ça ne veut pas dire rien organiser, rien prévoir. Ça veut seulement dire profiter du moment. Ne pas se soucier de ce qui peut arriver, accepter ce qui arrive. » c’était ce qui s’était passé au chalet. Ils n’avaient pas prévu la venue d’Iris. Angie avait accepté cet imprévu. Finalement, malgré la douleur et les mots durs échanger, cela avait permis à Edward de comprendre certaines choses, à avancer. « -je te demande pas de devenir comme moi. Reste toi… c’est pour ça que je t’aime. Parce que nous sommes opposés sur bien des choses. Je servirais à quoi si tu savais tout faire comme moi ? » note d’humour à nouveau. Elle voulait seulement qu’il puisse profiter des moments ensemble, sans qu’une multitude de questions ne le submergent sans cesse. Comme au moment où il décida de l’embrasser, de lui prendre la main. Pur lâcher prise sur ce que pouvait dire les autres, ou encore penser. Un pas en avant…
Cependant, une fois dans le magasin, il fut plus complexe pour Edward de garder cet état d’esprit. Alors elle lui demanda s’il voulait partir. C’était tout à fait possible. Il s’excusa. Elle lui demanda de n’écouter que sa voix. « -c’est ce que tu devrais faire tout le temps… » sous entendant qu’elle ne voulait pas qu’il regarde une autre femme. « -ne commence pas à jouer avec moi Eddy… » souffla Angie avec un regard qui voulait tout dire. Ils étaient dans un lieu publique… si ses souvenirs étaient bons, ils en avaient parlé parmi leur fantasme.
Elle avait entendu les commentaires des passants. Elle s’en moquait. Elle savait parfaitement que cela arriverait. A quoi bon se battre ? Elle n’allait pas faire un scandale ici, encore moins les poursuivre. Oui, elle s’en foutait royalement. Mais ce n’était pas le cas d’Edward qui lui écrasait pratiquement les doigts. Angie lui signifia avec un sourire. « -bien sur que si… j’ai choisi de t’aimer. » souligna Angie. « -j’ai choisi d’accepter les sentiments que je ressentais pour toi, en connaissant l’homme que tu es, l’univers dans lequel tu évolues. J’étais consciente de tout ça lorsque j’ai dis oui à mes sentiments. » ce n’était pas une fatalité. Elle détestait lorsqu’il prononçait ce genre de phrases. « -je sais. » bien sur qu’elle savait. « -trois semaines… » répéta la jolie rousse avant de lui sourire. « -hum… » elle pencha la tête en méditait sur la question de la douceur sur sa peau et son corps nu, tout en passant sa main sur le tissu. Sujet très sérieux. « -je pense oui… » alors qu’il venait se blottir dans son dos. « -tu me mets des images en tête… » souffla Angie comme s’il était un très vilain garçon. « -c’est vrai. Merci à elle. » s’amusa Angie avant de terminer le choix du tapis, et de suivre Edward jusqu’au matelas.
« -pourquoi pas oui. » souffla la jeune femme avant de l’observer allongé sur le matelas. Un sourire étira lentement ses lèvres. « -je te supplie, relèves toi… » pas parce qu’il pouvait être vu, mais parce qu’il était une horrible tentation. Elle se pinça les lèvres et décida de faire le tour des lits exposés. Elle fit glisser une main le long d’une tête de lit. « -celle-ci ? » elle ajouta rien que pour lui : « -j’aime bien les… barreaux… » oui, elle allait rendre cette visite de magasin des plus intéressantes. L'actuelle tête de lit ne permettait pas de mettre en place ce fantasme qu'avait Edward de l'attacher au lit.
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Ven 9 Aoû - 13:35
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Edward n’avait pas toujours été un adepte du contrôle, et c’était la raison pour laquelle il avait bien faillit périr dans l’accident qui avait coûté la vie de son meilleur ami. Préalablement à ce que ce drame ne survienne et bouscule l’ensemble de son existence, il n’était qu’un adolescent insouciant. Aujourd’hui, il n’était plus familier de cette frivolité qui avait pu le caractériser par le passé. Il était incapable d’éprouver la même sérénité et la même confiance dont pouvait faire preuve Angelica au quotidien. Le fait qu’il le formule à voix haute eut pour effet d’amuser cette dernière qui le taquina gentiment. Suffisamment pour le faire réagir avec un « Eh ! » contestataire et qui contrastait avec le sourire amusé qu’il arborait. « Je ne peux pas » avoua le quadragénaire sans détour. Il avait construit sa vie autour de constant plus qu’établies, du matin jusqu’au soir, chaque jour de la semaine. Peu de personnes ou d’évènements étaient autorisés à chambouler l’ordre établi. L’une d’elle se trouvait actuellement en sa compagnie, à ses côtés, lui faisant découvrir les bonheurs simple du quotidien. Le politicien laissa un petit rire résonner « Et toi avec moi » . Toutefois, il avait conscience de la pertinence du raisonnement d’Angelica. Il devait apprendre à renoncer à se laisser conduire constamment par ses appréhensions et ses craintes. Toutefois, il en était parfois tout simplement incapable, et le prouva sans le moindre mal quand ils franchirent les portes du premier magasin. La jeune femme constata son manque d’engouement pour la nouvelle décoration de leur appartement et était prête à consentir de quitter la boutique si nécessaire. Il ne désirait pas mettre un terme à cette excursion qui leur tenait à cœur, à l’un et l’autre, pour de sombres inconnus. Un sourire étira les lèvres du quadragénaire devant la mise en garde implicite de sa moitié concernant les autres femmes sur lesquelles il pourrait malencontreusement poser les yeux. Il attira ses lèvres tout contre les siennes, et finit par souffler « Tu es la seule et unique à mes yeux » et déposa ensuite ses lèvres dans son cou, non loin de son oreille à laquelle il murmura aussitôt « J’aime quand tu es possessive », mais plus encore, il s’amusa à imaginer leurs deux corps nus sur le tapis qu’elle désigna pour leur salon. Il ne correspondait en rien aux attentes du politicien. Il effleura sa joue de son nez « Je ne joue pas mon amour ».
L’exaltation qui avait pu les assaillir quelques instants plus tôt se dissipa aussitôt les remarques désobligeantes à l’encontre de la jeune femme furent formulées par deux inconnus. Edward ne voulait pas qu’Angie devienne la cible de ses détracteurs parce qu’elle avait eu le malheur de tomber amoureuse de lui. Elle n’avait pas sciemment choisi d’aimer un homme tel que lui. C’était son cœur qui avait choisi pour elle, et elle devait s’en accommoder. C’était toutefois la pensée qui traversa l’esprit du quadragénaire, mais que contesta immédiatement Angelica. Les sourcils au milieu du front, il resta perplexe devant les premiers mots de sa petite amie qui étaya ses propos. Elle avait choisi de l’aimer lui, pour celui qu’il était, peu importe sa carrière ou certains aspects de sa personnalité… Sans mot dire, il attira sa bouche tout contre la sienne, l’embrassant avec une tendresse infinie, et mit un terme à leur baiser avec lenteur « Et tu as quand même décidé de rester et de m’aimer ». Il sourit avec douceur « Il faudra que tu me dises un jour comment je m’y suis prit pour que tu m’aimes ainsi ». Toutefois, ça n’empêchait rien au fait qu’il n’aimait pas qu’elle soit ainsi désignée par ses détracteurs. Il voulait uniquement la protéger de tous les maux de son monde, et il avait la désagréable sensation d’en être incapable, tout simplement … La seule issue qui s’offrait à eux, c’était qu’il mette un terme définitif à sa carrière politique. D’ici quelques jours, il ne serait plus l’actuel candidat au Sénat, et moins encore l’adjoint du maire. Ne souhaitant pas obscurcir davantage leur journée avec de sombres pensées, Edward évoqua de nouveau le tapis, laissant Angie songer à son corps nu sur ce dernier. « On peut aussi trouver plus épais et plus doux » murmura-t-il à son oreille tout en comblant l’espace entre leurs deux corps, son torse contre son dos et ses bras autour de sa taille « J’en ai conscience… Je veux jouer finalement… » et laissa sa langue glisser sur son cou discrètement, avant d’initier un léger recul « On l’invitera à dîner un jour pour la remercier de ce présent ». En attendant, il se dirigea jusqu’aux matelas, prenant place sur l’un d’eux.
Il n’y avait aucune raison de limiter le réaménagement de leur appartement au seul salon. La chambre méritait également une note de féminité pour s’accorder aux préférences de la jolie rousse. Bien que pour le moment, elle ne semblait désirer que lui. Le politicien ne put qu’émettre un petit rire sous cape à la requête de cette dernière, et prit la décision d’abdiquer sans contester. Il s’autorisa un regard pour la tête de lit que désigna l’influenceuse, intéressée par également modifier la structure de leur actuel lit. Il ne rétorqua qu’un simple « Humhum » tout en observant plus en détail la tête de lit. Quand elle justifia son choix, il releva ses prunelles taquines jusqu’à accrocher son regard émeraude, et contourna la structure pour venir dans son dos, ses lèvres à proximité de son visage « Ils iraient parfaitement avec un certain foulard de satin noir… et tes poignets » déclara-t-il avant d’émettre un petit rire timide, rougissant jusqu’aux oreilles.
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Ven 9 Aoû - 14:11
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Angie décida de ne pas insister. Sans qu’il s’en rende compte, à son contacte, il était capable de lâcher prise. Cela dépendait du moment et de la situation. Mais durant la nuit sulfureuse qu’ils avaient passé au chalet, il avait totalement lâcher prise. Il avait profité de ce moment de plaisir entre eux, sans se demander s’ils pouvaient être vu, surpris ou si un problème pouvait survenir. Ce matin, durant le footing, il avait lâcher prise, profitant de ce moment sportif, sans se poser de question. Alors si, il savait le faire… mais elle ne voulu pas mettre le doigt dessus.
Dans les rayons du magasin, il était bien plus compliqué pour Edward de se détacher des regards. Angie l’encouragea à le faire, cherchant à le faire sourire à nouveau. Elle lui rendit son baiser, souriant contre ses lèvres. « mais j’espère bien. » un regard complice suite à ce qu’il lui murmura à l’oreille. « -oh… dommage… » Angie souhaitait qu’il se détende. Alors elle avait mit en avant la carte de la légère provocation. Elle savait qu’il aimait ce comportement.
Cependant, elle le reprit alors qu’il revenait sur cette idée qui laissait sous-entendre qu’elle était prise au piège avec lui et qu’elle n’avait d’autres choix que de subir l’amour qu’elle éprouvait. Angie aurait pu prendre la fuite avec ses sentiments. Les enfouir, les étouffer et les faire crever. Ainsi, elle se serait évitée des problèmes. Parce qu’il finirait par y en avoir. Elle en était pleinement consciente. Le moment venu, elle improviserait. Il n’était pas interdit de s’aimer bordel ! Elle avait fait le choix de rester avec lui, malgré sa carrière, malgré son caractère, malgré le fait qu’il soit un personnage publique avec une cote bien moins sympa que la sienne. Ça avait été réfléchit. Elle avait décidé de prendre le risque. « -t’en as de la chance hein… » souligna la jeune femme taquine alors que ce qu’il venait de dire était hyper romantique. « -d’accord… je te le dirais un jour… » ajouta la jolie rousse taquine.
« -hum… il va falloir me parler de tes idées… » souligna Angie alors qu’il proposait un tapis encore plus moelleux. Des images lui venaient à l’esprit et fut plus que satisfaite de l’entendre lui confier qu’il voulait jouer. Ces simples mots l’excitait déjà… « -oh ça va, elle a pas fait tout le boulot non plus ! » commenta Angie avant de l’accompagner jusqu’au rayon où était exposer les matelas. Lorsqu’il s’allongea, elle le supplia bien vite de se remettre sur ses jambes. « -sinon, je vais m’allonger avec toi et on va se faire arrêter… » oui, c’était bien mieux qu’il évite de s’allonger ainsi, même si Angie n’avait pas décidé de stopper le jeu ici. Elle décida de choisir une tête de lit, qui pourrait leur offrir de nouvelles perspectives sexuelles. « -Eddy… arrête… pas ici voyons… » minauda la jeune femme alors qu’il murmurait à son oreille. « -j’aime vraiment beaucoup… en doré, ça illuminera la pièce. » elle se tourna vers lui et étira ses bras le long de la tête de lit. « -qu’est ce que tu en dis ? » lui demanda Angie avec un regard appuyé. Au rayon de coussins, elle prit le temps de regarder, et s’exclama : « -oh j’aime bien celui-ci ! » elle le saisit et le mit dans la figure d’Edward. « -pas trop dur ? » avant de rire joyeusement.
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