Univers fétiche : Fantastique en général, shadow hunters, Sherlock, Doctor Who, et toutes autres propositions est possible.
Préférence de jeu : Femme
Mira
Jeu 3 Sep - 0:06
Mise en Situation
Pandente itaque viam fatorum sorte tristissima, qua praestitutum erat eum vita et imperio spoliari, itineribus interiectis permutatione iumentorum emensis venit Petobionem oppidum Noricorum, ubi reseratae sunt insidiarum latebrae omnes, et Barbatio repente apparuit comes, qui sub eo domesticis praefuit, cum Apodemio agente in rebus milites ducens, quos beneficiis suis oppigneratos elegerat imperator certus nec praemiis nec miseratione ulla posse deflecti.
Post haec indumentum regale quaerebatur et ministris fucandae purpurae tortis confessisque pectoralem tuniculam sine manicis textam, Maras nomine quidam inductus est ut appellant Christiani diaconus, cuius prolatae litterae scriptae Graeco sermone ad Tyrii textrini praepositum celerari speciem perurgebant quam autem non indicabant denique etiam idem ad usque discrimen vitae vexatus nihil fateri conpulsus est.
Et quia Montius inter dilancinantium manus spiritum efflaturus Epigonum et Eusebium nec professionem nec dignitatem ostendens aliquotiens increpabat, qui sint hi magna quaerebatur industria, et nequid intepesceret, Epigonus e Lycia philosophus ducitur et Eusebius ab Emissa Pittacas cognomento, concitatus orator, cum quaestor non hos sed tribunos fabricarum insimulasset promittentes armorum si novas res agitari conperissent.
Tantum autem cuique tribuendum, primum quantum ipse efficere possis, deinde etiam quantum ille quem diligas atque adiuves, sustinere. Non enim neque tu possis, quamvis excellas, omnes tuos ad honores amplissimos perducere, ut Scipio P. Rupilium potuit consulem efficere, fratrem eius L. non potuit. Quod si etiam possis quidvis deferre ad alterum, videndum est tamen, quid ille possit sustinere.
Dein Syria per speciosam interpatet diffusa planitiem. hanc nobilitat Antiochia, mundo cognita civitas, cui non certaverit alia advecticiis ita adfluere copiis et internis, et Laodicia et Apamia itidemque Seleucia iam inde a primis auspiciis florentissimae.
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Mira
Jeu 3 Sep - 0:18
Zelda Dodgson
En deuxième année et du haut de ses 17 ans, elle est persuadée que seul le talent est la source de bonnes magies. Impétueuse et légèrement prétentieuse en dehors des cours, elle prétends que l'invocation est avant tout quelque chose à faire quand on a un bon feeling. Elle aime le danger et serait prête à se jeter dans le vide. Par contre, une fois près du bord, la peur peut rapidement la rattraper. Beaucoup de paroles, mais peu d'actes au fond. Si personne ne le soutient, elle peut vite se sentir dépassée. Par contre dans un environnement calme, à part quand elle parle magie, elle est adorable et même plutôt discrète. Zelda essaie de se persuader avant tout qu'elle est réellement l'image d'une petite peste, mais en réalité, quand vient le danger, son vrai visage de douceur se dévoile.
Anya Taylor-Joy :copyright:️ Bambi eyes
Encore enroulée dans les couvertures, les songes étaient pesants et envahissants. Les examens devaient se dérouler dans les prochains jours et une élève me talonnait de très près au niveau des résultats. J’avais toujours tendance à prétendre que j’avais une confiance aveugle en mes capacités. Je n’avais pas envie d’attendre les résultats de notre trimestre à l’école. Je voulais lui prouver dans un duel d’invocation qu’il n’y avait pas de questions à se poser entre elle et moi. Déjà que l’on entendait parler un peu trop de la demi-mortelle à mon goût, inutile d’avoir une autre sorcière pour me faire de l’ombre.
Si tu veux la première place, prends-là, peu importe ce qu’il en coûte. Nous n’étions pas comme tous ces mortels et leurs préoccupations primaires. Nous étions tellement plus que cela. Je voulais briller sans partage. Bien sûr, je savais prétendre que j’appréciais les personnes qui étudiaient avec moi. Il fallait être proche de ses amis, encore plus de ses ennemis. J’avais bien sûr des préférences, des personnes que je chérissais réellement. Mais, parce qu’il y a toujours un mais, le pouvoir était bien plus important que tout le reste à mes yeux.
En minaudant et en paraissant plus fragile que je ne l’étais réellement, j’avais convaincu des sorciers de classe supérieur de nous prêter quelques livres d’invocations qui ne nous était pas permis, nous, les deuxièmes années. Un sourire mince et léger éclaira mon visage lorsque j’ouvrais le premier livre que mes doigts effleuraient. La tête penchée sur le côté, j’avais déjà ma trousse de craies à porter de main. J’avais donné rendez-vous à ma principale rivale. J’étais joueuse, je ne lui avais pas vraiment dit pourquoi. Il me semblait que l’on pouvait invoquer un démon ensemble et le révoquer. Nous étions assez malines et surtout assez doué pour y arriver. Le talent ne se comptaient pas dans le nombre de livres dans lesquels on avait bien pu se plonger.
Dans ma tête, tout était calculé, on allait seulement s’occuper ensemble dans un premier temps d’un même démon. Puis, pour montrer ma suprématie, nous nous chargerions chacune d’un autre démon de notre choix, figurant dans le livre que je feuilletais. Une fois qu’elle serait dépassée par les événements, j’attendrais qu’elle me supplie de lui venir en aide pour congédier le sien. Mon index tapota deux fois sur la fiche d’une invocation en particulier. C’était un démon connu pour piéger ses proies dans un labyrinthe fait à partir de l’illusion de la salle dans laquelle il était appelé. En réalité, les détails ne m’intéressaient guères. Il n’aurait pas le temps d’agir que nous parviendront à le congédier à temps.
Satisfaite du choix sur lequel je mettais prononcée sans en parler à la partie adverse, j’entreprenais déjà de faire de la place. Il était minuit. L’heure des sorcières. Tout le monde devait être, théoriquement, dans les dortoirs. Tout le monde sauf nous deux. Mordillant ma lèvre, trop fière par l’excitation de tout ce que cela signifiait : manquement au règlement, preuve indiscutable que le talent est plus important que l’apprentissage, vaincre ma rivale. J’entreprenais de tracer les premiers traits, je ne faisais que la moitié du travail. Le reste lui reviendrait. En réalité, je la connaissais très mal, je ne m’étais jamais penchée sur la question de qui elle pouvait être au fond.
Tout ce qui me préoccupait, c’est qu’elle avait accepté et alors que j’effectuais mes traits, mon regard se portait sur l’horloge. J’espérais qu’elle viendrait vraiment, qu’elle ne me ferait pas faux bon. La réponse ne tardera pas à arriver alors que je continuais mes gestes souples du poignet pour dessiner mes cercles.
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Hysy
Dim 6 Sep - 18:34
Rebecca Bishop
J'ai 17 ans et je vis à l’académie des Arts Invisibles, à Greendale. Dans la vie, je suis Sorcière et je m'en sors Bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis volage et je le vis plutôt bien, je suis une sorcière après tout. Rebecca est une relative de Bridget Bishop, la première femme exécutée au procès de Salem. Suite à ce drame sa famille c’est réfugiée à Greendale. Mais ce drame est contée dans sa famille à chaque générations. Le familier de Rebecca est une petite ratte dumbo nommé Darcy, familier des maladies. Elle c’est donc naturellement tournée vers les remèdes et les potions, histoire de maitriser les deux aspects. C’est une sorcière qui aime s’amuser mais plutôt en solo. Elle tient cependant énormément à réussir ses études pour honorer sa famille. Elle supporte de loin les idées de Sabrina Spellman car elle aimerait avoir une place plus importante que la « femme d’un tel » dans le futur. Mais elle n’aime pas le reste du personnage. Elle est toujours dans son coin, en train de bouquiner, n’aimant pas spécialement se faire remarquer, mais face à un défi, elle révèle assez courageuse et audacieuse.
« Avoir le pouvoir sans avoir la liberté, revient à ne rien avoir du tout. »
Amandla Stenberg (c) google Dumbo rat gif (c) google
Je soupira une énième fois, fermant le livre avec lassitude, et Darcy me regarda avec ses deux petites billes remplies d’expressions. Quel adorable petits yeux. Je caressa doucement sa petite tête du bout de l’index. Les familiers étaient interdits à l’académie et les autres sorcières pensaient souvent que garder son familier près de soi était un truc de bébé. Tss. Foutaises. Avoir son familier près de soi, c’est toujours avoir un atout, un effet de surprise et une assurance à porter de soi, en permanence. Pourquoi ne s’en rendaient t-ils donc pas compte ? Bonne question. Je n’étais pas le genre de sorcière à vouloir faire la révolution de façon ouverte et franche telle la demie-sorcière, Spellman. J’aimais bien ses idées mais pas sa manière de faire. Trop rentre dedans. Trop gamine capricieuse. Et puis, soyons honnête, une sorcière, à demie-humaine, dans quel monde allons nous ? Je veux dire, je n’avais rien de spéciale contre la Spellman, je ne la connaissais pas personnellement. Mais, envisager un monde où nous vivions en harmonie avec ces… ces mortels, quel utopie délirante, dangereuse et grotesque ! Je pris ma petite Darcy dans le creux de mes mains placées en coupe et l’approcha doucement de moi. Elle posa ses petites pattes sur mon nez, me faisant doucement rire malgré mon inquiétude. Si nous suivions cette « demie-voie » nous courions vers un autre procès de Salem. Surtout qu’il y avait eu un fait similaire, ici à Greendale également. Cela avait beaucoup inquiété ma famille, car elle avait fuit Salem pour plus de sécurité et, au final… Je soupira. Les humains étaient tous les mêmes au final. Je plaça tendrement Darcy dans la poche de ma robe et me leva. Il était bientôt minuit et Zelda, une élève de seconde année également, avait demandée à me voir. J’ignorais pourquoi elle souhaitait me voir: nous avions beau être dans les même cours, je ne lui parlais pas. Je n’étais pas vraiment du genre sociale en fait. Partagée entre mes études et mes idéologies, je n’avais pas le temps pour ça. J’entra doucement dans la pièce, doucement, un peu inquiète que seul bruit qui résonnait soit celui de mes talons. Surtout que, je n’avais pas encore dormi et, honnêtement mon lit commençait à me manquer. « Mais qu’est-ce que… » Fis-je en apercevant Zelda devant un demi-cercle d’invocation. Ce n’était pas un cercle que l’on avait vu en cours, j’en étais sûre. et ce n’était pas un livre de deuxième année non plus que j’apercevais là… mais par Satan, que diable cette fille fabriquait-elle ?
"See, they're currently in alien terrain, surrounded by millions of the most vicious creatures on the planet... Humans." - Newt Scammander, Fantastic Beast