J'ai 18 ans et je vis à Akillian. Dans la vie, je suis footballeur professionel et je m'en sors bien (après tout avec mon équipe on a gagné la cup. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis. C'est tout. → Il porte le numéro 1 de son équipe. → Il essaie dé dépenser autrement son énergie que dans le sommeil. → Il commence à avoir un léger syndrome d'infériorité vis-à-vis de ses coéquipier
Ahito la regarda. Un jeu vidéo ? Pour qu’il puisse dormir. Non. Ce n’est pas ce qu’elle avait dit … mais après avoir pleuré, s’être noyé, nagé, stressé, paniqué, avoir eu le cœur brisé et avoir intériorisé tout ça… Il avait besoin de dormir, même si elle était là. Il le savait. Mais il avait envie de rester avec elle. Ne pas savoir où elle se trouve le mettait mal à l’aise. Il sourit à peine quand elle parla de la peluche.
- Une seconde peluche ? Madame fait des commandes maintenant ? Et ne t’en fais pas pour ma grand-mère, elle sera pleinement heureuse si tu lui fais un beau sourire. Elle aime entendre les gens parler. Mon grand-père, comme mon père, comme moi, on dort. Ma grand-mère aime avoir de la compagnie.
Ahito se mit à ranger, plier, les écharpes sur le côté alors qu’il suivit la jeune femme dans le couloir. Tran lança un couloir avec son frère qui voulait dire clairement « Qu’est-ce que tu as fait ? ». Ahito avait la tête de celui qui n’était clairement pas au courant de ce qu’il avait fait de mal. Tran accepta, non sans prendre son téléphone et envoyant un message à son frère de galère, quoi que non… à son faux frère de galère. Parce qu’Enox l’avait lâchement abandonné … Il l’avait abandonné avec EUX. EUX LA. Il lui envoya un message espérant qu’il se prendre les pieds dans un le sol tous les deux mètres.
Tran s’assit dans le salon, en poussant son père, et se trouva à gauche de Trixie. Ahito était à sa droite. Le jeu commença, mais à un moment, le personnage d’Ahito arrêta de bouger, et lui, il arrêta de lutter. Poussant les bras de la jeune femme, il mit sa tête contre ses genoux, frottant un peu sa joue contre le corps de la jeune femme pour se mettre à l’aise.
Il resta ainsi deux secondes, puis il se tourna pour avoir sa tête vers la jeune femme, levant les bras, il enleva doucement des mèches qui tomber devant la jeune femme, inconscient totalement qu’il l’embête …. Ou qu’il la fait sentir différemment qu’embêter plutôt. Tran l’observa et alors qu’Ahito se tourna, cette fois-ci le nez contre le ventre de la jeune femme pour s’endormir, il prit une photo pour l’envoyer à Enox. « Souffre avec moi putain » disait le message alors qu’Ahito était clairement rentré dans la phase profonde de son sommeil. Il laissa juste passé un « Trixie » entre ses lèvres, mais on pourrait croire qu’il voulait juste dire son prénom … comme ça… le plaisir de dire son prénom quoi…
Mais dans le sommeil profond, il pouvait parler parfois. Et il disait souvent ce qu'il voulait. Et là ? Il voulait manger Trixie. Et d'un coup, bien après, il le dit « Manger Trixie ». L'embrasser et lui faire l'amour. Il entendit Tran crier d'un coup en se relevant.
- BON ! ET SI ON ALLAIT MANGER ?! MAMAN ! On a faim !
Ahito se fit attraper et virer pour aller aider à mettre la table, complètement inconscient de ce qu'il venait de dire en dormant...
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HATAKE
Lun 17 Avr - 23:56
Trixie Hollow
J'ai 18 ans et je vis un peu partout avec l’équipe des Pirates, bien que je sois originaire de l'archipel de Shiloe. Dans la vie, je suis attaquante dans mon équipe de Galactik Football et je m'en sors en cassant les pieds des autres..
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Voilà. Une partie de jeu vidéo avec les jumeaux. Ça devrait aller. Trixie se demande encore comment elle va faire pour survivre au séjour entier. Même si le conseil d’Enox s’impose avec de plus en plus d’évidence dans sa petite tête. Ce n’est pas pour autant que ça va forcément être agréable. Mais ça devrait être moins pire après. Sauf s’il la jette comme une malpropre. Alors là ce sera terrible. Mais elle ne peut pas rester éternellement comme ça. Trixie rigole un peu à la façon que Tran à de pousser son père. Et puis se détend un peu pendant qu’ils jouent. Jusqu’à ce que Ahito s’endorme. SUR SES PTN DE GENOUX !!!
C’est. Pas du tout gênant, non. Absolument pas. Il y a le père qui ronfle à côté. Ahito qui commence à jouer avec ses mèches de cheveux. Tran à côté qui doit être à peu près autant à l’aise qu’elle. Trix, elle a très très envie de se sauver en courant là tout de suite. Encore plus quand Ahito pivote pour s’installer contre son ventre. Déclenchant une violente contraction des nerfs dans son ventre, son bassin et ses cuisses. Bordel de merde, Ahito … Elle a arrêté de respirer Trixie, tourne ses yeux vers Tran qui a pas l’air beaucoup plus avancé qu’elle sur comment agir. La vérité, c’est que d’un côté, elle n’a pas trop envie de bouger non plus. Parce que malgré la gêne, bah, il dort. Enfin il dort un peu quand elle est là. Bon. Tant qu’il dort, elle veut bien faire cet effort, et rester là. Sauf que. Faut qu’il parle en dormant !! Il y a son prénom qui franchit ses lèvres et Trixie passe au rouge en faisant un espèce de bruit de cocotte minute, sous la pression qui lui tombe sur le crâne, les épaules, le cœur, le ventre. Au secours. Quelqu’un. Et quand elle pensait que ça ne pouvait pas être pire. Ahito dit autre chose. Qui fit réagir Tran bien avant elle-même.
Elle reste en état de choc un moment sur le canapé. La manette encore entre les mains. Le cœur battant à trois milles à l’heure. Elle se repasse ce que vient de dire Ahito. Mais … il a vraiment dit ça ?? Mais. MAIS ?! Mais non. Mais bien sûr que si sinon Tran l’aurait pas viré comme ça et n’aurait pas eu une réaction pareille !!! Au secours. Trix se met en mode automatique. Sourit au père qui se réveille juste pour passer à table, lui aussi. Repose sagement la manette sur la table du salon, remonte dans la chambre, récupère les cadeaux pour les parents des jumeaux et puis descend pour les rejoindre dans la cuisine et leur donner ses petits présents spécials pirates. Se demandant seulement si Ahito leur a dit d’où elle vient ?? Puisqu’elle ne sait pas du tout ce qu’il leur a dit en fait. Si ce n’est qu’il ne leur a pas dit que c’était elle la folle dingue qui twerkait sous le nez de l’attaquant shadows, erm. C’est sûr que ça ne donne pas la même première impression. Et puis elle propose d’aider à mettre la table ou préparer quoique ce soit qui pourrait lui éviter d’avoir à repenser à ce qu’Ahito a dit. Et aussi éviter son regard pour l’instant.
Non mais ça se trouve, il avait juste faim. Et voulait lui proposer d’aller manger. Et vu qu’il dormait. Il manquait des morceaux. Nan ? Si. Forcément.
Trixie s’installe finalement à table en tentant d’entretenir une conversation normale avec … ceux qui sont capables de tenir une conversation autour de cette table. Entre les deux ronfleurs, le frère qui se désolidarise petit à petit. Merci maman de se montrer plus loquace qu’en voiture, et à la grand-mère d’être venue dîner avec eux. Trixie se raccroche à elles comme à une bouée de sauvetage. Les écoute parler d’Akillian, des garçons et des snowkids. Leur parle un peu de sa propre mère et de son frère en évitant le sujet papa extrêmement compliqué, et un petit peu de la vie d’enfant pirate sur Shiloe (et les compétences que sa mère lui a inculquée haha). Récupérant même l’attention du père, qui semble tout à coup la reconnaître. Et pas juste par rapport au match contre les snowkids sur lequel la discussion finit immanquablement par dévier. C’est presque avec nostalgie que Trixie parle de sa première interaction avec Ahito. La sale sensation que c’était une autre époque. Le début d’un crush qu’elle doit maintenant oublier en fait. Mais elle essaye d’en plaisanter quand même. Soulignant que finalement, si elle a réussi à marquer contre lui, c’est sans doute parce qu’elle a dû lui foutre la trouille, ahaha.
Pitié que ça s'arrête. Elle veut aller se coucher, Trixie.
Dormir.
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Clionestra
Mar 18 Avr - 0:25
Ahito d'Akillian
J'ai 18 ans et je vis à Akillian. Dans la vie, je suis footballeur professionel et je m'en sors bien (après tout avec mon équipe on a gagné la cup. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis. C'est tout. → Il porte le numéro 1 de son équipe. → Il essaie dé dépenser autrement son énergie que dans le sommeil. → Il commence à avoir un léger syndrome d'infériorité vis-à-vis de ses coéquipier
Ahito méritait des tartes. Tran le savait. Le père, qui avait tout de même suivit une partie de l’histoire, le savait. La mère et la grand-mère n’en parlons pas… mais lui, il était là, la tête un peu dans les choux en train d’aider à servir. Il sourit plusieurs fois à Trixie sans comprendre sa gêne. Il n’aurait peut-être pas dû s’endormir ? Elle était l’invité ici, après tout. Il l’avait laissé seule… Ce n’était pas bien. Il allait devoir s’excuser. Il ne savait juste pas comment.
- Demain, vous allez à la baie des Amoureux ? fit la grand-mère. - Yep, répondit Ahito qui n’avait pas choisi le lieu pour son nom mais pour la beauté qui l’entoure, j’ai réussi à faire craquer Grand-père avec une promesse de l’écouter parler du passé.
Une fois le repas terminé, tous partir se coucher. Ahito était dans le couloir avec la rose et lui expliqua que demain, donc, il avait prévu de partir faire un peu de randonnée dans le Mont Sylvert, un mont enneigé qui proposer des panoramiques, pour ensuite se rentre à la baie pour se baigner et prendre un repas. Il aurait été plus patient, il aurait proposé d’attendre le coucher du soleil pour y aller, mais comme il se savait s’endormir … non.
- Il va falloir que j’aille dormir d’ailleurs si je veux profiter de toi pleinement demain, fit-il en l’embrassant sur la joue, je ne veux plus te laisser seule comme tout à l’heure. Désolé de t’avoir mise mal à l’aise.
Et après une pression sur la main, il partit dans la chambre pour se coucher. Parce qu’il avait prit sa douche entre temps lui, oui, juste un peu avant la fin du repas pour éviter que tout le monde se bouscule et qu’il puisse justement dormir plus tôt, sur un matelas qui avait été mis sur le sol, dans la chambre de son frère. Tran arriva vraiment juste après et regarda Trixie. Il y avait quelque chose qu’il devait lui dire. Il avait cherché un moyen et choisi le plus subtile (tout le monde s’étouffe).
- Tu sais, j’adore mes parents, et mes grands-parents. Leurs couples, c’est du solide de fou. J’imagine que c’est parce qu’ils sont autant amis qu’amoureux. Cela change tout. Bref. Bonne nuit.
Et il ouvrit la porte pour trouver son frère, en caleçon, en train de dormir et en bavant. Il avait tout de même moins la classe que quand il dormait sur Trixie. Il semblait même déranger. Il y avait toujours cette histoire de cauchemar qu’il faisait et de respiration saccadée. Pas comme s’il faisait un rêve chaud, non, comme s’il était en train de mourir. Tran dormait tout le temps avec lui. Il le savait.
Le lendemain, il se réveilla tôt. Pas vraiment tôt puisque ses parents avaient déjà dû déserter la maison, mais assez pour qu’Ahito est l’impression de mourir de sommeil alors que non. Il toqua à la porte de sa chambre et n’entendant rien, ouvrit tout en excusant. Il y avait une forme dans le lit, et les rideaux tirés ne lui permettaient pas de la voir complètement.
- Trixie, fit-il en s’approchant du lit. Il faut te réveiller.
Il avisa que son ordinateur était allumé, fronça les sourcils. Il était sûr de l’avoir éteint avant qu’elle n’arrive. Pour être sûr que rien ne la dérange dans sa chambre. Il haussa les épaules et s’approcha un peu plus de la forme dans le lit pour mettre la main sur son épaule avec un sourire tranquille. Il avait fait en sorte d’ouvrir les volets roulant un peu pour voir un peu mieux à l’intérieur de la chambre.
- Belle endormie, si on veut pouvoir profiter du froid glacial et du vent frigorifiant, il faut se lever et partir. Tu ne comptes pas me laisser y aller tout seul n’est-ce pas ?
Mais il n’avait pas l’impression qu’elle dormait réellement, la petite dame. Faisait-elle semblant ? Il pouvait mieux la voir avec la luminosité et remarqua à nouveau qu’elle était si belle, si pure, si … Il ne savait pas comment le dire mais son cœur rata plusieurs battements. Avant qu’il n’ait pu s’arrêter, il lui fit un bisou sur le front.
- Voilà, un bisou de princesse, maintenant on se lève !
Avant qu’il ne fasse une autre connerie comme la rejoindre dans son lit pour l’embrasser sur tout le visage juste parce qu’il en crevait d’envie. Bon même si pour ça, il n'avait pas laisser plus d'une seconde à la jeune femme pour répondre entre les deux phrases ... pas du tout parce qu'il voulait lui faire un bisou avant qu'elle ne soit réellement lever. Mais. Non.
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HATAKE
Mar 18 Avr - 1:33
Trixie Hollow
J'ai 18 ans et je vis un peu partout avec l’équipe des Pirates, bien que je sois originaire de l'archipel de Shiloe. Dans la vie, je suis attaquante dans mon équipe de Galactik Football et je m'en sors en cassant les pieds des autres..
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“Nan, on va pas à la baie des amoureux demain, on va à la baie des amis !”
qu’elle a très envie de répondre à la grand-mère. Mais évite. Vraiment. En se mordant la langue. Ah ! Ah, aaaahh … !!! On glisse doucement vers la méchanceté ? Ça commence ? Au moins le sarcasme en tout cas. Et Trixie ne fait dans le sarcasme qu’avec les gens qui la connaissent parfaitement, justement parce qu’ils sont les seuls capables de savoir quand elle s’en sert comme arme pour blesser. Ou quand c’est juste une blague. Et là, bah c’est pas une blague. Mais elle ne le dit pas, donc ça va. Enfin “ça va”.
Heureusement que le dîner se termine et que les femmes de la famille étaient là. Trixie écoute Ahito lui expliquer le programme du lendemain. En espérant que ça ira mieux que cette drôle de fin de journée. Elle se dit qu’elle lui dira ce qu’elle a à lui dire à la fameuse baie qui … changera certainement de nom dans sa tête à partir de là. Bref, elle hoche la tête, le laisse lui embrasser la joue en se disant que c’est une des dernières fois que ça arrive. Alors elle profite. Mais Ahito dit ensuite quelque chose qui la fait tiquer. Et elle lui attrape le bras avant qu’il ne parte pour mettre ça au clair tout de suite.
”Ahito. Ça ne me dérange pas que tu dormes. Jamais. Ou alors je te le ferai savoir.
Non ce qui la dérange plus, c’est ce qu’il dit quand il dort, erm. Elle le laisse partir ensuite. Soupire toute seule dans le couloir. Pour une fois contente d’être seule. Mais Tran arrive dans la seconde suivante. Elle se tourne vers lui avec automatisme, et l’écoute. Elle hoche doucement la tête pour lui signifier qu’elle a compris (vraiment ??) ce qu’il vient de dire. En tout cas, elle à entendu. Et elle lui souhaite bonne nuit avant qu’il ne s’en aille à son tour. Et puis Trixie va se réfugier dans la chambre … d’Ahito. Meh. Elle passe un pyjama sans demander son reste et file se mettre au lit. Elle a sorti toutes ses peluches, boude celle d’Ahito un petit peu. Pas très longtemps en vérité. Elle finit par la prendre contre elle, l’entoure de ses jambes et de ses bras. Elle reprend son téléphone, voit tous les messages de tous ses proches qui lui demandent comment ça se passe ? Comment ça va ? Et puis elle pleure en silence. Comme souvent quand un trop plein d’émotions là prend dans une journée.
Et parce que Maki lui manque. Enox lui manque. Sa mère, Sonny, son équipe, lui manque. Ahito lui manque. Le Ahito qui n’était pas son ami. Elle repense à ce que lui a dit Tran. Ce serait possible d’être à la fois ami et amoureux ? Elle n’avait pas envisagé cette possibilité. C’est sur cette réflexion, et ce semblant d’espoir retrouvé qu’elle s’endort. Elle fait de drôles de rêves. Un mélange de cauchemars et de pseudos rêves prémonitoires. À peu près tous les scénarios possibles autour de ce qu’elle est. Et ensuite tous les scénarios possibles autour de sa déclaration. Elle hallucine plus qu’elle rêve, se raccroche à ses peluches pour tenter de s’ancrer dans la réalité et ne pas repartir pour une autre réalité alternative. Mais pour y repartir invariablement.
Alors elle est épuisée quand elle se réveille. Elle a l’impression d’être écrabouillée sous une chape de plomb. Elle réagit avec un faible grognement/gémissement à l’appel d’Ahito. C’est dur. D’émerger comme il faut. Et de bouger aussi. Elle est déprimée, elle est fatiguée, et elle a la trouille. Elle a presque l’impression d’aller droit à l'échafaud. Et elle repousse de quelques secondes le moment où elle va devoir ouvrir les yeux et se mettre en marche. Et mettre en marche le décompte jusqu’à … jusqu’à.
Le baiser d’Ahito sur son front lui fait louper un battement de cœur. Prise légèrement par surprise. Elle fronce le nez pour dissimuler son trouble et lève les mains pour se frotter le visage comme un petit animal. Elle a encore la peau engourdie et baille avant d’ouvrir les yeux.
“Faut que je m’habille chaudement, alors ??”
Ouais, elle se souvient des mots “randonnée” et “mont” et puis elle a entendu “froid glacial et du vent frigorifiant”.
Elle se redresse. A un brusque mouvement poussé par un vent de panique vers sa tête. Pose ses mains sur son crâne. Vérifie qu’elle n’a pas perdu son serre-tête en dormant. Ouf. C’est bon. Allez. Dernières heures de mensonges. Elle s’étire pour justifier son geste.
“Dehors alors … laisse moi m’habiller, j’arrive. Jveux un petit déj’ ! et un café. J’vais mourir de froid et de fatigue sinon.”
Ou de tristesse amoureuse. C’est plus vraisemblable. Elle finit par baisser les bras et adresser un grand sourire peu faux à Ahito.
“J’ai hâte de me les geler !”
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Clionestra
Mar 18 Avr - 2:03
Ahito d'Akillian
J'ai 18 ans et je vis à Akillian. Dans la vie, je suis footballeur professionel et je m'en sors bien (après tout avec mon équipe on a gagné la cup. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis. C'est tout. → Il porte le numéro 1 de son équipe. → Il essaie dé dépenser autrement son énergie que dans le sommeil. → Il commence à avoir un léger syndrome d'infériorité vis-à-vis de ses coéquipier
Il y a quelque chose qui cloche … Il réfléchit Ahito, mais son frère ronfle toujours et il n’a personne à qui demander. Il ne peut pas demander à la jeune femme. Mais quelque chose cloche. Il le sent et ça le dérange. Cela le dérange à un point qu’il n’ose même pas avouer. Comme s’il loupait une information évidente comme le nez au milieu de la figure. Il ne comprenait pas et la regarda toujours de cette manière si intense. Cette manière qu’il avait quand il n’était pas sûr. Le malaise d’hier semblait passé, et elle lui avait dit de ne pas hésiter à dormir … alors quoi ?
Il avait répondu à sa question simplement. S’habiller chaudement mais mettre son maillot dessous. Et il était sérieux. Il prévient même qu’il la jettera à la flotte qu’elle soit habillée ou en sous-vêtement, mais pour le retour elle finira vraiment en glaçon.
Il prépara son repas du matin, préparant aussi le sac où il mit les victuailles pour le repas de ce midi. Tous les deux. A la baie des amoureux. Appelé ainsi parce que son grand-père avait demandé en mariage sa grand-mère là-bas. Petit secret de famille qui n’appartient qu’à la génération senior et qui sera hérité par le père d’Ahito puis par Tran. L’ainé obtenait le lieu. Même si Tran s’en foutait pas mal et comptait l’offrir à son frère, comme la question ne se posait pas … bah il n’en parlait pas. Bref.
Ahito avait compris qu’il y avait quelque chose de pas normal avec la jeune femme et après avoir harnaché son sac sur son dos, il lui avait prit la main pour partir vers la maison de ses grands-parents. Il avait déjà tout ce qu’il fallait pour le sac, les serviettes, le repas, la clé. Surtout la clé. Il lui présenta les monts et le nom de certains endroits.
Il lui tenait la main et malgré les gants il sentait la chaleur à l’intérieur de sa paume, comme si elle le touchait directement. Ce qui était le cas. Trixie touchait son âme même, l’intérieur de sa psychée. Elle n’arrêtait pas de partir, dans un coin ou un autre, et il lui présenta tout ce qu’elle pouvait voir de ses yeux curieux. Il aimait la voir ainsi, malgré la couche de protection. Dans son sac, il avait pris aussi les écharpes. Dans l’idée que si elle … si elle le veut, bref. Il les avait pris au cas où, et une paire de gant en plus. Au cas où. C’était bien la première fois qu’il était prévoyant à ce point.
Parfois, elle lui lâchait sa main, retournant voir une autre chose qui la fascine. Et Ahito, lui n’arrive pas à décoller les yeux d’elle. Elle était comme un astre nouveau dans le ciel et qui brille de milles feux. Il connaissait les environs et n’avait pas besoin de savoir ce qu’elle regardait pour lui raconter les histoires qui entouraient la valée. Il n’y en avait pas mal, des histoires à Akillian. Sur le froid, sur la glace, mais aussi des mythes qui auraient daté d’avant la grande glaciation. Parce qu’Akillian n’avait pas toujours été comme ça.
Ils passèrent devant l’arbre aux vœux. Un saule pleureur dont les branches avaient été congelé par le froid mais qui semblait pourtant se déplacer légèrement avec le vent. Comme si l’arbre lui-même avait fusionner avec la glace.
- Il faut faire un vœu, et on pourra continuer, dit-il après lui avoir expliquer l’histoire de l’arbre rapidement.
Il fut le vœu que son amour soi réciproque. Avoir un grand-père étrangement fan ça permettait de se souvenir de pas mal d’Histoire. Dont celle du pharaon, messager des dieux et de la planète sur la surface, qui avait promis à quiconque l’aimerait de l’aider en retour. Pour cela, il fallait aimer la Terre sur laquelle ils se trouvaient et faire un vœu à l’arbre qui ne faisait que pleurer. Il prit la main de la jeune femme, encore, pour la millième fois aussi. S’arrêtant de temps en temps pour profiter, se reposer, ils arrivèrent devant l’entrée d’une grotte à midi. Il se retourna vers Trixie.
- Ce que je vais te montrer maintenant est un secret de famille, quelque chose qui n’est pas caché mais dont on ne parle pas, parce que mon grand-père dit qu’on a le droit d’être égoïste et possessive pour ce genre de chose.
Il sourit de toutes ses dents vers la jeune femme, repoussant même l’écharpe qui le dérangeait entre son sourire et la jeune femme et sortit une clé du sac. C’était une grosse clé rouillée, noire et cuivre, et il prit la main de la jeune femme (oui encore il est addict de ce geste) pour rentrer par une grotte dans la montagne. Déjà, ici, la chaleur était plus importante et il présenta un coin pour enlever au moins la première couche de vêtement. Juste en face d’une porte noir et cuivre. Il l’ouvrit et la laissa passer.
- Je te présente la baie des amoureux, fit Ahito fier de cet endroit qui lui fit connaître tellement de sensation en son cœur.
C’était une immense grotte, mais à l’inverse de l’extérieur, il y avait de la mousse verte et douce partout. Chaque recoin de la grotte était recouvert de cette pousse étrange. La pierre n’était pas visible sous la quantité. Et au milieu du plafond, un trou de lumière qui amenait la lumière à l’intérieur. On aurait dit qu’il n’y avait pas une centaine de mètre de montagne au-dessus encore. Contre la paroi, il y avait une cascade, de bleu turquoise et de vert, qui jetait son eau dans un trou d’eau tout aussi pur.
Et il faisait chaud. Vraiment chaud. Comme en plein été sur une planète qui le méritait. Il la poussa un peu pour aller vers l’eau et sourit.
- Il faut se déshabiller maintenant, pour plonger. Je pense que tu auras pied sur les bords mais pas au centre, mais comme on peut voir nos pieds...
En effet, la jeune femme pourrait voir que l’eau était tellement claire qu’il était possible de voir cette mousse étrange qui recouvrait tout le bassin … et même l’endroit d’où l’eau s’écouler pour aller ailleurs. Cet endroit était magique, avait décidé Ahito, et c’était le seul endroit où il avait envie d’avouer son amour, pour la première fois. Et cela, même si c’était pour se faire éconduire. Il savait déjà qu’il n’y aurait pas de soucis. Si elle décide de ne l’aimer en retour alors il serait simplement l’ami. Il pourrait survivre avec ça…
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Mar 18 Avr - 12:46
Trixie Hollow
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Trixie suit toutes les directrices d'Ahito dans un calme étrange pour elle, le temps de se préparer. De manger. Et puis de sortir dans le froid d'Akillian. Qui bizarrement lui fait plutôt du bien sûr le coup. Toute la randonnée lui fait du bien. Prendre l'air. Sentir la main d'Ahito dans la sienne et écouter sa voix lui raconter les histoires de sa planète. Oui, elle aime vraiment sa voix. Mais à vrai dire, elle croit bien qu'elle aime tout chez lui alors … Enfin elle balaye cette pensée et les autres du même genre en s'intéressant à tout ce qu'il lui dit. A tout ce qu'il lui montre. Et bien entendu que c'est foutrement intéressant !! Alors elle papillonne dans tous les sens pour tout voir et tout imprimer dans sa mémoire et dans son cœur. Revenant toujours se raccrocher à Ahito.
Et devant l'arbre à vœux, Trixie fit celui de ne jamais le perdre. Peu importe comment cette journée allait se finir. Et assez détendue pour ça, elle décide aussi de passer un bon moment jusqu'au moment "où".
Moment qui se rapproche à grand pas quand Ahito lui annonce qu'ils sont arrivés au secret de famille. Elle devine ce que c'est, repousse les peurs qui viennent avec, et hoche la tête comme une gamine un matin de Noël, impatiente de voir ce qu'il y a de l'autre côté. La fameuse. Baie des amoureux.
“Mon dieu, Ahito … c’est …”
C’est quoi ? Elle ne trouve pas de mot. Elle n’a pas assez de vocabulaire pour trouver comme s’exprimer. Elle garde la bouche ouverte, les yeux graaannnnds ouverts. Ses pupilles dansent dans tous les sens pour tout voir. Tout imprimer au fond de ses rétines. Tout ce qu’elle voit déjà. Et puis pourquoi pas tout ce qu’elle ressent aussi. En tout cas le bon. Elle ferme la bouche, et les yeux, finalement. Prend une grande inspiration en repoussant ses mauvaises sensations pour ne garder que les bonnes et les graver dans son cœur. Peu importe ce qui arrivera ensuite. C’est parfait. Si elle ignore toutes ses peurs. C’est parfait. Ahito la pousse doucement, la prenant un peu par surprise et c’est un petit rire cristallin qui lui échappe. Débarrassée de toute la négativité qu’elle a accumulé ces derniers jours.
“Pas de Trixie freeze en vue, alors. Je me disais aussi que tu ne devais pas être assez fou pour imaginer que j’accepterai de me baigner dans un lac congelé.”
Elle pouffe doucement, et se tourne vers Ahito pour déposer un baiser sur sa joue. Le dernier ? L’avant dernier ? Elle ne sait pas. Elle prend peut-être un peu trop de temps pour un simple bisou, mais tant pis. Et puis Trix s’écarte pour retirer ses couches de vêtements.
“J’ai l’impression d’être un oignon ….”
Qu'elle plaisante en retirant le pull par-dessus le sous-pull, par-dessus un débardeur, par-dessus son haut de maillot de bain. Même chose à faire en bas avant de se retrouver enfin en maillot de bain. Son maillot de bain blanc à froufrous, puisqu’elle n’en a pas d’autre. Elle attache ses cheveux en un chignon bancal et se dirige vers l’étendue d’eau et s’arrête au bord, avec un air toujours ébahi. Elle lève ses yeux vers la cascade et la regarde encore quelques secondes avant de se tourner vers Ahito. Et de lui tendre la main. Le geste lui déchire un morceau de cœur au passage, persuadée que ça va être la dernière fois. Le décompte arrivant au bout. Elle attend d’avoir bien sa main dans la sienne pour le tirer dans l’eau avec elle. Elle entre tranquillement et s'arrête avec le niveau de l'eau à mi cuisses. Elle regarde le fond du bassin avec intérêt et se tourne vers Ahito sur le ton de la confidence.
"J'ai envie de plonger mais je ne sais toujours pas nager …"
C'est con, hein. Elle désigne l'eau du doigt.
"Tu veux bien y aller et me rattraper ??"
Ouais. Elle crevé d'envie de ressortir de l'eau pour grimper sur les pierres pleines de mousses en sauter en plein milieu du bassin. Sauf que si elle le fait toute seule, bah elle n'est pas bien certaine de pouvoir remonter …
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Mar 18 Avr - 13:18
Ahito d'Akillian
J'ai 18 ans et je vis à Akillian. Dans la vie, je suis footballeur professionel et je m'en sors bien (après tout avec mon équipe on a gagné la cup. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis. C'est tout. → Il porte le numéro 1 de son équipe. → Il essaie dé dépenser autrement son énergie que dans le sommeil. → Il commence à avoir un léger syndrome d'infériorité vis-à-vis de ses coéquipier
Il observe Ahito. Si on devait donner un verbe à son existence, ça serait celui-ci « Observer ». Il ne parlait pas forcément, ne faisait pas forcément quelque chose, mais il savait regarder et comprendre. La plupart du temps. Trixie, en plus de l’observer comme il observait tout le monde, l’obséder totalement. Marquant son univers de reflet rose qui reste coincé dans sa rétine même quand il avait les yeux fermés. Alors il aimait voir les émotions qu’il faisait naître en elle. Il aimait sentir ses baisers sur ses joues, bien qu’il les préfèrerait sur ses lèvres. Il aimait ses manières si incroyables de voir le monde à travers le spectre de la nouveauté. Ahito n’avait pas de doute, même s’il revenait tous les jours pendant dix ans, ici même, elle continuerait à avoir cet éclat dans les yeux.
Parce qu’elle est heureuse Trixie. Elle est elle-même. Elle est complète. Son aura était un tourbillon de chaleur et quelque fois de la noirceur s’y cachait. La grande majorité de sa personne était pourtant pure, magnifique, belle, et il ne parlait pas de physique. Ahito en était sûr, aussi, elle aurait pu avoir la tronche d’un shadow qu’il l’aimerait tout autant. Parce que c’était son sourire qui lui transperçait l’âme et la rendait si belle.
Il finit de se déshabiller, comme un oignon bien que lui avait moins de couche, en ne pouvant détacher les yeux d’elle. C’était comme l’attraction terrestre. Il avait envie de la prendre dans ses bras, de la faire rire aux éclats. Il avait envie de puiser dans sa force, à elle, dans son courage, dans son bonheur, de se perdre dans toutes les sensations qu’il sentait en lui.
Si elle ne l’aimait pas, il allait en mourir. Il sentit son cœur se serrer douloureusement à cette idée. Il avait beau faire le fier, hier, quand il était venu pleurer en ce lieu, il avait décidé de l’aimer avec ou sans réciprocité… Mais il ne savait pas comment il pourrait survivre sans son amour. Il avait envie d’être son ami, oui, mais aussi son amoureux. Il finit de se mettre en maillot de bain, un caleçon de bain bleu foncé, et s’approcha de l’eau avec elle. La main dans la sienne. Là où il était si naturel d’être. Et il sourit.
Il ne laissait rien voir de ses tourments. Il souriait simplement. Essayant de se rappeler de tous les mots qu’il voulait utiliser pour lui déclarer son amour. Les mots s’échappaient au fur et à mesure. Il n’en restait que trois. Pas plus. Trois qu’il tenait à la force de son mental bien qu’il sache qu’il ne pourrait pas les oublier. Pas ceux-là. Il lui sourit.
- Je te rattraperais, dit-il alors que pour ça il devait lui lâcher la main.
Par instinct, il remonta ses doigts à ses lèvres et embrassa les phalanges avant de lui lâcher dans un sourire confiant et de nager vers la zone indiquée. Il se rapprocha même un peu plus de la falaise. Ayant déjà fait un ou deux sauts de là-haut, il savait où elle allait tomber. Il la regarda sortir de l’eau et il trouva l’image étrangement paisible. Comme si elle était faite pour être dans ce lieu, avec lui, en cet instant.
- Tu es un incroyable petit singe, j’aimerais bien avoir autant de dextérité que toi.
Ce qui était vrai, pieds nus dans un lieu inconnu et qui glisse, elle ne semblait pas déséquilibrée, montant simplement un caillou après l’autre pour se retrouver au-dessus de lui. Elle était belle. Elle était la réincarnation d’une déesse dans le vert et le bleu. Il sourit et tendit les bras, bien qu’il sût déjà qu’il allait devoir plonger pour la ramener à la surface.
Il la laissa se préparer, ne la quittant toujours pas des yeux. Mhhh, ça allait être dur en match contre elle ne se concentrer, il le sentait arrivé. S’il survivait à aujourd’hui en tout cas. Alors la jeune femme sauta, en bombe, et Ahito trouva cela logique. Il se décala à peine pour que la masse qu’elle était, ainsi prêt, s’enfonce dans l’eau en laissant des vagues d’eau sortir du bassin. Et il plongea avec elle.
L’eau était si pure qu’il la voyait parfaitement, caressant le bras de la jeune femme pour lui signifier sa présence, il l’attrapa par la hanche avec la douceur dont il était coutumier pour donner un coup sur le sol. Ils sortirent rapidement. Hors de l’eau, alors qu’il les tenait tous les deux à la force de ses jambes qui tapaient… Il ne la lâcha pas pour autant.
- Alors, c’était comment ?
Il déglutit alors qu’elle était toujours sous la pression habituelle de l’eau et observa son visage si proche. Il était tellement proche de l’embrasser. A un cheveu de tout laisser tomber les paroles. Même les trois mots qui flottaient dans son esprit.
Univers fétiche : réel, hp, cyber, anime, dark et fluffy
Préférence de jeu : Les deux
HATAKE
Mar 18 Avr - 14:35
Trixie Hollow
J'ai 18 ans et je vis un peu partout avec l’équipe des Pirates, bien que je sois originaire de l'archipel de Shiloe. Dans la vie, je suis attaquante dans mon équipe de Galactik Football et je m'en sors en cassant les pieds des autres..
- chaOtiC goOD - - a good heart with a free spirit - doing the right thing, even if it means i have to kill everyone in the process.
Faceclaim : Zero Two
Il la rattrapera. Oui. Cette fois. Elle lui sourit, Trixie. Presse ses doigts avant de le lâcher et retourne vers le bord. Grimpe sur les rochers sans difficulté, en effet, la force de l’habitude. Elle tire la langue à Ahito qui la “traite” de petit singe, rit doucement. Elle se redresse sur un rocher en hauteur. Se campe sur ses deux pieds. Et a soudain la brusque impression que c’est bon. Ça y est. C’est fini. Trix a la sensation que toutes ses émotions s'effondrent, lui échappent et ne laissent plus rien en elle. Elle baisse les yeux vers Ahito, sourit doucement. Et puis tout se passe au ralenti pour elle. Et se bouche le nez, saute, replie ses jambes sous elle. Elle percute l’eau avec une drôle de sensation de douceur avant qu’elle ne l’enveloppe. Elle rouvre les yeux dans l’eau, regarde Ahito revenir à elle et la ramène à la surface. Si seulement …
“Incroyable.”
Elle chuchote sa réponse. Parlant plus du jeune homme qui la tient contre lui que de quoique ce soit d’autre. Même ce lieu merveilleux se fait éclipser par la présence d’Ahito. Oui. Elle est amoureuse de lui. Elle est folle de lui. Elle doit lui dire. Mais qu’une fois qu’elle lui aura dit pour ….
Elle entend Ahito murmurer son prénom, et le cœur de Trixie bondit dans sa poitrine. La tire vers l’avant, vers les lèvres du jeune homme. Elle est si proche, qu’il lui semble même que leurs bouches s’effleurent. Certainement. C’est certainement ça qui la secoue violemment. Un éclair glacé et spasmsatique coule le long de sa colonne vertébrale. Et elle disparaît sous l’eau, Trix. S’échappe des bras d’Ahito et arrive à trouver les ressources pour nager jusque là où elle a pied et ressortir de l’eau. Son corps a cédé à un réflexe de fuite, mais son cerveau, ou son cœur, ou elle ne sait quoi lui hurlent de s’arrêter. Elle est à deux doigts de la crise de nerfs. Mais elle arrive à s’arrêter. Les cheville encore dans l’eau. Elle essuie ses joues de larmes qu’elle ne remarque même pas parmi l’eau qui coule de ses cheveux sur son visage. Et se retourne vers Ahito.
“Je … Je … dois te dire … quelque chose …”
Les yeux retournent vers le sol. Elle tremble même si elle meurt de chaud, Trixie. Elle a mal au ventre et se réjouit de ne pas avoir déjà mangé. Sinon elle aurait sûrement vomi de stress. Elle attend qu’Ahito sorte aussi de l’eau, fait quelques pas vers lui. Elle ouvre et referme la bouche plusieurs fois. Ne sait pas comment commencer. A surtout peur de comment ça va finir. Ses yeux remontent plusieurs fois vers le regard du jeune homme mais n’arrivent jamais à s’y fixer. Rejoignant immanquablement ses pieds.
Finalement, elle ne dit rien. Pas tout de suite. Elle lève les bras, et défait son chignon. Et puis enlève son serre-tête de diablotin. Sauf qu’il n’y a que le bandeau blanc qui s’en va. Les deux cornes rouges restent. Bien soudées aux os de son crâne. Le truc. C’est que parmi toutes les espèces de leur coin de la galaxie. Personne n’en a. Personne d’autre qu’elle.
“C’est. Pas pour rien que ma mère. M’a abandonnée. Je crois. Je. Je sais pas. Ce que je suis. Jsuis pas. Humaine ?”
Elle relève ses yeux trempés de larmes vers Ahito. Baisse à nouveau la tête. Tend ses doigts vers sa main sans oser les y accrocher de nouveau. Persuadée par la part sombre ancrée en elle qu’il ne voudra plus jamais la toucher. Lui tenir la main. Lui embrasser le front. Ou la joue. Comme sa mère biologique avant lui. C’est normal, non ?
“Je suis un monstre.”
Ça lui échappe dans un couinement. De toute façon, tout lui échappe. Ses larmes. Ses nerfs. Ses muscles qui tremblent et qui commencent à s’agiter violemment. La secouant même. Elle a envie de s’enfuir. Elle a envie de hurler. Elle a envie de s'effondrer. Elle a envie de mourir. Mais plus que tout ça, elle a envie de se réfugier contre lui. Qu’il la prenne dans ses bras. Qu’il l’embrasse. Que.
“Jveux pas être ton amie, Ahito. Jveux. Tout. Toi. Mais.”
Mais elle ne voit pas comment il pourrait vouloir la même chose, lui. Ahito. Il mérite beaucoup mieux que le monstrueux bordel qu’elle est.
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Clionestra
Mar 18 Avr - 15:06
Ahito d'Akillian
J'ai 18 ans et je vis à Akillian. Dans la vie, je suis footballeur professionel et je m'en sors bien (après tout avec mon équipe on a gagné la cup. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis. C'est tout. → Il porte le numéro 1 de son équipe. → Il essaie dé dépenser autrement son énergie que dans le sommeil. → Il commence à avoir un léger syndrome d'infériorité vis-à-vis de ses coéquipier
Pouvait-on entendre un cœur se briser ? Ahito en était convaincu maintenant. Il était convaincu que le déchirement lent et pourtant sec, comme une feuille que l’on coupe à la main, était exactement le son de son cœur se brisant. Il eut un peu de mal, alors que la jeune femme disparue dans l’eau, à savoir comment ne pas couler lui aussi. Il papillonna des yeux. Pris une gorgée d’air alors qu’il entendit aussi une espèce de plainte déchirante sortir de ses lèvres. Ouais. Il n’allait pas y survivre. Il ne savait pas comment il pourrait y survivre. Mais il ne devait pas penser à lui.
Il ne méritait pas de penser à lui.
Il y avait « Elle ». C’était la seule personne qui importait et il l’avait blessé. Certainement. Comment expliquer autrement qu’elle ne l’ait pas simplement repoussé en lui disant une remarque cynique. Il ne pleurait pas, lui. Il avait pris toute la force dans sa gorgée d’air pour emmurer ses sentiments. Plus tard. Il allait pleurer, mais plus tard. Elle. Alors il s’approche doucement du bord, laissa un minuscule « désolé » effleuré ses lèvres sans pour autant qu’il arrive à être sincère. Il se met à ses côtés. Il la regarde et l’envie de la prendre dans ses bras le submerge comme un raz-de-marée. Elle souffrait. Il pouvait le voir dans ses larmes qui coulaient, dans ses yeux qui le fuyaient, dans la tension de son corps. Elle souffrait. Et il aurait fait n’importe quoi à l’instant pour lui prendre cette souffrance. N’importe quoi. Même mourir.
Il s’assit à côté et n’ose pas la toucher. Il aimerait pourtant. Mais il sait que s’il la touche il la prendra dans ses bras. Il voulait pleurer à sa place, souffrir à sa place, et il avait peur que de la toucher ne la fasse fuir à nouveau. Alors il attendait, la regardait, essayait de comprendre alors qu’il voulait se justifier. Lui dire encore, même si manquant de sincérité, qu’il était désolé. Qu’il ne le ferait plus, et ça même si ça allait le tuer. Qu’il … Il ne sait pas. Il la regarde et attends patiemment. Il l’écouta, observant ses cornes rouges qui tenaient sur sa tête. Il posa les yeux sur son visage, son expression, essayant d’assimiler les mots et les paroles. « Jsuis pas humaine ». « Je suis un monstre » « Je suis rien ». Toutes les paroles qu’elle disait le poignarder et il aimerait tellement changer cela. Il ferait n’importe quoi.
Puis la fin arriva alors qu’il n’avait toujours pas retrouvé un semblant de faculté oral. Il ne savait pas quoi dire, comment le dire. Alors il décida de ne rien dire. Il s’approcha, attrapant la jeune femme dans ses bras. Plaquant son buste contre le dos de la jeune femme, faisant passer ses mains le long de ses bras pour attraper ses deux mains dans les siennes. Et il embrassa avec une tendresse infini ses deux cornes qui la faisant souffrir. La gauche, puis la droite, il les embrassa et continua son chemin, embrassa sa tempe droite, sa joue droite, le côté de droit de sa mâchoire et il la tourna pour qu’elle le regarde.
- Je t’aime.
Trois mots. Les trois mots qui flottent en lui et qui n’arrêtent jamais. Et à la différence de ce qu’il pensait, les trois mots dévérouillèrent tous les autres, tout le flot et il se déplaça pour la regarder, être en face d’elle et la voir. Il la voyait. Il l’avait toujours vue. Elle. Elle qui était si parfaite, si incroyable. Et elle disait vouloir tout de lui ? Elle avait déjà tout. Il lui offrait tout, il donnait tout, il suppliait même qu’elle prenne tout. Il fallait lui dire. Alors il lui dit. Et il ne la quitta pas une seule fois des yeux alors qu’il savait que la puissance de son amour se traduisait par un éclair puissant et pur de souffle dans son esprit.
- J’aime tes mains, qui sont toujours en train de vouloir toucher les objets pour les comprendre.
Fit-il en approchant une main de ses lèvres pour les embrasser.
- J’aime tes bras que tu balances avec émotion quand tu marches.
Et il fit un trainé de bisou sur le bras pour remonter sur ses épaules.
- J’aime tes épaules que tu soulèves toujours pour montrer ta désinvolture et ton cou qui déglutit quand tu hésites
Et il embrassa son épaule pour arriver vers son cou qu’il embrassa aussi.
- J’aime ta mâchoire qui se contracte, tes joues qui rougissent, tes yeux qui brillent, ton nez qui frémit, tes cils qui papillonne.
Et il embrassa à nouveau chaque endroit.
- J’aime tes cornes qui me prouve encore une fois que tu es l’être le plus incroyable que je n’ai jamais rencontré.
Il s’était rapproché d’elle, un peu plus à chaque fois. Un peu plus proche. Il embrassa ses cornes et sourit avec tout l’amour dont il peut faire preuve.
- Et j’aime ton sourire. J’aime tes lèvres qui parlent, mangent, se contractent, tirent la langue. J’aime ta langue rose et attirante, J’aime ton corps tout entier. J’aime ton âme tout entière. Je t’aime. Pitié, Trixie, laisse-moi t’embrasser comme j’en rêve depuis que je t’ai rencontré.
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HATAKE
Mar 18 Avr - 16:12
Trixie Hollow
J'ai 18 ans et je vis un peu partout avec l’équipe des Pirates, bien que je sois originaire de l'archipel de Shiloe. Dans la vie, je suis attaquante dans mon équipe de Galactik Football et je m'en sors en cassant les pieds des autres..
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Et Trixie reste tétanisée. Prise de court par ses bras autour d'elle, et la pression de ses lèvres, qu'elle ressent sur ses cornes. Prise de court par son "Je t'aime" si simple et si nécessaire à la fois. Ses yeux s'arrondissent et sa mâchoire tombe mollement. Elle ne peut rien faire d'autre que l'écouter, Trix. Le sentir. Et ressentir tout son corps et son cœur se vider des émotions négatives qui l'écrasaient pour se remplir de nouvelles. Fortes, douces, pétillantes, chaudes et infiniment agréables. Elles s'insinuent en elle depuis ses mains, ses bras, ses épaules, son cou et chacun des endroits où Ahito pose ses lèvres à mesure qu'il parle et lui renverse le cœur. Elle ne sait même pas par quelle force elle tient encore debout, Trixie. Elle ne sait même plus respirer correctement. Sans doute à cause des battements violemment de son cœur et de la chaleur qui se diffuse dans son ventre et ses cuisses. Priant presque pour qu'Ahito arrête avant que. Que quoi ?
Elle le regarde un moment, il a fini. Trixie bat des paupières et le pousse brusquement en arrière. Elle le pousse pour le faire tomber, espérant confusément dans un coin de sa tête qu'elle ne lui a pas fait mal. Mais là, euh, elle s'en fout, en quelque sorte. Elle le fait tomber mais pour mieux tomber avec lui. L'accompagne dans le mouvement et lui grimpe dessus. A califourchon sur ses hanches sans pudeur aucune. Elle l'attrape par la nuque pour le rapprocher d'elle et de ses lèvres. Elle n'a absolument aucune idée de ce qu'elle est en train de foutre, Trix. Elle n'a jamais touché d'homme de cette façon. Elle n'a jamais embrassé personne. Et elle regrette vaguement de ne pas avoir accepté la proposition de ses coéquipières de lui filer un … cours de langue. Histoire de savoir quoi mettre faire quand ça devrait arriver quoi. Mais elle a dit non. Elle voulait, déjà, que ce soit Ahito. Et personne d'autre. Elle reste en suspens, à se demander comment on fait putain ??
Mais Ahito ne lui laisse pas vraiment le temps de réfléchir plus longtemps. Leurs lèvres se rencontrent et Trixie laisse échapper un petit gémissement qu'elle raspire. Dans un bruit franchement plus érotique qu'elle ne l'aurait voulu. Merde. Elle rougit mais ne s'arrête pas. Pousse au contraire contre les lèvres d'Ahito pour réclamer davantage de leurs caresses. Se plaquant contre lui comme si elle voulait faire fusionner leurs êtres. C'est confus, mais c'est passionné. Presque désespéré. Comme si Trixie avait besoin du souffle d'Ahito pour pouvoir respirer. Alors elle dévore ses lippes. Allant même faire glisser le bout de sa langue sur la lèvre supérieure du jeune homme. Putain. Elle pourrait le bouffer.
Et puis elle est secouée d'un bref rire. Ça ressemble presque à un sanglot. Mais c'est bien un rire puisqu'un petit sourire se dessine sur ses lèvres, et qu'une lueur d'amusement arrive à briller à travers ses yeux encore un peu brouillés de larmes. Elle recule un peu et essuie ses yeux. Il a dit. "Comme j'en rêve". Juste avant qu'elle, euh, lui saute dessus. Et l'idée que ce ne soit pas une expression imagée vient de lui traverser l'esprit.
"Manger Trixie ??"
Qu'elle demande presque timidement. En se reculant un peu plus. Gardant une main sur les épaules d'Ahito et l'autre descendant se poser sur son torse. Ou elle sent son cœur battre. Elle oublie un instant ce qu'elle voulait dire, pose à plat sa main sur le cœur du jeune homme pour ressentir ses pulsations qui ont tout de suite un effet apaisant sur elle. Trixie cligne des yeux et revient à ce qu'elle voulait dire.
"Tu as dis ça hier. En dormant sur le canapé. Enfin sur moi, sur le canapé."
Trixie rosit doucement et détourne le regard. Elle repense à la photo envoyée par mégarde, puis tout à fait volontairement. Elle repense à la façon dont elle s'était serrée contre lui dans la mer. A leur câlin sur la bouée. Et à chacun des baisers d'Ahito. Se demande à partir de quand lui, il … Depuis quand il la regarde exactement comme elle a envie qu'il le fasse ? Elle tourne à nouveau son regard vers celui d'Ahito pour s'y plonger. Elle aime tellement ses yeux si doux et accueillants.
"Je me suis dis que t'avais dis ça juste parce que tu avais faim … Mais peut-être pas en fait …"