Le crime rend égaux tous les êtres qu’il souille.@The Moon.
C’était il y a longtemps où elle croyait que l’on pourrait l’aider. Aujourd’hui, elle savait qu’elle était seule au monde face à ses problèmes. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle décida de tuer l’homme qui torturait ses pensées, qui pourrissait sa vie...
Il était tueur à gages. Plutôt jeune, mais tout de même expérimenté et talentueux. C’était loin d’être la carrière de ses rêves, mais la vie est remplie de sentiers dans lesquels il peut être facile de se perdre. Puis l’univers ne fait pas toujours d’effort pour faciliter l’existence d’un individu.
Est-ce une coïncidence ou le destin ? Puisque ce soir là, cette jeune femme et ce jeune homme allèrent dans la même maison avec pour but la même mission. Tuer. Tuer un homme. Pour elle, c’était pour un motif personnel, déterminé à fermer les yeux sur les potentielles conséquences, elle devait tenter cette ultime solution. Pour lui, c’était une mission. Simplement mandaté d'assassiner ce quadragénaire pour une quelconque raison. Un homme mauvais qui avait beaucoup d’ennemis. Cela devait paraître d’un suicide ou d’un accident. C’était la seule exigence.
Mais que faire lorsque tout est ruiné, car une femme venait de tuer de sang-froid cet homme. Suicide ? Accident ? Non. Meurtre. Trop tard pour reculer, il était préférable de s’impliquer. Alors, il sortit de sa cachette, s’exposant aux yeux de la jeune femme, il décida de l’aider à faire disparaître le corps.
Si un personne te dit des choses ignobles, c'est parce que son cœur est en enfer.
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Cheshire-
Lun 23 Mai - 2:24
Moon-Jo Kim (Kim Moon-Jo)
J'ai 29 ans et je vis à Detroit, Michigan, USA. Dans la vie, je suis tueur à gages/vétérinaire et je m'en sors comme une personne qui s'est fait une raison. Sinon, grâce à ma malchance, ma mission se déroule de manière imprévue et je le sens plutôt mal. Moon-Jo alias Moon exerce le métier de vétérinaire. Un très bon métier honnête et payant. Il s’agit du portrait public dessiné. Derrière le tableau, à l'abri des regards, Moon exerce un métier plus sombre. Celui de tueur à gages.
Bien qu’il soit d’origine coréenne, il a déménagé aux É.-U. avec ses parents quand il avait 3 ans. Sa mère, une femme sensible, empathique et dynamique, était esthéticienne. Son père, lui, a fait partie de l’armée de Terre durant des années. Puis un jour, à travers des contacts, il s’est éloigné du droit chemin. Derrière un restaurant qu’il a décidé d’ouvrir, il a ensuite créé une organisation criminelle spécialisée dans l’assassinat. Malheureusement, cela n’a pas été sans danger. Ainsi, la mère de Moon a été assassinée à cause d’un règlement de compte. Moon, caché, a été témoin de ce meurtre violent alors qu’il n’avait que 10 ans. N’ayant plus sa mère pour le couver et tenir tête à son mari, il a été empêtré rapidement dans les magouilles de son père. Il a commis son premier homicide, assisté par son paternel, à l’âge de 17 ans. La victime s’est trouvée avoir le visage de l’assassin de sa mère.
Un jour, Moon en a eu marre d’être tueur à gages comme son père, désireux de mener une vie ordinaire comme sa mère voulait tant pour son fils. Toutefois, avide de contrôle, son père a fait assassiner son meilleur ami d’école. Depuis ce moment-là, Moon s’est fait une raison. Il n’allait pas pouvoir quitter ce job si facilement. Surtout pas sans casser des œufs.
Marcus Carter. 41 ans Célibataire. Usurier. 9485 Shrewsbury Road, quartier Sherwood Forest à Detroit.
23h04. Je suis devant une impressionnante maison en brique. J'imagine combien il gagne bien sa vie à arnaquer les pauvres avec des prêts qu’ils ne pourront jamais rembourser. Même dans la mort, ce ne serait pas suffisant pour fuir. Les membres de la famille hériteraient de la dette, harcelés à leur tour.
Assis au volant d’une fourgonnette faussement plaqué d’un numéro, je revêtis mes gants. Je soupire à la fois de fatigue et de contrariété. À peine la clinique vétérinaire fermée, me voilà à mener ma double vie. En outre, je suis toujours mandaté des missions risquées. On est loin des quartiers pauvres et des individus sans influence. Certes, il s’agit d’une ordure. Mais une ordure qui gère une affaire rentable avec d’autres vermines à ses ordres. Une ordure qui vie dans un coin friqué. Au moins, il n’y a aucune caméra dans cette rue pour compliquer la situation. De plus, ce connard doit se croire intouchable pour ne pas avoir voulu en installer dans sa cour. Il suffit donc de désactiver l’alarme, et le tour sera joué.
Filant vers la baraque du quadragénaire, je coule un regard sur le voisinage. Tout est parfaitement calme. Les ténèbres ont envahi l’endroit. Seule la pleine lune éclaire le quartier. Parvenu à l’entrée, j’utilise un appareil que je connecte à la boîte intelligente de la maison. Au bout de 30 secondes, le système d’alarme est désactivé. Je le réactive aussitôt dès que j'ai pénétré à l'intérieur. ni vu ni connu. Il me faut un instant pour que mes yeux s’habituent à l’obscurité de la pièce. Un escalier se dessine face à moi. Il semblerait que la cuisine se trouve à droite et le salon à gauche. Observant ma montre, il me reste peu de temps avant que Marcus Carter n’arrive. Mon sac en main, je fourre l’appareil pirate à l’intérieur puis je sors une paire de couvre-chaussures jetable pour les enfiler. Glissant mon sac sur mon épaule, je grimpe à l’étage pour attendre discrètement dans la chambre où il s’enferme à chaque fois qu’il revient de sa journée. Petite routine que j’ai pu constater en l’espionnant durant trois semaines. Un bureau orne la pièce au fond devant une fenêtre aux rideaux noirs translucides sur lequel gisent un ordinateur portable et des documents. Une bibliothèque poussiéreuse épouse l’un des murs. Quelques peintures abstraites décorent les autres. Mon regard se pose sur le placard aux portes pliantes. En l’ouvrant, je devine qu’il sert surtout de bric-à-brac. Je libère un coin en pilant quelques boîtes. Je referme ensuite derrière moi laissant un petit espace pour entrevoir. Une corde enroulée autour de mes mains, prêt à m’en servir, je patiente en silence.
Misanthrope
Si un personne te dit des choses ignobles, c'est parce que son cœur est en enfer.
J'ai 23 ans et je vis à Detroit, Etats-Unis. Dans la vie, je suis employée dans un fast food et je m'en sors très mal. Sinon, grâce à ma vie de merde, je suis célibataire et je le vis plutôt comme quelqu'un qui n'a pas d'autre chose.
What the fuck ? Put your teeth to the curb, 'cause right now I'm gonna stomp your fucking face in. I hope you drown in all the cum you fucking swallow, to get yourself to the top. You're just a trend, just a fucking disease. How could you look at yourself in the mirror ? You stand for nothing and your heart is untrue. Every single thing about you's just a clone of the last you. All I want is to reach someone to say something that could change their life forever, to let them know you're not alone. So many people wanna see me fail, so fucking clever but I'll spit in your face. I'll make sure you remember me.
(( immaculate misconception ))
Jessica Barden par avengedinchains
« Je suis content que tu aies réfléchi à ma proposition. Tu as pris la bonne décision : tu n'aurais décemment jamais pu rembourser une telle somme juste avec ton petit boulot. C'est mieux pour toi d'accepter cet arrangement, comme ça on est satisfaits tous les deux. »
Gros porc. Entendre sa voix me dégoûte. Le voir bouger me dégoûte. L'opulence dans laquelle il vit me dégoûte. Ouais, j'ai réfléchi, c'est vrai que je l'ai fait. Mais j'ai pas réfléchi comme il le croit. Putain, qu'est-ce qu'il s'imagine ce salopard ? Que je vais vraiment lui vendre le peu de dignité qu'il me reste ? Il me prend pour sa pute. Et c'est même pas une façon de parler. Cet accord, ça m'écoeure même de faire semblant de l'avoir accepté. Et pourtant, c'est pas comme s'il ne m'avait pas mise dos au mur. En fait, il m'a bien niquée - façon de parler - il m'a bien coincée. Sa proposition n'était pas une proposition. Sa proposition était une menace. Une putain de menace sordide dans laquelle il menaçait ma famille. D'après ses mots, si je lui donnais ce qu'il voulait, il "ne s'en prendrait pas à mon frère et mes soeurs". Ce mec en sait beaucoup trop sur ma vie. Ce mec connaît beaucoup trop mes points faibles. Ce gros dégueulasse se réjouit beaucoup trop de la victoire qu'il pense avoir eu sur moi.
« Tu as faim ? Soif ? » « Allons à l'étage tout de suite. »
J'ai pas de temps à perdre. J'ai pas envie de me dégonfler. Je veux en finir maintenant tant que l'idée est claire dans ma tête, avant que je n'ai le temps de réfléchir à cette idée complètement dingue et aux conséquences qu'elle pourrait avoir si ça se passait mal. On monte les escaliers puis entre dans la pièce, un bureau. Ça pue le fric dans tous les recoins de sa barraque. Tu m'étonnes. Je ne suis sûrement pas la seule dont il tient la vie entre ses mains. Ce sera un bon débarras pour tout le monde. Ce sera un bon débarras pour le monde. A peine on pénètre dans la pièce qu'il commence à vouloir m'embrasser. J'ai immédiatement un mouvement de recul, quelle horreur.
« Okay, tu n'es pas le genre qui embrasse, très bien. Alors, fais ce que j'attends de toi. Mets toi à genou et enlève ce sweat hideux sous lequel tu te caches tout le temps. »
Il pose ses mains sur mes épaules pour appuyer dessus et m'inviter à m'agenouiller à ses pieds. J'ai envie de gerber quand j'pense à ce qu'il veut. Je serre fort les dents et je recule.
« Hey. Un accord est un accord, maintenant tu t'éxecutes avant que je ne perde patience, t'as compris connasse ?! »
Il m'attrape par la tignasse, je ne peux plus attendre. Pas une seconde de plus. Je sors le flingue que je cachais sous mon sweat jusqu'à maintenant, bien accroché dans ma ceinture.
« ME TOUCHE PAS SALE PORC ! »
Pendant une fraction de seconde, alors qu'il s'est reculé, je vois la surprise dans ses yeux. Il ne s'y attendait pas à celle-là. Il lève les mains, commence à ouvrir la bouche pour parler pendant que mes mains tremblent sur mon arme dont j'ai enlevé la sécurité. La seconde d'après, je tirais. Une fois, deux fois au cas où je l'ai raté. Le type s'effondre au sol, je lâche l'arme.
Putain. Je l'ai fait.
Je l'ai fait.
Je me mords les lèvres. Je l'ai fait. Il me faut quelques secondes pour réaliser et quitter le sol des yeux pour voir le corps inanimé de mon bourreau, étalé de tout son long sur le carrelage. Il y a du sang sur le sol, sur le mur, sur les meubles. Je pose ma main sur ma bouche, choquée de me rendre compte que je l'ai fait.
« Merde, merde, merde ! Qu'est-ce que j'ai fait ?! »
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Mer 25 Mai - 23:53
Moon-Jo Kim (Kim Moon-Jo)
J'ai 29 ans et je vis à Detroit, Michigan, USA. Dans la vie, je suis tueur à gages/vétérinaire et je m'en sors comme une personne qui s'est fait une raison. Sinon, grâce à ma malchance, ma mission se déroule de manière imprévue et je le sens plutôt mal. Moon-Jo alias Moon exerce le métier de vétérinaire. Un très bon métier honnête et payant. Il s’agit du portrait public dessiné. Derrière le tableau, à l'abri des regards, Moon exerce un métier plus sombre. Celui de tueur à gages.
Bien qu’il soit d’origine coréenne, il a déménagé aux É.-U. avec ses parents quand il avait 3 ans. Sa mère, une femme sensible, empathique et dynamique, était esthéticienne. Son père, lui, a fait partie de l’armée de Terre durant des années. Puis un jour, à travers des contacts, il s’est éloigné du droit chemin. Derrière un restaurant qu’il a décidé d’ouvrir, il a ensuite créé une organisation criminelle spécialisée dans l’assassinat. Malheureusement, cela n’a pas été sans danger. Ainsi, la mère de Moon a été assassinée à cause d’un règlement de compte. Moon, caché, a été témoin de ce meurtre violent alors qu’il n’avait que 10 ans. N’ayant plus sa mère pour le couver et tenir tête à son mari, il a été empêtré rapidement dans les magouilles de son père. Il a commis son premier homicide, assisté par son paternel, à l’âge de 17 ans. La victime s’est trouvée avoir le visage de l’assassin de sa mère.
Un jour, Moon en a eu marre d’être tueur à gages comme son père, désireux de mener une vie ordinaire comme sa mère voulait tant pour son fils. Toutefois, avide de contrôle, son père a fait assassiner son meilleur ami d’école. Depuis ce moment-là, Moon s’est fait une raison. Il n’allait pas pouvoir quitter ce job si facilement. Surtout pas sans casser des œufs.
Je distingue la porte d’entrée s’ouvrir. Je comprends rapidement que l’homme n’est pas seul au moment où une voix féminine s’exprime. Merde… En trois semaines d’espionnage, je ne l’ai jamais vu être accompagné chez lui. Pas même par une prostituée. Certes, il se rend dans des bordels et peut parfois finir dans un hôtel, mais jamais il n’a ramené une femme dans sa maison. De plus, il ne va se tremper le biscuit que le week-end, pas un jeudi soir. Pourquoi fallait-il que ce soit ce soir qu’il change ses habitudes ? Je soupire et roule les yeux.
J’entends leurs pas grimper les marches. J’espérais pouvoir me faufiler en douce pour repartir en catimini quand ils se seraient enfermés dans la chambre, mais ils s’engouffrent plutôt dans la pièce où je suis caché.
Examinant la fille, elle ne paraît pas très vieille. Je dirais que Marcus a le double de son âge. De plus, elle ne ressemble pas du tout à une prostituée. Serait-ce quelqu’un qui doit de l’argent à Marcus Carter ? C’est la situation la plus plausible, sachant que cette enflure n’a pas de famille proche d’après mon enquête.
Parlant d'enflure, il tente d’embrasser la jeune femme qui instinctivement évite le contact. Subitement, un frisson d’angoisse grimpe mon échine. Je détourne le regard pendant une seconde, alors que Marcus se croit autorisé d’exiger quoi que ce soit de cette femme comme si elle ne valait rien, qu’elle lui appartenait telle une poupée. Je grimace face aux souvenirs qui surgissent dans mon esprit.
J’étais caché dans le placard d’entrée. Une minuscule ouverture me permettait de voir la cuisine où ma mère tâchait de se défendre contre deux hommes costauds et armés. J’avais terriblement peur. Impuissant, je voulais que mon papa apparaisse et protège ma maman. Sauf qu’il n’était pas là et qu’elle m’avait ordonné de rester caché quoi qu’il arrive. Je posai ma paume contre ma bouche pour étouffer mes pleurs tandis qu’on plaqua ma mère contre l’ilot. Le visage tenu sur la céramique, elle pleurait à chaudes larmes. Sa robe fut remontée et sa culotte descendue…
J’espérais en silence ne pas devoir assister à une scène de viol. Je n’arrivais pas à déterminer la probabilité que j’intervienne si cela devait se produire. À moins que je les tue tous les deux ? Suis-je capable de tuer une personne innocente ? Mais suis-je capable aussi de regarder une seconde fois un viol sans réagir ? La situation commence à s’envenimer entre le pervers et la jeune femme. Alors que je rumine rapidement, toutes mes réflexions sont balayées à coup de balles.
Durant un instant, je suis ahuri. Le suis-je par le cadavre qui git au sol saignant comme le porc qu’il est ? Non. Je le suis par cette variable qui vient d’infiltrer ma mission. Si je reste caché, que va-t-il se passer ? Premièrement, soit elle appelle les flics et se dénonce. Ce n’est pas une option possible pour un mec qui est tapi dans l'ombre d'un placard. Deuxièmement, elle part en abandonnant la dépouille ici. Mais ce serait trop risqué de nettoyer derrière elle, sans savoir ce qu’elle ira faire en sortant de cette maison. Je ne peux pas laisser le cadavre ainsi, je vais me faire égorger par mon père qui considèrera que j’ai mal effectué ma tâche. Qui croira la vérité ? Une jeune femme qui tue de sang-froid un gros bonnet dans l’industrie des usuriers ? Certainement pas mon père. Déjà, il simule de ne pas être conscient que je l’entube régulièrement. Exaspéré, je réprime un soupir. Poussant les portes pliantes, je sors de ma cachette. Je n’ai rien pour masquer mon visage. Je vais seulement espérer qu’elle voudra coopérer. Sinon, je n’aurai pas le choix, je devrai la tuer.
« Merde, merde, merde ! Qu'est-ce que j'ai fait ?! »
« Eh bien, clairement tu l’as buté. Bien joué ! Sauf pas très propre comme travail », lui réponds-je de manière décontractée en profitant de son état de choc pour la désarmer.
Retirant mon sac, je replace la corde à l’intérieur suivi de son arme. Je jette de nouveau le tout dans mon dos enfilant les ganses autour de mes épaules.
« Personne ne reviendra ici. Pas tant que quelqu’un se sera inquiété de sa disparition », expliqué-je, m’avançant vers Marcus le cadavre.
Je parcours les pochettes de sa veste puis les poches de son pantalon. Rien. Je retourne donc Marcus pour tâter celles de ses fesses. Trouvé. Son téléphone portable. Évidemment, il faut l’empreinte digitale pour le déverrouiller, mais Marcus va s’occuper de ça. Attrapant sa main qui flotte dans le sang, j’essuie son pouce contre lui-même pour que l’appareil capte sans effort son doigt. J’ai ensuite accès au contenu de son téléphone dans lequel je m’empresse d’envoyer des messages à ses contacts. Une fois que cela est fait, j’éteins entièrement l’appareil, retire la batterie et la carte puce que je casse. Le tout fourré dans mon sac. Je me débarrasserai de cela plus tard.
« À présent, on a plus ou moins 24h avant que quelqu’un commence à se poser des questions sur son absence », continué-je d’expliquer nonchalamment à la jeune femme pétrifiée.
Je m’avance vers elle, j’attrape l’arrière de sa tête l’obligeant à fixer mon regard. « Maintenant, tu vas me suivre. Ensemble, on va aller brûler puis enterrer son corps. On reviendra par la suite pour nettoyer la maison. »
Malheureusement pour elle, ce n’est pas un choix que je lui propose. Soit elle coopère, soit je l’enterre avec Marcus. Loin de me faire plaisir que la situation ait tourné ainsi. Loin de me faire plaisir de menacer une femme. Sauf qu’elle a ruiné mes plans et qu’elle a tué quelqu’un. Il n’y a pas 50 solutions qui s’offrent à elle après avoir commis un homicide sous l’impulsivité d’une décision visiblement pas réfléchie à 200%.
Je libère doucement mon emprise. Je ne cherche pas à l'effrayer, mais elle doit saisir tout l'enjeu de la situation.
« Si tu coopères, tu pourras oublier cet homme et retrouver une existence normale. Je parie qu’il détient un coffre quelque part où il cache de l’argent. On le trouvera et tu garderas l'argent. Paie tes dettes avec auprès de l’agence et quitte cette ville pourrie. C’est mon conseil. »
C’est une jolie fille. Un peu paumée, sans aucun doute. Mais elle peut s’enfuir et reconstruire sa vie. Elle est encore jeune. Moi, j’ai raté toutes mes chances de fuite. Ma vie est devenue une prison sans barreau.
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Si un personne te dit des choses ignobles, c'est parce que son cœur est en enfer.
J'ai 23 ans et je vis à Detroit, Etats-Unis. Dans la vie, je suis employée dans un fast food et je m'en sors très mal. Sinon, grâce à ma vie de merde, je suis célibataire et je le vis plutôt comme quelqu'un qui n'a pas d'autre chose.
What the fuck ? Put your teeth to the curb, 'cause right now I'm gonna stomp your fucking face in. I hope you drown in all the cum you fucking swallow, to get yourself to the top. You're just a trend, just a fucking disease. How could you look at yourself in the mirror ? You stand for nothing and your heart is untrue. Every single thing about you's just a clone of the last you. All I want is to reach someone to say something that could change their life forever, to let them know you're not alone. So many people wanna see me fail, so fucking clever but I'll spit in your face. I'll make sure you remember me.
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« Je sais, je… J'ai jamais fait ça avant… »
Je suis perdue. C'est vrai. J'ai jamais fait ça avant. J'aurais même jamais cru de toute ma vie que j'en arriverais là un jour. Je ne suis pas une meurtrière. Enfin… Si. Visiblement j'en suis une. Mais… Arg, je sais pas, c'est compliqué. J'étais juste totalement désespérée. Il m'a juste poussée au-delà de ce que je pouvais supporter. Il tenait toute ma vie et celle de ma famille dans ses sales mains et me menaçait de tout broyer en un seul geste. C'est tout ce que j'ai pu faire, c'est tout. Je ne pouvais pas m'en sortir tant qu'il était là, à planer comme une menace au-dessus de nos têtes. Je n'ai pas eu d'autre choix. Et au vu de son comportement absolument dégueulasse il y a à peine quelques minutes, il ne méritait que ça, cet enfoiré.
« Oui probablement mais… »
Attends. Est-ce que je suis en train de parler à un mec qui est littéralement sorti du placard de cette même pièce ? Attends. Mais c'est qui ce mec en fait ? Et qu'est-ce qu'il foutait là ? Et pourquoi il était dans un putain de placard ? Et pourquoi il aussi calme et me parle comme un putain de psychopathe ? Oh bordel.
« Eh ! Mais t'es qui putain ?! » je lâche alors, sous le choc alors que je le vois vraiment agir comme si tout était parfaitement banal. « Non. Non, non, non. Je veux pas savoir. »
Il y a une voix qui est probablement ma propre conscience qui m'a dit que c'était pas une bonne idée de savoir. Je veux pas savoir. Je me passe une main sur le visage. Juste avant de me faire attraper par cet inconnu parfaitement bizarre. Tous les muscles de mon corps se tendent mais cette fois, je suis incapable de bouger pour me dégager. J'crois que mon cerveau est juste en train d'être submergé par le trop plein d'informations. J'suis pas capable de réagir plus que je l'ai fait dans le vide y'a un instant. Brûler et enterrer le corps. Puis nettoyer. Rien que l'idée me file la gerbe, j'ai l'impression que mon estomac fait des sales loopings dans mon bide. Ne pas vomir. J'en ai terriblement envie, là, tout de suite. Mais c'est le pire plan du monde.
J'avale difficilement ma salive et je respire déjà un peu mieux lorsqu'il s'écarte de moi. Mais j'avoue que je peux pas retenir un soupir quand il parle comme s'il connaissait tout de ma vie. Il parle comme si c'était simple. Comme si c'était juste faisable, comme ça, sans aucun problème. Mais dans quel monde il vit, lui, au juste ? Sans déconner.
« Tu connais pas ma vie. »
Je crois que c'est à peu près tout ce que je lui ai dit avant que l'on se mette au travail. "Au travail", putain, je m'en marrerais presque si c'était pas aussi morbide. Et cette situation ne trouve aucun sens réel dans ma tête. Genre… Ca n'a aucun putain de sens.
1. J'ai tué un mec. 2. Il y a un type qui est sorti du placard. 3. Il parle comme s'il faisait ça tous les dimanches après-midi. 4. Il veut qu'on se débarrasse du corps ensemble.
Alors. Soit il y a vraiment un truc qui cloche. Soit ce mec est une hallucination. Une connerie du genre que l'on voit dans les films, où mon cerveau aurait inventé son existence pour m'aider à dépasser cette épreuve… Ouais. Une merde du genre. Je sais même pas laquelle de ces possibilités est la plus bizarre, vraiment. Il y a tout un tas de pensées qui me passent en tête alors qu'on est en train de porter le type dans les escaliers pour le descendre du bureau. Sauf que soudainement, alors qu'on est presque en bas, je me fige parce que quelque chose me saute aux yeux.
« J'voudrais pas gâcher ta joie mais… Tu sais que la lumière automatique de l'allée est allumée ? »
Pourtant, personne n'a sonné, si ? Je suis pas vraiment sûre. Je crois que je suis tellement dans un état qui n'est pas mon état normal que j'ai des doutes. Les idées fusent à toute vitesse dans ma tête et je lâche un rire léger qui est juste purement nerveux.
« Tu crois qu'il a un chien ? Ou que ça peut être un chat ou un pigeon à la con ? » je lui dis en chuchotant.
Moi, j'trouve que ça pue cette histoire. Mais j'dis ça, j'dis rien.
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Ven 10 Juin - 20:39
Moon-Jo Kim (Kim Moon-Jo)
J'ai 29 ans et je vis à Detroit, Michigan, USA. Dans la vie, je suis tueur à gages/vétérinaire et je m'en sors comme une personne qui s'est fait une raison. Sinon, grâce à ma malchance, ma mission se déroule de manière imprévue et je le sens plutôt mal. Moon-Jo alias Moon exerce le métier de vétérinaire. Un très bon métier honnête et payant. Il s’agit du portrait public dessiné. Derrière le tableau, à l'abri des regards, Moon exerce un métier plus sombre. Celui de tueur à gages.
Bien qu’il soit d’origine coréenne, il a déménagé aux É.-U. avec ses parents quand il avait 3 ans. Sa mère, une femme sensible, empathique et dynamique, était esthéticienne. Son père, lui, a fait partie de l’armée de Terre durant des années. Puis un jour, à travers des contacts, il s’est éloigné du droit chemin. Derrière un restaurant qu’il a décidé d’ouvrir, il a ensuite créé une organisation criminelle spécialisée dans l’assassinat. Malheureusement, cela n’a pas été sans danger. Ainsi, la mère de Moon a été assassinée à cause d’un règlement de compte. Moon, caché, a été témoin de ce meurtre violent alors qu’il n’avait que 10 ans. N’ayant plus sa mère pour le couver et tenir tête à son mari, il a été empêtré rapidement dans les magouilles de son père. Il a commis son premier homicide, assisté par son paternel, à l’âge de 17 ans. La victime s’est trouvée avoir le visage de l’assassin de sa mère.
Un jour, Moon en a eu marre d’être tueur à gages comme son père, désireux de mener une vie ordinaire comme sa mère voulait tant pour son fils. Toutefois, avide de contrôle, son père a fait assassiner son meilleur ami d’école. Depuis ce moment-là, Moon s’est fait une raison. Il n’allait pas pouvoir quitter ce job si facilement. Surtout pas sans casser des œufs.
Un petit sentiment d’hostilité apparaît furtivement dans la réponse de la jeune femme. C’est vrai, je ne connais pas sa vie. Mais je connais assez la vie pour que mes paroles soient prononcées en connaissance de cause. Je ne suis pas de ce type de personne qui parle sans réfléchir. Je mesure ce qui sort de ma bouche. Autrement, je garde le silence. D’ailleurs, c’est ce que je fais. Inutile de pousser la conversation. Je suis ici pour faire disparaître un corps, pas pour offrir une séance chez le psy.
Néanmoins, elle choisit de s’activer et suivre mon rythme, m’aidant à envelopper la dépouille dans du plastique. Je m’assure de ne pas tacher de sang l’extérieur du plastique. Une fois le cadavre bien recouvert, j’enroule une tonne de gros ruban adhésif autour des chevilles, des jambes, du haut du torse avec les bras et de la tête. Je regrette de ne pas avoir acheté de sac mortuaire. Je note l’utilité de ce prochain achat. Agrippant chacun un côté, nous commençons à descendre les marches en transportant le corps. Si le temps ne jouait pas contre nous, je l’aurais bien décapité en morceaux. Ça aurait été plus facile et discret à déplacer.
La jeune femme exprime sa crainte qu’il puisse y avoir quelqu’un dehors. Tournant la tête, puisque je suis à sens inverse dans l'escalier, je constate que la lumière extérieure s’est allumée. La nervosité se dégage chez elle à travers un rire incertain. Bien sûr, c’est possible que ce soit un animal. Toutefois, j’ai l’habitude que la vie se moque de moi. C’est donc probablement un désagrément qui va compliquer les choses. Je presse le pas pour terminer la descente. Une fois au bas de l’escalier, nous déposons doucement le poids mort.
« Est-ce qu’il y a la moindre chance que quelqu’un ait pu te suivre jusqu’ici ? », m’informé-je auprès d’elle.
Du même fait que j’extrais de nouveau le lacet étrangleur, on sonne à la porte. Heureusement que la fenêtre de la porte d’entrée est tintée pour l’extérieur. De mon point de vue, je devine une vieille femme.
« Marcus, c’est moi, Lise, la voisine. J’ai entendu un bruit étrange venant de chez toi en sortant les poubelles, est-ce que tout va bien ? », articule-t-elle suffisamment fort pour ameuter tout le quartier.
Je grimace, sachant que mon intuition était la bonne. Ça ne pouvait certainement pas être un simple animal. Elle a dû entendre les coups de feu. J’intime à la jeune femme de m’aider à tirer le corps vers le salon pour qu’il soit caché.
La vieille peau persiste à sonner. Je devine à son pyjama qui doit coûter dans les 300$ qu’elle va appeler la police si elle n’a pas de réponses, car c'est obligé qu'elle se mêle de la vie d'autrui pour se donner la satisfaction de dire qu'elle agit en bon citoyen modèle. La frustration s'insinue en moi. Je pourrais la tuer, mais ce serait audacieux et dangereux de m’aventurer sur cette voie. Toutefois, cela reste l’ultime solution.
Je scrute mon acolyte quand une idée me traverse l’esprit.
« Enlève ton pantalon et va ouvrir. Dis que vous regardiez un film avec la fenêtre ouverte. Excuse-toi du dérangement puis promets que vous allez faire moins de bruit. Sois convaincante. »
Une vieille comme ça, elle va sans doute se sentir mal à l’aise en découvrant une jeune femme à moitié dénudée. Elle va comprendre qu’ils se sont sûrement envoyés en l’air avant de mater un film ou qu’ils prévoient le faire après le film. Elle devrait s'en aller plutôt rapidement face à la situation gênante. Espérons-le.
« Allez, active ! T’as une meilleure option, peut-être ? Je te préviens, si elle entre dans la maison et voit le cadavre, elle est morte. Si elle repart avec une lueur dans les yeux qui dit ; « Je vais tout de même appeler la police en arrivant chez moi », elle est morte. Et si elle est morte, on a une chance sur deux de s’en sortir si c’est une femme qui vit seule. Dans le cas contraire, on est fichu à 100% si son mari attend qu’elle revienne dans cinq à dix minutes. Et si son mari dort profondément, on sera loin d’avoir 24h pour faire disparaître deux cadavres dont leur disparition va laisser un goût suspect à la police. »
Je crois avoir débité en un temps record pour qu’elle comprenne amplement l’envergure de la situation. Je me tapis derrière la porte avec le lacet étrangleur entre les mains, prêt à l’utilisation. D’un coup de tête, j’intime à la jeune femme qu’il est temps d’aller ouvrir.
Misanthrope
Si un personne te dit des choses ignobles, c'est parce que son cœur est en enfer.
J'ai 23 ans et je vis à Detroit, Etats-Unis. Dans la vie, je suis employée dans un fast food et je m'en sors très mal. Sinon, grâce à ma vie de merde, je suis célibataire et je le vis plutôt comme quelqu'un qui n'a pas d'autre chose.
What the fuck ? Put your teeth to the curb, 'cause right now I'm gonna stomp your fucking face in. I hope you drown in all the cum you fucking swallow, to get yourself to the top. You're just a trend, just a fucking disease. How could you look at yourself in the mirror ? You stand for nothing and your heart is untrue. Every single thing about you's just a clone of the last you. All I want is to reach someone to say something that could change their life forever, to let them know you're not alone. So many people wanna see me fail, so fucking clever but I'll spit in your face. I'll make sure you remember me.
(( immaculate misconception ))
Jessica Barden par avengedinchains
Non, vraiment, le corps a beau peser une tonne pour mes petits bras, j'arrive toujours pas à réaliser ce qui s'est passé, ni ce qui est en train de se passer. Tout ressemble à une réalité alternative, une sorte de mauvais rêve et j'ai l'impression qu'à tout moment, mon réveil va sonner et que je vais me lever pour aller prendre mon café, faire un tour dans la salle de bain, et partir pour le travail qui me permet plus de payer mes dettes que de faire vivre véritablement ma famille. Ouais, c'est ça. Ce mec n'existe pas, cette situation n'existe pas. Je vais juste me réveiller…
Enfin, c'est jusqu'à l'anxiété de voir la lumière allumée à l'extérieur. Ca paraît assez inquiétant pour que je le relève et que j'essaye de me rassurer en faisant des hypothèses d'animaux domestiques ou sauvages. On dépose le corps en bas des escaliers, je masse un peu mes bras aux muscles endoloris par l'effort.
« Je suis arrivée ici avec lui, alors… »
A moins que ça soit quelqu'un qui l'ait suivi ou qu'il ait tenté de me piéger avec la présence d'un complice, j'en sais trop rien en fait. Je n'ai rien remarqué de louche en soi, mais… Tout est tellement louche pour moi depuis que j'ai pris la décision de me débarrasser de ce mec que quelque chose aurait pu m'échapper. Moi, je ne suis pas une professionnelle. Moi, je n'y connais rien à tout ça. Je ne me suis pas vraiment méfiée, je n'ai pas l'esprit aussi tordu. Donc je ne sais pas.
Le bruit de la sonnette me fait grimacer, puis il y a cette voix derrière la porte. Je regarde mon complice, on se retrouve à déplacer le corps de nouveau pour l'éloigner de cette fameuse porte. Je n'ai pas la moindre idée de la marche à suivre. Pour moi, on est foutus. Ou alors, elle va juste se barrer et se foutre au lit comme n'importe qui dans mon quartier le ferait. Je reste silencieuse, le visage fermé, jusqu'à ce que l'autre me dise d'enlever mon pantalon. L'air outré, j'ouvre la bouche pour l'envoyer chier, mais aucun mot ne sort de ma bouche. Plus il parle, plus je comprends qu'il a raison. L'idée ne me plaît absolument pas, je n'ai pas la moindre envie de faire ça. Mais je comprends bien que je n'ai pas vraiment d'autre choix que celui de coopérer.
« Putain, fait chier. » je râle alors, tout en déboutonnant mon jean avant de lever les yeux vers mon vis-à-vis. « T'avises pas de mater. »
Pas qu'il y ait grand chose d'attirant à voir chez moi mais j'ai pas envie de sentir de regard sur moi alors que je suis en partie déshabillée. Je baisse mon pantalon et le retire pour le balancer dans un coin, un peu plus loin. Mes jambes pâles et marquées de cicatrices sont à nu, je me sens encore plus vulnérable ainsi, j'ai horreur de ça. Je passe mes doigts dans mes cheveux pour les déranger un peu, comme si je sortais du lit et j'ouvre la porte. Ni trop, ni trop peu.
« Bonsoir… Désolée, on était absorbés par notre film, on a peut-être mis le volume un peu fort, on va baisser le son et fermer la fenêtre pour ne pas vous déranger plus longtemps. »
Je sens le regard de la femme glisser sur moi, elle me regarde de haut en bas et j'ai juste envie de l'insulter, de lui dire de regarder ailleurs. Mais je crois qu'elle analyse la situation actuellement et quand elle semble comprendre, ses yeux s'arrondissent un peu. Elle s'excuse d'avoir interrompu quelque chose et se retire rapidement. Je referme la porte derrière elle, tournant la tête vers l'asiatique qui est à côté, armé d'une sorte de ficelle.
« Tu crois que c'est bon..? »
Je m'éloigne pour aller ramasser mon pantalon et le remettre rapidement. Me voilà tout de suite moins mal à l'aise.
« On devrait peut-être se dépêcher. Je te suis. »
C'est lui, qui semble savoir ce qu'il fait, donc il vaut mieux que je m'en remette à lui et que je le laisse guider. Alors après que la voisine soit bien rentrée chez elle, on s'y remet. On choisit de passer par l'arrière de la maison pour aller mettre le corps dans le véhicule plutôt que l'avant qui est très exposé aux regards. Tout le monde ne dort pas à cette heure-ci apparemment, c'est donc plus prudent. Je ne réfléchis pas, je fais ce que mon acolyte me dit, je suis ses ordres et finalement, on se retrouve à l'avant de son véhicule à nous éloigner de ce quartier huppé pour des lieux plus reculés où nous pourrons nous débarrasser de cette preuve encombrante qui est le corps en lui-même.
« Bordel, j'espère que la vieille bique a pris son cachet et est en train de pioncer tranquille là. »