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Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Dim 8 Sep - 22:09

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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La nuit n’avait pas été seulement mémorable – comme espérée – elle avait également été éreintante, de sorte qu’Edward avait instinctivement mis un terme à la sonnerie stridente qui avait retenti, comme chaque matin, à sept heures, pour venir se blottir de nouveau contre le corps chaud et aimant de sa moitié. Sans le remue-ménage engendré par Yuma, il n’aurait probablement pas délaissé les bras de Morphée de sitôt. La prise de conscience fut abrupte que cela le mena à la chute à même le parquet de leur chambre dans un fracas. Il se redressa maladroitement, causant le réveil brutal de la jolie rousse qui aurait probablement désiré dormir quelques heures encore, malgré son absence. Toutefois, au regard qu’elle déposa sur lui avec délectation, Edward pressenti que l’influenceuse n’éprouvait aucune rancœur à son encontre, et laissa un sourire étirer lentement ses lèvres alors qu’il décida de combler l’espace entre eux deux pour venir l’embrasser avec une certaine lascivité. « Ne te moque pas » précisa ce dernier faussement contrarié, tout en continuant d’arborer ce petit sourire taquin. La présence de Yuma derrière la porte de leur chambre conjugal eut raison des pensées lubriques du politicien qui prit soin de dissimuler son corps d’éphèbe sous un peignoir, et confirma par la suite les dires de sa moitié « Oui. J’ai des documents confidentiels que je n’ai pas pris le temps de dissimuler » se justifia-t-il en surprenant la mine perplexe de sa femme de ménage. Il referma aussitôt la porte sur laquelle il prit appui momentanément, avant de se hâter jusqu’à la salle de bain.

Instinctivement, ses prunelles azurées caressa la silhouette dénuée d’Angelica allongée de tout son long parmi les draps froissés, et maudit soudainement ses obligations professionnelles qui le contraignait à délaisser quelques heures durant son corps aux courbes parfaites. Après quelques mots d’amour qu’il tenait à lui confier, il quitta promptement le penthouse pour se rendre à la mairie pour ce qu’il espérait être une journée sans cataclysme. Il aurait pu le croire tandis qu’il apposait consciencieusement sa signature sur l’amas de documents à son attention. Mais c’était sans compter sur la venue inopinée de son assistante, qui ne s’appesantit pas des moindres politesses « Tu devrais venir voir… ». L’impérativité de sa voix l’intriguait tout particulièrement, l’incitant à obtempérer sans prendre le contre-pied. Il délaissa donc son stylo Mont-Blanc et l’accumulation de documents sur le rebord de son bureau pour talonner Ava jusqu’au seul moniteur que détenait la Mairie et qui diffusait en continu la principale chaine d’information politique de New York. Il surprit quelques regards à son attention, mais fit le choix de les ignorer pour se soucier uniquement de la raison de leur intérêt soudain sur sa personne. Son cœur loupa un battement à l’instant même où son attention se focalisa sur le cliché prit à leur insu au cours de la séance photo. Ce baiser. Le premier qu’ils avaient échangé depuis qu’ils avaient pris la décision de vivre leur relation au grand jour. « Le candidat au Sénat, Edward Wyler, n’est dorénavant plus à cœur à prendre. D’après des sources proches du couple, ils seraient ensemble depuis quelques mois maintenant et aurait aménagé au sein de la propriété de l’adjoint au maire. Qui l’aurait cru Cheryl ! » « Pas moi Steve. On lui avait épinglé l’étiquette de célibataire endurcie, et ce, depuis toujours. Est-ce que vous en savez davantage sur cette mystérieuse petite-amie ? » « Bien sûr. Elle se nomme Angelica Gordon et, vous ne le croirez jamais, elle est influenceuse » « Eh bien Steve, nous allons de surprise en surprise aujourd’hui. Un candidat au Sénat et une influenceuse des réseaux sociaux. On peut parler d’une relation 3.0 … ».

Un bouquet de rose dans la main, Edward franchit le seuil avec un peu plus d’une heure de retard qu’à son accoutumée. Un retard qui résultait d’une longue conversation avec la chargée des relations publiques de son parti politique vis-à-vis de l’annonce soudaine de sa relation avec une célébrité d’internet. Elle l’avait enjoint d’organiser une conférence de presse, mais s’y opposa sans délai. Il ne souhaitait pas que sa vie privée soit plus encore sous le feu des projecteurs. Edward lui confia donc la mission d’apaiser la soudaine effervescence des médias à leur encontre, et avait effectué un bref détour chez le fleuriste pour acquérir un bouquet de rose rouge et blanche à l’attention d’Angelica qu’il chercha désespérément du regard en arrivant à l’appartement. Un sourire étira instamment ses lèvres dès qu’il la surprit sur la terrasse. Dès qu’il arriva à sa hauteur, il glissa sa main le long de ses reins, tout en venant déposer un délicat baiser dans son cou, soufflant à son attention « Bonsoir La Mia Luce. Excuse-moi pour mon retard». Il lui confia ensuite le bouquet de fleurs aux effluves parfumées qui embaumé le lieu sans le moindre effort « Elles sont pour toi ». Tout en la couvant tendrement du regard, il glissa une mèche de cheveux derrière son oreille « On est libre de s’aimer au grand jour… », puis après une brève hésitation, ajouta « C’est bien ce que tu voulais, n’est-ce pas ? ».  


Charly
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Charly
Lun 9 Sep - 20:06

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Lorsque la porte s’était refermée sur une Yuma déstabilisée de les voir tous les deux présents encore dans leur chambre, Angie avait pouffé de rire. « -ça a des avantages d’avoir une femme de ménage… mais cela implique de penser à certains détails… » elle imaginait le regard de cette pauvre femme en tombant nez à nez avec leur jouet… La jolie rousse grimaça à cette idée. Puis ils s’étaient quitté rapidement parce qu’Edward était en retard, et qu’on allait bientôt le lui reprocher parce que cela devenait trop fréquent. Cependant, la matinée ne se passa pas exactement comme Angie l’avait prévu. Pas de routine du matin, pas de yoga non plus. Mais une conversation téléphonique avec Flynn qui avait débouché par un rendez-vous chez lui afin de faire face à la crise, comme il l’avait appeler à l’arriver d’Angie. L’influenceuse ne prenait pas cela comme son meilleur ami. Après tout, ils en avaient discuté avec Edward, ils ne voulaient plus se cacher. Elle espérait que ses followers seraient assez intelligents pour comprendre que c’était l’homme qu’elle aimait et non sa fonction politique. Malgré les arguments de Flynn, Angie resta campée sur ses positions. Elle n’avait pas l’intention d’expliquer sa relation avec Edward. Oui, elle dévoilait une partie d’elle-même sur les réseaux, mais elle ne tenait pas à mettre en lumière cette partie de sa vie privée.

Elle était rentrée à l’appartement, s’était changée, puis était ressortie pour aller courir. Pourtant, son corps était fatiguée de leur nuit d’amour et de sexe, mais elle avait besoin de se vider l’esprit. Flynn avait peur. Peut des retombées que cette annonce publique pouvaient avoir sur la carrière d’Angie. Elle comprenait, mais elle ne voulait pas l’entendre. Elle ne voulait pas penser ainsi. Merde ! Elle était amoureuse ! C’était tout ce que devait retenir le monde non ? Elle passa le reste de l’après midi à travailler. Montage vidéo, examens de contrat à venir. Elle finit par se décider à faire un story, assise sur le canapé de son bureau, emmitouflée dans un pull. « -coucou mes lapins… j’espère que vous allez bien. De mon côté, ça va plutôt bien, même si je suis assez étonnée que ma vie amoureuse passionne autant les foules. Merci à ceux et celles qui m’envoi du love. Quant aux autres… » elle avait haussé les épaules. « -je ne sais pas trop quoi vous dire, si ce n’est que j’espère que vous pourrez trouver un jour celui ou celle qui vous correspond. La personne qui est capable de voir le meilleur en vous, de vous poussez à donner le meilleur de vous-même. Celui ou celle qui sera un soutien dans les bons moments, mais surtout dans les pires. Celui ou celle capable d’accepter vos qualités, mais aussi et surtout vos défauts. Vos blessures passés, celles qui font de vous qui vous êtes finalement. » elle réalisa que cela faisait un moment qu’elle ne s’était pas montrée ainsi facecam. « -je… je n’ai pas l’intention de me justifier. Parce que l’amour ne s’explique pas. C’est arrivée… et aujourd’hui, malgré ce que certains peuvent en penser, peuvent dire ou juger, je suis heureuse avec lui. Et c’est tout ce qui compte à mes yeux. » elle leur souhaita une belle fin de journée, et avait délaissé son téléphone, sachant parfaitement que Flynn allait appeler.

Elle travaillait encore sur la terrasse lorsqu’Edward était rentrée. Elle avait le nez plongé dans un contrat, prenant soin de lire chaque petites lignes. Un léger sursaut en sentant une main dans son dos. « -oh tu m’as fait peur ! » s’exclama Angie avant de regarder l’heure sur son téléphone et les dix appels en absence de Flynn. « -je n’ai pas vu l’heure. » répondit la belle rousse en verrouillant son portable. Un sourire doux étira ses lèvres en voyant les fleurs. « -elles sont magnifiques… » elle respira leur parfums. « -j’adore… merci… » elle pencha légèrement la tête lorsqu’il toucha ses cheveux, et son sourire s’effaça légèrement. « -je n’avais pas imaginé annoncer notre relation de cette manière. Mais… » elle remonta ses épaules et inspira : « -mais c’est fait. » elle fit deux pas : « -je vais les mettre dans l’eau. Tu veux bien nous servir un verre ? » demanda la jeune femme en quittant la terrasse. Elle disposa les fleurs avec élégance dans un vase et le laissa sur le comptoir centrale de la cuisine. Puis elle s’approcha d’Edward, et reprit : « -tu l’as appris comment ? »

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Manhattan Redlish
Lun 9 Sep - 20:42

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Cela faisait plusieurs jours maintenant qu’ils envisageaient de dévoiler leur union au grand jour, c’était dorénavant un fait accompli. L’opinion publique était informée que l’actuel candidat au Sénat entretenait une relation amoureuse avec une célèbre influenceuse. Des professions incompatibles selon les dires de certains journalistes, mais Edward ne s’en souciait guère en ce jour. Incessamment sous peu, il ne serait plus tenu aux standards exigés par son métier et pourrait mené l’existence qu’il avait toujours désiré jusqu’alors. « Edward … Tu m’écoutes ?! ». La voix d’Ava l’extirpa brutalement de ses songes, le contraignant à lui accorder toute son attention. Cela faisait plusieurs minutes que l’annonce avait agité les foules de la sphère politique, et notamment son propre parti, et qu’il avait, dès lors, trouvé refuge dans son bureau en compagnie de son assistante. « J’étais perdu dans mes pensées. Tu disais ? » et se saisit dans le moment même du téléphone qu’elle lui tendit. Quand il aperçut le visage de sa moitié sur l’écran, un doux sourire habilla promptement ses lèvres, tandis que son pouce s’apposa sur l’image afin d’activer la lecture du réels Instagram. Toutefois, il perdu tout aussi hâtivement son sourire en prenant conscience du remue-ménage que cette annonce avait engendré également autour de la jeune femme. Leur relation ne faisait semblablement pas l’unanimité, à leur grand désarroi… Devant le message d’explication de l’influenceuse, Edward était pour le moins tiraillé entre l’amour inconditionnel qui lui portait et qui était réciproque, découvrant notamment par le biais de cette brève vidéo, tout ce qu’il représentait aux yeux de la jeune femme au quotidien, et la crainte que ses détracteurs ne se manifestent de manière plus virulente à l’avenir parce qu’ils condamnaient leur relation… Avec lenteur, il rendit le smartphone à son assistante qui savait les tourments qui l’accablaient en cet instant, et décida d’y mettre un terme « Tu ne devrais pas t’inquiéter outre-mesure Edward. Les gens porteront toujours un jugement, quelle que soit la situation ». Ava avait raison, confirmant les dires d’Angie qui lui avait déjà révélé, par le passé, l’envers du décors d’une telle profession.

C’était donc le cœur plus léger qu’Edward avait arpenté les derniers mètres jusqu’à sa femme particulièrement studieuse en ce début de soirée, de sorte qu’elle sursauta au contact de sa main dans son dos. Il ne put retenir un petit sourire amusé « Pardon. Ce n’est que moi, pourtant » et déposa ses lèvres dans son cou « Bien, comme ça tu ne t’es pas inquiétée sans raison de mon retard ». Sur ces mots, il lui tendit le bouquet de rose rouge et blanche qu’il avait acquis précédemment, sur le chemin le menant jusqu’à leur appartement, et dont le parfum embaumé ce recoin de la terrasse « Elles m’ont fait pensé à toi ». Avec douceur, Edward laissa ses doigts se perdre dans ses cheveux roux, pour venir les blottir à l’arrière de son oreille « Je sais que tu préfères les chocolats, mais j’ai fait une exception ». Les fleurs lui semblaient plus romantique. Cependant, le ravissement qui l’habitait depuis son retour se dissipa tout aussi promptement que le sourire sur les lèvres d’Angelica dès lors qu’il évoqua leur relation dévoilée au grand jour quelques heures plus tôt. En rentrant ce soir, il avait envisagé bien des scénarios, mais celui-ci n’en faisait nullement partie. La jolie rousse semblait comme contrainte d’accepter le fait accompli… Sans mot dire, et tout en ressentant chaque muscle de son corps se tendre sous sa réaction pour le moins inattendue, Edward glissa ses mains dans les poches de son costume, et d’un pas trainant, la suivit jusqu’à la pièce de vie. Muré dans son mutisme, il obtempéra pour autant et s’éclipsa jusqu’au bar afin de remplir deux des verres en Crystal d’un fond de bourbon japonais, puis le lui tendit à son arrivée. Relevant lentement son regard sur elle, il répondit avec détachement « À la télévision », puis avala d’une seule et unique traite le liquide ambré qui dansait dans le fond de son verre. Il s’autorisa un second verre, tout en interrogeant à son tour Angie « Et toi ? ». Quand il eut sa réponse, il trouva refuge sur la terrasse, s’avançant jusqu’à la barrière, s’imprégnant de la vue imprenable que cet étage leur offrait sur Manhattan. Après un long silence écrasant, Edward reprit la parole de sa profonde, et tout aussi glaciale, avec la déconcertante impression de revenir plusieurs mois auparavant « Pourquoi ai-je l’étrange sensation que la révélation de notre relation ne te satisfait pas autant que tu as pu le prétendre, il n’y encore de ça que quelques jours ? ».

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Lun 9 Sep - 21:28

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Elle avait sursauté et elle s’excusa rapidement : « -excuses moi, j’étais concentrée, je ne t’ai pas entendu rentrer. » elle n’avait pas entendu la porte, ni vue l’heure d’ailleurs. D’ordinaire, elle ne travaillait pas si tard. « -tu es parti en retard ce matin, je me suis dis que tu allais rattraper ce soir. » non, elle ne s’était pas inquiétée. Angie savait parfaitement que le travail d’Edward était prenant et qu’il avait certainement dû répondre à bien des questions aujourd’hui, par sa faute. Il lui était impossible d’imaginer que la nouvelle avait été bien prise par l’entourage d’Eddy. Elle trouva les fleurs magnifiques et sourit avec un peu plus de douceur en entendant les explications d’Edward. « -parce qu’elles sentent bon ? » demanda Angie en essayant de faire un trait d’humour, même si elle avait un peu de mal. « -tu as bien fait, je les adore. » confirma la jeune femme, avant de prendre le chemin de la cuisine afin de trouver un vase.

Tout en disposant les fleurs, elle jeta quelques coups d’œil à Edward. Il semblait serein, de bonne humeur même. Elle ne s’était pas attendue à cette réaction. Finalement, c’était elle qui encaissait moins bien… Alors que c’était elle qui souhaitait officialiser au grand jour leur relation. Elle s’en voulu, alors qu’elle se rapprochait de lui pour prendre le verre qu’il lui avait servi. Une légère grimace tant pour ce qu’il venait de répondre que pour le brûlure dans sa gorge. Flynn lui avait montré les images, cela l’avait navré. « -ils n’ont vraiment pas plus important à traiter… » marmonna la jolie rousse avant de soupirer. « -par Flynn. » une nouvelle gorgée : « -puis par l’avalanche de messages et de commentaire sur mes réseaux. » un léger rire amer : « -mes séances de yoga ne suscitent pas autant d’engouement. » elle ne bougea pas lorsqu’il sortie sur la terrasse, le suivant simplement du regard. Après quelques minutes, elle avança et colla son épaule contre le montant de le fenêtre, son verre à moitié vide à la main. Elle le fixa du regard lorsqu’il reprit la parole, le visage légèrement baissé. « -parce que j’aurai aimé faire cela autrement que part une bombe lâchée dans la presse sans notre consentement. » le ton de voix était posée, neutre, calme. « -et que je n’ai pas cessé de me demander quelles retombées cela créaient pour toi aujourd’hui, au bureau… » elle vida son verre et ajouta : « -ça ira mieux demain. Ce n’est rien. Il faut juste que j’encaisse le fait qu’on nous a volé cela. C’est tout. » les critiques, elle se les étaient imaginées, mais elle n’avait pas pensé que ça serait aussi virulent. « -tu es en colère contre moi ? demanda-t-elle ensuite, toujours dans cette posture nonchalante, et de cette voix posée.

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Lun 9 Sep - 22:07

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Aussi loin que remonte leur cohabitation, Edward n’avait jamais eu souvenir de l’avoir vu travailler si tard. Généralement, en rentrant le soir venu, il retrouvait Angelica pratiquer une activité en toute décontraction. Ce qui laissait à penser que sa journée avait été quelque peu perturbée par l’annonce inopinée de leur relation au grand jour. Son sursaut le surprit d’autant plus, et s’excusa de l’avoir sortit brutalement de sa torpeur. Un doux sourire étira ses lèvres tandis qu’Angelica se justifia à son tour « Ce n’est rien ». Il espérait qu’en étant ainsi concentrée, elle ne s’était pas inquiétée de son retard fortuit. « J’ai été retenue par la chargée des relations publiques » et aucunement par l’amas de dossiers qui trônait sur le rebord de son bureau et dont il se souciait que peu. Edward parvint finalement à soutirer un sourire à sa moitié tandis qu’il lui offrait un bouquet de multiples roses colorées « Oui, et parce qu’elles sont pratiquement aussi belle que toi ». Bien que la jeune femme préférait qu’il privilégie les chocolats aux bouquets de fleurs. À sa réponse, il s’avéra qu’il n’avait commis aucun impair dans son choix de cadeau pour célébrer l’annonce officielle de leur relation. Cependant, ils ne semblaient pas habitaient par le même enthousiasme ce soir... L’engouement qui avait accablé Edward jusqu’alors se dissipa aussitôt que le sourire d’Angelica à compter du moment où il évoqua la révélation de leur union dans les médias locaux. Ce n’était ainsi qu’il avait envisagé la réaction de sa moitié qui avait toujours prétendu désirer de pouvoir vivre leur amour aux yeux de tous… Il n’en était rien semble-t-il.

Un constat amer qui déplu fortement au politicien qui obtempéra néanmoins à la demande de la jeune femme sans mot dire. Le premier verre de bourbon japonais fut ingurgité en une seule et unique gorgée, pour que mieux le remplir par la suite tout en répondant froidement à l’interrogation d’Angelica qui se permis d’émettre un jugement de valeur sur les informations diffusées dans la presse locale « Je suis une personnalité publique ». Que lui en déplaise. Il était encore à ce jour candidat au Sénat, et de ce fait, tous ses faits et gestes qui pouvaient influer d’une manière ou d’une autre sur les élections ou encore sa politique, intéressait la presse. Quant à la jeune femme, elle avait été informée par Flynn, talonné de près par la multitude de messages de sa communauté. Elle confirma ses appréhensions par ces seuls mots, mais décida de réprimer ses craintes à ce sujet, pour simplement se contenter d’un simple « Je sais ». Il avait vu la vidéo d’annonce tournée par sa moitié quelques heures auparavant.

Ne souhaitant pas poursuivre cet échange les concernant, et désirant prendre le recul nécessaire pour ne pas prononcer la moindre parole qu’il regretterait aussitôt, Edward décida de trouver refuge sur la terrasse avec pour seule compagnie, le fond de bourbon stagnant dans son verre. Après plusieurs minutes de silence oppressant, il osa poser la question qui le tiraillait depuis la perte de son sourire quelques minutes auparavant, et ce, sans pour autant lui faire parfaitement face. Continuant de l’observer du coin de l’œil, il prêta une oreille attentive à sa réponse. Alors qu’il s’était soucié du fond et non de la forme, il en était tout autre pour Angelica qui n’appréciait pas la manière dont leur relation avait été révélée aujourd’hui. Il fixa de nouveau les imposants gratte-ciels qui se dressaient devant lui, et glissa une main dans sa poche tout en portant son verre de l’autre sans renchérir les justifications de l’influenceuse. À la question posée, Edward resta toujours sans mot dire, prenant le temps d’ingurgiter la moindre goutte de bourbon, puis tourna les talons pour s’avancer jusqu’à elle « Oui. Un peu », et continua de s’avancer jusqu’au bar, décida à remplir de nouveau son verre « Pour te répondre, il n’y a eu aucune retombée pour moi aujourd’hui. J’étais juste soulagé que ça se produise ainsi, naturellement » puis revint jusqu’à elle, déposa un bref baiser sur sa joue « Mais ça ira mieux demain, n’est-ce pas ?! » et conclut par un « Bonne nuit La Mia Luce », sans pour autant se rendre dans la chambre à coucher. Il se laissa choir quelques minutes plus tard dans l’imposant siège de bureau, la tête rentrée dans les épaules, les deux mains jointes dans sa nuque, faisant face au verre de bourbon qui serait, vraisemblablement, son seul repas ce soir.

Charly
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Mar 10 Sep - 10:11

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Le chargé de relation publique… ça annonçait presque la couleur… Angie avait du mal à saisir l’humeur d’Edward. Elle s’était imaginée qu’il puisse être contrarié par cette annonce, par ce qu’avait pu dire les médias. Mais il semblait de bonne humeur, lui avait même acheter des fleurs… Angie aurait aimé pouvoir réagir différemment. Elle aurait préféré prendre un ton détaché, lui sauter au cou, l’embrasser amoureusement. Mais elle n’y parvenait pas. Alors elle prétexta l’eau des fleurs pour prendre quelques instants pour elle. Le silence qui l’enveloppa annonça lui aussi la couleur pour la fin de la soirée. Elle venait de tout gâcher… Et elle s’en voulu terriblement. « -je sais. » oui, elle savait parfaitement qui il était et ce qu’il représentait. Elle trouvait seulement cela désolant que la presse n’ait rien d’autre à se mettre sous la dent. Elle ouvrit la bouche pour argumenté, mais la referma en soupirant légèrement, fixant le liquide dans son verre. Elle répondit à sa question, et releva uniquement les yeux sur lui lorsqu’il prit la peine de prononcer deux mots. Il savait. Il avait donc vu sa vidéo.

Elle laissa prendre la distance, distance qui allait certainement durer tout le reste de la soirée, le connaissant. L’épaule coller contre le montant de la fenêtre, son verre à la main, elle laissa le silence prendre sa place. Puis elle finit par lui demander s’il ressentait de la colère à son encontre. La réponse ne la surpris pas vraiment. Elle se mordit les lèvres pour ne rien répondre. Cela n’arrangerait pas les choses de lui dire qu’elle était en droit de réagir à sa manière, même si cela ne collait à ses attentes. Elle en était désolée mais c’était ainsi. Elle fixa de nouveau son verre, alors qu’il passait à côté d’elle, en reprenant la parole. Soulagé ? De façon naturelle ? Ils n’avaient pas la même définition de ce mot. Elle détourna la tête en l’entendant reprendre ses propres mots, comme si elle avait dit la pire des choses. Angie quitta son poste pour rejoindre la terrasse et les papiers qu’elle avait délaissé, sans rien répondre.

Impossible de se concentrer dessus à nouveau. Elle avait le cœur lourd. Elle avait la sensation d’être envahit par trop de pensées. Pourtant Edward avait raison. Jusqu’à présent, c’était elle qui voulait officialiser leur relation. C’était elle qui l’avait trainé dans les magasins de déco, l’invitant à se foutre du regard des autres. Un regard pour la piscine, puis elle avala son verre d’un trait, et retira ses vêtements. Elle plongea dans l’eau en sous-vêtement, et laissa le silence du bassin l’envahir. Pourquoi cette réaction ? Elle devait comprendre. Est-ce que c’était les peur de Flynn qui l’avaient finalement contaminé ? Est-ce que c’était la peur du jugement ? La peur qu’on l’aime moins ? Qu’encore une fois on ne cesse de la dépeindre comme n’étant qu’une influenceuse sans cervelle ?

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Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Sur le chemin du retour, les fleurs posées à ses côtés sur la banquette arrière de la berline noire, Edward s’était plu à songer à son retour à l’appartement. Probablement commander des sushis pour célébrer l’officialisation de leur relation, ou bien dîner en extérieur, sans qu’ils n’aient besoin de se soucier du regard d’autrui. Seulement, l’enthousiasme dont il faisait preuve vis-à-vis de cette annonce inopinée ne fut pas partagée par Angie. Elle qui pourtant avait prétendu désirer afficher leur amour au grand jour, venait à reculer devant le fait accompli. Bien qu’il comprenait que la forme n’était pas à sa convenance, il n’en restait pas moins qu’il parvenait difficilement à appréhender sa réaction quant au fond. Le plus importait n’était-il pas qu’ils étaient dorénavant libre d’arpenter les rues de New York main dans la main ?! Il semblerait que non… Angelica fit preuve d’une certaine élégance en ne renchérissant pas à ses paroles, quelles qu’elles soient, au risque d’engendrer une altercation qu’aucun d’eux ne désirait à ce jour. Après un bref baiser sur sa joue, Edward prit congés afin de se réfugier dans son antre, le dernier témoin de leurs ébats de cette nuit, qui lui semblait appartenir à un autre temps soudainement.

La tête baissée et les paupières closes, le politicien tenta de faire abstraction des sombres interrogations qui assaillaient actuellement son esprit. Seulement, rien n’y faisait. Que cela soit le liquide ambré qu’il venait d’ingurgiter ou la solitude dans laquelle il venait de s’enfermer. Ses craintes étaient omniprésentes et semblaient même se complaire à se développer dans son état d’esprit actuel. Pourtant, Edward l’avait à maintes reprises avertis des risques de dévoiler leur relation au public, et à chaque reprise, elle l’avait contredit, comme assurée de son choix. Toutefois, tout était simple en théorie. Mais lorsque la pratique s’en mêlait … Eh bien il constatait que finalement celle qu’il considérait comme l’amour de sa vie n’était plus aussi certaine de vouloir paraître à son bras, et sans qu’elle parvienne à se justifier à lui. Il finit par mettre un terme à ses funestes songes en prenant place dans le canapé de son bureau avec son ordinateur, jusqu’à ce que vienne Morphée.

Quand Edward ouvrit la porte de son antre au petit matin, le jour se levait tout juste. Il tendit l’oreille de part et d’autre du couloir afin de discerner le moindre bruit, puis s’avança jusqu’à la cuisine dans son costume froissé de la veille. Tandis que la machine s’évertuait à lui concocter son doux nectar brun, le politicien récupéra le New York Times dont il découvrit les articles sans réellement y prêter attention. Son esprit n’était nullement embrumé par le sommeil, mais par la jeune femme qui dormait probablement encore à poing fermé à quelques mètres de lui. Un soupir, et glissa le journal papier sous son bras, avant de se saisir de la tasse de café brun, pour se rendre sur la terrasse baignée des rayons du soleil. Il passa les prochaines minutes à ressasser leur conversation pour tenter de comprendre la réaction de la jeune femme.


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Mar 10 Sep - 15:24

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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C’était en tremblant de froid qu’elle avait regagné le bord de la piscine, pour venir s’enrouler dans un peignoir. Et dire que la veille, ils faisaient l’amour comme des fous… c’était à croire qu’il était impossible pour eux de tenir une semaine sans prise de tête. Angie avait décidé de se resservir un verre, puis encore un autre, restant sur la terrasse. Elle avait mit des écouteurs dans ses oreilles, et s’était mise à danser, pour faire sortir de son esprit tout cela. Elle ne savait pas danser, mais pour se trémousser sur de la musique fun, elle n’avait jamais été en reste. Son verre en main, elle s’était laissée enivrée par l’alcool et par la musique. La vie était vraiment une chienne lorsqu’elle le voulait. Deux heures plus tard, elle hésita à frapper à la porte du bureau, mais elle s’était ravisée. Elle n’avait pas envie de subir la colère d’Edward. La conversation attendrait le lendemain. Mauvaise idée… elle avait mit des heures à s’endormir, sur le canapé de son propre bureau. Yuma n’allait plus rien comprendre…

Angie avait mit un réveil, parce qu’il était hors de question qu’elle laisse Edward sortir d’ici sans une conversation d’adulte. C’était facile d’être en colère, puis de partir bouder. Elle n’allait pas passer son temps à s’excuser à chaque fois qu’il était contrarié. Elle n’allait pas non plus partir en voyage à chaque conflit. La jolie rousse était donc sortie de sa chambre, pieds nues, s’enroulant dans pull à lui. Elle ne le trouva pas dans la cuisine, malgré l’odeur du café. Elle se passa les deux mains sur le visage, parce qu’elle était loin d’avoir sept heures de sommeil au compteur. Puis elle se prépara un thé, et décida de gagner la terrasse. La baie était ouverte… Angie vint prendre place à côté de lui, à moitié avachit sur le canapé de la terrasse. Sa tasse en main, son épaule contre son côté. « -j’ai mal dormi. » commença la jeune femme en regardant au loin. « -le canapé de mon bureau est très beau, mais pas confortable du tout. » elle remonta ses jambes, avant de placer ses mains autour de sa tasse. « -t’es toujours en colère contre moi ? » demanda la jeune femme sans pour autant le regarder. Elle lui lança un léger regard, avant de se concentrer sur le trempage de son sachet de thé, comme si cela relevait d’une précision folle. « -t’as pas le droit d’être en colère contre moi parce que je ne réagis pas comme tu en as envie. » précisa Angie, tout en sachant qu’elle ouvrait la porte à la dispute.

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Mar 10 Sep - 15:57

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Après quelques minutes de lecture peu convaincante des articles du New York, il avait délaissa le journal en papier sur le rebord de la table extérieure, pour ne se saisir que du récipient de café dont il ingurgita la dernière goutte. Il s’en autorisa une nouvelle tasse, et à peine eut-il reprit place sur sa chaise, que le bruit des pieds nus d’Angie frottant sur le parquet de leur appartement l’interpella. Pour autant, il se désintéressa de la jeune femme qui vint toutefois prendre place à ses côtés après que quelques minutes ne se soient écoulées. Sans qu’il n’ait eu besoin de lui adresser le moindre mot et le moindre regard, que l’influenceuse prit parole afin de l’informer que la nuit passée avait été pour le moins désagréable. Le confort du canapé n’était pas celui espéré, semblerait-il. Tout en portant le liquide brun à ses lèvres afin d’en déguster une nouvelle gorgée, il rétorqua avec le même détachement que la veille « Rien ne t’obligeais à dormir dans ton bureau », lui faisant constater qu’elle ne faisait que subir les conséquences d’une décision qui tenait dès lors qu’à elle seule. Sans pour autant détourner le regard du journal pour lequel il venait de se redécouvrir un intérêt certain, il répliqua un simple « Non », avant de lever ses prunelles azurées sur cette dernière. La colère s’était dissipée dans le courant de la nuit. Dorénavant, il ne subissait que les tourments de ses multiples craintes que leur discussion de la veille avait fait émerger. Néanmoins, c’était sans compter sur la remarque futile, et pour le moins provocatrice, qu’il l’exhorta à contracter la mâchoire. Sans mot dire, il plia le journal en deux, et le poussa sur le milieu de la table, pour vouer toute son attention à la jeune femme qui semblait être toute disposée à enclencher une altercation aux prémices de la journée « Tu crois que ça ne se résume qu’à cela ?! À une espèce de caprice ? » enchaina-t-il sur un ton plus posé qu’il ne l’aurait envisagé.

Tournant la chaise de manière à faire face à la jeune femme, il reprit place dans le fond tout en croisant élégamment les jambes, sa tasse enserrée entre ses doigts et reposant sur l’accoudoir de son siège « Ta réaction m’a quelque peu déstabilisée, mais pas autant que les raisons sous-jacentes. Songe un instant à toutes les pensées qui ont pu traverser mon esprit au cours de la soirée ». Un soupir s’échappa d’entre ses lèvres, tandis qu’il jeta un bref coup d’œil à l’oiseau qui survola leur terrasse, et reprit « Je t’ai prévenu des conséquences d’une telle révélation, et tu as toujours su me rassurer sur ce point. Seulement hier, je n’ai pas vu une femme heureuse et sereine en rentrant chez nous, mais une femme quelque peu déboussolée d’apprendre que sa relation avec le connard d’adjoint au maire avait été dévoilée au public ». Il leva son index pour l’interrompre avant même qu’elle ne rétorque quoi que ce soit « Tu as enclenchée la conversation, assumes maintenant Angelica. Je parle et tu écoutes. Ensuite, tu prendras la parole et je t’écouterais », et reprit aussitôt après sa consigne de bienséance formulée « Je n’ai jamais bénéficié d’une bonne presse, et si j’ai été réticent jusqu’à ce jour, ce n’était pas pour que tu subisses les affres de ma réputation. Mais tu m’as rassurée de telle sorte que je pensais que c’était une aubaine qu’on ait été surprit tous les deux, s’embrassant amoureusement. Rien n’était calculé et ça s’est produit. Point. Nous qui ne savions pas comment procéder, on a choisi pour nous. ». Il se leva de son siège, et reprit « Maintenant, si tu regrettes ou que tu ne te sens plus prête, alors c’est un tout autre sujet que l’on doit aborder mon amour… Et ça n’a plus rien à voir avec l’annonce de notre relation, mais avec nous deux ». Il se retourna pour lui faire de nouveau face « Si tu n’es pas sûre de nous, ou encore d’être capable de supporter les conséquences vis-à-vis de tes réseaux sociaux, alors il ne nous reste plus qu’à démentir, en prétendant un gage ou évoquer notre contrat… Peu importe. Ava et la chargée des relations publiques trouveront de quoi justifier ce rapprochement soudain ». Edward avait passé des heures durant à envisager toutes les possibilités pour démêler tant bien que mal leur situation. « Parle-moi Angie. Dis-moi ce qui te fait peur ».


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Mar 10 Sep - 20:59

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Elle avait prit le temps de se faire un thé, puis était venue s’incruster dans la solitude matinale d’Edward. En entendant la réponse qu’il lui donna, elle ferma les paupières et évita de soupirer même si ce n’était pas l’envie qui lui manquait. Elle aurait pu balancer un : ok tu sais quoi, que tu serais disposer à parler, fait moi signe. Mais elle décida de prendre option zen et communication. Elle fit donc l’effort de lui demander s’il était encore en colère contre elle, puisque c’était ce qu’il avait ressentit la veille et qu’il était parti bouder dans son bureau sans lui laisser le temps de dire quoi que se soit de plus. Elle retint à nouveau ce soupire de contrariété. Non… elle n’appelait pas cela une conversation. D’accord il était encore tôt, mais il devait bien en être à son second café. Il pouvait donc faire un petit effort pour parler. En fait, elle réalisa en regard son thé, que c’était elle qui semblait en colère maintenant, face à la réaction d’Edward. Alors elle amorça la mèche de la bombe. « -qu’est ce que j’en sais moi, tu m’as souhaité bonne nuit et tu es parti dans ton refuge. » elle n’appelait pas ça communiqué ou lui laisser une change de s’expliquer.

« -excuses moi, je n’ai pas la moindre idée de ce qui se passe dans ton esprit depuis hier soir. Si ce n’est que ma réaction – en appuyant sur le pronom – t’as mis en colère. » non, elle n’avait pas fait l’effort de se mettre à sa place. Elle avait déjà assez de ses propres pensées et émotions pour en plus penser et analyser celles d’Eddy. Elle ouvrit la bouche lorsqu’il se traita de connard, avant de le fusiller du regard alors qu’il lui demander de le laisser poursuivre. Elle regarda ailleurs, avant de décider de se lever tout en prenant une gorgée de thé. Elle resta non loin, elle l’écoutait d’une oreille attentive. Seulement elle avait besoin de bouger.

Elle eut envie de balancer un : c’est bon t’as finit ? Mais en entendant la dernière phrase d’Edward, elle sentit toute sa colère s’envoler. Elle prit le temps de boire une nouvelle gorgée de thé, avec lenteur, puis elle ouvrit la bouche : « -alors de 1 je ne veux plus jamais t’entendre te traiter de connard. Et non, ne me réponds pas que c’est ce que tu es. Je ne veux plus l’entendre. Un point c’est tout. » elle braqua son regard sur lui à ce moment précis. « -ensuite, je n’ai pas de doute sur nous, sur notre relation, sur ce que je vis et ce que je veux vivre avec toi. » ça aussi il allait devoir l’imprimer dans son esprit. « -lorsque j’ai ouvert mes réseaux hier matin, j’ai été submergée de message. Moi j’étais encore sur mon petit nuage d’amour après notre folle nuit… » elle décida de revenir s’asseoir et de poser sa tasse parce qu’elle venait d’en mettre de partout, et que le liquide était encore chaud. « -j’aurai aimé pouvoir l’annoncer autrement. Pas par le biais de média tv qui ne savent pas de quoi ils parlent. » elle se pinça les lèvres. « -ensuite Flynn a appelé et à force, il a commencé à me faire peur. Son meilleur argument : je ne sais même pas quelles valeurs tu défends politiquement… » ce qui était la stricte vérité. « -le problème c’est pas l’annonce ou le fait que le monde entier le sache. Le problème s’est leur manière de réagir. Je… j’éprouve une sorte d’injustice. Parce que tu es une personnalité publique, parce que je suis influenceuse, on a pas le droit d’aimer et d’être aimé ? On a pas le droit d’aimer qui on veut ?! »elle soupira en ouvrant grand les deux mains: "-je suis sans doute encore trop naïve, malgré tout le mal qu'on m'a déjà fait, je m'étais bêtement dit que... que les gens seraient simplement heureux pour nous, ou qu'ils s'en foutraient royalement."


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