Je n'avais plus de vie... avant toi [ft Clionestra]
Messages : 4105
Date d'inscription : 29/12/2020
Crédits : La grinch de mon coeur !
Univers fétiche : Fantastique
Préférence de jeu : Les deux
Clionestra
Jeu 7 Sep - 21:14
Leatitia Parker
J'ai 31 ans et je vis dans un trou paumé, en Amérique. Dans la vie, je suis pédopsychiatre et je m'en sors pas bien du tout, je ne travaille plus en ce moment pour rester auprès de James. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple avec un homme parfait et je le vis plutôt bien.
Laetitia, du latin laeta qui signifie la joie. Letty est une femme douce mais forte, joyeuse mais pas idiote, altruiste mais pas soumise. Elle a fait des études de pédopsychiatre et s'est employé à aider le maximum d'enfants qu'elle pouvait... que cela soit à partir de ses stages, qu'à partir de son travail qu'elle adore... qu'elle adorait.
Elle s'est retrouvé sans travail. Et un ami lui a trouver celui d'aide à la personne pour James.
Sa grande-soeur la bassine pour qu'elle trouve un homme, se mari et fonde une famille. Cependant, sa soeur ne connait pas le plus gros secret de Letty, qu'elle n'a dit à personne.
Elle se sentait vraiment bizarre. Vraiment. Un mélange entre le fait d’avoir très chaud, de se sentir aussi frissonner comme si elle avait froid et … tendu ? Elle était en pleine crise de panique, ce qu’elle connaissait depuis un certain temps, mais sans arriver à comprendre comment appréhender tout ça. Elle ne se sentait pas aussi mal qu’avec une crise de panique. C’était son cœur. Son cœur tapait fort dans sa poitrine, tellement fort qu’elle avait l’impression que ça allait sortir. Mais ce n’était étouffant comme quand elle panique. C’était … chaud et froid ? Elle n’en sait rien. Elle ne sait pas définir tout ça … Elle essaie pourtant de comprendre … mais … Elle ne comprend pas tout. En réalité dans le désir qu’elle sentait clairement pour James, il y avait de la peur qui bloquer ce qu’elle devrait ressentir pleinement. Elle était clairement excité par James, elle avait clairement envie qu’il parcoure sa peau de ses mains. Alors pourquoi ? Elle mord sa lèvre alors qu’elle laisse James accéder ou non à sa requête. Elle l’écoute alors qu’un regard désolé se pose sur James.
- Même … même les … bruits ? Demanda-t-elle simplement avant de rougir, je … je n’ai jamais … fait des bruits.
Elle avait un peu écarquillé les yeux. Elle était une étoile de mer, elle le sait. Elle ne faisait pas de bruit. Elle ne bougeait pas. Même là, elle avait les mains contre le buste de James, fermés, et elle ne savait pas quoi faire de ses doigts. Elle l’embrasse à nouveau, son corps se lève pour se rapprocher de son visage et échanger ce baiser passionné. Elle sent ses mains, elle sent les frissons revenir et le sillon de feu faire son chemin sur sa peau. Elle sent qu’il parcourt son dos, c’est … bizarre.
Elle avait l’impression qu’il faisait froid dès qu’il arrêtait. Tout ça, dans les sensations. Elle fermait les yeux et contracta les doigts tenir son t-shirt et ne pas se séparer de lui. Elle sentit à nouveau un frisson la parcourir… et cette fois, parce qu’il semblait vouloir l’entendre, elle laissa échappé un son par ses lèvres, un gémissement de bienêtre qu’elle décida de ne pas avoir honte. Elle se rassit un peu plus sur lui, et elle le sentit, en effet. Sous son corps, là où il n’y avait rien, elle sentait désormais une bosse bien distincte. Elle regarde James, sans rien dire. Elle avait un peu peur qu’il n’en souffre. Il lu avait dit que les érections matinales le faisait souffrir.
- Tu … tu n’as pas mal ? demanda-t-elle alors qu’elle tenait sur ses genoux pour ne pas rajouter son poids sur son érection. Tu …
Malgré elle, elle rougit. Aussi, elle avait chaud, elle pensait à tout ce qu’elle avait lu, et tout ce qu’elle savait et avait appris. Un homme aimait être touché, là. Mais il avait déjà dit que ce n’était pas ce qu’il fallait. Mais ça, c’était avant qu’il ne l’embarque dans le lit pour clairement se faire des papouilles sensuelle, alors … C’était qu’il voulait… Qu’ils pouvaient … Elle rougit. Elle aurait dû mettre une culotte plus mignonne et elle se demande bien pourquoi elle pense à sa culotte, là tout de suite.
- Tu veux … que je change de position ?
Sous entendu, pour pas que tu es mal… mais que l’on puisse continuer.. D’ailleurs, elle pince ses lèvres entre ses dents et elle le regarde avec toujours un mélange étrange.
- Même si … J’apprécie, si tu as mal, on arrête. Je veux dire, elle se mit à rougir de plus belle, pose sa tête contre son épaule, sans se rendre compte que ça approche leurs corps sur la zone sensible avant de se figer. Je ne suis pas vraiment douée… Donc il faut que tu me … me dises.
Clairement … là, tout de suite, si on l’écoute, elle part en courant. Elle fait des bruits bizarres, elle se fige pour rien, elle le frustre, elle le sent bien, elle panique et elle apprécie. Il y a un mélange de trop de chose … alors … Elle tourne la tête et embrasse la première parcelle de peau disponible, son cou, pour se donner le courage et dire, de manière silencieuse, qu’elle faisait cela parce qu’elle en avait envie, le pouvoir, et que James pouvait … il pouvait lui dire ce qu’elle ne connaissait pas encore. Sans dire qu’elle se sentait excité comme jamais, elle avait appris apprécié les mains de James sur son corps, et elle avait envie que ça continue. C’était déjà un début, non ?
Univers fétiche : City, dérivé de films/séries/livres
Préférence de jeu : Homme
Beloved
Dim 10 Sep - 12:56
James Baker
J'ai 34 ans et je vis dans un trou paumé, quelques part aux Etats Unis. Dans la vie, je suis auteur/compositeur et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple avec une femme merveilleuse et je le vis plutôt bien, je n'ai jamais été aussi heureux de ma vie.
- Les bruits, enfin les gémissements, ça veut dire que tu aimes. Et je veux que tu aimes faire ça avec moi. Alors ne t'empêche jamais de faire du bruit.
Je n'allais pas me gêner moi alors elle ferait mieux de s'y habituer. Je ne comprenais pas les personnes qui ne supportaient pas que leur partenaire soit bruyant. Gémir, c'était une des façons que notre corps avait de montrer qu'il prenait son pied. Moi ça aurait été plutôt l'inverse qui m'aurait bloqué. Voir la personne en face ne rien montrer, ne pas faire de bruit.
Je souris doucement alors qu'elle s'inquiétait de savoir si j'avais mal ou non. J'avais cru l'effrayer avec ça. Mais elle semblait plutôt bien prendre la chose. Elle pensait à moi avant tout.
- C'est terminé ça. Je n'ai plus la sonde. Plus rien ne vient me gêner ou me faire mal à cet endroit là.
Je remontais mes mains dans son dos, le caressant jusqu'à arriver à ses épaules avant de redescendre. J'avais eu un aperçu un bref instant sur son ventre. Je la trouvais belle ainsi. Je n'étais absolument pas gêné par ses cicatrices. J'en avais mon lot moi aussi qui pourraient la dégoûter dans le futur. Mais nous n'en étions pas encore là. Je n'étais pas prêt à ce qu'elle me voit nu. Je devais encore me débarrasser d'une dernière chose avant d'y penser.
- Je ne vais rien te dire. Je ne veux pas que tu t'occupes de moi, pas pour le moment en tout cas.
Je voulais qu'elle se découvre d'abord elle même, qu'elle apprenne à faire du plaisir. On aurait le temps plus tard de s'occuper de moi. On apprendrait ça tous les deux plus tard. Pour le moment je voulais me concentrer sur elle.
- Mais ce soir c'est pour toi. C'est toi qui doit me dire. Est-ce qu'on reste comme ça ou... est ce que... je peux enlever ton tee shirt?
L'idée était de pouvoir la caresser, l'embrasser en dessous. Je comprendrais si elle refusait mais tout semblait tellement bien se passer que je voulais essayer.
Messages : 4105
Date d'inscription : 29/12/2020
Crédits : La grinch de mon coeur !
Univers fétiche : Fantastique
Préférence de jeu : Les deux
Clionestra
Dim 10 Sep - 13:31
Leatitia Parker
J'ai 31 ans et je vis dans un trou paumé, en Amérique. Dans la vie, je suis pédopsychiatre et je m'en sors pas bien du tout, je ne travaille plus en ce moment pour rester auprès de James. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple avec un homme parfait et je le vis plutôt bien.
Laetitia, du latin laeta qui signifie la joie. Letty est une femme douce mais forte, joyeuse mais pas idiote, altruiste mais pas soumise. Elle a fait des études de pédopsychiatre et s'est employé à aider le maximum d'enfants qu'elle pouvait... que cela soit à partir de ses stages, qu'à partir de son travail qu'elle adore... qu'elle adorait.
Elle s'est retrouvé sans travail. Et un ami lui a trouver celui d'aide à la personne pour James.
Sa grande-soeur la bassine pour qu'elle trouve un homme, se mari et fonde une famille. Cependant, sa soeur ne connait pas le plus gros secret de Letty, qu'elle n'a dit à personne.
Elle rougit, un peu encore. Entre chaque reprise de sa couleur, elle sentait ses joues chauffés. Elle comprenait maintenant pourquoi on disait un roller coaster émotionnel. Elle comprenait très bien même. Elle se sentait aussi soulagé de ne pas pouvoir lui faire mal. Fin, qu’elle ne lui faisait pas mal à être ainsi, sur lui et à … le faire avoir des envies. Mince, même les pensées qui se bousculaient dans sa tête voulaient colorer ses joues. Elle allait finir par devenir une tomate, ou une écrevisse, ou les deux. Elle se concentra sur les bonnes nouvelles. Il n’avait plus la sonde, donc il n’avait plus mal, donc ça allait de ce côté-là… ouais… ça allait … mais il reste le reste… Elle fait un petit signe de tête pour dire qu’elle a compris. Elle savait ce qu’il pensait … Il ne voulait pas qu’elle s’occupe de lui… mais il semblait enclin à s’occuper d’elle. Ce qu’elle pouvait comprendre. Elle avait envie de s’occuper de lui et de lui faire plaisir, de le voir gémir et apprécier le moment. Mais pour le moment, il y avait trop de barrière pour que cela soit un échange entre eux. Elle acceptait de prendre. Parce qu’elle aimerait qu’un jour il accepte l’inverse… et, si elle devait être totalement honnête avec elle-même, un peu, elle avait envie de sentir encore qu’il s’occupe d’elle. Très envie. Mais elle n’arrivait pas à croire que c’était du désir sexuel. Ce n’était pas tant l’acte qu’elle voulait, que continuer ce moment tout doux avec lui, qui lui faisait naître des frissons et des gémissements. Rien de …
Elle avait toujours vu l’attirance sexuelle comme quelque chose de bestial, de douloureux, de … elle ne sait pas comment le dire, mais quelque chose qui donne envie de se faire limite molester. C’était pour ça qu’elle n’aimait pas l’idée de pouvoir avoir envie de se laisser toucher. Elle ne voulait pas. Mais ça, ce n’était pas la même chose que de se faire …
Elle comparait à un de ses ex qui aimait lui toucher les fesses. Il aimait lui donné des claques qu’elle n’appréciait pas du tout, et enfoncer ses doigts dans sa peau jusqu’à ce qu’elle garde des bleus. Elle laissait faire, parce qu’elle voulait un enfant, mais il n’y avait rien d’agréable la-dedans. Le désir était censé changer cette action en quelque chose de désiré. Letty ne comprenait pas.
Alors pour elle, maintenant c’était différent. James. James faisait toute la différence. Elle se relève et le regarde dans les yeux. Elle sent toujours son désir, mais il a dit de ne pas s’en occuper. Elle rougit, se mord la lèvre inférieur avant de détourner les yeux.
- J’ai … elles… elles sont … …. Je veux dire … tu …
Il les avait déjà vus, ses cicatrices…. Parce que Letty était loin de pensé à sa culotte pour le moment, ça arrivera après, ni même à ses seins qui pointent de désir d’être toucher. Elle pense à ses marques. Mais ils les avaient déjà vus. Et …. Et puis, il avait dit que c’était pour elle, aujourd’hui, n’est-ce pas ? Machinalement, elle passa une main sur son ventre, là où étaient les cicatrices. Il a dit qu’il voulait lui donner. Elle relève les yeux vers lui et s’approche pour l’embrasser, doucement, amoureusement. Non. Elle est stupide. Elle l’est. James Baker ne la trouverait jamais hideuse avec ses cicatrices. James Baker l’aimait. Elle le sentait. Même si elle avait peur. Même si, pour elle, ses cicatrices étaient les plus affreuses de la terre, lui rappelant ce qu’elle a perdu, et ce qu’elle avait failli perdre …. Même si elle avait envie de se gratter au point de s’arracher la peau à chaque fois qu’elle stressait … James n’était pas comme ça.
- James, murmura-t-elle tout bas, déshabille-moi… S’il te plait.
Parce qu’elle voulait sentir la main de l’homme qui part du bas du t-shirt pour le remonter le long de son corps. Elle voulait le sentir. Elle ne pourrait pas le faire elle-même, une main plaqué sur sa cicatrice sous le t-shirt… elle se sentait incapable de le faire. Mais elle le voulait. Elle voulait qu’il la touche. Elle voulait prendre ce qu’il acceptait de lui donner. Letty ne prenait d’ordinaire jamais… Normalement, elle laissait aux autres tout et ne prenait rien pour elle… mais ça… elle voulait le prendre.
James. Elle le voulait. Rien qu’à elle. Et à jamais.
Univers fétiche : City, dérivé de films/séries/livres
Préférence de jeu : Homme
Beloved
Dim 10 Sep - 16:18
James Baker
J'ai 34 ans et je vis dans un trou paumé, quelques part aux Etats Unis. Dans la vie, je suis auteur/compositeur et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple avec une femme merveilleuse et je le vis plutôt bien, je n'ai jamais été aussi heureux de ma vie.
- Je m'en fiche.... tu es belle Letty.
Je posais doucement ma main sur la sienne, sur celle qui était partie sur son ventre. Je savais à quel point ça pouvait la gêner. Elle détestait ses cicatrices et tout ce qu'elles représentaient. Elles lui rappelaient sans cesse qu'elle ne pouvait pas porter d'enfant. Elle avait tellement rêvée de devenir mère, qu'elle souffrait chaque jour de ne pouvoir l'être à cause de cet accident. Mais elle le serait, je le savais. Il y avait d'autres façons de devenir mère. Un jour je ferais d'elle ma femme et nous adopterions elle et moi. Nous recueillerons un enfant qui en avait besoin et elle pourrait lui donner tout l'amour qu'elle gardait au fond d'elle. Un jour, j'espérais pouvoir effacer la douleur que ces cicatrices lui faisaient ressentir.
Je souris doucement alors qu'elle venait me demander de la déshabiller. Je me sentais tellement flatté de voir qu'elle se détendait, qu'elle se laissait aller avec moi. J'avais beau vouloir faire les choses bien, espérer que cela se passe bien et qu'elle oublie les expériences désastreuses qu'elle avait pu avoir, je n'étais pas pleinement serein. Il y avait des blocages qui se créaient parfois et que même avec la plus grande patience et la plus grande douceur, on ne pouvait faire disparaitre.
Alors je continuais d'y aller en douceur. Je passais ma main sur sa joue et la rapprochais à nouveau de moi pour l'embrasser avec fougue. Je me moquais maintenant qu'elle sente à quel point elle m'excitait. Ca ne l'avait pas fait fuir. C'était une immense victoire pour moi. Chaque étape que nous franchissions ensemble en était une.
Je relâchais ses lèvres alors que mes mains passaient sous son tee shirt. Je les relevais doucement, caressant sa peau alors que je faisais suivre le tissu. Je fis finalement passé le tee shirt au dessus de sa tête et l'envoyais valser un peu plus loin dans la pièce. Je la regardais un instant, essayant de ne pas trop insister pour ne pas la mettre mal à l'aise.
- Tu es sublime.
Je ne voyais pas ses cicatrices. Je ne voyais qu'elle. Elle et ses courbes délicieuses, l'arrondi délicat de ses seins... Je la serrais contre moi alors que mes lèvres allaient embrasser son cou. Je continuais d'avancer doucement. Je caressais du bout des doigts la courbure de son sein sans m'approcher de ses tétons. On avait tout notre temps...
Messages : 4105
Date d'inscription : 29/12/2020
Crédits : La grinch de mon coeur !
Univers fétiche : Fantastique
Préférence de jeu : Les deux
Clionestra
Dim 10 Sep - 17:25
Leatitia Parker
J'ai 31 ans et je vis dans un trou paumé, en Amérique. Dans la vie, je suis pédopsychiatre et je m'en sors pas bien du tout, je ne travaille plus en ce moment pour rester auprès de James. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple avec un homme parfait et je le vis plutôt bien.
Laetitia, du latin laeta qui signifie la joie. Letty est une femme douce mais forte, joyeuse mais pas idiote, altruiste mais pas soumise. Elle a fait des études de pédopsychiatre et s'est employé à aider le maximum d'enfants qu'elle pouvait... que cela soit à partir de ses stages, qu'à partir de son travail qu'elle adore... qu'elle adorait.
Elle s'est retrouvé sans travail. Et un ami lui a trouver celui d'aide à la personne pour James.
Sa grande-soeur la bassine pour qu'elle trouve un homme, se mari et fonde une famille. Cependant, sa soeur ne connait pas le plus gros secret de Letty, qu'elle n'a dit à personne.
Belle. « Je suis belle ». Elle se le répète. Elle se répète qu’il la trouve belle. Lui. James. Il la trouve belle et elle se sent belle dans ses bras. Elle ne pensera jamais qu’elle était un canon, ou même attirante. Quoi que dise James, elle doute qu’on se retourne sur elle, ou qu’on s’intéresse à elle. Il n’y avait que James pour la faire se sentir belle, et désiré. Elle reçoit le nouveau baiser alors que son cœur est au bord de l’explosion. Elle se laisse guider par James. Il sait mieux. De toute façon. Elle ne serait pas quoi faire. Elle se demande simplement si c’était réellement suffisant qu’elle prenne. Comment allait-il faire avec … ça ? Et machinalement, en pensant à son érection, elle la sent encore plus. C’était flatteur. Elle le faisait se sentir … intéressé. Elle. Elle relève les bras pour l’aider à enlever son haut, mais cache machinalement sa cicatrice. Pas sa poitrine à découvert maintenant. Elle rougit.
- Me… Mer… merci… dit-elle en se sentant étrangement intimidé par sa présence.
Elle se laisse approcher. Comme un animal terrorisé, elle tremble mais elle ne sait plus ce que ça pouvait signifier. Qu’est-ce qu’elle voulait ? Le sentir. Elle voulait sentir sa peau aussi. Elle laisse la place sur son cou, elle cambre son dos pour lui faire comprendre qu’il peut la toucher, même là. Elle aimerait pouvoir toucher sa peau aussi. Elle sait qu’il ne veut pas qu’elle voit son machin sur le ventre mais …peut-être pourrait-elle passer les mains dessous aussi ? Là où ça n’est pas ? Elle se demande si elle peut le demander. Elle tremble.
- Je … je peux te toucher ? demanda-t-elle alors clairement intimidé alors qu’elle sentait la main de James sur sa poitrine. Ta peau. Et … Et … et ….
Merde … Elle ne se souvient pas de quiconque l’ayant réellement touché là avec douceur. Elle se souvient de toujours le même qui agrippe sa poitrine comme si c’était une boule anti stress, qui lui fait mal. Elle se souvient qu’on avait déjà essayé de mordre ses tétons…. Et ça avait fait mal. Mais James ne lui ferait pas de mal. Son cœur battait à tout rompre. Doucement, elle prend la main de James et la remonte pour que ses doigts soient complètement sur ses seins, et elle se penche pour l’embrasser en rougissant.
- Tu ne fais pas mal, souffla-t-elle alors qu’elle se sentait à nouveau trembler de désir pour lui.
Il n’y avait pas de douleur. Même son corps était en train de … s’exciter ? Elle ne sait pas comment le dire. Elle avait l’impression que son intimidé avait pris de lourdeur. Comme si on lui avait coulé du béton en bas. Sans être gênant, ou si peu, elle avait l’impression que ce béton était …mou. C’était étrange. Elle n’avait jamais ressenti ça. Quand elle faisait l’amour, c’était juste douloureux. Cette sensation est différente. Elle se sent bien là. Ce béton l’alourdissait, mais ça n’était pas douloureux. La sensation de l’excitation de James était … Elle aimait la sentir, cette érection pour elle. Elle le regarde et papillonne des yeux alors qu’elle chasse des larmes d’émotion.
- Je t’aime, dit-elle en « glissant » sur cette preuve de son désir pour se rapprocher de lui.
Univers fétiche : City, dérivé de films/séries/livres
Préférence de jeu : Homme
Beloved
Dim 10 Sep - 17:55
James Baker
J'ai 34 ans et je vis dans un trou paumé, quelques part aux Etats Unis. Dans la vie, je suis auteur/compositeur et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple avec une femme merveilleuse et je le vis plutôt bien, je n'ai jamais été aussi heureux de ma vie.
- Non... s'il te plait...
Je secouais doucement la tête alors qu'elle me demandait la permission de me toucher à son tour. J'étais heureux de voir qu'elle voulait me rendre la pareille, qu'elle se sentait assez bien pour ça. Mais c'était au dessus de mes forces. Ce n'était pas juste quelques cicatrices mon problème, c'était mon corps tout entier. J'avais un corps dont j'étais fier autrefois. J'étais musclé grâce aux nombreuses séances de sport que je faisais régulièrement. Il fallait une certaine condition physique pour tenir un concert de plusieurs heures comme je le faisais. Puis il y avait eu mon accident. J'avais vu mon corps dépérir de jours en jours. Mes muscles fondre et ne laisser plus que la chair apparente sur les os. J'avais vu les poches, tout le matériel médical se mettre en place, les cicatrices se succédaient au fil des opérations. Puis j'avais fini par arrêter de regarder ce corps mort qui me dégoutait. Aujourd'hui il n'était plus mort, il recommençait à fonctionner, mais les muscles n'étaient pas encore revenus. Il n'y avait que la peau flottant mollement sur mes os. Ca me donnait encore la nausée de me voir comme ça. Alors je ne voulais pas qu'elle voit ça, encore moins qu'elle le touche. Plus tard je la laisserais faire, quand j'aurais retrouvé assez de force pour me sentir un peu plus moi même.
Je souris alors qu'elle remontait ma main pour la déposer entièrement sur son sein. Je le caressais doucement, effleurer son téton du bout des doigts. J'adorais la voir ainsi, se détendre et se laisser aller complètement. Elle aimait ça. Malgré tout ce qu'elle m'avait dit, les peurs qu'elle avait et cette quasi certitude que jamais elle ne pourrait aimer ça, je la voyais pourtant perdre complètement pied.
Je caressais un peu son sein avant de me pencher vers celui ci. Je l'embrassais d'abord tout doucement, prenant mon temps encore une fois. Puis finalement je fis glisser son téton entre mes lèvres. Je ne le mordis pas. Je ne voulais pas être fougueux et sauvage. Je voulais être doux et tendre, continuer de la guider en douceur. Alors je l'embrassais simplement, je jouais de ma langue sans jamais lui faire de mal.
Messages : 4105
Date d'inscription : 29/12/2020
Crédits : La grinch de mon coeur !
Univers fétiche : Fantastique
Préférence de jeu : Les deux
Clionestra
Dim 10 Sep - 19:38
Leatitia Parker
J'ai 31 ans et je vis dans un trou paumé, en Amérique. Dans la vie, je suis pédopsychiatre et je m'en sors pas bien du tout, je ne travaille plus en ce moment pour rester auprès de James. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple avec un homme parfait et je le vis plutôt bien.
Laetitia, du latin laeta qui signifie la joie. Letty est une femme douce mais forte, joyeuse mais pas idiote, altruiste mais pas soumise. Elle a fait des études de pédopsychiatre et s'est employé à aider le maximum d'enfants qu'elle pouvait... que cela soit à partir de ses stages, qu'à partir de son travail qu'elle adore... qu'elle adorait.
Elle s'est retrouvé sans travail. Et un ami lui a trouver celui d'aide à la personne pour James.
Sa grande-soeur la bassine pour qu'elle trouve un homme, se mari et fonde une famille. Cependant, sa soeur ne connait pas le plus gros secret de Letty, qu'elle n'a dit à personne.
- D’accord, dit-elle avec tendresse.
Elle se relève pour planter ses yeux dans les siens. Elle avait dit qu’elle lui donnerait tout, et qu’elle prendrait ce qu’il donne. Alors elle ne le forcerait pas. Dans ses yeux, pas une seule lueur de tristesse ou de frustration. Elle se laisse embrasser. Elle ne savait pas quoi faire de ses mains alors qu’elle l’embrasse et qu’il la touche. Elle laissa passer un autre gémissement devant les doigts de l’homme. Oh, mon dieu. Elle se sent toujours étrange avant que … Elle se sent étrange. Mais… Ce n’était pas du sexe, ça. Non. Elle sait ce qu’est le sexe, elle en avait fait, souvent, avant. Et le sexe n’était jamais comme ça. Elle ne sait pas. Son cerveau était blanc alors qu’elle sentait la langue de James sur son téton sensible, elle gémit encore. Machinalement, ses bras entourent la tête de l’homme et elle le tient, sans violence, contre sa peau. Elle voudrait tellement pouvoir être « sexy » en se sentant ainsi, mais elle devait ressemblait à une écrevisse frissonnante bien que fiévreuse. Elle gémit à nouveau.
- James, dit-elle en murmurant… avant de lâcher un "Oh oui" qu'elle n'essaie pas de cacher bien plus fort.
Elle ne savait pas quoi faire de ses mains, elle les plantait dans les cheveux de James et elle se contracta quand elle sentit encore ce béton dans son corps. Elle avait l’impression d’être lourde et de sentir de plus en plus l’excitation. La pièce était chaude. Elle était en train de … Elle ne sait pas… elle ne sait pas. Merde. Elle allait pleurer. Elle ne savait plus quoi faire de son corps, si elle devait le tenir, le lâcher, lui dire de continuer, lui demander de l’embrasser, si … elle devait faire quoi ?
Elle avait l’impression de manquer d’information, de manquer de quelque chose… Il lui fallait quelque chose. N’importe quoi. Elle laissait ses deux mains dans ses cheveux. Il fallait qu’elle lui dise. Elle l’avait promis. Elle avait promis d’en parler, de discuter, de venir à lui expliquer ce qu’il se passe dans sa tête. Et là, c’était qu’elle était incapable de savoir ce qu’elle allait faire de ses mains. Elle ne pouvait pas le toucher, sur son érection contre son propre désir. Pas mettre les mains sur son corps … Mais elle avait besoin de faire quelque chose. Elle caressa la joue de James pour lui faire remonter les yeux vers lui. Elle voulait lui dire. Elle voulait vraiment lui dire qu’elle était incapable de savoir quoi faire de ses mains. Parce qu’elle voulait le caresser. Mais quand elle le regarda, quand elle réussi à avoir son visage, elle fit un simple sourire, sans rougissement cette fois. Parce qu’elle le pense encore, elle l’aime. Et quand elle l’embrasse à nouveau, elle veut lui faire comprendre. Qu’elle l’aime. Elle aime tout ce qu’il pourra lui faire. Alors, au lieu de demander quoi faire, elle chuchote simplement :
- Je n’ai pas peur avec toi. Fais ce qu’il te plait.
Elle n’aimait pas son corps, comme lui n’aimait pas le sien. Mais elle pouvait lui montrer. Il la rendait belle. Un jour, elle pourra passer ses mains sur son buste, toucher à son tour cette peau qui l’appelle, le couvrir de baiser jusqu’à même faire des choses qu’elle n’avait jamais pensé. Elle avait le temps. Mais elle voulait qu’il le sache, elle n’avait pas peur avec lui. C’était une chose étrange. Elle ne savait pas s’il voulait aller jusqu’au bout, ni même s’ils allaient le faire jusqu’au bout, mais elle semblait nécessaire de lui rappeler. Elle l’embrasse à nouveau, cette fois en jouant avec cette langue. Elle sourit. Elle veut qu’il continue, et elle ne savait pas comment le dire. Elle aimait cette langue sur sa peau. Ses baisers sur sa poitrine. Doucement, elle lâcha ses lèvres et se recula à peine. Elle se remit dans la position d’origine, celle où il s’occupait de sa poitrine dans une invitation silencieuse.
Ce n’était pas du sexe. Elle n’aimait pas le sexe. Ça, c’était des préliminaires à l’amour. Et cette idée réchauffe son cœur.
Univers fétiche : City, dérivé de films/séries/livres
Préférence de jeu : Homme
Beloved
Dim 10 Sep - 20:03
James Baker
J'ai 34 ans et je vis dans un trou paumé, quelques part aux Etats Unis. Dans la vie, je suis auteur/compositeur et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple avec une femme merveilleuse et je le vis plutôt bien, je n'ai jamais été aussi heureux de ma vie.
Je n'avais pas prévu d'aller aussi loin à la base. Je pensais juste qu'on se limiterait à quelques baisers, quelques caresses par dessus ses vêtements. Je penserais que les choses seraient beaucoup plus compliquées. Elle m'avait dressé un portrait tellement noir de ce qu'elle avait aimé faire au lit par le passé, autant dire rien du tout. Mais tout ce qu'elle m'avait dit, ça n'avait rien à voir avec la femme que j'avais en face de moi. Je la sentais se presser contre moi, me réclamer davantage. Je voyais bien qu'elle aurait voulu pouvoir me toucher. J'aurais aimé moi aussi, pouvoir échanger davantage avec elle, mais ça devrait attendre encore quelques temps.
- Laisse moi faire alors...
J'allais l'amener jusqu'au bout. J'allais lui faire perdre la tête. J'allais lui faire découvrir ce qu'était un véritable orgasme, du moins je l'espérais.
Je la poussais doucement pour qu'elle descende de mes genoux. Je la laissais s'installer pour qu'elle s'allonge à côté de moi. Je me tournais vers elle, la regardant en souriant. Je la trouvais encore plus belle, allongée ainsi, les joues rougies par le désir.
- Si seulement j'étais capable de te faire l'amour...
Je n'avais pas assez de force pour cela, c'était certain. Il me faudrait encore quelques semaines de rééducation pour y arriver. Mais ça viendrait. En attendant j'allais prendre soin d'elle. Je me penchais vers elle pour l'embrasser tendrement. Une de mes mains alla caresser sa cuisse, remontant lentement vers sa petite culotte. Je passais ma main dessus avant de la faire glisser lentement le long de ses cuisses.
Je remontais ma main sur sa cuisse, la caressant légèrement le temps qu'elle se détende. Puis je passais ma main entre ses cuisses pour aller la caresser doucement. Je continuais de l'embrasser, espérant qu'elle se détende assez pour profiter de la caresser sans stresser.
Messages : 4105
Date d'inscription : 29/12/2020
Crédits : La grinch de mon coeur !
Univers fétiche : Fantastique
Préférence de jeu : Les deux
Clionestra
Dim 10 Sep - 20:27
Leatitia Parker
J'ai 31 ans et je vis dans un trou paumé, en Amérique. Dans la vie, je suis pédopsychiatre et je m'en sors pas bien du tout, je ne travaille plus en ce moment pour rester auprès de James. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple avec un homme parfait et je le vis plutôt bien.
Laetitia, du latin laeta qui signifie la joie. Letty est une femme douce mais forte, joyeuse mais pas idiote, altruiste mais pas soumise. Elle a fait des études de pédopsychiatre et s'est employé à aider le maximum d'enfants qu'elle pouvait... que cela soit à partir de ses stages, qu'à partir de son travail qu'elle adore... qu'elle adorait.
Elle s'est retrouvé sans travail. Et un ami lui a trouver celui d'aide à la personne pour James.
Sa grande-soeur la bassine pour qu'elle trouve un homme, se mari et fonde une famille. Cependant, sa soeur ne connait pas le plus gros secret de Letty, qu'elle n'a dit à personne.
Elle n’avait aucune idée des limites de chaque chose. Aucune idée de ce qu’on faisait pour se caresser. Elle ne s’était, elle-même, jamais touché. Pour la même raison qu’elle n’attendait pas réellement d’être exciter pour mettre « la bâton dans le trou ». Elle savait les choses, mais pour elle, tout était toujours différent. Et là, encore, elle ne croit pas que ce qu’ils vivaient à l’instant pouvait être comparable à quoi que ce soit. James était bien trop parfait. Et elle était un peu jalouse de toutes les femmes qui avaient pu avoir ses caresses avant elle. Bien qu’elle ignorait jusqu’à son existence à ce moment là… Elle le laisse faire. Elle le fait. Pour lui. Parce qu’il le veut. Et pour elle. Même si elle ne comprend toujours pas tout ce qui lui arrive. Elle avait l’impression d’être une idiote ignare…. Si seulement elle avait eu « plus » avant…. Mais elle était incapable de se souvenir de quelque chose de similaire. James était spécial. C’était pour ça. Il devait être … plus. Magique. Divin. Pour réussir à ne pas la faire se crisper. Elle descend comme il lui demande silencieusement alors qu’elle s’allonge à côté de lui. Elle remonte ses deux mains sur son visage en rougissant. Elle était vraiment plus exposée comme ça. Il pourrait voir les coups de poignard. Elle laissa une main se poser sur son ventre pour les cacher. Encore une fois, sa poitrine était moins gênante que ses stupides marques sur son corps. C’était parce qu’elles existaient qu’elle comprenait que James ne veuille pas se montrer. Bien qu’elle aimerait lui faire comprendre que son corps lui importe peu. Très peu. En faite, elle s’en fou si la peau pend, elle s’en fou même de la zone de ses poches, elle pourrait l’embrasser là. Elle le sait. Elle le sent. Mais, elle ne voulait pas l’obliger à montrer ce dont il ne se sentait pas capable. Elle rougit. Elle se laisse embrasser.
Elle sursauta à la sensation de la main de l’homme sur sa cuisse. Elle avait presque oublié avoir un « bas de corps » avec tout ce qu’il avait fait naître sur le haut. Elle tremble un peu. Elle tremble alors qu’elle sent son cœur repartir dans la panique. Il l’embrasse mais elle sent tout. Tout. Absolument tout alors qu’il l’embrasse. Pour l’occuper ? Elle ne sait pas. Elle laisse un gémissement se faire entendre alors qu’elle l’embrassait. Le gémissement reste entre leurs lèvres dansantes.
- James, gémit-elle en se reculant à peine.
Elle savait que ce n’était pas comme avant. James pouvait la toucher, et il y avait quelque de mouillé en elle. Elle savait que les femmes mouillent pour moins souffrir… elle le savait parce qu’elle avait déjà eu le cas. Elle avait déjà eu de l’humidité, là. Mais pas comme là. Elle sentait les doigts de James, mais elle n’avait jamais eu … autant. Elle avait l’impression d’être mouillé … trempé… et James qui la caresse là.
- C’est … sa …sale, finit-elle par murmurer avec de la honte dans la voix, d…déso… désolée.
Elle avait déjà été… plus bas que mouillé, un peu humide, en bas. Et personne n’attendait que ça soit plus pour la pénétrer. Là, elle était trempée, et James continuait de rajouter du béton dans son bas ventre. Elle comprenait alors qu’elle n’avait jamais attendu. Personne n’avait jamais pris le temps. Elle non plus. Elle s’approche de lui. Elle allait pleurer si elle pensait un peu trop. Ses mains, l’un qui était contre James et l’autre sur son ventre, étaient inutiles. Doucement, celle qui était contre James se leva pour entourer son visage comme elle pu pour lui faire un nouveau baiser. Elle ne savait plus quoi faire pour ce qu’elle ressentait. Elle ne voulait pas pleurer. Elle ne devait pas pleurer. Pourquoi pleurait alors qu’elle adore ce qu’il fait ? Pourquoi elle avait envie de fondre en larmes et se mettre dans son torse pour vider d’autres sortes de fluide ? C’était stupide. Si stupide.
Univers fétiche : City, dérivé de films/séries/livres
Préférence de jeu : Homme
Beloved
Lun 11 Sep - 18:37
James Baker
J'ai 34 ans et je vis dans un trou paumé, quelques part aux Etats Unis. Dans la vie, je suis auteur/compositeur et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple avec une femme merveilleuse et je le vis plutôt bien, je n'ai jamais été aussi heureux de ma vie.
Je l'entendais gémir, un son magnifique à mes oreilles. Elle aimait ça et c'était tout ce que je voulais. Je pouvais le sentir au bout de mes doigts, les tremblements de sa peau, la réaction de son corps qui rendait mes doigts plus glissants. J'étais rassuré et heureux de voir qu'elle prenait du plaisir. Elle était loin de ce qu'elle m'avait décrit. Elle n'était pas complètement fermée aux plaisirs de la chair comme elle l'avait dit. J'étais certain que lorsque nous pourrions enfin réellement faire l'amour ensemble, ça serait fantastique.
Je souris en l'entendant s'inquiéter, me dire que c'était sale.
- Ce n'est pas sale. C'est ton corps qui réagit parce que tu aimes ça. C'est normal. Et j'aime ça... ça me permet de faire ça plus facilement.
Je passais un doigt en elle, le remuant doucement pour lui faire ressentir un peu plus de plaisir. Si elle trouvait ça sale qu'est ce qu'elle aurait dit si j'avais été mettre ma langue là plutôt que mes doigts? Il lui faudrait du temps pour être complètement à l'aise au lit, ça j'en avais conscience. Mais qu'elle n'aime pas ça, là j'avais la preuve que c'était loin d'être le cas.
Je continuais de m'occuper d'elle ainsi, embrassant ses lèvres, son cou, ses seins... Je ne m'en lassais pas, de découvrir ainsi la douceur de sa peau contre mes lèvres, de la voir ainsi les joues rougies par le désir. Puis finalement je la sentis se tendre contre moi, lâchant un dernier gémissement de plaisir avant de se laisser aller dans mes bras.
Je retirais ma main avant de la serrer doucement dans mes bras. Je voulais lui laisser un peu de temps pour s'en remettre. Cela faisait certainement un moment qu'elle n'avait pas ressenti de choses comme ça. A en croire ce qu'elle m'avait dit, c'était même certainement la première fois qu'elle devait prendre du plaisir ainsi. Moi j'étais heureux d'avoir pu partager ce moment avec elle. Je me sentais plus vivant, un meilleur petit ami que ce que j'avais pu être jusqu'à présent.
J'embrassais doucement son front alors que je la gardais contre moi, ma main caressant tendrement son dos.
- Dis moi... tu as aimé?
Contenu sponsorisé
Je n'avais plus de vie... avant toi [ft Clionestra]