But i can't help falling in love with you • MonkeyMama
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MonkeyMama
Mer 6 Juil - 14:14
Glen Holloway
J'ai 40 ans et je vis à Miami, USA. Dans la vie, je suis agent et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. Glen est un grand sensible qui se cache derrière l'apparence d'un clown. C'est quelqu'un de taquin qui a toujours le mot pour rire et détendre l'atmosphère. C'est un bon vivant, il profite de la vie mais il a ralenti la cadence depuis qu'il a atteint la quarantaine. Il n'a rien d'un impulsif. Il est calme et pondéré. Depuis toujours, il rêve de suivre les traces de son père qui était lui-même agent et ce dernier étant parti à la retraite, il a récupéré la totalité de sa clientèle. Glen est un agent en vogue, un homme fiable sur qui on peut compter et si tout lui réussit professionnellement, sa vie personnelle n'est de loin pas aussi réussie. Heureusement, le travail l'occupe assez pour qu'il ne se préoccupe pas trop du désert sentimental qu'est sa vie. Ou presque...
« Loin de moi l’idée de faire enrager ta mère… » qu’il s’amusa à son tour, répondant avec bonne humeur au rire de Lullaby. « Et, effectivement, on va éviter de te blesser. Je suis pas bien sûr de savoir gérer l’organisation d’un mariage seul ! » Ceci dit, il n’aurait pas fait un mauvais infirmier. Il n’avait qu’à l’imaginer si ce n’est qu’un tout petit peu souffrante pour imaginer tous les efforts qu’il ferait pour qu’elle se rétablisse. Cette pensée, il prit soin de la garder pour lui. Pas la peine d’affoler Lullaby plus que de raison. « Celui que je vais gagner ? Oui, précisément. » qu’il rétorqua avec un sourire complice. De l’autre côté de la porte, Glen attendait sagement. Il devait faire des efforts. Ils allaient passer toute une semaine ensemble et il était hors de question qu’il la froisse une fois de plus avec sa maladresse. Il allait se concentrer et ne plus commettre un seul écart. Il allait être adorable. Ni plus, ni moins. Quand Lullaby était sortie de la salle de bain et Glen de la chambre, cette dernière lui demanda d’appliquer de la crème solaire sur les zones qu’elle ne pouvait atteindre seule. Sa nuque. Le haut de son dos. Ses épaules. Tant d’endroits que Glen avait pensé une centaine de fois à toucher mais jamais il n’y avait eu de la crème solaire dans ses projets. Maintenant que sa besogne était terminée, il s’apprêtait à quitter leur logement pour prendre le chemin de la ville. Mais Bee l’en empêcha et, de la crème solaire sur les doigts, elle était venue en appliquer sur le visage de l’agent. Il avait d’abord été un peu surpris, pris de court par ce contact physique auquel il ne s’attendait pas. Elle avait l’air bien concentrée sur sa tâche et Glen n’avait pas pu s’empêcher de trouver ça mignon. Ou plutôt, c’était elle qui était mignonne. Son sourire traduisait alors un certain amusement alors que son regard, lui, s’était rempli d’une tendresse infini. « Eh bien, je vois que madame ne perd jamais ses objectifs professionnels de vue… » qu’il plaisanta dans un premier temps, comme si elle s’occupait de lui comme ça uniquement parce qu’elle se souciait des photos du mariage à venir. « Te fais pas trop de soucis pour ça, j’ai le teint de quelqu’un qui vit en Floride moi ! » qu’il l’avait taquiné ensuite alors qu’elle retirait ses mains de son visage. Dieu merci, elle n’allait pas s’aventurer dans son dos. Glen n’était pas certain d’y survivre. « Merci. » qu’il souffla presque inaudiblement alors qu’elle donnait son feu vert pour qu’ils s’en aillent. Ni une, ni deux, ils prirent le chemin de la réception où ils firent venir un taxi. « Peut-être qu’on devrait louer une voiture… Ce serait plus pratique, non ? » qu’il interrogea la demoiselle alors qu’ils attendaient maintenant à l’extérieur que leur taxi arrive.
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Elsy Lullaby
Mer 6 Juil - 16:26
Lullaby Watson
J'ai 28 ans et je vis à Miami, Floride, USA. Dans la vie, je suis influenceuse & wedding planer et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire, amoureuse d'un ami d'mon père et c'est plutôt la galère. Elle est la troisième enfant d'un couple composée d'une chirurgienne, Erin, et d'un mannequin, Mickaël. * Ses parents sont devenus parents jeunes et son père s'est lancé dans le mannequinat pour subvenir à leurs besoins pendant que sa mère poursuivait ses études. * Elle a deux grands frères et est la marraine du fils de Philipp, l'aîné de la famille. Ce neveu s'appelle Noah. Son autre frère s’appelle Ethan. * Elle est devenue influenceuse à l'âge de 16 ans. * Elle a monté sa société d'organisation de mariage à 20 ans * Lullaby en pince pour un ami de son père qui est aussi l'agent de ce dernier depuis quelques années.
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Loin de lui l’idée de faire enrager sa mère. La demoiselle rit. Il valait mieux éviter, mine de rien. Erin pouvait être terrible lorsqu’elle se mettait en colère. Si Lullaby ne l’avait pas souvent vu sortir de ses gonds contre elle-même, elle savait en revanche que sa mère pouvait être redoutable quand elle perdait son calme. Personne n’avait envie de la voir dans de tels états de tout façon. Glen pas plus que les autres, même si c’était ce qui les attendait sûrement si histoire il venait à y avoir entre eux. Quoique. Sa mère serait sûrement toujours moins terrible que son père à ce moment-là. Inutile, cependant, de le dire. Glen devait le savoir. C’était même là tout le problème, finalement, freinant leur potentielle histoire.
"- Allons donc, je suis sûre que tu ferai des miracles !" assure la jeune femme. "Cela ne doit pas être bien plus difficile que de gérer des célébrités voyons. C’est beaucoup d’organisation, surtout. Et de bon goût, je te l’accorde… C’est peut-être ce qui serait le plus difficile pour toi." le taquine-t-elle, sans pourtant en penser un mot.
S’il annonce qu’il va gagner le concours de mangeurs de sushis, Lullaby laisse entendre un rire pour sa part, ne se donnant même pas la peine de le contredire. Il n’était pas près pour ce qui l’attendait celui-là. Il n’allait pas en revenir quand il verrait les quantités que la demoiselle était capable de s’enfiler, quand il était question de sushis. Bon, ce ne serait pas forcément des plus élégants… Mais quand il était question de son plat favori, elle n’était jamais dans la retenue. Comment le pourrait-elle ? C’était beaucoup trop bon pour se montrer raisonnable, malgré toutes les mises en garde de sa mère sur le fait de trop manger, trop abuser des bonnes choses.
Sentir les doigts de l’homme sur son épiderme avait quelque chose de terriblement agréable, même si ce n’était que pour étaler de la crème solaire sur sa peau pour lui éviter quelques coups de soleil désastreux et des risques de cancer. Elle y serait volontiers restée bien plus longtemps. Tout comme elle aurait volontiers rendu la pareille à l’homme si cela avait été nécessaire. Au lieu de cela, elle s’était contenté de protéger le visage de l’agent, au cas où, ne loupant pas cette occasion d’une nouvelle taquinerie complice.
"- Tout par intérêt, exactement !" affirme la demoiselle. "Je serai trop peiné que tu ne vole pas la vedette au marié le jour j !" Elle lui tire la langue. "Je n’y peux rien si ma mère est née dans l’état le plus pluvieux des États-Unis !" se défend la demoiselle en riant.
Attrapant son chapeau et ses lunettes de soleil, la jeune femme lui emboite le pas, tout deux gagnant la réception du complexe pour prendre un taxi leur permettant de rejoindre le centre ville, là où ils trouveraient un peu d’animation pour la soirée. Et un bon restaurant, dont elle n’a pas manqué de demander des recommandations à l’accueil.
"- Oui, ce sera plus pratique pour se déplacer, surtout si on veut aller promener un peu le soir…" remarque la jeune femme. "Visiter les petits villages comme Perissa par exemple, ou Mesa Gonia... Je suis sûre que ce village te plairait !"
J'ai 40 ans et je vis à Miami, USA. Dans la vie, je suis agent et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. Glen est un grand sensible qui se cache derrière l'apparence d'un clown. C'est quelqu'un de taquin qui a toujours le mot pour rire et détendre l'atmosphère. C'est un bon vivant, il profite de la vie mais il a ralenti la cadence depuis qu'il a atteint la quarantaine. Il n'a rien d'un impulsif. Il est calme et pondéré. Depuis toujours, il rêve de suivre les traces de son père qui était lui-même agent et ce dernier étant parti à la retraite, il a récupéré la totalité de sa clientèle. Glen est un agent en vogue, un homme fiable sur qui on peut compter et si tout lui réussit professionnellement, sa vie personnelle n'est de loin pas aussi réussie. Heureusement, le travail l'occupe assez pour qu'il ne se préoccupe pas trop du désert sentimental qu'est sa vie. Ou presque...
Le rire de Lullaby avait toujours une résonance presque magique chez Glen. C’était terriblement contagieux. L’idée qu’il puisse la faire rire rendait la moindre ses vannes complètement géniale. Il ne s’en lasserait jamais. Avait-elle seulement conscience de l’effet que lui faisait son rire ? C’était fort peu probable et Glen se jura mentalement de lui dire… Un jour. Pas aujourd’hui, bien sûr. Il était trop tôt à son goût, ils avaient le temps de se découvrir encore un peu avant qu’il ne se dévoile de cette façon. « Je suis sûr que non, chacun son métier. » qu’il avait acquiescé en souriant. Mais ça, c’était avant qu’elle ne lui tire dessus à balle réelle et qu’il affiche un air mi-surpris, mi-amusé. « Lullaby Watson ! Comment oses-tu ! » qu’il s’exclama, un rire s’échappant finalement de ses lèvres. « Qu’est-ce qui te fait croire que je n’ai pas de goût ? Que je sache, j’ai très bon goût en matière de femmes. » qu’il avait rétorqué, plus taquin que jamais. Glen pouvait se permettre cette remarque car la seule femme qui ne l’avait jamais fait vibrer… c’était nulle autre que Lullaby elle-même. Il espérait qu’elle allait comprendre l’allusion d’ailleurs. Sa blague tomberait autrement à l’eau. Il n’y avait rien de pire qu’une blague qui tombe à l’eau. Glen n’était pas vraiment un habitué des bides mais il faisait tellement d’humour qu’il lui arrivait de se foirer de temps à autre. « J’aurais du me douter que tu étais quelqu’un d’intéressé… » qu’il affirma, l’air faussement pensif, sans en penser un mot pour autant. S’il y a bien une chose qu’elle n’était pas, c’était intéressée. Glen n’en doutait même pas. A vrai dire, il ne lui trouvait aucun défaut. Elle était… parfaite. Tout simplement. « Bah bien sûr, mets ça sur le dos de ta pauvre mère ! La génétique a bon dos, Casper. » qu’il avait rit en choeur avec Lullaby alors qu'ils prenaient le chemin de la réception où ils s’étaient commandé un taxi. « T’as l’air de bien connaitre. » que Glen avait fait remarquer alors qu’ils étaient tous les deux sortis et qu’elle lui parlait de villages dont il n’avait jamais entendu parler. La dernière fois qu’ils étaient venus, son planning n’avait absolument pas été fait de visite et de balades. Il allait découvrir les lieux autrement avec Bee et il semblerait même qu’elle allait le guider. « Je m’occuperais de ça demain matin pendant que tu fera tes trucs de mariage. » Au loin, il voyait déjà une voiture arriver. « Enfin, si t’as pas besoin de moi, bien sûr. Je n’oublie pas que j'ai promis de te servir. » qu’il plaisanta de nouveau, bien que très sérieux, alors que le taxi s’arrêtait à leur niveau. Il laissa Lullaby passer en première et s’installa ensuite à côté d’elle.
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Elsy Lullaby
Jeu 7 Juil - 2:24
Lullaby Watson
J'ai 28 ans et je vis à Miami, Floride, USA. Dans la vie, je suis influenceuse & wedding planer et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire, amoureuse d'un ami d'mon père et c'est plutôt la galère. Elle est la troisième enfant d'un couple composée d'une chirurgienne, Erin, et d'un mannequin, Mickaël. * Ses parents sont devenus parents jeunes et son père s'est lancé dans le mannequinat pour subvenir à leurs besoins pendant que sa mère poursuivait ses études. * Elle a deux grands frères et est la marraine du fils de Philipp, l'aîné de la famille. Ce neveu s'appelle Noah. Son autre frère s’appelle Ethan. * Elle est devenue influenceuse à l'âge de 16 ans. * Elle a monté sa société d'organisation de mariage à 20 ans * Lullaby en pince pour un ami de son père qui est aussi l'agent de ce dernier depuis quelques années.
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Chacun son métier, c'est vrai. Cependant la demoiselle est on ne peut plus certaine que si elle venait à tomber malade et le dirigeait pour mener à bien les derniers préparatifs de ce mariage, l'homme s'en sortirait comme un chef. Mais ils ne vérifieront toutefois pas cette hypothèse comme il n'y a aucune raison pour qu'elle tombe malade. Et parce que même si tel était le cas elle prendrait sur elle pour terminer sa tâche, à moins d'être vraiment à l'article de la mort, incapable de faire quoi que ce soit. Un état qu'elle ne risquait pas d'atteindre. Pas sous le soleil de Santorin, avec la prudence qui l'a caractérisait.
Comme il proteste à la petite pique sur le bon goût, la jeune femme laisse entendre un nouveau petit rire. Et pourtant. La question des goûts, des couleurs, dans un mariage pouvait être pour le moins pointue, comme elle avait fini par le découvrir avec les années et l'expérience. Cela ne voulait pas dire qu'elle remettait en question les goûts de l'homme. Notamment ceux qu'il avait en matière de femmes.
"- Tu as des goûts qui m'arrangent, nuance. Peut-on dire pour autant qu'ils sont bons ?" elle hausse les épaules. Ce serait très prétentieux de sa part d'affirmer cela. "Tu connais la différence entre les couleurs crème, sable, écru et blanc cassé ?" s'enquit-elle ensuite, sur le ton de la conversation.
Cela faisait partie des choses qu'elle avait découvert avec le temps, de ces microscopiques détails qu'elle avait appris à distinguer et utiliser. Pour beaucoup le nom de la couleur ne changeait rien, ils y voyaient la même teinte. Mais ce n'était pas le cas. Et cela allait au-delà d'une question de nuances. Certaines étaient plus chaudes ou plus froides. Selon cette variable, cela allait plus ou moins avec le reste de la décoration. Aussi simple que ça.
"- Et calculatrice, avec ça !" plaisante la jeune femme.
La seule chose qu'elle calculait pourtant là tout de suite, c'était le nombre de baisers qu'elle voudrait qu'il lui dépose dans le creux de son cou, dans sa nuque, sur sa mâchoire, ses lèvres… un nombre astronomique alors qu'elle ne pourrait pas davantage s'en lasser que de son massage. C'est une pensée qu'elle garde toutefois pour elle, consciente qu'il suffisait de peu pour le mettre mal à l'aise et ruiner les maigres progressions des dernières minutes.
"- Je ne dis que la vérité !" assure la jeune femme. "Et je ne suis pas Casper ! Je suis juste couleur n'a pas le temps de lézarder au soleil moi, monsieur !" poursuit-elle en riant.
Elle a l'air de bien connaître l'île, dit-il. Mais pas tant que ça non plus. Il a seulement fallu se renseigner un peu pour l'organisation du mariage. Alors elle a retenu les essentiels. Les belles stations balnéaires. Les coins viticoles qui feraient le bonheur de son compagnon de voyage… avec un peu de chance un de ces soirs ils pourraient jouir d'une sympathique dégustation de vin dans un vignoble. Un rencard parfait.
"- Et en même temps je ne sais pas si la voiture sera la plus adaptée selon les routes… mais j'en aurai besoin pour travailler demain je pense. On pourrait peut-être y aller avant de s'y mettre ?" propose la demoiselle avant d'esquisser un sourire. "Oui oui… tu essayais déjà de te défiler surtout !" plaisante-t-elle avant de grimper dans la voiture. "Bonsoir ! Le centre-ville, s'il vous plaît !" demande-t-elle alors. "Excusez-moi… Circule-t-on aisément dans Oia en voiture ?" demande-t-elle au chauffeur. "Ou il vaut mieux utiliser un autre moyen pour se déplacer si l'on veut pouvoir aller vraiment partout, mais rapidement ?
J'ai 40 ans et je vis à Miami, USA. Dans la vie, je suis agent et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. Glen est un grand sensible qui se cache derrière l'apparence d'un clown. C'est quelqu'un de taquin qui a toujours le mot pour rire et détendre l'atmosphère. C'est un bon vivant, il profite de la vie mais il a ralenti la cadence depuis qu'il a atteint la quarantaine. Il n'a rien d'un impulsif. Il est calme et pondéré. Depuis toujours, il rêve de suivre les traces de son père qui était lui-même agent et ce dernier étant parti à la retraite, il a récupéré la totalité de sa clientèle. Glen est un agent en vogue, un homme fiable sur qui on peut compter et si tout lui réussit professionnellement, sa vie personnelle n'est de loin pas aussi réussie. Heureusement, le travail l'occupe assez pour qu'il ne se préoccupe pas trop du désert sentimental qu'est sa vie. Ou presque...
Glen était parfaitement bien à sa place. Son métier, ça a toujours été et ce sera toujours son premier bébé. C’est ce qu’il a toujours voulu faire et il le fait avec une véritable dévotion. Alors, s’il admirait indéniablement la carrière de Lullaby, il n’aurait souhaité pour rien au monde prendre sa place. L’organisation, il laissait volontiers ça aux autres. Il était beaucoup trop maladroit pour ça. Il n’avait qu’à s’imaginer disposer des verres sur une table pour avoir des sueurs froides. Très peu pour lui. Mais il ne s’attendait pas pour autant à ce que la jeune femme questionne son goût, même si ça le faisait beaucoup rire. C’était son crédo, pile le genre d’humour qu'il aimait. « Te concernant, c’est même plus du bon goût… c’est du bon sens, vois-tu. » qu’il l’avait laissé échappé un peu trop rapidement dans l’euphorie de ce moment de complicité. Et puis tant pis. Ne lui avait-il de toute façon pas déjà dit à quel point il l’estimait ? « Quelle différence ? » qu’il demanda avec un air confus au possible. Il ne s'était à vrai dire jamais interrogé sur le sujet mais, depuis sa perspective, ça avait vachement l’air d’être la même chose. « Et dire que tu as le visage d’un ange… » qu’il fait remarquer, toujours aussi taquin. Qui aime bien châtie bien, non ? C’était un très bon exemple. Ça faisait du bien de se lâcher un peu après le couac de l’aéroport. Glen tremblait encore de faire une autre boulette mais, heureusement, il semblait qu’il tenait le bon bout. « T’es de la couleur d’une Suédoise ! Un petit Krisprolls ! » qu’il s’était exclamé avec un petit rire avant de reprendre : « Et ma peau capte le moindre rayon UV comme le bon Miaméen que je suis. » Il avait haussé les épaules, incapable d’expliquer autrement son bronzage naturel. Ce n’est pas comme s’il lézardait justement au soleil. Ça n’arrivait pour ainsi dire jamais. Mais cette semaine, ça allait changer. Il aurait peut-être bien l’occasion de mettre les pieds en éventail sur une plage face au soleil. « On peut faire ça… Histoire d’assurer tes arrières. » qu’il acquiesça dans un sourire alors qu’ils étaient montés dans leur taxi. Bee avait annoncé la direction puis demandé des informations au chauffeur. « On pourrait prendre un scooter ? » qu’il avait fait remarquer en se mêlant à la conversation qu’avait Lullaby avec le chauffeur. Ils auraient au moins l’avantage de pouvoir se faufiler partout sans compter qu’ils pourraient se garer à peu près partout également.
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Elsy Lullaby
Mer 13 Juil - 23:30
Lullaby Watson
J'ai 28 ans et je vis à Miami, Floride, USA. Dans la vie, je suis influenceuse & wedding planer et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire, amoureuse d'un ami d'mon père et c'est plutôt la galère. Elle est la troisième enfant d'un couple composée d'une chirurgienne, Erin, et d'un mannequin, Mickaël. * Ses parents sont devenus parents jeunes et son père s'est lancé dans le mannequinat pour subvenir à leurs besoins pendant que sa mère poursuivait ses études. * Elle a deux grands frères et est la marraine du fils de Philipp, l'aîné de la famille. Ce neveu s'appelle Noah. Son autre frère s’appelle Ethan. * Elle est devenue influenceuse à l'âge de 16 ans. * Elle a monté sa société d'organisation de mariage à 20 ans * Lullaby en pince pour un ami de son père qui est aussi l'agent de ce dernier depuis quelques années.
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Glen avait-il de bons goûts ? En matière de vin c'était indéniable. Mais en matière de femme ? Lullaby ne dirait pas qu'elle correspondait à ce que l'on pouvait appeler du bon goût. Elle n'avait pas cette prétention là. Lui semblait pourtant penser le contraire. Songer que plus que du bon goût, c'était du bon sens, là où la jeune femme pensait que ses goûts n'étaient au mieux qu'arrangeant pour elle. Ils l'étaient sans conteste. Mais étaient-ils pour autant bons ? Le bon sens voudrait pourtant qu'ils soient amoureux de n'importe qui sauf l'un de l'autre. Et pourtant. Bee avait conscience d'être sûrement amoureuse de lui. Quant à lui… la trouvait-il seulement à son goût, ou pouvait-elle espérer que cela soit d'avantage ?
”- Du bon sens ?” ne peut-elle s'empêcher de chercher à creuser.
Évidemment il ne connaît pas la différence entre les couleurs que la demoiselle a pu lui énoncer. Et elle ne s'attendait pas vraiment à ce qu'il en soit autrement. Savoir ce genre de choses n'était pas le métier de Glen mais le sien. Malgré tout elle ne doutait pas qu'il s'en sortirait s'il le fallait. Mais elle préférait lui épargner ça. Une bonne raison, donc, pour qu'elle fasse attention à ne pas faire une insolation. De plus, pour profiter de la semaine dans les Cyclades, ce ne serait à vrai dire pas l'idéal.
”- Tu vois ce que je disais !” plaisante la demoiselle. ”Aucun goût !"
Elle a le visage d'un ange, affirme-t-il, alors même qu'elle vient de se prétendre calculatrice et cet aveux dans la bouche de l'homme ne manque pas de la ravir. Elle aimait l'idée d'avoir pour lui le visage d'un ange. Elle aimait l'idée qu'il la complimente. L'idée de lui plaire. Si seulement ça pouvait être suffisant pour qu'il se laisse aller davantage, pour qu'il accepte certaines choses, pour qu'il ne fasse pas un pas en arrière chaque fois qu'il en faisait un en avant. Mais ça ne l'empêchait pas, aussi angélique la trouvait-il, d'aussi la trouver bien pâle. Une suédoise. Un petit krisproll.
”- Même que mon second prénom c'est Ikea.”
Facilement démontable comme disait la blague qu'elle s'abstient de formuler devant lui. Parce qu'il n'était sûrement pas prêt pour ce genre d'humour, pas prêt non plus pour la visualiser sous cet angle là. Et qu'elle n'avait pas vraiment le courage de balancer quelque chose d'aussi cru. Pas devant lui. Pas dans ces circonstances. Pas alors qu'ils étaient dans une situation aussi délicate.
”- Ce serait parfait.” affirme-t-elle
La conversation naturellement se fait plus pragmatique, sérieuse, quant ils abordent la question de l'organisation à adopter le lendemain pour venir à bout de tout ce qu'ils avaient à faire dans l'organisation du mariage. Il leur faudrait notamment pouvoir se déplacer facilement en ville. La voiture était-elle ce qu'il y avait de plus adapté ? Elle en doutait. Et questionne alors le chauffeur, tandis que Glen se joint à la conversation, proposant d'utiliser un scooter. Ce serait une bonne idée. Et la blonde s'abstient de lui faire remarquer qu'il faudrait rouler collé-serre.
”- Oui ce serait une bonne idée !” affirme-t-elle, au contraire.
J'ai 40 ans et je vis à Miami, USA. Dans la vie, je suis agent et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. Glen est un grand sensible qui se cache derrière l'apparence d'un clown. C'est quelqu'un de taquin qui a toujours le mot pour rire et détendre l'atmosphère. C'est un bon vivant, il profite de la vie mais il a ralenti la cadence depuis qu'il a atteint la quarantaine. Il n'a rien d'un impulsif. Il est calme et pondéré. Depuis toujours, il rêve de suivre les traces de son père qui était lui-même agent et ce dernier étant parti à la retraite, il a récupéré la totalité de sa clientèle. Glen est un agent en vogue, un homme fiable sur qui on peut compter et si tout lui réussit professionnellement, sa vie personnelle n'est de loin pas aussi réussie. Heureusement, le travail l'occupe assez pour qu'il ne se préoccupe pas trop du désert sentimental qu'est sa vie. Ou presque...
« Oui, du bon sens… » qu’il avait réaffirmé dans un premier temps alors que Lullaby lui demandait d’étayer ses propos. Sa curiosité ne l’étonnait pas. Après tous ces hauts et ces bas, elle avait sans doute envie de mieux comprendre ce que Glen pensait d’elle. Aussi, il ne songea pas un seul instant à éviter la question et s’était éclairci la gorge pour dire : « Je dois pas être le seul à te trouver aussi intelligente… et drôle… et belle. » A chaque compliment, il avait marqué une petite pause. Il reprit ensuite : « C’est juste du bon sens. C’est impossible de ne pas t’aimer. » Et c’était bien là tout le problème d’ailleurs. Si c’était possible, il n’en serait pas là. Glen aurait simplement érigé un mur de vingt mètres de haut entre eux et il n’aurait plus jamais si ce n’est que posé les yeux sur elle. Mais elle était trop bien. Pas pour lui parce qu’elle était la fille d’un ami mais trop bien quand même. Sur son visage, il n’y avait aucune trace d’amusement. Glen était simplement sincère. En revanche quand Bee lui reprocha de n’avoir aucun goût, un rire s’échappa de nouveau de ses lèvres et il en oublia le sérieux de ses déclarations précédentes. « Presque aucun, alors. » qu’il précisa quand même d’un air taquin, bien résolu à lui faire comprendre qu’elle lui plaisait vraiment et que c’était une preuve de bon goût. « Lullaby Ikea Watson… Je me demande pourquoi tes parents m’ont jamais dit ça. » qu’il s’amusa à son tour, sans même penser à la vanne absolument douteuse qu’il aurait pu faire. Et tant mieux. Il aurait eu envie de s’enterrer six pieds sous terre si ça avait été le cas. Penser aussi loin… Il se le refusait totalement, ultime barrière érigée mentalement entre elle et lui. Dans le taxi, ils en étaient venus à parler organisation. Bee avait l’air enthousiaste à l’idée de louer un scooter, Glen hocha alors la tête en signe d’accord silencieux. « Ce sera marrant. J’aurais l’impression d’avoir seize ans de nouveau. » Et cette époque était bien loin maintenant. Pourtant, Glen s’en souvenait parfaitement bien. Les années lycée étaient souvent ingrates pour une bonne majorité des gens mais pour Glen, elles faisaient parties des plus belles années de sa vie. Arrivés à destination, Glen était descendu du taxi pour humer l’air méditerranéen à plein poumon. L’air d’ici lui semblait tellement différent de sa Floride natale mais il savait qu’il ne lui faudrait que quelques heures pour s’acclimater à ce changement et ne plus le remarquer. « Allez, c’est parti… » que Glen avait lancé en s’assurant que Lullaby soit bien à ses côtés. C’était officiel : il se sentait en vacances.
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Elsy Lullaby
Ven 22 Juil - 18:49
Lullaby Watson
J'ai 28 ans et je vis à Miami, Floride, USA. Dans la vie, je suis influenceuse & wedding planer et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire, amoureuse d'un ami d'mon père et c'est plutôt la galère. Elle est la troisième enfant d'un couple composée d'une chirurgienne, Erin, et d'un mannequin, Mickaël. * Ses parents sont devenus parents jeunes et son père s'est lancé dans le mannequinat pour subvenir à leurs besoins pendant que sa mère poursuivait ses études. * Elle a deux grands frères et est la marraine du fils de Philipp, l'aîné de la famille. Ce neveu s'appelle Noah. Son autre frère s’appelle Ethan. * Elle est devenue influenceuse à l'âge de 16 ans. * Elle a monté sa société d'organisation de mariage à 20 ans * Lullaby en pince pour un ami de son père qui est aussi l'agent de ce dernier depuis quelques années.
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Du bon sens, répète-t-il. Et la demoiselle ne comprend toujours pas ce qu’il veut dire. Mais son cœur bat la chamade. Du bon sens. Ces mots sonnaient comme un compliment. Un compliment qu’il n’avait pas l’habitude de lui faire tant il essayait toujours d’être dans le contrôle, en sa présence. Un compliment que la demoiselle apprécie, cependant. Et plus encore lorsqu’il explicite sa pensée, venant énumérer toutes les qualités qu’il lui trouve. L’intelligence, l’humour… La beauté. La demoiselle pique un fard, alors. Pensait-il vraiment tout cela d’elle ? Et surtout, la trouvait-il vraiment aussi belle qu’il le dit ? La jeune femme l’espère, évidemment. Du plus profond de son être. Jusqu’à ce qu’il décide de l’achever, en affirmant que c’est impossible de ne pas l’aimer. Devait-elle comprendre par-là qu’il nourrissait pour elle ce genre de sentiments ? Que ça allait, déjà, au-delà de l’attirance, et qu’il était bel et bien amoureux d’elle ? Elle qui pensait encore, il y a tout juste quelques semaines qu’il ne le regarderait même jamais comme une femme… Elle s’était donc à ce point trompée ? Sur toute la ligne ? Il semblerait.
Est-ce que tu m’aime, Glen ? Cette pensée, Bee s’interdit malgré tout de la formuler. Elle aurait trop peur de la réponse. Trop peur qu’il ne se ravise, qu’il réponde non, qu’il cherche à se protéger de tout ça. Qu’il fasse à nouveau un pas en arrière, comme il l’avait déjà fait précédemment. Pas plus tard qu’à leur entrée dans l’avion, d’ailleurs. A moins que Santorin ne puisse vraiment lui permettre d’aborder tout ça sous un œil neuf ? Un œil qui accepterait l’évidence de leur alchimie, de cette entente merveilleuse qui est la leur ? Un œil qui accepterait de voir qu’il lui manquait, même quand il était tout près d’elle ? Qui accepterait de voir qu’elle était incapable de passer à autre chose ?
”- Presque aucun.” acquiesce la jeune femme comme l’homme affirme qu’il a quand-même un peu de goût. Même s’il ne connaît pas la différence entre les blancs qu’elle a énuméré.
Comme il s’en prend à son teint bien plus pâle que la moyenne à Miami, Bee ne peut s’empêcher de lui tirer la langue furtivement, comme une enfant. Pourquoi ses parents n’avaient jamais dit que son second prénom était Ikea ? Sûrement parce qu’il ne l’était pas. Mais c’est une autre réplique que la belle voudrait lancer, qu’elle retient. Pourquoi devait-il à ce point lui tendre des perches ? Et pourquoi l’envie de plaisanter était si naturelle avec lui ? Pourquoi ça devait être si simple, si normal ? Dans le taxi, cette question ne la lâche pas, tandis qu’ils discutent de l’organisation des prochains jours ou plutôt de leur moyen de locomotion pour ceux-ci. Ils étaient toujours sur la même longueur d’onde.
”- T’avais un scooter à l’époque ?”. s’enquit-elle comme il évoque sa jeunesse.
Quittant le taxi, la demoiselle l’observe comme il prend une grande goulée d’air. Il était à présent comme un enfant heureux de prendre l’air frais, de découvrir la mer. Pourquoi est-ce qu’il devait à ce point lui plaire ? En tout ? Au moindre geste qu’il faisait ? Même quand il ne faisait que respirer ou l’inviter à commencer leur promenade, la faisant se rapprocher de lui ?
”- J’ai tellement envie de t’embrasser.” souffle-t-elle tandis que son cœur bat la chamade. ”C’est… mal ?”
J'ai 40 ans et je vis à Miami, USA. Dans la vie, je suis agent et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. Glen est un grand sensible qui se cache derrière l'apparence d'un clown. C'est quelqu'un de taquin qui a toujours le mot pour rire et détendre l'atmosphère. C'est un bon vivant, il profite de la vie mais il a ralenti la cadence depuis qu'il a atteint la quarantaine. Il n'a rien d'un impulsif. Il est calme et pondéré. Depuis toujours, il rêve de suivre les traces de son père qui était lui-même agent et ce dernier étant parti à la retraite, il a récupéré la totalité de sa clientèle. Glen est un agent en vogue, un homme fiable sur qui on peut compter et si tout lui réussit professionnellement, sa vie personnelle n'est de loin pas aussi réussie. Heureusement, le travail l'occupe assez pour qu'il ne se préoccupe pas trop du désert sentimental qu'est sa vie. Ou presque...
Glen se surprenait à ne ressentir aucune culpabilité vis-à-vis de Mickaël. La seule qu’il ressentait, c’était bien vis-à-vis de Lullaby qu’il avait déjà trop fait souffrir ces derniers temps. Cela étant, il était bien décidé à se rattraper. Il voulait lui être agréable, peut-être même se montrer charmant. Alors il se laissait aller. Doucement mais sûrement. Il lui disait clairement ce qu’il pensait d’elle, il essayait de mettre le moins de barrière possible entre eux. Et ça rendait l’atmosphère nettement plus agréable. L’île grecque lui donnait l’impression d’un petit paradis sur Terre et Lullaby n’y était pas étrangère. Glen se sentait plus léger si bien qu’il n’avait aucune idée d’où ça les mènerait. Et, à vrai dire, il n’avait pas envie d’y réfléchir. Réfléchir sur le sujet ne faisait que lui donner envie de reculer. Toutes les avancées que connaissait leur relation ne se faisaient que sur l’instinct, l’envie du moment. Pourquoi se risquer à réfléchir dans ce cas ? L’agent passait un trop bon moment. « Un scooter et une coupe de cheveux façon Nick Carter dans les Backstreet Boys. Horrible. Je me pensais super cool. Rends-moi un service… Si jamais tu rencontres ma mère et qu’elle te propose de regarder un album de moi petit, dis non, merci. » qu’il avait rigolé en faisant la moue. Et en tant qu’enfant unique, il n’existait pas qu’un seul album photo du seul rejeton Holloway. Il y en avait des dizaines et quelques milliers de photos qui étaient encore rangées dans leur pochette. C’était une autre époque, celle de l’avant numérique. Et alors qu’ils étaient sortis du taxi et que Glen s’apprêtait à commencer leur balade, Bee lui fit une révélation qui ne manqua pas de le clouer sur place. L’embrasser. Là ? Tout de suite ? Maintenant ? Glen eut un moment d’absence où ses neurones s’étaient touchés entre eux. Quand enfin il avait retrouvé ses esprits, il avait péniblement articuler : « Non. Pas du tout. » Et il s’était ensuite longuement demandé s’il devait l’embrasser ou non. C’était quoi… Leur troisième baiser ? Après ceux où il était décidément trop alcoolisé, ils méritaient sans doute quelque chose de mieux… Ou de plus romantique qu’un rapide baiser à la sortie d’un taxi en tout cas. Alors Glen s’était ravisé et s’était mis à marcher. « Pas tout de suite. » qu’il avait soufflé, de manière presque inaudible, en espérant ne pas froisser la demoiselle.
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Préférence de jeu : Femme
Elsy Lullaby
Ven 29 Juil - 22:17
Lullaby Watson
J'ai 28 ans et je vis à Miami, Floride, USA. Dans la vie, je suis influenceuse & wedding planer et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire, amoureuse d'un ami d'mon père et c'est plutôt la galère. Elle est la troisième enfant d'un couple composée d'une chirurgienne, Erin, et d'un mannequin, Mickaël. * Ses parents sont devenus parents jeunes et son père s'est lancé dans le mannequinat pour subvenir à leurs besoins pendant que sa mère poursuivait ses études. * Elle a deux grands frères et est la marraine du fils de Philipp, l'aîné de la famille. Ce neveu s'appelle Noah. Son autre frère s’appelle Ethan. * Elle est devenue influenceuse à l'âge de 16 ans. * Elle a monté sa société d'organisation de mariage à 20 ans * Lullaby en pince pour un ami de son père qui est aussi l'agent de ce dernier depuis quelques années.
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Une coupe de cheveux façon Nick Carter, dans un groupe de chanteurs, un boys band, qu’elle n’avait jamais écouté. Bee ne lui ferait pas remarquer qu’elle était née après la formation du groupe. Ce serait une grossière erreur de sa part tant le fossé entre eux n’avait pas besoin d’être creusé davantage. Pas alors que l’homme savait très bien s’y prendre tout seul pour cela. Pas alors qu’il était déjà sur la réserve, avançant avec elle avec prudence, faisant parfois trois pas en arrière pour deux en avant. Elle avait déjà bien assez de mal avec cela pour ne pas se tirer elle-même une balle dans le pied avec une remarque malheureuse. Ce serait trop bête. Ce n’était pas comme si tous dangers étaient désormais écartés. Elle en avait eu la preuve le matin même dans l’avion, après tout.
”- Je suis sûre que ce n’était pas aussi terrible que tu veux me le faire croire !” affirme la demoiselle.
Refuserait-elle de consulter les albums si madame Holloway le lui proposait ? Sûrement pas. Lullaby ne doute pas un instant que l’homme était un séduisant adolescent, à l’époque. Souffrant peut-être de goûts très particuliers, mais ce n’était pas comme s’ils ne les avaient pas déjà mis en doute un peu plus tôt. Au contraire, elle ne demandait qu’à en cerner toute la portée, quitte à devoir plonger dans l’enfance et l’adolescence de l’homme, à la recherche de ses looks les plus discutables. Comme toute enfant des années 90, elle en avait eu son lot aussi, malheureusement.
”- Je les éplucherais UN PAR UN. Consciencieusement.” assure tout au contraire la jeune femme comme il lui demande de promettre qu’elle n’acceptera pas de consulter ces vieilles photographies. Et puis quoi encore ?
Leur taxi s’arrêtant finalement après de longues minutes à rouler dans les rues d’Oia, tous deux le quittent rapidement, contemplant la ville qui s’offre à eux. Sans que ce ne soit le seul spectacle dans lequel la demoiselle se perd, l’homme attirant magnétiquement son attention, comme toujours. Là, au milieu de ces rues, de ces paysages, elle brûlait d’envie de l’embrasser. Comme un besoin. Intense. Violent. Dévorant. Quelque chose qu’elle ne pouvait pas expliquer, contre quoi elle ne pouvait pas lutter. Et ce n’était, dit-il, pas mal, même s’il préfère se mettre en route, suggérant que ce n’était pas le moment. Pas tout de suite. Cela voulait-il dire qu’il n’y serait pas opposé, un peu plus tard ? Ou n’était-ce qu’une manière pour lui de rétropédaler, de faire marche arrière, de se sortir d’un mauvais pas ? Elle l’ignorait.
”- Pourquoi ?” souffle-t-elle finalement comme ils s’arrêtent, laissant passer un convoi de trois ânes partants à l’assaut de l’île.