Messages : 738
Date d'inscription : 23/12/2019
Région : Derrière toi.
Crédits : Jibaro- Love death & robots
Univers fétiche : Silent Hill/ Horreur
Préférence de jeu : Les deux
La situationSeptembre 2013- Automne- Etats-Unis. MOKSVA est une grande entreprise de prostitution d'origine russe s'étant elle même importé sur le sol américain. Grande entreprise certes mais aussi secrète que son grand nom les plus grands noms de l'amérique s'y dispute les joyaux féminin qui compose leur gamme de service. Rousse, blonde ou brune, toutes sont choisis pour leur visage et leur délicatesse à l'art de l'intimité. Néanmoins avant de forger la réputation de dentelle de l'entreprise, il faut passer nombre d'embuche pour espérer gouter au plus haut niveau de compétence. Ici les femmes s'y dispute une liberté présumé sans savoir qu'elles ne seront jamais libre. Au milieu de ça l'une d'entre elles fait parler d'elle. Des mois qu'elle rafle toutes les affections de ses messieurs... Si c'est bon pour les affaires ça l'est peut-être moins pour le pouvoir... |
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Talya JanklowskiJ'ai 26 ans et je vis à New York, Etats-Unis. Dans la vie, je suis prostituée et je m'en sors péniblement évidemment. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
??????? La nuit, le jour, une pièce ronde ou carrée, un grand lit, un petit lit, un fauteuil ou un canapé, le trottoir ou une ruelle, peut importe avec le temps le travail finis par rentrer et avec lui les faux soupirs de plaisir. Les seins à l’air devant son visage en train d’onduler son corps sur lui dans des gémissements plus là pour lui faire plaisir à lui que parce qu’elle prenait du plaisir. Ca monte doucement et quand elle l’entend gronder de plaisir en s’accrochant avec force à ses maigres cuisses c’est comme deux avions qui décolle. Des voix crescendo qui s’accordent dans des gestes crispés d’extases. Il s’écrit qu’il va jouir comme si il était le roi du monde, ça c’est son truc à n° 9. Puis il attrape les longs cheveux de la blonde pour les tirer violent vers l’arrière. Ce geste n’a plus rien d’une surprise pourtant son gémissement lui intimera toujours de croire le contraire pour son plus grand plaisir. Et il jouit. Il relâche sa prise, respire comme si il venait de transporter une obélisque de trente tonnes et elle se recule. Le visage figé d’une expression de marque elle ne ressent plus rien. Se faire découvrir et redécouvrir par ses clients n’as jamais eu rien d’excitant. Si mécaniquement elle parvient à produire de la cyprine son âme n’est jamais dans les actes qu’elle propose. Elle le fait juste bien et mécaniquement. L’observant se rhabiller elle s’affale dans le fauteuil enfilant au passage un petit kimono à franges rouges. Un regard, il s’approche et elle le regarde avec une petite moue. Il lui dit au revoir l’embrasse sur la joue, l’appelle même « ma poupée. » et il s’en va.
Si tu savais qui est la poupée de qui pensa t-elle en fixant un peu la porte. Si les hommes trouvait les femmes compliquées et que le femmes trouvait les hommes compliqué Talya n’en trouvait aucun plus difficile que l’autre. Il suffisait d’observer, d’écouter attentivement et d’analyser un peu la demande et le désir profond qui amenait ses gens ici au-delà du plaisir… Dans une aire ou le numérique prend de plus en plus de place dans le monde du sexe les patients sont moins nombreux aux portes des prostitués. Ca MOKSVA l’avait bien compris. Aujourd’hui par l’intermédiaire d’un téléphone dernière génération de quelques photos et d’une box a messages privés le sexe était à la porté de beaucoup avec n’importe quel fille ayant la cuisse légère ou la liberté de souhaiter du sexe. Oui. Les femmes aussi viennent pour du sexe. Rarement mais ça arrive. D’ailleurs c’est bien la ses clients les plus intéressants si elle devait leur ériger une liste de préférences. Chopant une clope pour la caler entre ses lèvres elle fume pour se remplir de quelques chose d’autres que les fluides de ses clients. Et puis il faut dire que ça couvre l’horrible odeur du sexe. Prenant le temps d’affubler son maigre corps d’une jupe léopard à sequins et d’un top gris elle n’a même pas de soutien gorge. Ses gorges sont presque vident à vrai dire. Ce n’est pas ça qui l’empêche d’avoir bon nombre de clients et de racoler comme personne. A peine habillée elle récupère un petit sac de cuir noir dans lequel est tassé l’argent de sa dernière prestation.
Quittant la chambre elle parcours le couloir jusqu’à l’ascenseur entendant de celui un vaste nuancier des soupirs qui s’échangeait dans les chambres. Descendant quelques étages en dessous elle tourne a droite puis a gauche et ouvre une porte, c’est un placard à balais mais derrière une brique se trouve un sac de sport bleu. Dedans il y a des baskets un survêtements et en dessous le pactole qu’elle s’est fait. Elle laisse son dernier paiement rejoindre les autres. L’une des poches et encore pleine et pleins de trousses contiennent d’autres billets, cet argent là c’est celui des filles de son couloir. Parfois, certaines demandait de l’avance à Talya pour éviter de se faire reléguer au chantier mais si elle acceptait parfois dans ce monde brutal elle préférait rester une ennemie impitoyable que les autres déteste parce qu’elle réussi mieux qu’elles. Sortant de la pièce un coup d’œil a droite, un autre à gauche et il n’y a personne, il n’y a jamais personne c’est bien pour ça qu’elle cache l’argent là. Si une poufiasse tombait dessus, elle n’hésiterait pas a voler pour s’acheter de la Meth, de la coke ou peut-être des fringues ou encore des clopes… Bref si une fille voyait ça c’était cuit. Mais c’est justement pour ça qu’elle était réputée : elle était maligne. Enfilant un manteau et ses bottes elle sort du vieil hôtel devenue une maison de tous les plaisir. La cours de cet hôtel étrange était coincé entre plusieurs immeuble. Il y avait plusieurs escaliers qui menait à des souterrains qui ramenait aux métros mais aussi à des endroits précis des rues de New-York. C’était comme un gigantesque terrier que le boss se plaisait à faire changer régulièrement, cela évitait les descente de flic les fuites de filles et autres désagrément… Il y avait des sorties de secours dans cette hôtel d’enfer mais pour ça il fallait avoir le cerveau pas trop flingué par la drogue pour voir les accès.
Si la nuit la jeune femme prenait ses sorties de secours pour se barrer a ses occupations, quelques soit l’heure de la journée c’était impossible quand le jour était levé. Marchant dans les longs couloirs glauques et humides du terrier les lumières vacillait. Si autrefois cette ambiance lui faisait peur, aujourd’hui c’était devenue sa maison, son quotidien et quand on ne connais que la fange on ne voit même plus que ce n’est que de la boue et de la paillasse… Ressortant dans un coin de rue elle marche sur ses grandes jambes maigres avec assurance. Même si sa tenue peut-être qualifiée de provocante personne ne la regarde vraiment car elle est en marche dans la marche infernal des âmes damnés de New-York. Prenant un bus puis marchant encore un peu elle arriva vers un grand hôtel de luxe, lui adressant un regard détestable elle contourne le grand bâtiment et vois bientôt s’avancer une voiture de luxe noir aux vitres teintées… C’est lui. Son destrier vers l’enfer. Un jour il l’emmènera voir Cerbère. Cette fantaisie lui plait et lui arrache même un sourire tandis qu’en traversant la route elle monte dans la limousine. S’asseyant sur un fauteuil en cuir en face au pire de tous les maux un homme habillé en noir décent et referme la porte derrière lui. Comme d’habitude c’est elle et lui, lui et elle dans ce ring. La voiture démarre la cloche sonne le combat qui commence. Le regardant à moitié pas par peur mais plutôt par égalité d’humeur elle lui balance son sac de fric aux pieds. Là elle le regarde un instant. Elle le déteste. Le regarder lui donne envie de lui sauter à la gorge pour le tuer. Souvent elle se faisait cette réflexion et elle finissait par vraiment se demander comment ça pouvait finir ? Dans toute les situations qu’elle s’imaginait elle n’imaginait pas autre chose pour elle que la mort libératrice de cette purge sur terre.
-Voilà le fric de cette semaine.
Explique t-elle simplement avec un fort accent de l’est, suave et agréable à l’oreille des états-uniens. Comme d’habitude chaque pochette d’argent avait le nom d’une fille dessus qui correspondait au gains. Croisant les bras elle regarde par la fenêtre défiler les voiture avec aucune peur réelle de son patron. Pourtant toutes les menaces tatouée sur son corps en cyrillique pouvait en effrayé plus d’un. Tout dans son attitude était flippant, peu de fille osait le confrontait, seules les maîtresses de file (couloir de chambre de plaisirs) venait a sa rencontre. Il n’y avait bien que Talya qui ne semblait pas assez tenir à la vie pour rester égale à elle-même : impressionnée de rien, insolente dans son silence.
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