So much more than what meet the eye (ft. clionestra) [+18!] (en pause)
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Hysy
Lun 23 Jan - 21:08
Le contexte du RP
Mise en situation
La situation Et si la fiction n'en était finalement pas ? Certains le savent, mais pas tous: les créatures existent. Vampire, loup-garous, dragons, sirènes... Elles vivent et existent parmi nous. C'est peut-être le pompier du coin, la boulangère ect... Mais plus étrange encore: chaque être vivant à une âme sœur. Et celle-ci peut parfois réserver de grosse surprise...
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ANAPHORE
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Hysy
Lun 23 Jan - 23:41
Calypso Castillo
J'ai 25 ans et je vis à Miami, US. Dans la vie, je suis Strip-teaseuse et je m'en sors assez bien. Sinon, grâce à ma situation, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. Calypso a perdu sa mère l'année de sa remise de diplôme, elle a donc dû dire adieu à l'université et s'est jeté dans le monde du travail. Elle n'aurait jamais pensé finir strip-teaseuse, surtout avec les problèmes respiratoires qu'elle peut parfois avoir, mais la vie est ainsi. Au final, elle s'est surprise à apprécier le boulot et grâce à sa mèche décoloré naturellement, elle s'est fait un petit look et travaillait sous le pseudo "Cherry". Calypso est quelqu'un qui s'est éloignée des contes que lui racontait sa mère, mais qui essaye d'en garder la joie et la bonne humeur qu'ils peuvent renfermer. Elle est excellente nageuse et avait commencé dans un cadre thérapeutique mais, elle s'est retrouvé à gagner pas mal de compétition au lycée. Elle adore les poissons et à un aquarium chez elle. Elle a déménagé à Miami pour la mer.
Il était une fois, il y a quelques années de cela, une petite fille du nom de Calypso. Comme tous les soirs, sa mère lui racontait une histoire, mais cette histoire-là, elle allait s'en souvenir toute sa vie. En effet, sa mère lui avait raconté l'histoire du royaume d'Atlantis et du roi Uhaina, un royaume de sirène et de coutumes fascinantes. Elle lui avait aussi raconté que le roi était son père et que c'est pour ça qu'elles ne le voyaient pas. La petite Calypso buvait ces paroles et se croyait donc princesse d'un monde de sirènes dont elle avait demandé encore et encore l'histoire à sa maman. Elle avait grandi dans l'amour et la joie, se sentant aimée et spéciale, rêvant secrètement d'aller dans ce fameux royaume. Mais Calypso avait grandi depuis. Sa très chère maman était morte d'une crise cardiaque il y a de cela sept ans et l'illusion de la princesse sirène avait disparu en même temps que l'innocence de la jeunesse et complètement écrasé par le deuil. Elle n'avait gardé que la joie qui en avait résulter mais, d'un côté, en voulait un peu à sa mère de l'avoir racontée une histoire si fantaisiste plutôt que lui dire vraiment qui était son père. Peut-être y avait-il une histoire trop sombre derrière cela et cela expliquait pourquoi sa mère avait voulu se cacher derrière un conte. Calypso retourna au présent, clignant des yeux toujours accoudé au balcon de "La Taverne du Loup", le club dans lequel elle travaillait. La musique, toujours trop forte à son goût malgré l'habitude du travail. C'était l'heure de sa pause et elle s'était mise là pour prendre l'air, mais au final, elle se retrouvait prise en proie à la fumée des fumeurs du club, clients comme employées. Une quinte de toux la saisie. Elle toussa encore et encore. Sa gorge la brûlait et l'envie de vomir la saisit, écœurante. Elle entendit au loin une collègue s'inquiéter mais, elle ne pouvait pas répondre. Elle cherchait de l'air avec difficulté, mais seule la fumée de cigarette lui parvint et ça n'aidait pas vraiment. Elle voulut de s'éloigner du club, continuant de tousser, du sang perlant sur sa main, elle pouvait le sentir. Merde. Merde ! Elle essaya donc de retenir sa toux, mais en vain. L'odeur et le goût métallique du sang lui emplit la bouche et la gorge. Elle accourut jusqu'aux toilettes. Et vomis. Principalement du sang. Elle avait l'habitude des quintes de toux, mais c'était la première fois que c'était si violent ! Merde, avait-elle assez pour payer le médecin ? Il lui faudrait sûrement un spécialiste cette fois vu que son médecin n'avait jamais rien trouver... Ça devait coûter cher... "Oh, veuillez m'excuser Monsieur!" lâcha-t-elle en sortant des toilettes. Trop préoccupée par cette histoire de médecin, elle n'avait pas fait attention. Elle allait s'éloigner de l'homme lorsqu'elle sentit qu'on lui saisit le poignet. Son sang se glaça. Elle aurait beau crier on ne l'entendrait pas avec la musique de toute façon.
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Clionestra
Mar 24 Jan - 14:08
Haakon Drachen
J'ai plus de 1000 ans et je vis à Miami, USA. Dans la vie, je suis un dragon et je m'en sors bien (depuis plus de 1000 ans, j'épargne ... et les dragons sont connus pour cacher des trésors). Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. Fin, jusqu'à ce que je la rencontre. ELLE. → Haakon est un dragon de sang pur. → Il est un prédateur, un danger. → Il venait d'Allemagne au départ. → Il a eu bien des enfants dans sa vie, mais il n'a aucune relation avec eux. → Il semble froid, méchant mais il est surtout triste. Il a été trahi par sa famille dans un clan ennemi, pour le bien de toute la race. → Son meilleur ami, DeAngelo, est un vampire. → Il est un dragon issu d'un dragon de feu et d'un de l'eau. → Il a une cicatrice en forme de main griffu sur le torse, preuve que l'on a essayé de lui arracher le coeur, et parfois elle lui fit mal.
Alyssa tapotait ses doigts fins aux longs ongles contre ses bras croisés. Haakon déterminait à la faire fuir la queue entre les pattes, releva un nouveau sourcil vers la poupée désirable qui était en face de lui. Alyssa avait été une de ses conquêtes, une belle femme aux formes généreuses et à la chevelure de feu. Elle avait le visage fier et un petit nez toujours relevé dans un regard hautain. Sauf au lit. Quand on brûle de désir pour un dragon, on ne peut pas se permettre de se sentir supérieur. Et Haakon n’avait jamais laissé la chance à sa partenaire de le soumettre. Il étira ses lèvres.
- Je n’en ai rien à foutre, dit-il en oubliant politesse, courtoisie, et en rappelant bien à son interlocutrice qu’elle n’était rien.
Il s’était envoyé en l’air avec elle. Il ne pouvait le nier, c’était un fait avéré, et ça avait été sympas. Mais il n’y avait rien de plus. Haakon ne ressentait plus autant de passion pour le plaisir charnel depuis qu’on l’avait trahis. Il ne ressentait plus autant de plaisir à toucher une autre personne, à lui faire plaisir et à se faire plaisir. Coucher avec une autre personne était aussi plaisant pour lui que se faire gratter la tête, rien de plus. Il le faisait parce qu’il avait toujours l’espoir de retrouver une étincelle de désir qui le ferait s’embrasser.
Il était un dragon et il ne pouvait plus prendre feu pour le sexe féminin. Pas plus que le sexe masculin. Son meilleur ami, DeAngelo, lui avait proposé d’essayer les hommes. DeAngelo était aussi férue de femme que pouvait l’être le plus grand des pervers, mais il avait trouvé cette idée en discutant. Haakon lui avait brûlé le visage avant de partir du bar. Bien sûr, DeAngelo va très bien. Il a eu juste mal le temps de trouver une femme sur qui épancher sa soif et deux litres de sang plus tard, il était à nouveau prêt à titiller son meilleur ami dragon.
DeAngelo était un vampire. Alyssa était une fae. Haakon était un rare dragon qui ne faisait pas réellement de distinction de race. Il pouvait parler avec tous, coucher avec tous, et c’est d’ailleurs pour ça qu’il avait pas moins de douze bâtards par le monde, mais peu de personnes pouvaient se vanter d’être dans ses petits papiers. Après sa trahison, il ne restait que DeAngelo. Pour Haakon, tout le monde était mort, et même les nouvelles connaissances n’étaient rien. Ainsi, Alyssa ne l’intéressait pas plus que la crasse sous ses ongles.
- Il faut que tu l’aides ! C’est ton fils ! - Et je n’en ai rien à foutre. - Je ne t’ai jamais rien demander … - Sauf t’envoyer en l’air, le coupa-t-il en sachant que tout le monde prenait son pied avec lui, bien que lui ne ressente plus rien. - Alors aide-le, lui !
Haakon prit la photo d’un jeune garçon qui trainait sur la table. Le gamin, qui devait avoir dans les seize ans, ressemblait à un dragon, à ne pas douter. Il avait le même feu à l’intérieur des yeux, et la même aura de prédateur qui suivait la race des dragons. Sauf que c’était un bâtard et qu’il était né ainsi. Haakon soupira. Un fils. Il avait un fils qui allait se faire tuer, et pour ce que ça pouvait lui faire à lui. Il n’avait jamais voulu avoir d’enfants. Les autres races le veulent pour se protéger, ça fait toujours bien d’avoir un dragon comme protecteur, comme arme de dissuasion, mais Haakon, lui s’en fou.
- J'aime mon fils, dit Alyssa encore une fois en tapotant ses mains manucuré, essayant d’aller par-dessus la peur que lui faisait ressentir le dragon, je l’aime plus que tout au monde. Et on veut lui enlever le droit de vivre parce que je suis une héritière au trône. - Et alors, tu es une princesse, prends le trône, finit par souffler Haakon pour lui donner une solution. - On ne peut pas ! La guerre contre les sirènes va débuter ! Le roi est si… il est si en colère ! On a tué personne, mais il nous met sur le dos la mort de sa dernière princesse ! - Je n’ai jamais couché avec une sirène, ils aiment autant le métissage que les dragons, fit-il remarquer. - Pitié, Haakon. Je t’en supplie. Aides notre fils.
Alyssa finit au sol, devant la table, dans un visage pathétique qu’il ne lui avait jamais connu. Il l’observait alors qu’elle semblait au bord du gouffre. Il ne pouvait pas s’occuper des soucis des faes. Les faes étaient toujours tellement compliqués. Ils ne pouvaient pas obliger les faes à garder « son » fils hors de la guerre contre les sirènes. De plus, étant un bâtard, son fils était plus faible face à l’eau. Il fit un geste et DeAngelo arriva dans la pièce pour relever Alyssa doucement pour l’amener dehors. Le vampire laissa aussi un dossier sur la table avant de lui faire un clin d’œil. Haakon détestait son meilleur ami.
Il était le seul à savoir la vérité sur les sentiments d’Haakon. S’il s’écoutait réellement, profondément, il prendrait tous ses enfants des mains des machinations délirantes de leurs mères pour les protéger et les aimer. Sauf qu’il ne savait plus aimer. Et qu’il savait que ses enfants le trahiraient comme l’avait pu faire ses parents. Il posa une main sur son cœur, là où une cicatrice en forme de main griffue était. On avait essayé de lui arracher le cœur, et Haakon avait parfois l’impression qu’ils avaient réussit …
*
Donc, la solution qu’avait trouvé DeAngelo pour éviter de se mêler de l’histoire des faes était de se mêler de l’histoire des sirènes. Haakon ne se demandait même pas comment il en était venu à cette solution. Il acceptait simplement qu’il était bien plus doué que lui pour tout ce qui était politique. Haakon avait proposé d’aller dans le palais royal pour cramer la gueule à tout le monde… et cela n’a pas été accepté. Dommage.
A la place, il devait faire en sorte de prouver que le frère du roi des sirènes était bien le meurtrier des sept princesses du roi des sirènes. Bien sûr, c’était facile à faire. Pour ça, DeAngelo avait trouvé un moyen de se rendre dans le palais du frère, il ne fallait pas demander comment Haakon ne voulait pas le savoir, et avait trouver plein de choses. Dont la photo d’une humaine qui semblaient obnubilé ce cher trou du cul. Rien de mieux pour commencer que de suivre alors l’humaine.
Haakon pouvait le faire pendant que DeAngelo cherchait des choses dans les quartiers privés des sirènes… Il était presque sûr qu’il avait aussi trouver des sirènes pour ses plaisirs personnelle mais, là encore, Haakon ne voulait pas le savoir. Il avait donc suivi la piste de l’humain, et depuis deux jours maintenant, il observait cette incroyable existence qu’était Calypso. Deux jours où il rentrait dans cette pièce sale, puante, loin de son standing habituel, et en ressortait avec le corps en feu d’un désir qu’il ne savait plus posséder. Il avait envie de cette humaine au point d’en sentir ses reins se réchauffer juste à l’imaginer s’approcher de lui et le caresser. Il était reste assez loin pour ne pas qu’elle le remarque, mais il la couvait d’un regard de prédateur comme il n’en avait plus fait, pour le sexe, depuis des années. S’il ne devait pas découvrir une machination entre prince, roi et reine, il l’aurait pris sur son dos pour lui proposer une activité incroyablement fatigante.
Il était donc, encore, dans le club de strip-tease. Il couva la pièce de son regard en la cherchant, elle. Il ne la trouvait pas. Aucunes autres femmes ne trouvaient grâce à ses yeux. Plusieurs lui avaient proposés des prestations payantes et plus si affinité, mais ils les avaient repoussés. Il n’avait jamais payé pour des faveurs sexuelles, et il ne comptait pas commencer maintenant…. N’est-ce pas ?
Il pencha sa tête en arrière et ferma les yeux, laissant son corps se détendre et utiliser ses sens pour retrouver le sujet de ses désirs. Il la retrouva proche des toilettes et il se leva tout de suite pour la rejoindre dans ce couloir sombre. Il fit un sourire. Il ne pouvait pas faire quoi que ce soit avec l’humaine tant qu’il ne comprenait pas pourquoi elle était importante pour le frère du roi.
Quand il arriva, un homme bourré était en train de lui tenir la main. Elle ne pouvait pas le voir arriver, elle était de dos, mais il sentait qu’elle n’appréciait pas du tout l’attention que l’homme lui porter. Il s’approcha et laissa le dos de la jeune femme se cogner contre son torse. Il attrapa la main de l’homme et utilisa ses flammes pour le brûler « juste à peine ».
- Elle m’a déjà promis une danse privée, dégage.
Il était un dragon. On se soumettait assez facilement à un ordre donner par sa race, surtout un dragon comme lui. Il était un sang-pur, un des rares qui reste encore. Il était fait à partir de deux dragons de haut niveau, un dragon des mers et un dragon du feu. Il était aussi très vieux. Ainsi, quand la plupart des dragons étaient des abominables monstres pour toutes les créatures surnaturelles, lui était le pire d’entre tous. Il n’avait jamais hésité à tuer un village entier pour affermir sa position de monstre. Il était le prédateur, et il baissa les yeux vers la jeune femme. Il faisait deux mètres, elle était plus petite, et malgré tout ce qu’il venait de se passer et de se dire, il avait toujours envie d’elle d’une force qu’il n’avait jamais connu. S’il la tuait, il ne ressentirait plus tout ça, il le savait. Pourtant quand il approcha sa main de son visage, se fit un sourire qu’il fit.
- Alors, ma douce, ai-je le droit à ma danse ? Je te promets un extra si j’aime ce que je vois…
Il ne payait pas pour avoir les faveurs d’une femme, mais qu’il soit maudit s’il ne prenait pas la peine de voir le corps de cette femme dandinait sous lui quand il en a l’occasion.
J'ai 25 ans et je vis à Miami, US. Dans la vie, je suis Strip-teaseuse et je m'en sors assez bien. Sinon, grâce à ma situation, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. Calypso a perdu sa mère l'année de sa remise de diplôme, elle a donc dû dire adieu à l'université et s'est jeté dans le monde du travail. Elle n'aurait jamais pensé finir strip-teaseuse, surtout avec les problèmes respiratoires qu'elle peut parfois avoir, mais la vie est ainsi. Au final, elle s'est surprise à apprécier le boulot et grâce à sa mèche décoloré naturellement, elle s'est fait un petit look et travaillait sous le pseudo "Cherry". Calypso est quelqu'un qui s'est éloignée des contes que lui racontait sa mère, mais qui essaye d'en garder la joie et la bonne humeur qu'ils peuvent renfermer. Elle est excellente nageuse et avait commencé dans un cadre thérapeutique mais, elle s'est retrouvé à gagner pas mal de compétition au lycée. Elle adore les poissons et à un aquarium chez elle. Elle a déménagé à Miami pour la mer.
/!\ Nudité, sexualité /!\
musique:
https://youtu.be/zFyQ3jSdpI0
Calypso était bien loin de ces histoires de fae, sirènes et dragon. Elle vivait comme une gentille petite humaine bien ignorante. Pourtant, les deux mondes se rencontrèrent à l'instant où le dos de la jeune femme entra en contact avec un torse musclé et surtout... imposant. Pour voir l'homme derrière elle, Calypso n'eut pas à se retourner, mais à lever la tête. Même avec ses talons hauts, elle restait petite, ridiculement petite, peinant dans son mètre soixante, pour être honnête. L'homme, au contraire, lui semblait géant. Digne d'un basketteur. Il devait faire au moins deux mètres ! Il se débarrassa de l'inconnu bourré avec une facilité déconcertante. Il avait le charisme, la prestance et notamment... une aura prédatrice impossible à nier si bien que la petite Calypso se demanda un instant si elle avait vraiment gagné au change. Mais au fond de ce regard de braise si intimidant, se cachait une petite étincelle. Et son sourire la cloua sur place. Alors que la main du nouvel inconnu approcha de son visage, elle sentit une douce chaleur réconfortante, et elle avait beau avoir toutes les raisons du monde de fuir, elle ne le fit pas. Elle saisit même le dos de la main de cet homme pour la poser sur sa joue. L'aura prédatrice était toujours là, mais, elle se sentait protéger par elle et non menacé. Après tout, ne venait-il pas de la secourir ? Certes il était également en train de lui demander une récompense en échange, mais vu l'endroit, la jeune femme n'était pas offusquée. Cependant, la question demeurait. Allait-elle offrir un show privé ? Elle avisa du coin de l'œil le fond de la salle. Des rideaux noirs se faisaient voir. Ils séparaient la salle principale des petits salons privés. Ce serrait mentir de dire qu'elle n'avait jamais offert ce genre de prestations, néanmoins, elle évitait la plupart du temps. Être sur scène est une chose, mais un face à un face... C'était beaucoup plus intimiste, sans parler de la possibilité qu'elle doive se déshabiller entièrement... Elle déglutit. Il avait aussi parlé d'extra. Et Calypso était curieuse... Et un jour sa curiosité la perdra ! "Un show privé, hein ? susurra-t-elle, le cou tendu vers lui, la poitrine en avant et sa main à lui sur sa joue. "Ma foi tous les héros méritent récompense... " Elle saisit à nouveau la main de son client, elle était toujours aussi chaude, et l'attira vers l'un des rideaux noirs, qu'elle écarta d'une main avant de faire asseoir l'homme sur la banquette. La pièce était circulaire avec une banquette rouge qui en faisait le tour. Le mobilier se composait uniquement d'une table scindée en deux par une barre de pole dance. Calypso ne savait pas vraiment en faire, mais elle avait apprit à s'en servir comme accessoire par ses collègues. La chaleur de la pièce mêlée à l'anxiété l'étouffa. "Je vous laisse réfléchir à ce que vous voulez..." Je pointai délicatement, mais efficacement le pot à pourboire qui me ferai évaluer jusqu'où j'irai. "Je reviens de suite..." Achevais-je mielleusement avant de lui envoyer un baiser suivi d'un clin d'œil malicieux. Une fois hors de portée de vue de celui qu'elle charmait, elle courut, aussi vite que ses talons la portait, vers de l'eau et commanda deux verres d'eau qu'elle vida tel un shot. Elle soupira longuement. Son cœur battait la chamade. Mais la scène l'attendait. Et peu importe laquelle, on ne faisait pas attendre la scène ! Elle remercia chaleureusement sa collègue et retourna derrière les rideaux. Le pot était généreusement rempli, du moins c'est ce qui lui semblait. Elle sentit son cœur cogner contre sa poitrine. Elle devrait tout donner. Elle s'approcha de son client, les deux jambes de part et d'autres des siennes, la poitrine penchée à hauteur et proximité de son visage pour murmurer: "Ce soir, appelez-moi Cherry..." Et elle déposa un long baiser sur sa joue qui laissa une trace de rouge à lèvre rouge cerise, justement. Puis, elle donna un léger coup de langue taquin à cette joue avant se redresser et faire volte face pour changer la musique. La musique démarra et elle se déhancha. La chorégraphie s'enchaina tandis que calypso se laissa aller au rythme de la musique. Sa veste partie atterrie à côté du riche client. La scène avait des allures d'un remix de cinquante nuances de Grey. Quelques instants plus tard et un lever de jambe lui suffirent à se débarrasser de son short, dévoilant des bas résilles et un string noir provocant. Elle joua ensuite un peu avec la barre avant de se débarrasser de son croc top. Elle descendit de la table et saisit les mains de l'homme pour les poser sur son corps alors qu'elle dansait suggestivement. En réalité, elle s'offrait une pause... Elle était toujours nerveuse. Mais elle ne pouvait pas se faire rattraper par la musique. De ce fait, elle défit le haut sans réfléchir, puis toujours en rythme et jamais trop vite, son bas résille. Il lui restait désormais très peu de protection devant son spectateur. Un frisson l'a parcouru. Il avait les mains si chaudes, c'était si agréable ! Mais, elle défit quand même de l'étreinte et retourna malgré tout sur la table. La fin de la musique approchait et elle osa retirer les derniers morceaux de tissus aussi sensuellement que prévu bien que le regard de braise de l'homme lui donnait une pression et... un désir qu'elle n'avait jamais connu jusqu'alors. La musique s'acheva. Seul demeurait sur elle ses fidèles talons aiguilles. Elle respirait pas à-coup, le plus discrètement possible. Elle avait le rouge aux joues et elle tremblait légèrement. Mais ce n'était pas qu'à cause de la danse. Oh, non. Elle désirait cet espèce de sosie de Christian Grey qui se trouvait devant elle. Et le fait d'être ainsi exposé aidait pas. Pouvait-il lire l'excitation sur son corps ? Elle, oui. De sa difficulté à respirer aux palpitations qui secouaient son intimité exposée.
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Clionestra
Sam 28 Jan - 22:38
Haakon Drachen
J'ai plus de 1000 ans et je vis à Miami, USA. Dans la vie, je suis un dragon et je m'en sors bien (depuis plus de 1000 ans, j'épargne ... et les dragons sont connus pour cacher des trésors). Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. Fin, jusqu'à ce que je la rencontre. ELLE. → Haakon est un dragon de sang pur. → Il est un prédateur, un danger. → Il venait d'Allemagne au départ. → Il a eu bien des enfants dans sa vie, mais il n'a aucune relation avec eux. → Il semble froid, méchant mais il est surtout triste. Il a été trahi par sa famille dans un clan ennemi, pour le bien de toute la race. → Son meilleur ami, DeAngelo, est un vampire. → Il est un dragon issu d'un dragon de feu et d'un de l'eau. → Il a une cicatrice en forme de main griffu sur le torse, preuve que l'on a essayé de lui arracher le coeur, et parfois elle lui fit mal.
Il avait envie de la toucher. C’était tellement douloureux d’être proche de cette femme. Le frère de Triton devait vouloir cette humaine pour ça… pour l’espèce de magie étrange qui semblait émaner d’elle. Elle l’enchantait. Elle le rendait … chaud. Il avait bien sûr les mains toujours chaudes, le corps toujours en brasier. Il était un dragon, non de nom. Mais il avait aussi l’impression qu’une chaleur différente coulait dans ses veines quand elle était en train de le regarder. Elle avait quelque chose qui lui faisait se demander … en réalité, il ne savait même pas ce qu’il devait se demander. Pourquoi ? Peut-être. Mais, même là, assis sur le canapé qu’elle lui avait montré, il se disait que la question n’était pas assez puissante pour exprimer ses pensées. Il avisa un regard vers le bocal où le pourboire devait être mis. Il prit son portefeuille et vida tout simplement tous les billets qu’il y avait à l’intérieur.
Il ne savait pas réellement combien il avait mis, mais il se doutait que c’était bien plus que ce qu’on donnait d’ordinaire. Il ne pouvait pas mettre plus en billet, et il n’avait pas sur lui de diamant, ni d’or, ni de saphir. Il observait la direction que la jeune femme avait pris. Il avait envie de couvrir la jeune femme de saphir. Cela lui irait tellement bien. Il pourrait … Il se figea en enfonçant les billets dans le bocal. Il ne payait jamais pour des faveurs… encore moins sexuelles. Il n’avait pas besoin. Il se renfrogna sur son canapé et attendit la jeune femme en croisant les bras. Merde. Il devait la surveiller de loin, pas lui demander une danse. Il eut le feu aux reins en pensant aux déhanchées de la jeune femme. Il avait envie de la toucher au point que c’était douloureux.
Il ne la touchera pas, se sentait-il obligé de se convaincre. Il ne poserait pas le moindre doigt sur elle. Il ne la caresserait pas. Ne l’embrasserait pas. Ne lui ferait pas l’amour. Elle était un putain d’outil pour protéger son fils, et elle ne pouvait pas en être autrement. Il grogna en posant un regard sur sa propre main, celle qui avait délicatement caresser la jeune femme un instant plus tôt. Elle était douce, elle était chaude, elle était … vibrante, vivifiante. Si le frère du roi ne la voulait pas pour une histoire politique, il ne serait pas étonné qu’il soit perdu dans son envie de la faire crier de plaisir. Il grogna à nouveau.
Il. Ne. La. Touchera. Pas.
Quand il arriva, ses pensées se perdirent dans la délectation des formes de la jeune femme. Elle était là. Elle était désirable. Et elle semblait ressentir de l’attraction pour lui. Ce n’était pas nouveau, qu’il attire des proies par un magnétisme étrange, mais c’était bien la première fois qu’il avait envie que cela soit plus fort encore. Quand elle revient pour se mettre sur lui, il s’étonna qu’il ne soit pas déjà excité. Malgré son calme apparent, il était enfoncé dans le canapé, les bras croisés, il savait que la jeune femme lui donnait des envies peu orthodoxes… Il la laissa commencer la danse.
Il essayait de respirer … Il essayait vraiment de respirer et de regarder en même temps … mais il lui semblait impossible qu’elle ne prenne pas feu au vue du regard qu’il lançait vers la danseuse. Il était impatient, incroyablement impatient. Chaque fois qu’un tissu partait de sur son corps, il se sentait obligé de suivre les mouvements de la jeune femme. Chaque fois qu’elle se mouvait au rythme de la musique, il pouvait voir ses muscles, ses veines, et lui se tendait un peu plus. Quand elle dansait, loin de lui, il pouvait regarder. La luminosité était suffisante pour voir le corps de la jeune femme et Haakon se dit qu’il n’aimerait jamais lui faire l’amour dans le noir. Il voulait la voir. Il voulait la regarder.
Quand elle s’approcha, elle, inconsciente certainement des scénarios tout plus pervers les uns que les autres, qu’il avait dans son esprit, et lui mit les mains sur son corps, il se sentit se tendre… Là. Elle pourrait le voir. Elle pourrait le sentir. Et elle ignorait alors que c’était la première fois qu’il bandait devant le corps magnifique d’une jeune femme sans l’avoir toucher avant complètement. Il aimait le sexe comme se faire gratter la tête, et il appréciait ce moment délicieux où il soumettait sa partenaire à son propre désir et qu’il gagnait la partie. Le sexe était, pour lui, un combat qu’il gagnait quand sa partenaire avait joui… et pourtant là, il se disait qu’il ne pourrait arrêter de la toucher, s’il s’y mettait, que lorsque son propre désir sera pleinement assouvie. Qu’importe comment.
Elle finit nue, dans sa tenue d’Eve, devant lui, et il déglutit péniblement. Ouais. Qu’importe la raison pour laquelle l’autre connard la voulait, il ne pouvait pas l’imaginer ailleurs que dans son lit. C’était cette pulsion qui le fit regarder la jeune femme dans une lenteur et un silence bienvenu.
Il posa un regard sur ses mains délicates, sur ses bras, ses épaules, son coup, sa tête, ses yeux, puis redescendant vers sa poitrine, son ventre, son entrejambe, ses hanches, ses jambes et ses … Il grogna sans même sans rendre compte. Doucement, il s’approcha sans un mot, obligea la jeune femme à se reculer pour avoir ses fesses sur la table qui lui avait servi de scène. Il s’approcha en la couvant toujours de ce regard enflammé. Oh, il pouvait sentir son excitation, mais rien n’était comparable à la sienne.
Il était un dragon qui n’avait pas connu de véritable excitation depuis près de sept cents ans… La jeune femme était inconsciente de cela, bien sûr. Mais il ne pouvait pas repousser. Son vœu de ne pas la toucher avait volé en éclat quand ELLE l’avait fait la toucher. Plus exactement, ce vœu avait volé en éclat quand elle avait léché sa joue, donnant envie à ce cher dragon de se faire lécher partout ailleurs.
Il se baissa, s’accroupit en face d’elle dans une délicatesse que sa taille ne lui permettait que rarement, et doucement il prit le pied de la jeune femme, encore coincé dans ses chaussures.
- J’ai payé pour le tout, dit-il d’une voix rauque et sans appel.
Il n’avait pas envie de payer pour ça. Il voulait qu’elle s’offre à lui dans un abandon de soi complet. Il prit la fermeture éclaire de la botte d’une main et commença à la descendre en même temps de lui enlever les bottes. Dans une pulsion qu’il ne contrôlait pas, il finit par embrasser la peau qui se découvrait ensuite en se faisant. Il passait sa main sur sa peau et continua à l’embrasser jusqu’à arriver à ses orteils qui eurent, eux aussi, le droit à leur bisou. Il remonta les yeux vers la jeune femme alors que son autre main attrapa son autre jambe.
- M’autorises-tu à continuer ? demanda-t-il alors d'un coup.
Si la jeune femme ne voulait pas, il arrêterait. Il savait ce qu’il était. Il avait clairement conscience d’être un monstre parmi les humains. Il savait son apparence, autant que son aura. Il savait que même ainsi, prostré entre les jambes de la jeune femme, il émanait toujours de lui ce qu’il était. Un prédateur. Un tueur. Un monstre. Et la jeune femme devait pouvoir reprendre son souffle avant de lui répondre. Il ne voulait pas que son silence soit dû à la peur mais à l’envie. Il lui fallait vérifier cela. Il voulait tellement pouvoir remonter ensuite ses lèvres le long de ses jambes pour caresser ce corps si fascinant.
Il ne la laisserait pas aux sirènes. Plutôt mourir. Et il devrait certainement une bouteille de vin à Alyssa pour lui avoir permit de rencontrer une pareille créature. Et des chocolats. Et peut-être de l’aide pour sauver leur fils. C’était encore à débattre.
J'ai 25 ans et je vis à Miami, US. Dans la vie, je suis Strip-teaseuse et je m'en sors assez bien. Sinon, grâce à ma situation, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. Calypso a perdu sa mère l'année de sa remise de diplôme, elle a donc dû dire adieu à l'université et s'est jeté dans le monde du travail. Elle n'aurait jamais pensé finir strip-teaseuse, surtout avec les problèmes respiratoires qu'elle peut parfois avoir, mais la vie est ainsi. Au final, elle s'est surprise à apprécier le boulot et grâce à sa mèche décoloré naturellement, elle s'est fait un petit look et travaillait sous le pseudo "Cherry". Calypso est quelqu'un qui s'est éloignée des contes que lui racontait sa mère, mais qui essaye d'en garder la joie et la bonne humeur qu'ils peuvent renfermer. Elle est excellente nageuse et avait commencé dans un cadre thérapeutique mais, elle s'est retrouvé à gagner pas mal de compétition au lycée. Elle adore les poissons et à un aquarium chez elle. Elle a déménagé à Miami pour la mer.
Elle n'allait pas mentir, elle se sentait vulnérable. Nue, excitée sans vraiment comprendre pourquoi, enfin oui et non, comme si elle se trouvait dans un flou gaussien, elle continuait de respirer par à-coup. Le regard de braise de son client n'aidait pas d'autant plus qu'il était assis les bras croisés, il dégageait une aura d'autorité absolue. Aussi, quand il se mit à grogner de mécontentement et à avancer vers elle, elle ne comprit pas tout de suite. Elle reculait docilement. Elle n'avait pas peur, curieusement, Elle était naturellement persuadée qu'il ne lui ferait pas de mal, mais, elle et son mètre soixante en talons préféraient ne pas faire de confrontation directe, question de bon sens. Elle se retrouva donc, sans réellement comprendre assise sur la table. Le contact de la surface froide sur sa peau bouillante la fit frissonner des pieds à la tête. Calypso se mordit la tête en baissant la tête, soumise. De toute façon, elle n'avait plus moyen de fuite. Sa respiration se coupa. Il saisit son pied et déclara avoir payer pour le tout. Elle se risqua un coup d'œil vers l'homme. Il était là... entre ses jambes. Un frisson d'excitation la parcourut et elle sentit son intimité se contracter à nouveau. Le teint de la jeune femme tourna au rouge cerise, tel son pseudonyme. Elle avait l'impression de puer le sexe et le désir. Elle avait l'impression que son corps criait "prends-moi" et bien qu'elle soit loin de la jeune vierge effarouchée, elle n'en restait pas moins gênée. Elle n'était pas du genre au coup d'un soir. Elle se laissa faire tandis qu'il embrassait sa peau en même temps qu'il embrassait sa peau et retirait sa chaussure. Cendrillon version adulte. Elle n'aurait jamais pensé qu'on puisse porter autant d'attention à son corps. Il était si délicat et gentleman malgré les apparences. Soudain, l'attention cessa. Laissant place à une question qui laissa la jeune stripteaseuse autant dans le flou que son désir. Il lui demandait la permission. De retirer sa chaussure gauche ? De faire plus ? Un silence se fit où l'on entendait plus que la respiration lourde de désir de l'humaine. Son cerveau analysait la situation à toute vitesse. Et puis finalement, elle se dit merde et décida de tout lâcher. Elle avait envie de ce géant en face d'elle et ne pouvait le nier. Elle était aussi curieuse - n'avais-je pas dit plus tôt que cela la perdrait ? Faites-vous plaisir... je suis d'accord... néanmoins si vous souhaitez vraiment aller plus loin, je préférais ne pas faire ça ici... Je finis mon service dans trente minutes. Elle avait minaudé ça à son oreille telle une sirène chantant à sa prochaine victime dans l'espoir de l'hypnotiser... Elle s'était relevée pour être quasiment contre lui et passait désormais une main dans ses cheveux, toujours charmeuse. Mais tandis qu'elle continuait de charmer l'homme devant elle, quelque chose attira son regard. Était-ce un effet de lumière ou bien…? Encore une fois attirée par sa curiosité -vilaine, vilaine... Elle se hissa pour observer de plus près les cheveux du bel inconnu. "Oh mais... vous aussi, vous avez une mèche blonde décolorée!" Elle pointa la sienne avec un sourire complice puis s'excusa de sa potentielle impolitesse... sans réaliser qu'elle avait fait bien plus qu'être trop curieuse.
J'ai 25 ans et je vis à Miami, US. Dans la vie, je suis Strip-teaseuse et je m'en sors assez bien. Sinon, grâce à ma situation, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. Calypso a perdu sa mère l'année de sa remise de diplôme, elle a donc dû dire adieu à l'université et s'est jeté dans le monde du travail. Elle n'aurait jamais pensé finir strip-teaseuse, surtout avec les problèmes respiratoires qu'elle peut parfois avoir, mais la vie est ainsi. Au final, elle s'est surprise à apprécier le boulot et grâce à sa mèche décoloré naturellement, elle s'est fait un petit look et travaillait sous le pseudo "Cherry". Calypso est quelqu'un qui s'est éloignée des contes que lui racontait sa mère, mais qui essaye d'en garder la joie et la bonne humeur qu'ils peuvent renfermer. Elle est excellente nageuse et avait commencé dans un cadre thérapeutique mais, elle s'est retrouvé à gagner pas mal de compétition au lycée. Elle adore les poissons et à un aquarium chez elle. Elle a déménagé à Miami pour la mer.
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Un léger cri de surprise lui échappa tandis qu'elle se faisait soulever par son partenaire. Elle pouvait sentir ses mains sur ses fesses, elles étaient bouillantes sur sa peau déjà moite. Elle se délecta de sentir son torse contre sa poitrine et en jouait, voulant le chauffer plus en faisant bien sentir cette dernière contre lui. Le baiser qui s'ensuivit lui donna l'impression de se faire dévorer par une puissante créature. Il était puissant et remplit de désir, cela lui donna des frissons et elle en fut secouée. Il la fit ensuite s'assoir sur le canapé, réclamant d'une voix pleine de désir, et aussitôt, elle s'exécuta: ses mains passèrent sous la chemise de son amant du moment. Ses ongles se plantèrent dans son torse, laissant des sillons rouge vif sur la peau. Calypso marquait son territoire, en un sens, et, ça lui plaisait. Sentir l'excitation de l'homme en face d'elle la rendait tout de suite joueuse, plus sauvage, prête à jouer. Lorsqu'il parla de la "prochaine fois", elle sentit la flamme en elle brûler et lui mordit la lèvre supérieure avec passion en guise de réponse. Il s'occupa ensuite de sa poitrine et la jeune femme et elle se sentit brûler tandis qu'elle se cambrait et que la pièce s'emplissait de ses gémissements. Elle s'agrippa à lui, les mains dans ses cheveux, tirant légèrement ce qu'elles y trouvaient. "Oh Haakon..." gémit-elle dans son oreille. Elle n'avait pas compris ce qu'il voulait exactement, car il n'avait pas été clair, avouons-le. Mais la jeune femme avait une certaine expérience avec les hommes. Elle glissa ses mains dans son dos et entamait un massage sensuel et délicat. Le détendre. Faire monter son désir. Voilà l'objectif. Elle espérait réussir. Mais elle se sentit incapable de continuer son petit massage improvisé lorsqu'il se mit à prendre soin d'elle. Son intimité s'éveilla et s'exprima tandis que les gémissements s'installèrent définitivement dans la pièce. C'était définitif: ça puait le sexe. Mais, alors qu'elle s'apprêtait à atteindre le septième ciel, elle se prit une douche froide. Elle ne lui avait donné son nom. Elle lui avait donné son pseudo, Cherry. Pourquoi venait-il de prononcer son prénom ? Elle s'écarta du mieux qu'elle a pu du dénommer Haakon, c'est-à-dire très peu. Le plaisir venait de retomber. Pour la première fois en présence de l'homme, elle avait peur. "Comment connais-tu mon nom ? Qui es-tu ?" Sa voix tremblait. Venait-elle de tomber sur un des fameux type fanatique qui prenait les femmes pour des proies ? Elle rampa à l'opposée du canapé, récupérant ses vêtements au passage, les enfilant à la va vite. Elle tremblait tant qu'elle du s'y reprendre à plusieurs reprises. Elle fixait désormais l'homme avait des grands yeux ronds telle une biche fixant les mouvements suspects d'un loup pour savoir quand bondir. Elle n'osait pas se lever. Elle n'était pas sûre que son prédateur la laisse partir, de toute façon. L'ambiance avait changé du tout au tout. De la chaleur et l'odeur âpre du sexe, on était à présent sur la froideur piquante de la peur tandis que la jeune femme restait tremblante les bras croisée à l'autre bout du canapé, semi-habillée, ses cheveux en bataille, la mèche décoloré devant les yeux.
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Clionestra
Dim 12 Fév - 18:16
Haakon Drachen
J'ai plus de 1000 ans et je vis à Miami, USA. Dans la vie, je suis un dragon et je m'en sors bien (depuis plus de 1000 ans, j'épargne ... et les dragons sont connus pour cacher des trésors). Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. Fin, jusqu'à ce que je la rencontre. ELLE. → Haakon est un dragon de sang pur. → Il est un prédateur, un danger. → Il venait d'Allemagne au départ. → Il a eu bien des enfants dans sa vie, mais il n'a aucune relation avec eux. → Il semble froid, méchant mais il est surtout triste. Il a été trahi par sa famille dans un clan ennemi, pour le bien de toute la race. → Son meilleur ami, DeAngelo, est un vampire. → Il est un dragon issu d'un dragon de feu et d'un de l'eau. → Il a une cicatrice en forme de main griffu sur le torse, preuve que l'on a essayé de lui arracher le coeur, et parfois elle lui fit mal.
Un moment de grâce, se disait-il en observant les mouvements de la jeune femme. Elle était la perfection. De loin, en l’observant, il avait déjà ressenti cet étrange sentiment de perfection. Maintenant qu’il avait le visage de la jeune femme à quelques millimètres, si ce n’est moins, de lui, il se fit la réflexion qu’elle était la perfection, même ainsi. Elle était belle. Chaque tâche sur son visage, chaque ombre, chaque cils, chaque reflet grâce à la lumière caressait ce visage doucement et donner l’impression de perfection. Il n’y avait rien sur elle qui ne soit éloigné de ce que rêverait un homme. Haakon se demandait vraiment comment personne n’avait pu prendre cette femme sur son dos pour l’enfermer dans une tour et pouvoir en disposer selon son bon vouloir. Les humains avaient des règles contre ça … Il paraîtrait qu’enfermer une concubine dans une tour, ça ne se faisait pas … et puis, après tout, pourquoi pas ? Il n’était pas un humain, loin de là, et il avait besoin de la protéger. Il lui fallait l’embrasser et la caresser, la laisser parcourir son corps de baiser. Haakon la regardait. Il en avait besoin.
Cette femme lui mettait la tête à l’envers. La preuve ? Il venait de dire son prénom sans même s’en rendre compte, trop prit qu’il était dans la fièvre de son envie. Il se sentit alors froid. Il se sentit alors frigorifié alors même qu’il était un dragon hybride de feu et d’eau. Il sentait non pas la douche froide mais la peur écœurante qu’il était en train de lui faire ressentir.
S’il avait été sous sa véritable forme, il aurait craché des flammes de frustration en allant écraser un village ou deux. Cette époque lui manquait un peu, devait-il avouer, et il tourna la tête pour voir la distance qu’elle avait prise avec lui. Première erreur face à un prédateur : La fuite. Deuxième erreur face à un prédateur : puait la peur. Troisième erreur face à un prédateur : laisser ce dernier en plein frustration alors qu’il sentait encore le désir de la jeune femme sur ses doigts.
Elle avait fait les trois erreurs sans même se rendre compte de ça. Ses yeux, qui d’ordinaire pouvaient passer pour des yeux humains, s’illumina. Un rouge et un bleu, et les deux fendus comme les pupilles d’un chat au soleil. C’était pour ce genre de réaction qu’il évitait les frustrations. La jeune femme avait eu du mal à se rhabiller et il ne pensait qu’à brûler tous les tissus pour qu’elle revienne contre lui et finisse par crier son nom. Il lui attrapa une jambe et avant d’avoir pur répondre la fit glisser jusqu’à lui pour lui monter dessus. Elle ne pourrait pas lui échapper. Sa proie ne pourrait jamais lui échapper. Il ne la laisserait pas. L’imaginer dans un lit de satin et d’or, voilà sa place. Des émeraudes comme menotte, pour se menotter à elle et d’autres idées toujours onéreuses et pas à chaque fois perverses.
Il regardait ses yeux apeurés. Il sentait la peur. Il entendait les battements de son cœur et doucement, il posa sa tête contre son épaule en soupirant. Il avait envie de la faire sienne au point où il en avait mal. Il tremblait lui aussi, de tout son corps, alors qu’il releva ses yeux maintenant vairons vers elle. Il savait ce qu’elle pouvait voir, et il s’en fichait. Si les humains ne devaient pas connaître l’existence des monstres, il ne pouvait pas le cacher à Calypso.
- Je suis là pour te protéger, fit-il les dents serrés alors que malgré lui il prit les lèvres de la jeune femme pour un baiser forcé.
Il avait besoin qu’elle ressente qu’il ne lui ferait jamais de mal. Qu’il voulait lui faire tout l’inverse en réalité. Il voulait, et allait, lui faire beaucoup beaucoup de bien. Alors qu’il allait parler à nouveau, son téléphone sonna. C’était un glas d’église annonçant la mort. Il était toujours au-dessus d’elle et fit à peine un geste pour atteindre son téléphone. Il l’ouvrit et ne dit rien alors que la voix de DeAngelo se fit entendre.
- Ils sont là. Je les tue ? demanda le vampire inconscient de la situation. - Non. Je la ramène avec moi. - Tu vas … elle est consentante ? demanda DeAngelo. - Non. Pas pour le moment.
Il raccrocha et mit son nez contre le nez de Calypso. Il observait la mèche qui était contre le visage de la jeune femme et la repoussa doucement d’une main alors que ses yeux n’avaient pas changer.
- Calypso, mon ange, je vais te ramener chez moi.
Et avant qu’elle ne puisse dire quoi que ce soit, il s’était relevé, l’avait tiré par l’épaule et enrouler dans sa veste bien trop grande pour elle, mais qui permettrait de même y cacher les pieds. Il regarda le pot plein d’argent… Vue qu’il comptait la couvrir d’or cette peccadille dans le bocal ne lui servirait à rien, mais il avait compris qu’elle avait une fierté incroyable et prit le pot pour lui mettre dans ses mains. Maintenant, il savait qu’il pourrait traverser la salle sans qu’on l’arrête s’il le voulait, mais il voulait attendre de savoir si la jeune femme allait être coopérative pour son enlèvement ou s’il allait devoir le faire avec subtilité…. Après tout, il pouvait l’embrasser jusqu’à ce qu’elle en perde la respiration et qu’elle ne tombe dans les pommes. Avant qu’il n’ait pu réfléchir à ça, une flèche, ressemblant plus à un harpon, traversa la pièce. Il s’était baissé à temps pour éviter de se la prendre en pleine tête. Il grogna et décida qu’il n’avait pas le temps. Prise en princesse, il sortit et envoya une boule de feu dans le couloir pour traverser les vestiaires et se rendre dans la rue. Dehors, il pourra les cramer sans risquer la vie de tout le monde … Et il pourra aussi amener sa princesse en sureté dans sa tour garder par un dragon. Il traversa le couloir mais se tourna à peine pour protéger la jeune femme d'un nouveau harpon qui traversa son bras. Il grogna. Pas le temps de l'enlever, il devait sortir de là....
J'ai 25 ans et je vis à Miami, US. Dans la vie, je suis Strip-teaseuse et je m'en sors assez bien. Sinon, grâce à ma situation, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. Calypso a perdu sa mère l'année de sa remise de diplôme, elle a donc dû dire adieu à l'université et s'est jeté dans le monde du travail. Elle n'aurait jamais pensé finir strip-teaseuse, surtout avec les problèmes respiratoires qu'elle peut parfois avoir, mais la vie est ainsi. Au final, elle s'est surprise à apprécier le boulot et grâce à sa mèche décoloré naturellement, elle s'est fait un petit look et travaillait sous le pseudo "Cherry". Calypso est quelqu'un qui s'est éloignée des contes que lui racontait sa mère, mais qui essaye d'en garder la joie et la bonne humeur qu'ils peuvent renfermer. Elle est excellente nageuse et avait commencé dans un cadre thérapeutique mais, elle s'est retrouvé à gagner pas mal de compétition au lycée. Elle adore les poissons et à un aquarium chez elle. Elle a déménagé à Miami pour la mer.
Toudoum, toudoum, toudoum...
Calypso sentait son cœur s'affoler contre sa poitrine. Proie acculée, proie délicieuse. Tout se passa ensuite assez vite: Haakon l'attrapa par la jambe, lui arrachant un cri tandis qu'il la faisait glisser sous lui, puis, sa vision du monde changea à tout jamais et sans retour possible. Devant ses propres yeux, elle remarqua à quel point ceux de l'homme étaient désormais différents: d'un vairon fantaisiste, l'un bleu océan et l'autre rouge de feu alors que la pupille lui rappelait celle d'un félin ou d'un reptile, elle était trop confuse pour départager. Hypnotisée, elle ne pouvait se défaire de ce regard venu d'un autre monde, jusqu'à ce qu'il pose sa tête contre elle. Que se passait-il ? La peur pouvait-elle faire voir des choses ? Cela ne pouvait être réel. Les échos lointains du conte de sa mère lui parvinrent. Non, ça non plus, ça ne pouvait être réel. Elle tremblait de plus en plus, que ce soit la peur ou le froid. Mais il n'y avait plus de marche arrière sur le chemin qu'elle venait d'emprunter malgré elle. Lorsque que son mystérieux client releva la tête, l'anormalité de ses yeux n'avait pas disparu. Et Calypso du se rendre à l'évidence: c'était réel. Et cela lui coupa le souffle autant que le baiser surprise qu'il déposa sur ses lèvres après avoir déclarer être là pour la protéger. Ce baiser avait le goût de l'évidence. Et on ne lutte pas contre l'évidence, selon la jeune femme. C'est pour cela qu'elle accepta ce baiser malgré les circonstances. Il la rendait folle. Il était trop pour être vrai. Trop beau. Trop charismatique. Trop attirant. Trop mystérieux. Il sortait d'un monde inconnu de Calypso et elle le sentait bien. Et alors que le baiser prit fin, un milliard de questions demeuraient sur ses lèvres. Mais elle n'a pu poser aucune d'entre elle, une sonnerie funeste l'interrompit. Elle le vit sortir un téléphone et répondre. Comme ils étaient encore collés l'un à l'autre elle entendit tout. Qui sont interlocuteur parlait de tuer comme si c'était normal ? Et comment ça Haakon comptait l'emmener ? Son cœur cogna de nouveau contre sa poitrine tandis que son teint perdait en couleur. Elle avait comprit désormais que l'homme venait d'un univers différent du sien et elle ne voulait pas en faire partie ! Un monde de kidnappeur et de tueur ? Peut-être était-ce un mafieux ! Oui, c'est ça ! Et ces yeux chelous seraient des implants ! Cependant, visiblement, le pseudo mafieux n'attendait aucune résistance de sa part et après un moment qui se voulait tendre il l'embarqua dans sa veste bien trop grande pour la pauvre petite Calypso déconcertée et effrayée. Elle voulut protester, vraiment, je vous l'assure. Mais une arme étrange qui se planta derrière eux seulement parce que l'homme l'avait esquivé, l'en empêcha. C'est à ce moment que le corps et le cerveau de la jeune femme lâchèrent. État de choc. Elle n'était pas inconsciente, mais c'était tout comme. Elle devint un poids mort dans les bras du géant qui la portait et tout lui passa devant comme s'il s'agissait d'un film: les boules de feu, le harpon dans le bras de son kidnappeur, les êtres aquatiques semblables à des sirènes rampant sur terre... et le fait qu'elle semblait pouvoir comprendre leur étrange dialecte. Non réellement, son cerveau était incapable de comprendre la situation. Elle ferma les yeux.
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