Tomber amoureux est un véritable parcours du combattant [ft Charly]
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Manhattan Redlish
Ven 25 Mar - 20:02
Elijah Roberts
J'ai 43 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt très bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir et qu'il allait tomber amoureux d'elle. Et alors qu'il a l'impression de vivre sur un petit nuage, la vie a décidé de compliquer les choses en mêlant son passé à son présent …
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En la voyant arriver jusqu’à lui, Elijah s’était interrogé brièvement sur la manière d’agir avec cette dernière après ce bref éloignement qu’ils s’étaient imposés. Puis elle était arrivée à lui et tout s’était déroulé naturellement. Le bref baiser qu’il s’apprêtait à lui donner s’était transformé en un véritable baiser, comme pour rattraper le temps perdu, et se mit à sourire alors qu’elle prenait sa maladresse avec humour. Un sourire timide aux lèvres, le journaliste hocha légèrement de la tête pour lui donner raison. Oui. Une éternité. Quelques jours et le journaliste avait éprouvé un cruel manque d’elle. Il était réellement amoureux de la jeune femme et ne parvenait pas à vivre, ne serait-ce quelques jours, sans elle à ses côtés. Alors il n’imaginait pas davantage… Une pensée qui éloigna aussi rapidement qu’elle arriva, entraînant plutôt Madison dans le restaurant. À peine installé, à peine la première phrase prononcée, que Madison le stoppa dans son élan de paroles de convenance. Ce qui amusa le quadragénaire, et davantage lorsqu’elle lui confia qu’elle avait envie de lui. Il posa son coude sur la table et sa tête contre son poing, la couvant du regard avec tendresse et amusement « Tu me manques terriblement aussi Maddy… Et je pense aussi qu’on va finir le déjeuner chez toi. Tu es au menu des desserts ». Parce que de l’entendre lui dire qu’elle avait envie de lui ne faisait que croître son désir pour elle.
Elijah redressa ensuite la tête, laissa retomber lentement son bras sur la table, et entrelaça ses doigts à ceux de la belle brune lorsqu’elle lui prit la main. Il baissa ensuite son regard sur son costume froissé de la veille, et se passa sa main libre sur sa mâchoire mal rasée, puis rétorqua « Je ne dors plus vraiment chez moi ces derniers jours… » et releva son regard sur elle « Je veux bien accepter ta proposition et venir dormir chez toi ». Ce n’était pas une question de sexe, mais il n’avait pas envie de dormir seul alors que leur temps était peut-être compté. Il voulait l’avoir aux creux de ses bras toute la nuit durant, humer son odeur à son réveil, la faire sourire en lui disant bonjour. Le journaliste la laissa parler de son rendez-vous chez le psy conjugal et haussa les sourcils de surprise quand elle lui confia avoir parlé d’eux à son rendez-vous. Un petit sourire quand elle émit cette petite précision inutile. Connaissant Madison, il se doutait bien qu’elle n'avait pas évoqué leurs soucis de couple en se désignant directement. Il la laissa poursuivre, non sans une certaine appréhension sur ce qui allait suivre. Ce qu’elle voulait et ne voulait pas. Il resserra ses doigts sur ceux de la belle brune et se mit à rire devant l’acronyme qu’elle donna à leur relation. Ça leur correspondait parfaitement. Complicité, cul et sentiments. C’étaient eux. Il baissa ensuite les yeux alors que son sourire s’envola doucement. Il releva brusquement ses yeux vers elle quand elle lui indiqua que c’était à son tour de répondre. Surpris de devoir répondre à la question.
« CCS… J’aime bien au fait » tout en évitant soigneusement de répondre dans l’immédiat. Il piqua une gorgée de vin à Madison, puis réprima une grimace « Trop tôt ». Son estomac n’était pas vraiment d’accord pour ingurgiter de l’alcool après le scotch qu’il avait avalé cette nuit. Il s’enfonça ensuite dans la banquette du restaurant, fixant un point invisible sur la table « J’ai envie aussi de profiter de chaque instant avec toi, de graver à jamais des souvenirs de nous deux dans mon esprit, mais je sais aussi que ça ne rendra l’issue de notre relation qu’encore plus difficile qu’elle ne l’est déjà ». Il retira sa main de celle de Madison, pour enfouir son visage entre ses mains un instant dont leur course se termina dans ses cheveux courts, puis sur la table, et reprit la main de la belle brune dans la sienne « Ces derniers jours, j’ai eu le temps de réfléchir à notre relation, à Amber, au test de paternité. A la meilleure solution qui soit pour nous trois… ». Une longue inspiration parce que ce qui allait suivre allait être difficile « Jusqu’au test, je me disais qu’on pourrait peut-être partir à Bora Bora pour finir tout ça en beauté, qu’en penses-tu ? » avec un léger sourire et reprit avec plus de sérieux, évitant le regard de Madison « Ensuite, lorsque le test sera positif, et on sait tous les deux que ça le sera, j’ai décidé de déménager à Londres. Teresa est actuellement en train de me chercher un appartement. J’ai hésité à te le dire, mais je suis déjà parti comme un voleur et je ne voulais pas te refaire vivre ça… Je n’ai pas prévenu le magazine, mais je vais soumettre ton nom à la tête du bureau. Tes articles sont d’une qualité rare, tu es intelligente, magnifique, avec du caractère, inspirée et inspirante. Tu sauras apporter un souffle nouveau à la direction ». Il releva ensuite son regard sur elle et ajouta « Je ne le veux pas. Crois-moi, je déteste cette idée. J’aimerais vieillir avec toi, à me disputer avec toi sur les nouvelles chaussures que tu as achetées alors que le dressing est plein… Mais je crois ne pas avoir le choix ». Elijah n’avait pas envie de la voir quitter le magazine. Elle était épanouie au sein de l’équipe et de ce qu’elle faisait, et elle avait des responsabilités personnelles. Lui, il n’aurait plus rien d’ici quelques semaines. Et ils seraient incapable de travailler l’un avec l’autre. Pas après cette histoire qu’ils avaient vécue.
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Charly
Ven 25 Mar - 22:02
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -le dessert, c’est ce que je préfère... » répondit la belle brune avec un sourire en coin. Ça là, ces sous entendus et ces regards complices, tout comme cette envie de lui, qu’est ce que ça lui avait manqué. Un sourire en coin et un regard tendre accompagnèrent la réponse qu’il lui fit. « -très bien. » elle n’en pouvait plus de dormir dans un lit vide dans lequel persistait seulement son odeur sur le deuxième oreiller. Elle voulait sa présence, sa chaleur, s’endormir dans ses bras après avoir fait l’amour sauvagement. S’en suivit un monologue de sa part au sujet de son rendez vous avec le psy conjugale et de l’aide qu’il lui avait apporté. Elle mis en évidence ce qu’elle voulait, et ce qu’elle ne voulait pas. Tout cela avec une touche d’humour bien entendu. Au vu du regard qu’il lui lancé, il ne s’était pas attendu à devoir répondre à son tour. « -t’es pas obligé... » commença t elle avant de se reprendre : « -mais ça m’aiderait. » oui, elle voulait savoir vraiment où il en était. C’était important.
Maddy écouta avec attention, et ne le quitta pas des yeux même lorsqu’il retira sa main à la fin de sa phrase. Il avait raison. Ça serait douloureux. « -ça fera mal, qu’on en profite ou pas avant. Autant éviter de se faire souffrir par avance tu ne crois pas ? » c’était son point de vu en tout cas. Faire comme si… éviter de trop penser et profiter des bons moments tant qu’ils le pouvaient. Il le lui avait dit l’autre jour dans sa cuisine. Il prendrait de la distance. Il mettrait sûrement un terme à leur relation. Elle en était consciente. Madison pencha la tête sur le côté. « -je sens d’avance que je ne vais pas aimé ce que tu vas dire... » souffla t elle avec douceur et lucidité. Prendre ça avec le sourire, éviter les drama. « -dans ta phrase y’a des mots que j’aime et d’autre non. » Bora Bora aucun souci. Finir tout ça… Bien moins. « -ça me va. » répondit Madison qui avait vraiment envie de passer ce séjour avec lui et avec aucun autre. Depuis le temps qu’elle lui en parlait de son île !
Madison fut un véritable effort en laissant sa main dans celle d’Elijah en écoutant la suite. Il voulait quitter le pays ! Elle prit son verre de sa main libre et le vida tout en écoutant la suite. « -non ! Non ! Arrêtes de dire n’importe quoi ! Ne fais pas ça ! Je ne veux pas ! Arrête de parler ! Hors de question ! » elle s’était mise à parler en même temps que lui. Déménager à Londres ça lui trouvait le coeur ! Quant à l’idée de la recommandé pour passer à la tête du magazine : jamais de la vie ! « -ya toujours de la place dans un dressing. » répliqua Madison qui n’avait pas du tout envie de se remettre à pleurer ! Non elle refusait ça ! Stop ! « -Londres je trouve ça… un peu radicale… en fait non je déteste l’idée. Je viendrais jamais te rendre visite, le temps est trop pourri là bas. » puis elle ajouta en faisant signe au serveur de lui resservir un verre. « -quant à ton idée farfelu de te remplcer au magazine, c’est hors de question. Propose Jeffrey. Je… je suis pas prête pour ce genre de job et ! » elle leva son index pour insister : « -et surtout prendre ta place ça serait… enfin bref je veux pas. Donc tu oublies ça. Et je trouve que pour quelqu’un qui dit : on verra l’issu après, tu as déjà pas mal planifié ton truc. » elle se rapprocha de lui et posa sa main sur sa joue : « -je sais que c’est compliqué, que c’est douloureux de penser à tout ça, mais… est ce qu’on pourrait faire comme si… enfin ne pas penser à la suite, encore quelques semaines. » elle l’embrassa du bout des lèvres et ajouta : « -parce que j’en ai pas eu assez de toi... » elle l’embrassa à nouveau : « -j’en veux plus… » elle recula son visage en lui souriant : « -je veux qu’on profite encore d’accord ? S’il te plais. » c’était sans doute beaucoup demandé. Elle prit une nouvelle gorgée de vin et dit : « -au fait, Kim et Peter voudrait savoir si on est dispo ce week end pour aller manger chez eux. J’ai dis oui. » oui, elle n’avait pas eut envie de le consulter. Ça leur faisait un moment passé ensemble à penser à autre chose.
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Ven 25 Mar - 22:32
Elijah Roberts
J'ai 43 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt très bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir et qu'il allait tomber amoureux d'elle. Et alors qu'il a l'impression de vivre sur un petit nuage, la vie a décidé de compliquer les choses en mêlant son passé à son présent …
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Ce sourire en coin, ce regard brillant de cette lueur d’envie… Elijah avait l’impression que ça faisait une éternité qu’ils n’avaient pas été complice comme ça, et répondit avec son petit sourire en coin « Moi aussi ». Mais il n’était pas sûr qu’à l’issue du déjeuner, la belle brune ait toujours envie de lui faire l’amour… S’il en venait à dormir sur le canapé de son bureau, c’était parce qu’il passait le plus clair de ses soirées à réfléchir, à envisager tous les scénarios possibles et inimaginables, et qu’à chaque fois, l’issue était toujours la même : Douloureuse. Alors quand la belle brune lui proposa de venir dormir chez elle, il accepta volontiers. Parce qu’il avait envie de profiter encore de ces quelques instants avec elle. Puis Madison en vint à évoquer son rendez-vous chez le psy conjugal, et ce qu’elle désirait ou non pour l’avenir. Elle le voulait lui, elle voulait profiter de ces moments qui leur était offert. Et lorsque ce fut à son tour de répondre, il en fut surpris et esquissa un maigre sourire, répondant un simple « Ok » sans pour autant se lancer immédiatement, parce qu’il savait déjà que ce qu’il allait lui dire n’était pas ce qu’elle avait envie d’entendre…
Elijah voulait encore vivre dans cette bulle de bonheur avant d’apprendre officiellement qu’Amber était sa fille. Il avait envie de savourer chaque instant, mais il savait aussi que la rupture n’en serait que plus douloureuse ensuite. Pour autant, Madison était prête à faire ce sacrifice, et il posa alors son regard sur elle, la couvant avec tendresse, esquissant même un sourire doux à son attention « Qui aurait cru que ça soit moi qui soit prêt à fuir maintenant ? ». C’était assez ironique. Au début de leur relation, c’était lui qui occupé ce rôle rassurant, et voilà que maintenant, c’était la belle brune. Elle avait fait du chemin dans leur relation en l’espace de quelques mois, mais surtout, ça trahissait tout l’amour qu’elle pouvait lui porter. C’était cela qui rendait la suite encore plus difficile à dire. Il avait eu tout le temps de réfléchir ces derniers jours, et Elijah avait donc pris la douloureuse décision de quitter les États-Unis pour revenir auprès des siens à Londres. Le seul endroit qu’il connaissait et qui ne lui rappellerait jamais Madison. Il avait commencé à tout organiser dans son esprit. Son départ du magazine, son remplacement. Mais il ne lui en fit part qu’un peu plus tard parce qu’en cet instant, la jeune femme lui demandait de se taire. Son cœur serré dans un étau, il releva lentement ses yeux clairs sur elle « Maddy… » souffla-t-il telle une supplique. Il n’esquissa qu’un maigre sourire au sujet du dressing, avant de poursuivre sur la suite de son plan. Qui aurait cru que le seul projet qu’il parvienne à faire, c’était celui de sa rupture à venir avec la jeune femme ?!
Madison tentait de faire de l’humour face à la situation désastreuse dans laquelle ils se trouvaient, et rétorqua « C’est le but Madison. Que tu ne viennes pas me rendre visite ». Ces mots étaient durs, mais vrais. Il ne voulait pas d’elle là-bas, parce que ça serait trop dur, trop douloureux à vivre. Son regard toujours baissé sur un point invisible, il décida tout de même de croiser les prunelles sombres de Madison « J’ai eu le temps de réfléchir à tout ça ces derniers jours pour faire les choses correctement. Pour nous deux. Et pour le poste, je le proposerais à Jeffrey si tu le souhaites, mais il n’en reste pas moins que tu serais la plus disposée à l’occuper ». Elle ferait une directrice formidable. Il en était convaincu. Il baissa de nouveau les yeux, même lorsqu’elle posa sa main sur sa joue. Il tourna la tête vers elle, tout en gardant le regard détourné, par peur de l’affronter. Les mots étaient déjà assez durs à entendre « Maddy… » souffla-t-il une fois encore, puis ferma les yeux en sentant ses lèvres sur les siennes. Il décida alors de la regarder et lui rendit son baiser à nouveau, l’écoutant lui demander de rester, parce qu’elle voulait encore de lui dans sa vie. Encore un peu. Il fit un premier signe de tête avant de joindre la parole aux gestes « D’accord… » et renchérit « Je suis d’accord ». Il prit une gorgée d’eau avant de se mettre à rire doucement « On appelle ça un guet-apens » et ajouta « Tu as bien fait » parce que ça lui évitait de refuser, de fuir, de s’isoler. Il posa ensuite sa main sur sa joue et déposa ses lèvres sur les siennes avant de poser son front contre le sien « On ne pense pas à la suite. Oublie tout ce que j’ai dit. On continue notre vie comme si de rien n’était. D’accord ?! Je ne voulais pas te faire de mal en te disant tout ça, tu sais. J’avais juste envie de te préparer et… je suis un idiot d’avoir si peur, d’avoir si mal à cette idée que nous deux… » et se tut. Il l’embrassa à nouveau avant d’ajouter, essuyant vulgairement ses yeux « Je ne pensais pas que le déjeuner tournerait de cette manière » et se mit à rire nerveusement « On va déjeuner ce week-end, et ensuite, on s’envolera pour Bora Bora, rien que tous les deux, en attendant d’avoir les résultats du test et on avisera à ce moment-là, ok ?! ».
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Ven 25 Mar - 23:01
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Elle n’aimait pas lorsqu’il prononçait son prénom de cette façon. Ça lui faisait mal au coeur. Mal de le voir si mal. D’ordinaire c’était lui qui savait la rassurer et lui redonner le sourire. Aujourd’hui elle constatait qu’il n’était pas tout à fait dans le même état d’esprit qu’elle. Mais elle comprenait. Parce qu’elle ressentait la même douleur en pensant à l’avenir. Elle avait seulement choisi de ne pas penser à ça. Pas tout de suite. Pas encore.
Visiblement il n’appréciait pas son humour et elle détourna le visage quelques instants en portant son verre à ses lèvres. « -j’avais compris. » précisa la jeune femme que les mots d’Eli avaient blessé bien plus qu’elle ne le voulait. Bien sur qu’elle avait comprit que s’il partait pour Londres c’était pour mettre une distance définitive entre eux. Pas pour qu’elle vienne lui rendre visite pour les vacances ! « -peut être mais je n’en veux pas. Je n’ai pas les épaules aussi larges que toi. Je suis pas prête. » ni pour le poste, ni pour le voir sortir à jamais de sa vie.
Ensuite elle tenta de lui faire comprendre son point de vu, de le résonner et de lui faire accepté de profiter encore un peu. Vivre dans le présent. Tout simplement. Elle lui sourit avec tendresse lorsqu’il articula être d’accord. Elle mourrait d’envie de lui dire qu’elle l’aimait, là maintenant, son visage à quelques centimètres du sien. Mais c’était jeter de l’huile sur le feu. Pas la peine de lui faire plus de mal encore. Déjà que tout ce qui arrivait était entièrement de sa faute. Alors elle préféra annoncer que Kim et Peter, deux de leur amis proches avaient décidé de les inviter à dîner. Et surtout qu’elle avait accepté. Histoire de passer du temps ensemble. Du temps de qualité où ils oublieraient tout ça quelques heures.
« -non… ne dis pas ça. Je comprends. Et c’est bien que tu penses à ça. Mais… je veux pas qu’on souffre à l’avance. Encore quelques semaines de nous. Ensuite… ensuite tu iras parfaire ton bronzage à Londres ! » un petit rire alors qu’il s’excusait et cachait sa douleur. « -ça va aller… » souffla t elle avec douceur, même si elle savait parfaitement que lorsque la décision serait vraiment prise, elle non plus n’irait pas bien. « -diner ! Diner c’est pour le diner samedi soir. Mais oui, Bora Bora et ensuite on avisera. » peut être qu’ils allaient se réveillé du mauvais rêve qu’ils étaient en train de faire.
Lorsqu’il frappa chez elle le soir même, elle ouvrit et passa directement ses bras autour de son cou, l’embrassant avec envie. Maddy ferma la porte du pieds et entrepris de retirer sa chemise à Elijah, en lui demandant entre deux baisers de ne rien dire. Elle le fit reculer jusqu’au canapé, l’incita à s’asseoir pantalon sur les chevilles, avant de grimper sur ses genoux en sous vêtements afin de lui faire l’amour. Un peu comme le soir sous le tipi. Avec douceur et tendresse, avec amour et passion. Ce qui ne l’empêcha pas de lui demander de remettre ça juste après le repas, mais cette fois ci elle lui dit : « -prends moi comme avant... » elle avait besoin de retrouver cette ivresse entre eux.
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Sam 26 Mar - 11:09
Elijah Roberts
J'ai 43 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt très bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir et qu'il allait tomber amoureux d'elle. Et alors qu'il a l'impression de vivre sur un petit nuage, la vie a décidé de compliquer les choses en mêlant son passé à son présent …
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Un « désolé » sincère se glissa dans leur conversation alors qu’il se rendit compte de la brutalité de ses mots lorsqu’il lui confia que s’il partait pour Londres, ce n’était pas pour qu’elle le rejoigne de temps à autre. Cette décision était déjà assez difficile à prendre en elle-même, alors imaginer que Madison puisse venir de l’autre côté de l’Atlantique dans le but de le voir… non. Sa décision n’était pas encore définitive, mais elle s’en approchait grandement. La preuve en était, Elijah avait envisagé de laisser sa place à la belle brune pour le poste de directrice du magazine. Une offre qu’elle déclina poliment, ne se pensant pas être à la hauteur d’un tel poste. Il acquiesça lentement de la tête « Bon… Je le proposerais à Jeffrey alors ». Il se doutait bien que l’idée même de prendre sa place signifiait qu’il allait disparaitre définitivement de sa vie, et aucun d’eux ne le souhaitait. Mais voilà… Elijah n’était pas assez fort pour rester auprès de la belle brune et de leur fille, sans que cette dernière ne l’appelle papa une seule fois. Un secret trop lourd à porter pour le journaliste qui se retrouvait à vouloir cette vie de famille qu’ils s’étaient imaginés tous les deux, alors qu’encore un an auparavant, il aurait tout fait pour fuir. Enfin… Il fuyait aussi aujourd’hui, mais des raisons bien différentes.
Un regard pour la belle brune qui se retrouvait à prononcer des paroles rassurantes à sa place, pour apaiser son cœur et elle y parvint. D’une certaine manière. Il se mit même à sourire doucement alors qu’elle évoquait son bronzage « Tu n’es jamais allée à Londres toi… » en sous-entendant que le soleil se faisait rare dans cette partie du Monde. Il hocha ensuite lentement de la tête « Oui… ça va aller… » même si au fond de lui, il n’en était nullement convaincu. Un petit rire alors que la belle brune le reprit « Oui, pardon. Dîner et ensuite, Bora Bora ». Parce qu’il tenait à faire se voyage avant… eh bien avant qu’ils ne se quittent. Il voulait cette parenthèse de bonheur avec elle. Le soleil, les vagues s’écrasant sur le sable fin, elle en bikini sur une chaise longue, et lui, l’observant derrière son roman, se délectant de la vue qu’elle lui offrait. Ils aviseraient ensuite.
En venant chez elle le soir-même, Elijah avait encore le cœur lourd, mais il oublia bien vite leurs soucis alors qu’il eut à peine le temps de franchir le seuil de l’appartement que la belle brune l’embrassa avec envie. Un baiser auquel il répondit avec tout autant de désir, se laissant conduire par son amante, restant entièrement à sa merci alors qu’elle lui faisait l’amour tendrement, son regard dans le sien, et savourant chaque ondulation de rein, jusqu’à la jouissance. Et alors qu’ils terminaient juste de dîner, un sourire espiègle se glissa sur les lèvres d’Elijah face à la demande de la belle brune « Tes désirs sont des ordres » et l’entraîna avec lui dans la chambre. Il lui retira ses vêtements, laissa tomber les siens au sol, puis joua habilement de sa langue avec sa féminité, lui tirant un premier cri, avant d’entrer en elle, ses chevilles sur ses épaules, donnant de vigoureux coups de reins, avant de laisser retomber les jambes de son amante sur les draps, l’invitant à se retourner. Ses mains sur ses hanches, il entra à nouveau en elle, et commença les vas-et-viens avec passion, laissant ensuite ses doigts se glisser jusqu’à sa féminité pour croître son plaisir, et cela, jusqu’à ce qu’il sente l’orgasme l’accabler. Elijah resta en elle encore un instant, son torse contre son dos, puis se laissa glisser à ses côtés, à bout de souffle et tourna la tête vers Madison « Que c’était bon ! » et se tourna sur le côté, venant embrasser la peau moite de Madison, puis ses lèvres « Laisse-moi cinq minutes et je te fais crier à nouveau » et laissa ses doigts danser sur la peau moite de son amante « Et si on… laisse tomber… » avant de se rendre compte de ce qu’il venait de dire, puis se mit à sourire, posant sa main sur la bouche de Madison « Désolé, désolé. Je ne voulais pas dire ça » et remplaça sa main par ses lèvres, avant de rire dans son cou « Les mauvaises habitudes ont la vie dure » et releva ses yeux vers elle « Et si on avait un enfant. C’est ça que je voulais dire. Enfin, on en a déjà un, mais je te parle d’un enfant qui connaîtrait mon existence. J'aime Amber comme mon enfant et ça ne changera pas, mais... », puis baissa les yeux « Ce n’est pas une bonne idée. Oublie ça » et se leva du lit « Je vais boire un peu pour me réhydrater, et ensuite, je te fait crier jusqu’à qu’ils t’entendent à San Diego », et s’éclipsa, nu comme un ver, jusqu’à la cuisine.
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Charly
Sam 26 Mar - 13:25
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Madison savait qu’il avait parfaitement raison de se projeter ainsi. D’imaginer de probable solution à leur problème, même si elles étaient douloureuses. C’était une certaine manière de se préparer mentalement à la fin de leur relation. Puis ce que c’était ce qu’il était en train de lui dépeindre. Un départ à Londres. Ça n’était pas une histoire de relation longue distance. Et elle l’avait aussi parfaitement comprise. Elle avait seulement voulu faire de l’humour… Elijah n’était pas dans le même état d’esprit qu’elle. Il broyait du noir, il se focalisait sur le après. Alors que de son côté, elle avait fait le choix de vivre à 100 % leur histoire, sachant la fin proche. Elle comprenait parfaitement qu’il ne puisse pas supporter tout ça. Devenir père sans pouvoir assumer son rôle véritablement. Autant ne pas être au courant finalement…
Ils avaient finit par se mettre d’accord. Dîner chez Kim et Peter le samedi soir, et s’envoler pour Bora Bora la semaine suivante. Profiter de tout ça, éviter au maximum de penser au test de paternité à la fin de leur relation. Vivre pleinement les derniers moments. Et c’était justement pour cela qu’elle lui avait sauté au cou alors qu’il avait à peine passé la porte. Il l’avait dit, ça faisait trop longtemps. La première fois, Maddy lui fit l’amour, elle le fit avec tendresse, avec lenteur aussi, caressant son corps, embrassant sa peau, savourant son odeur et ses caresses. Elle aimait cette nouvelle façon de se donner l’un à l’autre, mais ce qu’elle aimait le plus, c’était quand ils s’envoyait en l’air comme des fou, comme la première fois, comme cette fameuse nuit… Alors ce fut ce qu’elle lui demanda. Un sourire en coin et elle le suivit jusque dans la chambre, le déshabillant aussi rapidement que possible, la fougue prenant le dessus sur la tendresse. « -oh oui…. Oui, oui... » souffla Maddy alors qu’il descendait le long de son ventre jusqu’à ses cuisses, adorant lorsqu’il faisait ça. Un premier orgasme qui la fit se cambrer et crier. Puis un soupire de plaisir lorsqu’il entra en elle. Puis des encore, encore alors qu’il s’agrippait à ses hanches. Un nouveau cri lorsque l’orgasme la submergea.
Le souffle court et la peau moite, elle eut bien du mal à reprendre ses esprits. « -c’était trop bon... » ajouta t elle pour confirmer, les deux mains dans les cheveux haut dessus de sa tête, totalement nue. « -c’était à peu près ce que j’avais prévu. » répondit Maddy en souriant, les yeux fermés. Paupières qu’elle ouvrit d’un coup en entendant les fameux mots interdits. Elle se tourna et s’apprêta à lui dire d’aller se faire foutre et qu’elle voulait savoir, que maintenant il devait assumer blablabla. Mais il colla sa main contre sa bouche. Elle finit pourtant par lui sourire : « -tu as un problème toi ! Tu aimes quand je m’énerve sur toi ou quoi ? » plaisanta la jolie brune en voulant pourtant savoir ce qu’il avait voulu dire. Et pourtant lorsqu’il lui expliqua son idée, elle se sentit pâlir. Un autre enfant ?! Elle n’eut pas le temps de répondre quoi que se soit qu’il se levait et disant que c’était une mauvais idée.
Seule dans la chambre, elle ferma les yeux. Putain mais ça n’allait pas bientôt s’arrêter cette avalanche de merde ! Elle avait l’impression d’être toujours à bout de souffle, à bout de nerfs, au bord du craquage. Des qu’elle remontait un peu la tête hors de l’eau, une nouvelle vague venait à nouveau lui faire boire la tasse. Madison réfléchit assez rapidement, se leva et enfila la chemise d’Elijah pour le rejoindre dans la cuisine. A moitié nue, elle cala son épaule contre le montant de la porte, bras croiser sous la poitrine parce qu’elle n’avait pas prit le temps de fermer la chemise. « -avant de dire que c’est une mauvaise idée, ça peut être bien qu’on en parle non ? » elle baissa quelques secondes les yeux avant d’ajouter : « -depuis quand tu veux un enfant ?Je croyais que… enfin j’avais compris que ça n’était pas le cas. » oui, du coup elle était un peu perdu.
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Sam 26 Mar - 13:44
Elijah Roberts
J'ai 43 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt très bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir et qu'il allait tomber amoureux d'elle. Et alors qu'il a l'impression de vivre sur un petit nuage, la vie a décidé de compliquer les choses en mêlant son passé à son présent …
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Leur séparation à venir, le départ pour Londres, sa démission à la direction du magazine… Elijah avait décidé de mettre tout cela de côté à la demande de la femme qu’il aimait. Elle voulait profiter de l’instant présent, de ce temps qu’il leur était octroyé avant que la sentence ne tombe et qu’Elijah décide de partir définitivement. Alors il l’emmènerait à Bora Bora pour s’enfermer dans une bulle de bonheur à l’épreuve des adversités qu’ils pourraient rencontrer. Et d’une certaine manière, ce désir de profiter de l’instant présent commença au moment même pour Madison passa ses bras autour de son cou pour l’embrasser avec envie. Ils firent une première fois l’amour tendrement, passionnément, avec sentiments, avant que cette dernière ne lui demande de lui faire l’amour comme au début de leur relation. Lorsqu’elle n’était que purement physique. Il s’attarda donc sur son plaisir à elle, aimant l’entendre crier de plaisir à son contact, puis il entra en elle, avant de changer de position, et de lui tirer un nouveau cri de jouissance à l’issue de leurs ébats. À bout de souffle, Elijah s’était ensuite laissé retomber aux côtés de la belle brune, lui promettant de réitérer leurs ébats d’ici quelques minutes. Un sourire en coin lorsque la jeune femme ne voyait pas la nuit autrement qu’ainsi. Du sexe et rien que cela. Ils avaient du temps à rattraper de toute manière. Il avait donc soufflé un « Hum… parfait » avant de prononcer les mots interdits. Aussitôt Elijah s’en rendit compte, aussitôt il posa sa main sur la bouche de la jeune femme pour qu’elle ne s’emporte pas contre lui. Cela la fit sourire et lui aussi alors qu’il haussait les épaules « Je préfère de loi t’entendre crier quand je te prends, plutôt que quand tu m’engueules ». Puis il baissa les yeux et décida de finir cette phrase qu’il avait appréhendé de conclure.
Elijah n’attendit pas de réponse de la part de la jeune femme, se levant dans sa tenue d’Adam, déclarant que ce désir d’enfant était une mauvaise idée, et s’éclipsa dans la cuisine. Il avait fixé son verre d’eau quelques secondes, jusqu’à entendre les pas de Madison sur le sol, et avala le verre cul sec avant de poser son dos contre l’établi. Il releva son regard sur elle, fit un simple hochement de tête, pas vraiment certain de vouloir aborder le sujet tout fin de compte, et haussa les épaules ensuite « Je n’en voulais pas, puis d’apprendre qu’Amber était peut-être ma fille… Je ne sais pas. Ça a eu l’effet d’un déclic dans mon esprit. J’aime ce qu’on partage quand on est tous les trois, et j’aimerais partager cela avec mon enfant. Un enfant qui ne considéra pas un autre homme comme son père… » puis il poussa un soupir, se pinça l’arête du nez et ajouta « Je suis perdu. Ce n’est rien. Je crois que j’essaie désespérément de trouver une parade à notre rupture, mais c’est n'importe quoi. Tu ne veux plus d’enfants, et… Avoir un autre enfant… Avoir un enfant plutôt, ça ne changera rien à la situation de toute manière ». Il releva son regard sur la belle brune, s’approcha d’elle, et posa ses mains sur ses bras pour les décroiser, et glissa ensuite ses mains sous la chemise ouverte « Oublie tout ça, d’accord ? » et déposa ses lèvres sur les siennes « Vu qu’on est là, tous les deux… Je ne suis pas contre l’idée d’expérimenter toutes les pièces de ton appartement » et embrassa son cou avec envie, tentant de faire taire cette idée de merde qu’il venait d’avoir au sujet de devenir père.
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Charly
Sam 26 Mar - 14:26
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Peut être que pour cette fois ci elle aurait dû se contenter du laisse tomber. Parce que ce qu’il venait de suggérer… wahou… c’était un peu un coup de massue. Elle ne l’avait pas vu venir cette idée là ! Elle n’eut d’ailleurs pas le temps de répondre quoi que se soit qu’il s’était déjà levé pour se rendre à la cuisine. Maddy avait un peu de mal à comprendre d’où venait ce soudain désir d’enfant. Parce qu’ils en avaient parlé et il était pourtant claire qu’il n’en voulait pas. Il adorait les gosses mais de là à en avoir à lui. Alors pourquoi est ce qu’il venait de lui demandé d’en avoir un ensemble ?! Enfin un autre… Désiré cette fois ci. Pour sauver leur couple ? Pour lui trouver une excuse pour rester ? Elle s’était levée pour lui poser la question. Avant de déclarer que c’était une idée de merde, même si de son point de vu perso, oui c’était bel et bien une idée de merde, ils pouvaient tout de même en discuter.
Madison sentit la culpabilité la prendre dans ses bras et lui souffler un : coucou, je sais ça fait pas longtemps, mais tu me manquais déjà ! La culpabilité de ne pas avoir été capable de se rendre compte que c’était lui le père et non Roy ! Elle savait que les mots d’Elijah n’étaient pas prononcé pour la blesser et pourtant… elle eut bien du mal à les encaisser et détourna la visage. Elle prit sur elle pour ne rien dire. Pas ce soir. Elle préféra s’accrocher à ce qu’il venait d’ajouter. Qu’il était perdu. « -un enfant n’est jamais une solution. Crois moi… C’est… un problème de plus à gérer. » elle se détestait en disant cela. Mais pour elle, il était hors de question de revivre l’enfer. C’était facile pour lui de dire ça ! C’était pas lui qui allait gonfler comme un ballon, avoir la nausée, les jambes lourdes, envie de bouffer des cornichons avec de la pâte à tartiner et surtout pas lui qui allait faire passer un être humain par… Sans compter les nuits blanches, les couches, la montée de lait… et tant d’autres choses qu’elle avait déjà détesté. « -je comprends que… je comprends que tu cherches des solutions, mais ça là, ça n’en ait pas une. En tout cas, là pour le coup c’est moi qui suis incapable de faire ça. » un léger haussement d’épaules en disant cela, comme si c’était haut dessus de ses forces. « d’accord... » souffla t elle ensuite, même si elle savait parfaitement qu’ils en reparleraient. Elle ne voulait pas de sujet sérieux ce soir, pas de prise de tête. « -le comptoir de la cuisine n’attends que mes fesses... » souffla Madison avec un sourire en coin. Ils se voilaient la face mais là tout de suite, elle ne voulait pas penser à ça. Seulement à lui. A eux. Et au plaisir qu’ils étaient capable de se donner. A cette osmose sexuelle qu’elle ne ressentirait plus jamais avec aucun autre homme.
Le lendemain, alors qu’elle le regardait dormir, elle se demanda si elle ne devait pas semer une graine de haine… Qu’il en vienne à la détester peu à peu, à ne plus la comprendre, à se dire qu’il s’était tromper sur toute la ligne. Et puis il poussa son petit soupire en dormant, et elle sourit bêtement… Puis Maddy fixa le plafond durant de longues minutes. Avoir un autre enfant… Si jamais elle acceptait, il y avait bien des facteurs à prendre en compte. Le premier étant Amber. Elle ne pouvait pas la laisser ainsi chez Roy. Pas parce qu’il n’était pas son père, mais surtout parce qu’elle ne pouvait pas accueillir un autre enfant alors qu’elle ne s’occupait pas de sa première. Elle regarda de nouveau Elijah. Peut être qu’avec lui à ses côtés, tout serait différent ? Oui mais si ça ne l’était pas ? Lorsqu’il ouvrit les yeux elle lui sourit, avant de se lever pour faire du café. Lorsqu’il arriva dans la cuisine, elle dit directement sans même un bonjour : « -admettons que je dise oui… qu’on décide de faire un enfant… et si j’étais trop vieille ? Que cet enfant n’arrivait jamais ? Qu’est ce qui se passerait ? Est ce que ça ne serait que retarder la fin ? Gagner un peu de temps avant que tu ne partes pour Londres et disparaisse de ma vie pour toujours ? » oui elle n’avait pas beaucoup dormi, oui elle ne cessait d’y penser.
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Sam 26 Mar - 20:54
Elijah Roberts
J'ai 43 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt très bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir et qu'il allait tomber amoureux d'elle. Et alors qu'il a l'impression de vivre sur un petit nuage, la vie a décidé de compliquer les choses en mêlant son passé à son présent …
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Pourquoi avait-il fallu qu’il expose son idée saugrenue ici même et maintenant alors qu’ils venaient de faire l’amour passionnément, comme ils aimaient tant le faire ?! Il n’aurait pas pu tout simplement savourer le moment, puis réitérer leurs ébats encore et encore, jusqu’à l’épuisement le plus total ?! Non. Il avait fallu qu’il lui expose son idée d’être parent à nouveau. Il le regretta aussi vite que ces paroles avaient passé la barrière de ses lèvres. Mais comme il venait de le confier à Madison, il était perdu. Le journaliste n’avait pas envie de partir à Londres et de la quitter, et d’un autre côté, il savait que la situation finirait par lui peser si jamais il restait. Avoir un enfant, un autre enfant était une alternative dans l’esprit d’Elijah, mais ce n’était pas la solution et la belle brune le lui confirma. Ce n’était qu’un problème de plus à gérer. Il posa alors son regard sur elle et hocha lentement de la tête, soufflant un « Je sais… ». D’autant plus que la jeune femme avait mal vécu sa maternité, alors lui redemander de passer par-là… Ce n’était pas envisageable. Son désespoir le faisait réagir d’une manière illogique, et ça lui pesait d’autant plus qu’il s’en rendait compte après coup, lorsque le mal était fait. Elijah décida donc de mettre fin à cette conversation, lui demandant d’oublier tout cela, et s’approcha de cette dernière, bien décidé à lui refaire l’amour et sourit en voyant qu’il n’était pas le seul à éprouver cette envie « Et je n’attends qu’à me glisser entre tes cuisses » alors qu’il la souleva pour la faire s’asseoir sur le comptoir, bien décidé à se concentrer uniquement sur elle, et seulement elle pour toute la nuit.
En ouvrant les yeux au petit matin, Elijah se mit à sourire presque aussitôt en se rendant compte que Madison l’avait observé dormir. Elle lui avait confié, quelques jours plus tôt, qu’elle le faisait de temps à autre. Il prit le temps d’immerger des bras de Morphée avant de rejoindre la jeune femme dans la cuisine. Seulement vêtu de son pantalon de costume froissé de l’avant-veille, il fit quelques pas jusqu’à elle avant de rester interdit au milieu de la cuisine lorsqu’elle entra dans le vif du sujet. Elijah se frotta les yeux avec la paume de sa main, ôtant les derniers grains du marchand de sable, et se concentra sur les mots de la jeune femme. Il aurait préféré boire un café avant de se retrouver confronter la réalité ainsi, aux premières heures du matin. Sans mot dire, il se servit un café et prit appui contre l’établi, les bras croisé sur son torse nu et l’observa un instant avant de se décider à répondre « Apparemment tu n’as pas beaucoup dormi cette nuit. Et moi qui pensait t’avoir épuisé pourtant ». Un sourire en coin, un peu d’humour, avant de reprendre son sérieux après une gorgée de café, son regard rivé sur le liquide brun fumant dans sa tasse « Je t’ai dit d’oublier tout ça Maddy » et releva son regard sur elle « Je ne vais pas te demander d’être mère parce que soudainement, je me suis découvert une vocation de père après plus de quarante ans à éviter ce rôle. Tu ne veux plus d’enfant et te mettre au pied du mur de la sorte, comme je l’ai fait hier, c’était égoïste de ma part. Aujourd’hui, après une bonne nuit de sommeil, ça sonne comme un : Si tu veux que je reste, donne-moi un enfant parce que je me suis levé ce matin avec l’envie d’être papa… Non… ».
Il se mit à rire nerveusement en regardant Madison « Tu ne veux pas d’enfant, et si on essaie d’en faire un sans qu’il n’arrive, ça va sûrement détruire notre couple à petit feu. Je ne veux pas de ça. Je t’aime plus que tout et … et je cherchais juste une idée pour me faire rester à tes côtés parce que rien que le fait de me dire que d’ici quelques semaines, je ne me réveillerais plus à auprès de toi, ça me bouffe de l’intérieur ». Il prit une nouvelle gorgée de café avant de poser la tasse à ses côtés et s’avança vers la jeune femme, passant ses bras autour de sa taille « Je pourrais essayer. Je veux dire, après le test de paternité. Je pourrais essayer de faire comme si je ne savais pas. Si ça devient trop dur, je partirais, mais je peux essayer. Pour toi, pour nous. Qu’est-ce que tu en penses ? ».
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Sam 26 Mar - 21:46
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Elle avait dit d’accord pour oublier et ne plus y penser. Elle s’était imaginée s’endormir en quelques minutes, blottit tout contre lui. Et pourtant elle était restée là, les yeux grands ouverts à écouter sa respiration devenir de plus en plus paisible. Et l’idée était revenue la hanter. Ça avait tourné en boucle dans son esprit, encore et encore. Alors forcement, il fallait que ça sorte. D’accord, elle pouvait mettre plus de forme, mais ça avait été comme une urgence d’en parler. « -j’aurai préféré dormir crois moi... » marmonna Madison sa tasse de café entre les mains. « -je sais Eli mais c’est pas si facile. » et il le savait parfaitement. Au passage, elle n’apprécia pas vraiment le ton qu’il employa, comme si c’était le patron qui refaisait surface. Elle l’écouta et hocha la tête : « -ouais, ouais je suis assez d’accord. Tu as raison… » un léger rire et elle ajouta : « -au pire je te le fais, et je te le donne. » jeu de mot pourri certes. Donne moi un enfant. Aucun souci, il s’en démerdait après ?!
Madison le regarda avec tendresse. « -je sais... » souffla t elle, ayant pleinement conscience de ce qu’il pouvait ressentir puisque c’était la même chose de son côté. « -petit de cupidon de merde ! » râla t elle en grimaçant. Dans ses bras elle ajouta avec humour : « -on va lui faire la peau ! » comme s’ils en avaient voulu de cet amour qui allait bientôt les faire crever ?! Elle l’écouta ensuite en penchant la tête sur le côté. « -je pense que dans l’idée ça me plais, mais dans la pratique… » il allait souffrir de ça. Il allait devoir fournir des efforts et ça allait être douloureux. « -ça va faire double doses de douleur. Ce temps à faire semblant, puis la séparation. Je peux pas… je peux pas te demander d’endurer ça parce que j’ai pas été capable de comprendre que c’était ta fille le moment venue ! » oui elle s’en voulait. Oh tiens salut copine culpabilité. « -et me dis pas que j’y suis pour rien. » marmonna t elle en relevant les yeux sur lui. « -je suis désolée de t’avoir agressé de cette façon à peine levé. Mais c’était en boucle dans ma tête. Mais crois moi, c’est mieux pour toi de pas assister à ça. J’ai été malade à crever les trois premiers mots. Je vomissais mes tripes à longueurs de journées. J’ai des sautes d’humeur incontrôlable ! Une furie et puis trois minutes après une vraie madeleine ! Et le final merci bien ! J’ai été horrible avec Roy… je l’ai traité de tout les noms. Il en vraiment prit pour son grade. » un sourire en coin espérant faire oublier cette histoire de bébé. Elle approcha son visage et l’embrassa, de de ses baisers qui dure plus que de normal, de ceux qui enflamme les reins et le coeur.
Deux jours plus tard
« -c’est malin à cause de toi on est en retard ! » s’amusa Madison en descendant sa robe alors qu’elle se trouvait sur la banquette arrière. Ils devaient aller diner chez Kim et Peter. Dans la voiture Maddy avait joué avec le feu, faisant remonter sa main le long de la cuisse d’Eli bien trop haut. En deux jours, le sexe était un peu devenu comme leur échappatoire. Elijah s’était garé dans une ruelle, et ils s’étaient envoyés en l’air rapidement et sauvagement. Elle remis de l’ordre dans ses cheveux en repassant à l’avant, idem pour son rouge à lèvres. « -Kim m’a dit qu’elle nous réservait une surprise pour la fin de soirée. Elle a pas voulu m’en dire plus. »
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Tomber amoureux est un véritable parcours du combattant [ft Charly]