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LE TEMPS D'UN RP

"Il n'y a pas de hasards, que des rendez-vous" [ft Charly]

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Jeu 11 Aoû - 17:38
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis veuf et je le vis plutôt bien parce que je réapprend à vivre.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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Mac avait raison. Il était toujours de bons conseils quand il s'agissait de l'existence des autres, mais il se montrait moins enthousiaste quand ça le concernait directement... La vie lui avait pris brutalement son épouse, maintenant il arrivait trop tard pour Donna. Il n'était pas certain de pouvoir supporter une autre épreuve de la vie concernant sa vie sentimentale. Il fallait croire que c'était le prix à payer pour réussir sa vie professionnelle. Ce n'était pas possible d'avoir toutes les cartes en une seule main. Pourtant, Mac ne voulait pas qu'il baisse les bras et cela le fit sourire avec douceur " Je ne suis pas certain de le vouloir Mac. Je n'ai pas envie que la vie me l'ôte une fois encore. Je ne parle pas de décès, mais qu'elle finisse par être lassée de moi, ou qu'elle trouve un meilleur parti ailleurs" comme cela avait été le cas de Donna avec Edward. Il prit une cuillère de glace à son tour avant de faire une réplique sur le décolleté de sa colocataire. Remarque qu'il ne formulant jamais alors il s'excusa aussitôt, alors que Mac trouva ça drôle. Il lui sourit donc avant qu'ils n'évoquent clairement le sexe, ou plutôt le jour où David accepterait de passer cette étape avec une autre femme que la sienne " Tu as raison. Je dois arrêter de trop réfléchir". C'était un reproche que lui faisait souvent son frère qui se laissait davantage guider par l'instant présent, les émotions. Ce qu'il finit par faire en déposant ses lèvres contre celles de Ma, avant de trouver refuge dans sa chambre.

Finalement, il ne resta pas bien longtemps dans son antre car il se leva alors que les bras de Morphée le délaissait. En voyant Mac allongée dans le canapé, il s'approcha de cette dernière, caressa le chien en passant "Bon, on va faire une exception pour ce soir alors" et commença à parler, à évoquer à voix haute tout ce qui lui traversait à l'esprit comme hypothèse. Un certain soulagement l'envahi quand elle lui confia ne pas lui en vouloir. Ni du baiser, ni d'être partie. Pourtant, il sentait bien que quelque chose clochait. Était-ce de la peur qu'il éprouvait actuellement ?! Il resta silencieux et sourit doucement quand elle lui rappela qu'elle serait sûrement partie si elle lui en avait voulu. Il avait semblablement oublié ce côté-là de sa personnalité ces derniers temps "C'est bon signe que tu sois restée alors ?!".

Tout en prenant place sur le rebord du canapé, David baissa les yeux, culpabilisant parce qu'il avait finalement pris la fuite à sa manière lui aussi... Il était terrifié, tout simplement. Il la laissa poursuivre, esquissant un sourire quand elle évoqua le canapé "J'y ai pensé". Il la fixa ensuite du regard, même lorsqu'elle évoqua Donna et poussa un soupir "Je nourris les mêmes craintes Mac. J'ai peur de perdre notre relation, ce qu'on a actuellement... De te perdre toi surtout parce que je n'imagine pas la vie sans toi, tout simplement" avoua-t-il sans la quitter du regard. Ils étaient sur la même longueur d'ondes concernant leur relation, leur amitié si précieuse. Un sourire amusé alors qu'elle riait " Moi aussi". Il pensait que leur conversation cesserait là, et il s'apprêtait à lui souhaiter une bonne nuit quand elle reprit la parole. Et il s'était attendu à tout au fil de cette conversation, mais pas à cela. Il la regarda fixement, l'écouta évoquer ce baiser qu'il lui avait donné, cette envie de lui qu'elle avait éprouvé... et surtout, que ce n'était pas une envie soudaine. Elle était déjà venue la saluer par le passé. Une fois encore, il se reconnaissait dans ses paroles. Il resta un moment silencieux, et se pencha vers elle "Je n'ai plus envie d'avoir peur" murmura-t-il puis posa ses lèvres contre les siennes, sa main sur sa joue. Il approfondit le baiser tout en montant sur le canapé. Gus comprit seul qu'il était soudainement de trop et s'éloigna. Son corps posé sur le sien, il ne quitta pas ses lèvres un moment avant de la regarder, restant à l'affût d'une hésitation, et lui retira son sweat capuche qu'il posa au sol et laissa ses lèvres se poser sur sa peau, la goûtant ainsi pour la première fois, alors que ses mains découvraient aveuglément son corps.

Charly
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Jeu 11 Aoû - 18:09
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Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis Chef d'un restaurant et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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« -ok… tu m’auras moi c’est déjà pas mal. » avait répondit Mac avec un sourire tendre et amusée à la fois. S’il ne voulait pas trouver une autre femme, elle n’allait pas le pousser. Elle le lui avait pris au tout début de leur relation. C’était sa vie, son choix. Mais comme elle ne souhaitait pas être en couple, ils gardaient leur petite colocation jusqu’à la fin des temps et ça lui allait parfaitement. La soirée avait été pleine de rebondissements. Peut-être un peu trop d’ailleurs. C’était un peu compliqué à gérer sur le plan émotionnel. Alors Mac s’était tournée vers la télé et un câlin avec le chien. Elle ne s’était pas imaginée que David allait revenir pour parler. Mais c’était une bonne chose. Ça éviterait des regards fuyant le lendemain matin ou bien qu’ils s’imaginent des choses. Ils étaient doués pour ça. L’un comme l’autre.

« -c’est rien d’accord ? »
souffla Mac avant de se reprendre en souriant : « -enfin non, c’est pas rien mais il n’y a rien de grave, c’est ça que je veux dire. » mais elle était certaine qu’il avait comprit l’idée. « -je te l’ai dis tout à l’heure, j’ai pas envie qu’on se quitte. Surtout pas pour un baiser ou pour une attirance qu’on a du mal à s’expliquer ou qu’on essaye de refouler… » ouais le meilleur mot des deux c’était celui-ci. Refouler. Comme elle l’avouait, ça n’était pas la première fois. Et elle ne coutait pas la fois où elle était rentrée ivre. Comme Mac le souligna, elle était heureux qu’il soit venu pour discuter. Au moins ils arriveraient peut être à dormir après ça !

La belle brune décida d’être sincère, vraiment sincère sur ce qu’elle éprouvait, ce qu’elle pouvait vouloir si elle mettait sa peur de côté. Cette peur qui paralysait et ne faisait que surgir des questions à longueur de temps. Mac s’était faite à l’idée qu’un jour ça arriverait. Un jour ou l’autre ils finiraient pas sauter le pas. Alors… C’était peut être mieux de décider du bon moment. Avant que Donna n’ouvre les yeux, avant qu’elle revoit Henri. Peut être que tout ce qu’elle était en train de dire ne ferait que nourrir la merde dans laquelle elles les avait mis, mais au moins elle avait parlé avec franchise. Lorsqu’elle se tue enfin, elle observa David quelques instants, ne sachant pas ce qui se passait dans sa tête : « -dis quelque chose s’il te plais… » lui demanda Mac. La réponse qu’il donna fit bondir le cœur de la belle brune dans sa poitrine. Elle entoura le visage de David de ses deux mains, alors qu’ils échangeaient à nouveau un baiser. « -moi non plus… » souffla t elle avant de l’embrasser à nouveau.

Mac recula dans le canapé, laissant David prendre place sur elle, sans jamais quitter ses lèvres. Elle avait déjà le souffle court lorsqu’il recula pour faire glisser la fermeture éclair de son pull. Elle suivit son geste avant de relevé les yeux vers lui. Il l’embrassa dans le cou, descendant jusqu’à sa poitrine et elle soupira de plaisir. Un frisson couvrit sa peau et elle lui retira son haut. Son regard accrocha le sien. Ça n’était pas du tout le moment de parler. « -attends… » souffla t elle pourtant sans la moindre attention d’arrêter ce qu’ils venaient d’enclencher. Elle le fit se redresser Debout devant le canapé, Mac retira son pantalon avant de déboutonner celui de David. Puis elle l’embrassa à nouveau et le fit s’asseoir avant de prendre place sur ses genoux. Elle ne voulait pas qu’il dirige les opérations, parce qu’il allait réfléchir. Et c’était exclus. Hors de questions qu’il se pose des questions ! Il n'avait pas à lui prouver qu'il était un bon coup, encore moins à se dire qu'il n'allait pas assurer. Tout ce qui comptait c'était l'instant. Et pourtant elle ne put s'empêcher de dire avec un sourire sur les lèvres, caressant son torse: "-oh ton torse..." elle l'embrassa en souriant. C'était eux. C'était leur complicité et leurs rires. Entre ses cuisses elle sentait l'envie qu'il avait pour elle, et c'était grisant.

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Jeu 11 Aoû - 19:44
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis veuf et je le vis plutôt bien parce que je réapprend à vivre.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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David aurait pu rester cloîtré dans sa chambre à ressasser inlassablement la soirée, et tout particulièrement le baiser qu’il avait échangé avec Mac. Oui, il aurait pu. Mais il ne l’avait pas fait. Il s’était levé et avait surpris la jeune femme sur le canapé, en compagnie de leur chien, à regarder la télévision sans vraiment que de son n’en sorte. Il avait besoin de mettre des mots sur ce qu’il s’était passé entre eux, sur ses craintes, sur les conséquences que cela risquait d’engendrer sur leur relation. Il ne voulait pas perdre leur amitié, mais surtout, il ne voulait pas la perdre elle. Alors quand cette dernière le rassura sur ce point, l’avocat se mit à sourire avec douceur « J’ai compris » signifia-t-il à la jeune femme qui poursuivit. Refouler… Ce mot avait un sens nouveau en cet instant, alors qu’ils étaient tous les deux sur le canapé à parler de ce qui était en train de se dérouler entre eux deux. Et s’ils avaient refoulés leur attirance l’un pour l’autre ? Parce qu’il était en deuil, parce qu’elle avait peur de s’attacher, parce qu’ils craignaient de mettre un terme à leur amitié si précieuse si jamais ça ne se déroulait pas comme convenu… Tant de raisons qui étaient sûrement la cause de cette conversation au beau milieu de la nuit. Puis il y eu cet instant où Mac décida d’être honnête, d’évoquer sa perception des choses si elle n’éprouvait pas de peur… Face à ces mots, David resta silencieux un moment et elle lui demanda de parler. Il se mit à sourire avant de l’embrasser. Il n'avait plus envie d’avoir peur non plus. Il ne voulait pas vivre avec des regrets, et surtout, il ne voulait pas vivre avec ce regret-là. Celui de ne pas avoir osé, de ne pas avoir tenté, de ne pas voir ce que ça pourrait donné s’ils avançaient un peu plus dans leur relation, qu’ils franchissaient cette nouvelle étape.

Son corps au-dessus du sien, il ne délaissa ses lèvres qu’au moment de lui retirer le sweat-shirt de son université, le laissant tomber au sol avec délicatesse, puis observa Mac et vint embrasser son cou, puis sa poitrine, goûtant…savourant sa peau, caressant son corps jusqu’à ce que la jeune femme ne lui retire son débardeur. Son regard ancré dans le sien, il la trouvait belle ainsi, à la seule lueur des images défilant à la télévision. Son cœur battait si fort dans sa poitrine qu’il crut le voir en jaillir à tout moment. Puis elle prononça ce mot… Attends… « Tu… Ne veux plus ? » demanda-t-il en se levant du canapé, une lueur d’incompréhension dans son regard. Il baissa ensuite ses yeux sur le pantalon de Mac qui glissait, laissant apparaître des jambes galbées à n’en plus finir. Elle ne voulait pas arrêter. Il releva brièvement son regard vers le sien, avant de sentir ses mains contre le sien. Il baissa à nouveau son regard sur les mains de sa colocataire, son cœur reprenant un rythme effréné dans sa poitrine. Lentement, il croisa à nouveau les prunelles claires de Mac qui l’embrassa, et se laissa guider par cette dernière en prenant place sur le canapé. Elle voulait conduire leurs ébats et il n’avait pas besoin de réfléchir longtemps pour en comprendre les raisons. Ainsi, il n’aurait qu’à savourer son corps contre le sien, sans se soucier de ses performances. Il était à sa merci la plus totale. Puis David se mit à rire doucement quand cette dernière évoqua son torse, appréciant son sourire contre ses lèvres, il se recula légèrement « Je me suis dit également la même chose de ton dos nu » avant de reprendre possession de ses lèvres. Ses mains caressaient son dos, ses hanches puis ses cuisses, alors que ses lèvres s’aventuraient sensuellement dans son cou, revenant lentement vers son oreille « Je veux me sentir en toi… » murmura-t-il presque comme une supplique, et l’embrassa avec envie, sa langue cherchant la sienne. Il n’avait pas peur en cet instant. Il n’éprouvait pas la moindre appréhension. En fait, il se sentait en confiance la plus totale, ne doutant pas un instant de sa capacité à la faire jouir. Il savourait seulement le moment présent, son corps contre le sien.

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Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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Ils avaient toujours été sincère l’un envers l’autre. Et à mesure que passait les jours, cette attirance qui naissait devenait source de secrets. Mac n’avait pas la moindre envie que cela dégénère. Alors elle avait saisit l’occasion grâce à ce truc vu à la télé. A cette question qui finalement était presque libératrice. Qu’est ce qu’elle ferait si elle n’avait pas peur ? Et bien elle écouterait ses émotions, son envie de lui, sans se poser plus de question. David restait silencieux mais la réponse qu’il finit par lui donner lui procura un incroyable soulagement. Ils étaient sur la même longueur d’onde… Adieu les questions, place à l’action. Son corps répondait déjà à celui de David comme s’il n’attendait que ça depuis trop longtemps. Elle savoura ses lèvres sur sa peau, frissonnant sous ses baisers. Pourtant elle le fit se redresser et immédiatement elle sentit le trouble chez David. Elle posa alors son index sur ses lèvres et répondit dans un murmure : « -non. » elle lui sourit et reprit : « -non… » elle n’avait pas la moindre envie de faire marche arrière.

Ils en avaient assez parlé pour qu’elle sache que ce genre de moment pouvait créer des angoisses chez David. Et elle n’avait pas envie de ça. Ce qu’elle voulait s’était lui, s’était lui, là tout de suite sur le canapé du salon. C’était qu’ils se donnent l’un à l’autre, qu’ils se donnent du plaisir surtout. Pas qu’ils réfléchissent ou angoisse. Elle décida d’y aller par étape, gardant ses sous-vêtements. Tout comme elle ne retira pas son boxer à David. Pas de précipitation. Ils avaient toute la nuit. Mac sourit de plus belle contre les lèvres de Davi lorsqu’il fit également de l’humour. Voilà… c’était comme ça que ça devait se passer. Pas la peine que tout soit parfait. Il fallait seulement que ça soit eux. De plus elle n’était pas forcement fan de l’amour en silence. Elle pencha la tête en arrière pour l’invita jusqu’à sa poitrine, avant de s’approcher de nouveau, ondulant légèrement des hanches pour accroitre l’envie. La phrase qu’il prononça lui fit un effet fou. Il n’en avait probablement pas conscience d'ailleurs... Elle sourit en reculant légèrement son visage et souffla : « -c’est vrai ? » avec une sensualité qu’il ne lui connaissait surement pas. Elle lui rendit son baiser avec la même intensité, avant de vraiment reculer cette fois-ci pour se redresser sur ses jambes.

Elle lui tourna le dos, lui jeta un regard par-dessus son épaule et dégrafa son soutien-gorge, avant de le laisser tomber au sol. Elle en fit de même avec le boxer de dentelle qu’elle portait. Puis elle se tourna et combla l’écart entre leur deux corps. David se retrouva nu dans sa totalité assez rapidement. Puis Mac revint prendre position sur lui, cherchant ses lèvres, sa langue, passant ses mains dans ses cheveux qu’elle aimait tant lorsqu’ils étaient décoiffés. Enfin elle le guida en elle et laissa passer un soupire de plaisir, son visage proche de celui de David, son nez touchant le sien. Elle lui sourit, avant de l’embrasser à nouveau, allant et venant, lui faisant l’amour avec tendresse. Elle ne lui demanda pas si ça allait, si ça n’était pas le cas, il l’aurait déjà dit. La plaisir monta crescendo. Elle perdit son regard dans celui de David, le souffle haché jusqu’à ce que la jouissance ne lui arrache un cri et ne l’oblige à fermer les yeux quelques instants. Nouvelle synchronicité, physique cette fois ci. Mac posa son front contre celui de David et sourit, riant presque tellement elle se sentait bien.

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La peur n’a pour vocation que d’empêcher les Hommes d’agir. Elle n’empêche pas le danger, seulement la réalisation des rêves.  Alors David décida d’oublier ses craintes, parce qu’il était fatigué de l’éprouver. Parce qu’il risquait de vivre avec des regrets s’il écoutait cette petite voix intérieure qui lui disait qu’ils allaient commettre une erreur monumentale en allant plus loin. Mac n’avait pas envie d’avoir peur, et lui non plus. Voilà comment ils en étaient venus à échanger plus d’un baiser, à frissonner sous les caresses, à sentir son cœur battre un peu plus vite. Néanmoins, tout cela disparu soudainement chez l’avocat lorsqu’elle interrompit ce moment. Il s’était levé à sa demande et craignait d’entendre la réponse à sa question. Comme à chaque fois, Mac lisait en lui comme dans un livre ouvert et déposa son index contre ses lèvres, le rassurant en prononçant un seul mot. Non. Elle ne voulait pas faire marche arrière. Il sourit alors, et embrassa son doigt, avant de la laisser retirer son bas de jogging et de l’entraîner à nouveau jusqu’au canapé. Assis sous elle, il était complètement à sa merci. Pas d’appréhension. Pas de crainte. Il avait pleinement confiance en la jeune femme et il savait qu’avec elle, ça serait différent que si ça avait été une autre femme. La preuve en était, ils faisaient actuellement l’amour et ils parvenaient à faire de l’humour en même temps, riant entre deux baisers. C’était ce qu’il voulait. Cette légèreté. Il délaissa ses lèvres pour venir s’aventurer dans son cou, et en la voyant pencher sa tête en arrière, il continua de s’aventurer jusqu’à sa poitrine encore enfermée dans son soutien-gorge. Il aimait le goût de ses lèvres, de sa peau. Il aimait sa manière d’onduler le bassin contre sa virilité qui n’attendait qu’elle. À tel point qu’il la supplia presque de le laisser entrer en elle. Un sourire en coin se dessina sur les lèvres de l’avocat en entendant la question de Mac, il aimait ce ton de voix, cette manière de s’adresser à lui, et qui ne faisait que croître son désir pour elle « Tu dois le sentir, je crois ».

En cet instant, David la dévorait littéralement du regard. Il n’avait d’yeux que pour elle, pour son corps, pour cette manière qu’elle avait de le regarder par-dessus son épaule tout en retirant son soutien-gorge. Complètement interdit face au spectacle que Mac lui offrait avec une sensualité qu’il ne soupçonnait pas chez elle, David se mordit la lèvre inférieure avec envie, se délectant de la vue qu’elle lui offrait. Il ne tarda pas à laisser tomber au sol son boxer, libérant ainsi sa virilité durcie par le désir, et laissa Mac reprendre place sur ses jambes, l’embrassant à pleine bouche, ses mains caressant sa peau, avant qu’il n’échappe un soupir de plaisir au moment d’entrer en elle. Qu’est-ce que c’était bon ! Les baisers s’étaient arrêtés, laissant leurs regards parler pour eux pendant que son amante lui faisait l’amour. Lui ? Il était complètement à sa merci. Leurs corps étaient en harmonie parfaite. Il ne la quittait plus des yeux jusqu’à ce qu’il ne laisse échapper un cri de plaisir peu de temps avant Mac en sentant la jouissance l’accabler. Il posa son front contre le sien alors qu’il posa ses mains sur ses hanches, et se mit à rire, lui aussi, plus que comblé en cet instant. Il entoura ensuite le visage de Mac de ses mains et l’embrassa, puis reposa son front contre le sien « Mon cœur bat tellement fort » et l’observa un moment avant d’ajouter « Tu as été si… ». Comme ce soir avec la robe, il ne parvenait pas à trouver les mots avant de rétorquer « Tu as été si… sensuelle, si…sexy ». C’était une tout autre femme qu’il avait rencontré cette nuit. Une femme qui lui avait fait tourner la page de son deuil sans le brusquer, en prenant soin de lui. Il recula son visage de celui de Mac et dégagea ses cheveux avec douceur « Ça va toi ? ».

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J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis Chef d'un restaurant et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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Mackenzie aima tous dans ce qui était en train de se passer. La caresse de mains de David sur sa peau, le gout de ses lèvres, l’intensité de ses baisers, cette supplique qu’il venait de faire au creux de son oreille. Ces mots l’avaient comme électrisé. Ils avaient également révélé une partie de la personnalité de David qu’elle ne soupçonnait pas. Ce qui lui permis de révélée celle qu’elle était dans un moment de pareil intimité. Celle qu’elle n’avait jamais été avec aucun de ses coups d’un soir, pas même Henri. La femme sensuelle et taquine à la fois. Pour toute réponse elle lui avait sourit avant de reculer et de lui faire une sorte d’effeuillement de ses derniers vêtements. Pourtant bien vite elle était revenue vers lui, comme si le contact de sa peau lui manquait déjà trop.

Mac avait toujours aimé le sexe, mais ce soir c’était différent. Elle connaissait parfaitement l’homme avec qui elle était en train de coucher. Et il la connaissait également. Il savait tout d’elle, qui elle était vraiment, son passé, ses faiblesses et ses failles. C’était sans doute ce qui rendait l’instant un peu plus magique. L’orgasme fut délicieux et elle fit par sourire, même légèrement rire dans ce petit moment de flottement qui suivait la jouissance. Pas de gêne, pas de fuite rapide une fois l’acte réalisé. Non, elle voulait resté là, David encore en elle, savourant la présence virile de son corps d’homme. Lorsqu’il parla de son cœur, elle déposa sa main sur sa poitrine pour sentir les battements, souriant encore avec tendresse. « -si quoi… » demanda-t-elle alors qu’il ne semblait pas trouver les mots pour la qualifier. Elle baissa les yeux quelques instants, rougissant presque. « -c’est pas vraiment dans mes habitudes… mais ouais… je sais… je… » un haussement d’épaules. C’était venu comme ça. Pour le simple fait qu’elle voulait qu’il ne pense à rien d’autre qu’à elle et à ce qu’ils étaient en train de faire. Capter toute son attention afin que le mentale ne prenne pas le dessus. Visiblement elle avait réussi.

En première intention de réponse elle l’embrassa. Puis elle souffla un : « -ouais… très bien… » toujours avec cette même douceur dans la voix. Mac regarda David pendant quelques secondes, glissant ses doigts dans ses cheveux. « -tu ne regrettes pas ? » elle avait besoin de savoir même si à première vu ça ne semblait pas être le cas. C’était une étape pour lui. Alors elle voulait être certaine que tout allait bien aussi pour lui.
Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis veuf et je le vis plutôt bien parce que je réapprend à vivre.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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En cet instant, il était à milles lieux de penser à Donna ou à Cheryl. En cet instant, il ne pensait qu'à celle qui ne le quittait pas des yeux alors qu'ils faisaient tendrement l'amour. Il la regardant comme la plus belle des femmes, comme la plus attirante. Il ne voulait être nulle part autre qu'ici, avec Mac. Il savourant sa manière de prendre soin de lui, de l'embrasser, de caresser son corps nu contre le sien. Il aimait cette femme sensuelle qui se dessinait face à lui. Une femme dont il ignorait l'existence jusqu'alors, mais dont il aima faire la connaissance ce soir. Puis il y eut l'orgasme qu'elle lui donna, et ce cri qui s'extirpa de leurs lèvres, presque en harmonie. Ils auraient pu se revêtir ensuite, mais non. David n'en avait pas envie et il n'était pas le seul. Il aima son petit rire après l'amour, celui qui trahissait le bien être de la jeune femme en cet instant et qui fut suivi du sien. Quand il parvint enfin à trouver les mots pour la décrire ce soir, il la vit presque rougir à l'aide de la seule lumière de la télévision. Il releva le visage de son amante en souriant avec douceur "J'ai aimé Mac, vraiment". Il avait envie de la rassurer sur ce point. Il avait aimé voir cette Mac là cette nuit. Et fut touché également que cette femme, ils n'avaient pas été nombreux à en faire la connaissance. Il se sentait privilégié en cet instant.

Quand il lui Demanda si elle allait, c'était aussi pour savoir si elle regrettait ce qui venait de se passer entre eux. Son baiser fut une réponse des plus agréable et le lui rendit en souriant contre ses lèvres. Un sourire qu'il ne parvint pas à se départir en entendant sa réponse. Ce fut finalement Mac qui osa poser la question clairement et sourit "Pas le moins du monde, et je ne parle pas que du sexe qui a été... Enfin tu m'as entendu, pas besoin d'en dire davantage... Je parle aussi de nous deux" en caressait sa joue du dos de sa main avant de croiser ses doigts dans le dos de main "Je me dis que c'est pareil pour toi, sinon tu ne m'aurais pas regardé tout du long qu'on faisait l'amour, je me trompe ?". Elle lui avait confié, au détour d'une conversation, qu'elle ne regardait que rarement ses partenaires dans les yeux. Alors oui, il s'était senti unique en cet instant. "J'ai aimé ça" la rassura-t-il une nouvelle fois.

Un sourire, son regard ancré dans le sien, il souffla un "Je suis heureux Mac". Ce qui signifiait beaucoup pour l'homme qui n'avait jamais plus prononcé ces mots depuis la mort tragique de sa famille. "Lève-toi" demanda-t-il avec douceur et enfila son boxer et tendit la culotte de Mac, puis son propre débardeur. Il la laissa se vêtir tout en la regardant fixement, et glissa sa main dans la sienne "Suis-moi" et l'entraîna dans sa chambre. Là où elle n'était jamais entrée en un an. Il referma la porte "Je n'ai pas envie que Gus vienne nous déranger demain matin", puis posa ses mains au creux de la taille de la jeune femme et l'embrassa avec douceur "Je n'ai pas envie de faire chambre éparée...à moins que tu..." que tu veuilles retourner dans ton lit. C'était ça la fin de sa phrase, mais il n'avait pas envie de prononcer ces mots.

Charly
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J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis Chef d'un restaurant et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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Ils avaient déjà évoqué ensemble ce qu’ils aimaient dans le sexe. Elle lui avait confié ne pas forcement apprécier faire l’amour les yeux dans les yeux. Simplement parce que les hommes qui passaient dans sa vie ne comptait pas. Elle ne les connaissait que depuis quelques heures, si ce n’était moins. La seule chose qu’elle voulait dans ces moments-là, c’était oublié sa vie de merde, prendre du plaisir et avoir un orgasme si possible. Ce qui n’était pas toujours le cas d’ailleurs. Mais ce soir, avec lui tout avait été si différent. Elle avait voulu prendre soin de lui, l’accompagner dans cette étape, qui n’était peut être pas forcement facile. Ils se connaissaient tellement, se faisait confiance si aveuglement. Elle le rassura mais avait besoin d’entendre à son tour si tout allait bien aussi chez lui. C’était important. « -ouais… c’était bien hein… » répliqua Mac en souriant, fidèle à elle-même. Elle sourit en lova dans joue dans sa main quelques secondes. « -j’ai pas… » elle se pinça les lèvres : « -j’ai pas vraiment réfléchis. Je voulais seulement que tu… que tu ne penses à rien d’autre qu’à moi. Surtout pas à ta performance, à mon plaisir ou je ne sais pas quoi d’autre. » un léger rire : « -bon d’accord j’ai un peu réfléchis en fait… » avec douceur elle souffla un : « -super… » lorsqu’il lui confia avoir aimé sa façon de lui faire l’amour. Elle ne regrettait pas non plus. Ça serait arrivé tôt ou tard. Mais peut être que ça n’aurait pas été si réussit.

Elle lui sourit avec douceur quand il lui confia être heureux. Que répondre à ça. Youpi j’ai rempli m’a part du contrat ! Non, elle n’y pensa pas une seule seconde. Elle savourait seulement l’instant, le visage détendu et souriant de David, son regard sur elle. Elle était heureuse aussi. Mais David avait raison, ils n’allaient pas passer le reste de la nuit ici, totalement nu sur le canapé. Elle se leva et sourit en voyant le débardeur que David lui tendait. Elle l’enfila et l’interrogea du regard. Quand elle pénétra dans la chambre de David, elle n’osa pas tout de suite avancer. Elle regarda la porte qu’il venait de fermer avant de lui rendre son baiser. Elle décida de se foutre de lui : « -ba c’est vrai que… je suis pas vraiment habituée à rester après… tu vois… et du coup… » elle se mis à rire et passa les bras autour de son cou : « -je plaisante. J’ai pas la moindre envie de dormir sans toi. » ça ne lui était même pas venu à l’idée. Quelques minutes plus tard, blottit l’un contre l’autre, Mac s’endormit sans la moindre difficulté, le sourire aux lèvres.

Au matin, elle se réveilla avant David. Pour une fois qu’il faisait la grâce matinée ! Mac s’extirpa du lit sans rien dire, seulement pour que Gus arrête de gratter à la porte. « -j’arrive… » murmura t elle avant de sortir de la chambre. Elle enfila rapidement son jogging et le pull universitaire par-dessus le débardeur de David. Elle ne fit pas attention à son soutien-gorge qui trônait sur le canapé. Une fois en bas de l’immeuble elle bailla tout en marchant derrière Gus. Puis elle entendit son nom. Mac se retourna et adressa un sourire quelque peu crispé à l’homme qui venait d’arriver : Henri.
 
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis veuf et je le vis plutôt bien parce que je réapprend à vivre.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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Ils venaient de se donner l'un à l'autre et pourtant, rien n'avait changé entre eux. Mac faisait sa Mac, jouant de l'humour comme à à habitude. Elle n'avait pas conscience à quel point cela rassurait l'avocat de voir que, finalement, rien n'avait changé entre eux. Il se mit alors à sourire avec amusement "Plus que bien, je dirais", puis caressa sa joue de sa main. Il se sentait bien en cet instant, à sa place. Il aimait que tout se déroule naturellement entre eux, qu'ils parlent avec sincérité, sans crainte. Sans se départir de son sourire, il répondit "Tu as beaucoup réfléchit à moi..." avec une petite pointe taquine et ajouta "C'était tout simplement parfait Mac" et n'hésita pas à lui confier qu'il avait aimé son regard ancré dans le sien durant l'acte. Un petit rire en entendant son "super" à la Mac, avec détachement. Il la connaissait assez bien pour savoir qu'il était parvenu à la rassurer sur ce point. Un moment de silence où il l'observa simplement et fini par lui dire qu'il était heureux. Ce n'était pas seulement dû au sexe, parce que si son bonheur ne tenait qu'à ça, il aurait trouvé une fille dans un bar. Non, son bonheur tenait au fait que c'était elle qui en était la cause. C'était elle qui le rendait heureux.

Ne souhaitant pas terminer la nuit sur le canapé, il lui confia son débardeur, puis l'entraina jusqu'à sa chambre. Son antre. Où aucune femme à part Cheryl n'était entrée ces dernières années... jusqu'à elle. Elle n'osa pas s'avancer, alors il l'embrassa pour la détendre, pour lui faire comprendre qu'il voulait plus avec elle qu'une nuit de sexe. Mais il resta interdit en entendant les mots de Mac... Elle ne restait pas... Depuis quand le considérait-il comme les autres hommes qu'elle avait connu ? Puis elle passa ses bras autour de son cou et lui autour de sa taille "Tu sais que tu m'as fait peur ?!" Et retorqua "C'est ce que je voulais entendre" et se glissèrent sous les draps, s'endormant sans mal.

David n'était pas le genre à dormir au-delà d'une certaine heure le matin. Son rituel était strict et établi depuis des années. Mais ce matin, son esprit avait décidé de le laissait profiter de la présence de Mac à ses côtés. Une matinée paisible. Pourtant, ce fut un lit froid qui l'accueilli au réveil "Mac ?" Et se redressa sur ses coudes. Avait-il rêvé cette nuit comme elle l'avait fait quelques semaines plus tôt ? Il tendit l'oreille, et entendit la voix de son frère. Il se leva, se passant une main dans ses cheveux en bataille, et quitta la chambre après avoir enfilé un jean et un t-shirt. En arrivant dans le salon, il vit leurs vêtements au sol... Il n'avait pas rêvé. Pourtant, il n'avait pas envie de sourire en voyant Henri dans son appartement de bon matin. Pas après son passé commun avec Mac. Un regard inquiet pour cette dernière. Et si elle décidait que c'était le gendre idéal qu'elle voulait ?! Et pas l'avocat veuf et brisé par la vie ? Un regard pour Henri qui semblait le détester en cet instant "Un souci ?" Demanda-t-il comme si de rien n'était. Il avait imaginé la matinée autrement...

Manhattan Redlish
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à venir...


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Henri avait reçu un appel de sa mère de bon matin. Une conversation brève, mais qui fut riche en information. Il appris ainsi, devant son café, que son frère avait frappé leur père devant tous les convives du gala. Il ne prit pas la peine de savoir comment allait ce dernier. Il s'en moquait bien. C'était mérité. Il raccrocha ensuite, se dirigea sous la douche et sourit en s'assurant avoir les 50$ en sa possession. Il avait une excuse légitime pour aller voir Mac, et peut être, parvenir à la convaincre de passer la journée, voire plus, en sa compagnie. Il s'était rendu en taxi jusqu'à l'appartement de son frère et interpella Mac dans la rue "Mac !" Tout en lui faisant un signe de main, et se dirigea jusqu'à eux. Il caressa le chien et embrassa la joue de Mac "Salut, comment ça va ?" Et ajouta "Ma mère m'a appelé ce matin, pour me dire que tu avais gagné le pari ! Félicitation à toi ! Je crois que je te dois 50$" et sortie le billet de sa poche " On pourrait peut être en profiter pour... je ne sais pas... Fêter ça en prenant le petit-déjeuner dans un petit café de quartier ? Rien que tous les deux... en amis, bien évidemment" en esquissant un sourire espiègle. Puis désigna l'immeuble l'immeuble doigt "Mais avant ça, je dois parler à David" et sans attendre, ouvrit la porte de l'immeuble "Tu viens ?". Il salua Fabien comme à chaque fois qu'il passait rendre visite à son frère, et ouvrit la porte de l'appartement "Sinon, on peut juste prendre une glace dans l'apres-midi" et ajouta "Et quand je parle de glace, je parle aussi de sexe". Il arriva dans l'appartement, et resta interdit un instant en voyant les vêtements au sol... son sourire disparu soudainement et se tourna vers Mac "Je... Tu m'expliques ou je dois deviner seul ?!". Il n'eut aucun mal à deviner, d'autant plus en voyant son frère se lever à une heure si tardive pour lui. Le regard échangé... et cette question banale qui tira un rire nerveux à Henri "Je ne sais pas... Peut-être parce que tu as couché avec Mac... Tu savais qu'elle me plaisait, que j'avais envie de construire quelque chose avec elle et derrière mon dos, tu couches avec elle ?! Depuis combien de temps ça dure cette mascarade ?! Pour savoir depuis quand mon frère me prend pour un abruti ! Je t'ai aidé alors que tu buvais à outrance du matin au soir, que tu ne prenais même plus la peine de te doucher... Tu te nourrissait à coup de verre de Scotch, tu n'étais que l'ombre de toi-même. Je t'ai aidé et voilà comment tu me remercies ?!". Il était incapable d'accuser Mac, parce qu'il n'avait pas envie de croire qu'elle en avait eu envie. Enfin... il se retourna tout de même vers elle "Il sait que tu ne lui donneras pas plus qu'une nuit à lui non plus ?!"

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