Je passe 6 mois à l’ouest du pays, pour apprendre en revenant, que Dazai a été capturé…. Par Akutagawa… C’est presque trop beau pour être vrai… Connaissant cet accro au suicide comme je le connais, je me doute qu’il cache un truc louche…, songe Chûya, se rendant jusqu’au sous-sol où on lui a indiqué que se trouvait l’ancien mafieux, Dazai Osamu. Le rouquin est sceptique, certes, mais rudement curieux de voir – de ses propres yeux ! – le « grand » Dazai, attaché, en lieu et place de toutes les personnes qu’il a autrefois contribué à capturer pour la Mafia Portuaire. Quelques mafieux saluent Chûya sur son passage, mais le génie du combat martial qu’il est, ne leur accorde qu’un petit signe de tête, bien trop pressé d’assister de lui-même à la déchéance de son ancien partenaire. Comme à son habitude, le rouquin affiche un grand sourire – railleur – sur les lèvres. Son grand manteau est négligemment posé sur ses épaules, sa démarche est droite et élégante, ses mains sont – comme toujours – dans ses poches, ou cachées sous son manteau. Et bien entendu, il porte encore le chapeau, hérité de Rimbaud.

Arrivé en haut des escaliers, en bas desquels il sait trouver Dazai, il affiche un sourire plus moqueur qu’à son accoutumée. C’est sans se presser, qu’il descend les marches, de sa démarche féline, démontrant – pour quiconque prend la peine de réfléchir 2 secondes – toute la dangerosité qui habite ce gars. Il s’arrête à mi-chemin, et prend la peine de toiser Dazai. Le traître à la Mafia semble presque s’ennuyer de sa captivité, à en juger par son attitude. Rien ne change !, soupire mentalement Chûya. « Dis-moi quel bon vent te mène dans les cachots que tu as tant aidé à remplir, à une époque ? », lance Chûya, son regard – moqueur et intrigué – posé sur le brun. « Nostalgie ou plan foireux ? », demande le rouquin, reprenant sa route, se préparant déjà à une nouvelle joute verbale avec Dazai. Ca a toujours été comme ça, entre eux. Incapables de se croiser ne serait-ce que 2 secondes, sans que ne fusent des piques acerbes et cinglantes ! Oui, ça ne changera jamais. Pas plus que Chûya ne changera, alors qu’en s’approchant lentement de son ancien confrère, il se sent en joie. Hors de question pour lui d’admettre qu’il est heureux de le revoir, que Dazai ait pu lui manquer. J’ai la furieuse envie de l’étrangler !, oui, c’est plus simple pour lui de penser ça, de se concentrer uniquement sur l’émotion la plus facile à interpréter, celle qui l’a habité dès sa rencontre avec le Osamu : sa haine à son encontre. Plus simple d’oublier qu’à cela s’est greffé – progressivement – une indéniable confiance. Et… peut-être plus… Mais ça a toujours été trop enfouie sous sa haine – réciproque selon toutes vraisemblances ! – de Dazai !

Connaissant parfaitement Dazai, son génie et sa ruse, en aucun instant, le mafieux ne le perd du regard. Il a toujours l'air aussi con !, conclu-t-il mentalement. Remarquant surtout que l'écart de taille entre eux, ne s'est apparemment pas atténué le moins du monde. Si les deux sont fins, ils ont toutefois une bonne vingtaine de centimètres d'écart : difficile pour Chûya de l'oublier, tant Dazai le lui avait répété, à l'époque. Mais si Chûya l'observe autant, ça n'est pas que pour ça ! Il est toujours bon d'avoir son ennemi à l'oeil ! Et je tiens à graver dans ma mémoire, l'image d'un Dazai enchaîné ici, c'est beaucoup trop drôle !, s'amuse mentalement Chûya. Oui, mais bon, tu peux aussi admettre que tu as besoin de t'assurer qu'il est bel et bien là, ton ennemi auquel tu tiens tant, même si cet attachement existe bien malgré toi, ou c'est trop difficile pour toi, Chûya ? Il porte toujours ses bandages idiots, même s'ils ne sont plus sur sa gueule de crétin, à ce que je vois !, note Chûya, tout comme il remarque qu'il porte encore un costume... Dazai sera toujours Dazai, qu'il soit mafieux ou détective !, constate-t-il, souriant mentalement, ne sachant s'il doit être ravi de ce constat, ou énervé. Il penche pour l'énervement. C'est toujours la solution la plus simple, quand il est question de son ancien partenaire, de celui qui a trahi la Mafia, de celui qui l'a trahi, lui !

Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas revue cette endroit, cette "prison" créer par la mafia portuaire qui autrefois était bien remplie, surement grâce à ma propre personne lorsque j'en faisait partie, ce n'était pas de mauvais souvenir mais pas non plus des bon dirons-nous, j'avais un bon poste , de l'importance chez certaine personne et 3 amis même si l'un est mort et l'autre était un "traitre" pour le gouvernement même si je lui pardonne assez  vue que moi même j'ai finis par trahir mon camp après avoir trouver un objectif à mes yeux beaucoup plus important.
Atsushi, petit félin abandonner et négligeant son propre potentiel , souvent la queue entre les jambes en trin de pleurer mais si mignon et toujours aidant quand j'essaye de passer dans l'haut delà ! Enfin ... Ouai sa m'aide pas trop qu'il soit aidant dans ses moment là mais bon c'est la vie et le hasard ? En même temps c'est dur de ce suicide dans de bonne condition , comment vous feriez vous ?  Pendaison ? Coupage de veine ? Non ! Rien d'original ! La pendaison beaucoup de gens en parle, on parle même d'un certain orgasme avant d'y passer mais je trouve cela bien trop douloureux , long aussi , vous bavez comme un idiot le manque d'air vous faisant gigoter comme un singe accrocher à une liane ou il se serais emmêlé  et le fameux orgasme n'est qu'un pêcher que même le diable ne pourrais pas cautionner  ! JOUIR TOUT SEEEUUULLL MAIS QU'ELLE HOONNNNTEEEE cette honte et cette triste fin me donnerais presque envie de vivre , cela n'a aucun sens de vouloir un orgasme tel un petit adolescent découvrant sa zigounette devant un cabaret de prostituer cela n'a rien d'inventif n'y d'amusant même humiliant et puis cette idée de se couper les veine Pffffffffffffffff déjà on finis tout sale , on en fou partout  et le sang dieu sais que sa tâche et qu'il est difficile de retirer les tache de sang déjà que j'ai pas une grande garde robe je n'est pas envie que l'ont m'habille avec des vêtements sale ou bien avec des nouveau vêtements acheter pour l'occasion lorsque l'on m'enterrera ou bien que l'ont me brûlera , GACHIS D'ARGENT ! Qu'elle idée d'acheter des vêtements pour un mort , hein ? HEIN ?! et puis ont reste seul dans sa baignoire ou dans un coin à attendre comme un idiot que sa arrive , sa laisse trop de temps d'avoir des remord et des regrets et donc de pleurer ensuite à l'aide afin de se soigner et ensuite avoir l'air bête devant les gens qui chouinerons pour le  faite que tes voulue te tuer !... Tient je me demande si j'ai éteint le gaz chez moi ... Je pourrais peut être  rentrer et m'endormir dans une salle intoxiquer... Ouai mais maintenant que j'y est penser sa perd tout son sens  AARRRHHH ET JE PEUX MEME PAS LIRE MON LIVRE ! Ah ! Mais je le connais par coeur c'est vrai !

Le temps passe , il est assez long alors qu'il agite sa tête par moment , enfermer dans ses propre fantasme sur sa propre mort  mélanger à une certaine nostalgie qu'il ne refusa pas , du moins jusqu'à se qu'il entende quelqu'un arrivé et qu'il reconnaisse sa souhaite sans grande difficulté... Oui c'était lui... Ses cheveux presque long , si soyeux et roux, son visage fin à la peau presque sans imperfection , des yeux brillant d'une certaine fougue... SA SERAIS UNE FILLE ELLE SERAIS BONNE A SUICIDER MAIS NON C'EST CHUYA !

Mon visage se déforme à la vue de son ancien partenaire , mon petit sourire s'abaisse dans une grimace, ses yeux perd de leurs lueur et mon visage pris même quelque ride d'un coup tellement je n'était pas presser de le revoir et pourtant quesque j'attendais encore ici en faite alors que j'avais défait mes menotte ? Bonne question mais je n'attendait surtout pas lui ...

«Un peu des deux ? Mais ma nostalgie était fortement agréable jusqu'à ton arrivé bizarrement, j'ai soudainement plus envie de me suicidé tellement ta présence tacherais la beauté de l'acte...Et plan foireux ? Sa reste à voir j'avais laisser l'idée dans le coin de mon esprit ~ »

Je le détaille un moment , il était toujours aussi petit ... «Gringalet» j'avoue que c'est sortie tout seul grand il c'est arrêté devant moi , détournant la tête et gonflant les joues tel un enfant boudeur qui n'avais pas pu avoir son jouet commençant ainsi à mâchouillé des mots dans sa moustache invisible

«J'ai jamais de chance, faut que sa tombe sur lui , il est si bête , je vais rien pouvoir en tirer Pfff»

Avec dédain, le rouquin toise son ancien partenaire. Dire qu’autrefois, courant dans la Mafia le dicton : « Le plus grand malheur qui puisse arriver à un ennemi de Dazai, c’est d’être l’ennemi de Dazai ! », et qu’il est maintenant  un paumé de l’Agence… Quel gâchis !, regrette celui qui est l’un des capitaine de la Mafia ! Il n’a rien perdu de son goût pour la raillerie, en tout cas !, songe Chûya, ne pouvant définir s’il est énervé de voir que Dazai a si peu changé, ou s’il ne le supporte pas ! Toutefois, son incertitude disparait, dès lors que Dazai prononce un terme qui fait sortir le mafieux de ses gonds… Mains toujours dans les poches, son corps s’abaisse légèrement, comme sous le poids de la colère qui réside sur ses épaules. Un pli colérique se dessine sur son front, tandis que sa mâchoire se crispe comme rarement (ou plutôt, comme cela n’arrive que quand Chûya fait face à Dazai !). « GRINGALET ?!?!?!!! MOI !!!???!!? », s’énerve le réceptacle d’un bien étrange Dieu. Il n’y a bien que Dazai qui sache faire sortir Chûya de ses gonds, aussi intensément que ça ! Jamais le rouquin n’a su comprendre pourquoi le brun avait un tel effet sur lui… « NON MAIS TU T’ES VU ?!!!??? ESPECE DE CLODO GASPILLEUR DE BANDAGES !!!!!! », continue Chûya, ne perdant en rien de son ton énervé, alors que ses yeux paraissent jeter des éclairs à son ancien confrère. Peut-être y a -t-il plus de colère en Chûya, que ça ne pouvait être le cas autrefois… Car le génie des arts martiaux ne réagit pas qu’à la pique d’Osamu, non… Sous-jacent à tout ça – tellement que même lui ne peut le reconnaître – se trouve la colère de celui qui a été trahi. Bien qu’il méprisait ce crétin, il avait fini par lui faire confiance, profondément, et entièrement. Au point même de lui confier régulièrement sa vie, les yeux fermés. Tant en utilisant son pouvoir à son paroxysme, qu’en acceptant de le suivre dans des plans foireux dont Dazai ne lui en dévoilait qu’une infime partie. Ils se détestaient, mais pouvaient se comprendre d’un seul mot, d’un seul regard… Alors… Chûya, avoue que ce lien te manque, qu’il te manque… Mais… Tu n’en es pas capable !!

« Je suis bête ? Réellement ? », demande Chûya, de sa voix de nouveau calme et mesurée comme à son habitude. « Réserve ça à ton précieux ancien subalterne, Akutagawa, qui n’a pas compris qu’il est impossible de te capturer… A moins que tu ne le souhaites… ». Le ton du mafieux reste empli de mépris. Il n’aime pas vraiment que Dazai le sous-estime aussi ouvertement. Encore un truc qu’il n’avouera jamais : Chûya a un grand besoin de la reconnaissance du brun. Car oui, Chûya l’estime, même si ça l’emmerde d’en avoir conscience. Dazai – aussi horripilant soit-il – a toujours été impressionnant par son intelligence et sa ruse sans faille. Il est toujours aussi tête à claques ! Il se relève doucement, retrouvant sa stature droite, bien que ses mains soient toujours dans ses poches, et que ses lèvres soient toujours pincées. « Sinon, crois-moi, ça ferait déjà bien longtemps que je t’aurai ôté la vie ! », lance-t-il d’un ton menaçant. Un jour, je le tuerai !, se promet-il, ne désirant rien de moins qu’ôter ce sourire satisfait de lui-même, des lèvres de Dazai ! Et voir dans le regard d’Osamu, la surprise de voir son ancien partenaire présent pour le tuer réellement, et la reconnaissance de ce dont il est capable. Oui, Chûya s’y voit déjà, ses mains pressées autour de la gorge de ce chieur, pour lui couper le souffle, définitivement… Autant qu'il te coupe encore le souffle, Chûya ? Allez, avoue, on est qu'entre nous ! Non... Bon, tant pis, ça sera pour une autre fois !

Même si il ne le montrait pas non plus trop, n'aimant pas lui montrer sa joie ou autre, il était tout fier de le mettre dans tout ses états et il le trouvait même assez craquant dans ses excès de colère et ses caprice régulière dont il avais l'habitude de supporter depuis bien de longue années maintenant mais jamais il ne se lassait de continuer de le titiller encore et encore et il ne comptait pas s'arrêter même maintenant venant afficher un léger sourire tout en se mettant relativement droit pour encore plus le dépasser de tout ses centimètre et continuer de s'exprimer toujours sur un ton bien moqueur , un ton qui lui était propre depuis son changement de camps comme pour montrer qu'il n'était plus le même à torturer mais maintenant à taquiner et faire rire la galerie... Même si ce suicider n'est pas une blague hein ? Alors faudrait que les gens arrête d'en rire quand j'essaye de me tuer ! Non mais oh !


«Toi ? Non désolé... tu n'est pas un gringalet..» Je marque un petit temps d'attente afin de lui faire croire que j'était sincère puis je continue avec d'autre pique rien que pour l'embêter un peu plus et le voir de nouveau dans tout ses états «Tu est ridiculement petit ~ Un petit microbe roux , un n'enfant pas plus haut que 3 pomme , sa explique aussi parfois les chaussure à talon mais t'en fait pas ton secret est bien garder ~ »

Dans un clin d'oeil , sa langue sortie afin de le narguer toujours un peu plus  de provocation mais une chose me touche en plein coeur ! GASPILLEUR DE BANDAGE ?! Non mais en qu'elle honneur ! Mon visage pris une mine un peu ignorante de ses parole  tout en lui répondant «Va se calmer le petit moucherons , je ne fait aucun gaspillage , il sont écologiquement biodégradable et puis d'abord j'en change pas souvent ! » je lache un soupire tandis qu'il repris un  sujet un peu plus sérieux même si je sentait au fond qu'il avais encore envie de m'en lancer de plus belle au visage , venant l'observer alors qu'il parle de mon ancien apprenti , un jeune très prometteur mais pas dans la voix que je souhaite poursuivre et puis il a déjà le potentiel pour s'en sortir et exécuter mes planification à la lettre ...Plus il me cherchera , me detestera plus il sera fort et peut être cela lui  apprendra certaine chose également... «Ah sa je lui est jamais demander de comprendre, je suis même pas sûr qu'il comprendrais même si je lui dirais en face et puis... » Un sourire se dessine de nouveau sur mon visage accompagner d'un ricanement machiavélique «M'ôter la vie ?  Je sais que tu n'oserais pas , ta trop besoin de moi mon PETIT toutou , n'oublie pas que tu doit donner la patte la prochaine fois et faudra m'offrir.. Tu ...Sais...Quoi ~» J'était parfois diabolique je sais mais bon j'avais gagner notre paris fallait en profiter après tout

Putain mais qu’est-ce qu’il est énervant ! Je le hais ! JE LE HAIS ! JE LE HAAAAIIIIIS !!!!!!, songe Chûya - sans doute avec trop d'intensité pour que ça soit aussi simple qu'il veut bien le croire ! - jetant un regard bien noir et assassin à son ancien associé ! Dazai faisant son grand Dazai, prenant un grand plaisir à tourmenter le rouquin, sachant parfaitement où viser pour ça ! Et Chûya étant Chûya, il tombe bien dans le panneau de Dazai, quand il feint de s’excuser… De nouveau, le corps de Chûya se courbe, un pli de colère apparait sur son visage, qui se met partiellement à rougir de colère, tandis que Osamu le compare à un microbe ! Je vais te les faire manger, mes chaussures à talons, tu vas voir !, se promet le mafieux, qui bout d’envie de faire ravaler son sourire à ce traître ! Si Dazai est d’une intelligence sans fin, il est loin – très loin même ! – d’égaler le talent de Chûya, pour le combat à mains nues… Et le rouquin est convaincu que cela n’a pas changé, malgré les années ! Surtout que... mais ça, il ne l'avouera jamais... Chûya s'est entraîné dur pour être celui qui ôtera la vie à Dazai... Et il espère aussi secrètement qu'enfin, un jour, Dazai reconnaisse ses mérites ! C'est presque pathétique, ce besoin de reconnaissance - inavoué - que Chûya ressent, de la part de Dazai...

La mâchoire du Nakahara se cripse au fur et à mesure que s’enchaîne les paroles de Dazai. Après un microbe, me voilà un moucheron… Je vais te tuer très lentement, tu rigoleras moins ! C’est presque comme si les yeux bleus du mafieux, étaient en train de lancer des éclairs sur Dazai, en cet instant précis ! Mais ça n’a rien à voir avec la colère qu’il manifeste, quand Dazai OSE remettre leur pari stupide sur le pari. Utilisant sa vitesse – naturellement inhumaine – il se propulse rapidement vers Dazai. Sa main gauche se porte à son cou, le serrant fortement entre ses doigts. De sa main droite, il menace plus encore Dazai, d’un couteau qu’il lui glisse contre la joue, juste sous l’oreille. Au passage, il lui fait une belle eraflure… Alors, Chûya, comme une envie de marquer le brun ? De lui donner une bonne raison pour porter ces maudits bandages, qui t’ont toujours rendu cinglé ? Tout comme t’as rendu cinglé sa manie à chercher à se suicider par tous les moyens possibles ? N’est-ce pas ça qui t’a fait te reconnaître – en partie ! – en lui ? Vous aviez tous 2 intégré la Mafie pour trouver une raison de vivre, en risquant sans arrêt vos vies ! Même si dans tout cas, ça s’accompagnait d’une quête de ton Humanité, que tu croyais ne plus posséder à cause de la présence d’Arahabaki en toi !

« Tu veux voir à quel point j’aurai prétendument besoin de toi ? », murmure-t-il d’une voix froide, polaire, alors que ses yeux flamboient d’une colère sans nom, tandis qu’il fixe Dazai, son visage éloigné de quelques centimètres seulement du sien. Oh, bien entendu, si Chûya est sorti de ses gonds, il reste cependant sur ses gardes. Rien ne pourra lui faire oublier que c’est Dazai, qu’il menace actuellement. Et que même si celui-ci est toujours attaché au mur, il reste une menace à ne pas prendre à la légère. Le roux est d’ailleurs prêt à réagir en un rien de temps, si besoin. C’est aussi pour ça qu’il a pris grand soin à ne pas faire appel à son pouvoir. Même sans son don, Chûya reste redoutable, quand il est question de combat ! « Je me ferai un plaisir de te trancher la gorge, et de répandre ton sang sur tes précieux bandages biodégradable qui ne sont changé que rarement… », crache-t-il avec dédain. Allons, Chûya, évite de te demander si Dazai se douche avec eux, ou s’il les lave autrement, ou s’il ne prend même pas la peine de les laver. C’est pas le moment pour de telles pensées, voyons !!! Et… Qu’est-ce qui t’as tant mis en colère ? Les piques incessantes de Dazai – auxquelles tu es pourtant habitué !?!? – ou son mot, sur ton besoin de lui ? Laquelles de ces vérités difficiles à admettre pour toi, a-t-il pointé du doigt ? Ton complexe sur ta petite taille ? Ou ton impression d’être étrangement complet et toi-même quand ce crétin est à tes côtés, même s’il te donne toujours la furieuse envie de le massacrer ??

C'était si satisfaisant de le voir dans tout ses états , j'avoue que je pourais jouer à cela pendant des heures sans jamais m'arrêter , le taquine , l'humilier presque rien que pour voir son visage se déformer pour devenir celui d'un enfant craquant qui bouderais après qu'on lui est refuser un morceau de chocolat qu'on aurais finalement manger ou quelqu'un à qui on refuserais le droit de se suici....Ah non ça c'est moi ! éhéh ! A vrai dire je n'avais pas besoin de lui maintenant et pourtant sa me faisait du bien de le voir , j'en oublierais presque de me suicider, il est devenu encore plus fort , encore plus gr... ah non petit et il est devenu un grand capitaine même si il reste toujours le petit capricieux narcissique par moment se qui faisait tout son charme, la ou lui aimer se voir plus fort, moi je passer mon temps à me voir moins bon et faible au point de vouloir ma mort , un juste équilibre dirons-nous ? Peut être pour sa que le parrain de la mafia avait fait en sorte de nous mettre enssemble ou peut être pour une autre raison...

Je m'apprêtais à rouvrir ma bouche pour une nouvelle tirade avant qu'il ne se jette sur moi comme un prédateur et me saisi à la gorge , la lame me tirant un léger souffle à cause du picotement que je ressentie par une légère éraflure qui laissera déjà couler une légère goutte de sang sur la lame mais mon sourire ne quittera pas mon sourire pour autant , je le baisse légèrement afin de le rendre plus doux , moins démoniaque.   «Oh tu a besoin de moi plus que tu ne le crois et puis si jamais tu me tue... Tout les secret du parrain serons révélé ce qui me donne une raison de plus de me suicider,  a ton avis pourquoi tout les capitaine c'est rassemblé ? »   Un nouveau souffle vers le visage du roux afin de l'embêter un peu plus avant qu'il ne poursuive «et tu sais très bien que je n'aime pas la douleur , si tu veux m'aider à me suicider tu peux me trouver une jolie jeune femme ou bien même te travestir la j'accepterais volontié de me laisser tuer ! »  

Phase numéro 2 ! Je pris une mine nostalgique , un sourire tendre alors que je le regard dans les yeux presque charmeur , mes mots sortant de ma bouche presque de manière suaves pour paraitre un peu bizarre et lui faire croire que la situation d'être en danger de mort m'excite un peu plus , même si je ne peux qu'avouer que c'est le cas mais se serais pas sympa d'avouer que j'ai la trique ! Faudrait vérifier pour sa d'abord ! «Je tes toujours assez admiré d'un  certain côter , pas une admiration qui est relié à la jalousie mais plutôt que j'avais parfois presque envie d'trainé avec toi , t'avais toujours tes beau cheveux soyeux , ton visage si doux et ton beau regard , bon enfaite j'en suis peut être un peu jaloux au point que j'aimerais me jeter dans la rivière tient »  

Les yeux de Chûya s’étrécissent, quand Dazai évoque la réunion des Capitaines de l’organisation, prétextant que ça aurait un lien avec le traître qu’il est, et l’intérêt de le maintenir en vie. De quoi parle-t-il ?, se demande-t-il. Oh, bien sûr, il sait, pour la réunion. En tant que Capitaine, lui aussi a été rappelé à Yokohama, afin d’y assister. Par chance, il était sur le retour, après avoir effectué une – très ! – longue mission à l’étranger. Il avait juste eu à accélérer son voyage du retour, pour arriver à temps. Toutefois, il est stupéfait que Dazai soit au courant de ça. Et connaissant son ancien partenaire, ça ne laisse rien à présager de bon, qu’il soit dans la confidence… Qu’a encore manigancé ce crétin ?, s’interroge-t-il. Dazai est le pro des magouilles de tout genre. Et, même si ça énerve le mafieux au plus haut point, force est de reconnaître qu’il a toujours bien trop de coups d’avance, sur tous les autres… Les pensées du Nakahara sont interrompues par ce que le brun ajoute peu après, notamment son « invitation » à ce que Chûya se travestisse. Cette remarque a pour effet de lui faire resserrer un peu plus fort sa main autour du Détective, avec la ferme intention de le tuer. Calme-toi, Chûya, découvre avant pourquoi il prétend qu’à sa mort, tous les secrets du boss seront dévoilés ! C’est en serrant les dents – bien furieux – qu’il relâche – légèrement du moins ! – le cou de son ancien complice. Ses yeux lui jettent toujours des éclairs, plus intensément que jamais même !

La surprise succède à la colère, avec ce que Dazai commence à dire ensuite. Pendant quelques infimes secondes, Chûya doute… Il est sérieux ???? Il a vachement bien caché son jeu à l’époque, si c’est le cas ! Mais… Dazai en fait un peu trop pour que ça ne cache rien de louche. Le jeune homme retire son couteau de la joue de Dazai, non sans faire bien exprès de le couper une fois de plus. Dans le même temps, il libère son cou. Lui lance un nouveau regard noir en glissant – d’un geste preste – sa lame dans sa poche. Se recule légèrement du brun. Le tout assez rapidement. Pour, tout autant rapidement, lever sa jambe, et, d’un coup de pied circulaire, défoncer non seulement le mur derrière Dazai, mais en plus, couper les chaînes qui le retenaient jusqu’alors. Et ce, sans même avoir eu à utiliser son pouvoir. Le rouquin est naturellement fort et puissant ! « Pour une fois dans toute ta putain de vie pathétique, Dazai, sois sérieux… », crache-t-il, agacé. Ses deux jambes de nouveau solidement ancrées au sol. Ses deux mains de nouveau dans ses poches. Son corps prétendument détendu, mais Chûya est toujours prêt au combat, une vraie lame affûtée qui n’attend qu’un geste de la part de son adversaire pour le couper et l’anéantir… « Pourquoi as-tu laissé Akutagawa te capturer ? Qu’as-tu à faire ici ? En quoi ta mort révèlerait les secrets du boss ? Comment es-tu au courant pour la réunion ? ». L’heure n’est plus à la plaisanterie… « Explique-moi tout, et après, je me ferai une joie de te buter… Ou alors de t’enfermer réellement, m’assurant que tu ne pourras jamais ressortir de ces cachots ! ». Puisqu’il prétend qu’il faut le garder en vie… Il sera enfermé à vie, dans ce cas-là ! Car il ne fait aucun doute à ses yeux, que le brun avait déjà de quoi se libérer, actuellement. Il ne connait que trop bien le jeune homme… Il sait parfaitement que sa ruse peut être surprenante, et le pousse à considérer tout le monde comme de simples pions. Dazai ne faisant pas exception à cette règle. Et Chûya non plus… Et c’est peut-être ça qui avait toujours le plus énervé Chûya. Que Dazai ne prenne rien ni personne au sérieux, jamais. Il est toujours aussi détestable !, se dit-il, se doutant fortement que rien n’a changé.

On pourrait croire que Chûya joue un jeu dangereux, en ayant « détaché » Dazai. Il n’en est rien. Non seulement il ne croyait que peu au fait qu’il ait vraiment été dans l’incapacité de se barrer tout seul. Mais en plus, Chûya se sait suffisamment fort pour le stopper, si besoin. Sauf si Dazai joue de nouveau de sales tours fourbes… Car en terme de force, Chûya lui est bien supérieur, mais il est bien contraint d’admettre qu’en terme d’intelligence brute, Dazai le surclasse, et de loin ! Et pourtant, Chûya est très loin d’être un crétin, incapable de ruse et de stratégie. Il est juste loin d’égaler Dazai à ce niveau !

Dazai était très confiant de A à Z de son plans ou même de ses nombreux plans surtout ceux de secours  , même si par moment il aurais aimer que cela foire afin de pouvoir mourir , sa compterais comme un suicide non ? De faire exprès de raté pour mourir ! Ouai mais non car se serais quand même assez nul et je mettrait la vie des autres en dangers et c'est pas vraiment se que je souhaite .

J'avoue que je ne penser pas qu'il me libérerais comme sa , après tout je pensais qu'il aimer me voir attacher comme cela même si je n'est pas fait exprès d'être attacher juste pour qu'il vienne m'observer... Sa aurais quand même était une idée assez excitante ~ mais revenons au chose sérieuse ! Enfin pas très sérieux quand j'ouvre de nouveau mon clapet «Me salire pour rien c'est pas sympa de ta part tu sais que j'aime pas me suicider en étant sale... et puis c'est pas comme si j'avais déjà prévue le coup...»  Je laisse tomber les chaines qui était accrocher à mes poignet ainsi que l'aiguille que j'avais utiliser pour pouvoir m'en défaire , c'était pourtant moins salissant que sa technique de brute...

Pour me venger j'allais encore m'amuser à le faire douter de mes paroles , vérité ou mensonge ? mensonge ou vérité ? Qui pourrais le savoir ? Appart moi même après tout ! Je m'avance alors d'un pas assuré vers lui , sans me soucier si il en viendrais à la violence même si c'est surrement se qui arrivera alors que je m'arrête devant lui , prenant son menton que je lève afin de pouvoir le regarder dans les yeux , soufflant sur ses lèvres «Qui te dit que c'était faux mon chou ? Après tout... Tes assez efféminé pour que j'ai envie de me suicider à tes coter..» J'en lache un léger pouffe sensuel avant de me reculer , haussant les épaules bien haut accompagner de mes mains tourner vers le ciel comme si je portait ma propre fausse ignorance à bout de mains «Je voie pas de quoi tu parle je suis une personne très sage sans arrière pensé voyons ! Mais je veux bien te faire une faveur et te dire que dans un premier temps je suis venu ici afin de savoir qui en voulais au tigre garou , sais tu quelque chose à son sujet ? Et surtout qui a poser cette somme assez exponentiel sur lui ?»

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C’est sans la moindre surprise que Chûya constate que Dazai avait de quoi se libérer. Et évidemment, personne n’a pris la peine de le fouiller avant de l’attacher ici… Rah mais ils ont déjà oublié à quel point cette saloperie est intelligente ?, peste-t-il mentalement. Akutagawa en personne, semble sous-estimer l’homme qu’il admire pourtant follement, et qu’il fait tout pour impressionner, même depuis qu’il a trahi la Mafia Portuaire ! Les yeux du rouquin paraissent de nouveau devenir de véritables armes à feux, quand son regard se pose de nouveau sur son ancien partenaire, qui se rapproche de lui pour le narguer. « Moi, assez efféminé ? Je te ferai bouffer ces paroles, Dazai ! », promet le mafieux, comme s’il n’avait déjà mille raison d’en vouloir au brun, dont l’actuelle proximité a une étrange incidence sur son rythme cardiaque. Il faut dire que ça fait bien des années que les deux ne se sont pas fait face, et n’ont pas – de fait – été aussi proches, même s’il n’était pas dans leur habitude d’être follement proches ! Notamment parce qu’ils ne cherchaient pas la compagnie de l’autre en dehors de leurs missions, et que quand ils se croisaient, ils passaient leur temps à se chamailler, tels deux insupportables gosses !

« Aurais-tu oublier à qui tu parles, Dazai ? J’ai eu à te supporter et travailler avec toi pendant 4 – longues ! – années… Alors tu ne pourras pas me faire croire que tu es capable de te laisser capturer par un incapable tel qu’Akutagawa… ou de faire quoi que ce soit sans arrière-pensées ! ». Peu importe ce qu’ils peuvent tous les deux dire, les membres du binôme Soukoku se connaissent sur le bout des doigts. Et Chûya ne tarde pas à constater que c’est sans doute encore le cas, quand, au lieu de répondre aux questions de son ancien complice, il tente plutôt de lui refaire le portrait. C’est sans mal, que Dazai esquisse ses attaques. Et merde…, songe le jeune homme, les mains toujours dans ses poches, après avoir de nouveau vu Dazai échapper à un de ses coups !, Ce connard doit encore se souvenir de mes moindres attaques… « Arrête de te faire passer pour le crétin que tu es loin d’être ! », râle le rouquin, « Si tu te souviens de la moindre de mes attaques, tu n’as pas dû oublier que je ne trahirais la Mafia pour rien au monde… » Mais j'ai pas dit mon dernier mot... Je sais qu'il ne comprendra rien à ce qui se passe, si je joue sur ma vitesse..., se rassure-t-il, se doutant que les années qu'il a passé à s'entraîner à maîtriser les arts martiaux, en plus de sa vitesse naturelle, lui donnent un sacré avantage, même sur un adversaire de la trempe du maudit Détective ! « Alors même si je savais qui en veut à ton précieux tigrou.. je ne t’en parlerai pas ! », dit-il, non sans cracher avec mépris le « surnom » désignant le nouveau protégé de Dazai. Bien qu’on ait forcé la main à Chûya pour qu’il intègre la Mafia, il l’a quand même fait de son propre chef, par la suite, afin d’en apprendre plus sur ses origines, mais aussi sur ce que veut dire « être chef ». Maintenant, sa loyauté va donc au parrain, et à l’ensemble de l’organisation criminelle. « Va donc demander au parrain, toi qui es toujours plus malin que les autres, et qui est – d’après tes dires ! – intouchable… ». Ca, d’ailleurs, ça l’intrigue toujours. Mais est-ce qu’il y a une seule chose, chez le brun, qui n’intrigue pas le rouquin, en réalité ? On se le demande… Ou pas…