Leonnor
![[LIBRE] Chassé-croisé privilégié Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) | | (#) Sujet: [LIBRE] Chassé-croisé privilégié Mar 7 Jan - 10:36 |
| La situationBoston années 2020 Elle est experte psychiatre assermentée pour témoigner sur l'état mental des détenus. Et il voudrait pouvoir contrôler son témoignage, s'assurer qu'elle ne dira rien de compromettant. (notamment car elle n'en serait pas à son coup d'essai de faire emprisonner des membres de la pègre). Elle a été muté récemment à Boston et sa réputation la précède. Du coup, il essaie de se la mettre dans la poche. Il décide d'aller sous couvert de thérapie lui rendre une petite visite histoire de voir ce qu'on peut faire de cette jeune femme. Leur relation devient malsaine, entre la relation patient client et le rapport loi-criminalité. Ils se croisent, se menacent à couvert, et qui sait peut être bien plus encore. Contexte provenant de cette [url=LIEN]recherche[/url] |
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Leonnor
![[LIBRE] Chassé-croisé privilégié Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) | | (#) Sujet: Re: [LIBRE] Chassé-croisé privilégié Mar 7 Jan - 10:39 |
| Noah SilpheoJ'ai 44 ans et je vis à Boston, USA. Dans la vie, je suis éminence grise de la Pègre et je m'en sors bien trop bien pour être honnête. Sinon, grâce à ma chance, je suis du genre à avoir tout ce que je désirel et je le vis plutôt bien.
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Madds mikkelsen:copyright:️ yeuneusaispas
Ses doigts glabres glissent tranquillement le long du fauteuil. S'il avait été une personne plus honnête, il aurait admis qu'il ne se sentait pas si à l'aise à l'idée d'aller voir une psychiatre pour la première fois. Toutefois, être en contact avec ses émotions, ça n'avait jamais été son fort. C'était un conquérant et les conquérants ça n'avait pas d'émotions inutiles. Il n'était pas venu pour rien dans ce cabinet, il avait un objectif. Ce n'était certainement pas celui de se faire analyser par une nana dans un fauteuil avec suffisance. Son but premier c'était de lui faire comprendre qu'elle était accessible. Qu'à tout instant quelqu'un pourrait rentrer dans ce bureau et se débarrasser d'elle. Que pour son propre bien, il allait falloir qu'elle apprenne à choisir ce qu'elle dirait. Voyez-vous la jeune femme avait fait une mauvaise habitude de travailler en partenariat avec les autorités judiciaires pour dresser les profils psychologiques des criminels. Le fait est qu'il ne savait pas ce qu'elle pouvait bien leur dire mais ils parlaient bien trop à son goût. Oh bien évidemment elle n'avait pas le droit de divulguer les crimes qu'ils confessaient, secret médical comme on dit, mais ça n'empêchait pas que ça avait mis plus d'un gars dans la panade. Alors, il avait voulu la connaître. L'étudier discrètement pour savoir quel genre de personnes pouvait penser qu'elle pouvait ainsi s'opposer à la Pègre sans contrecoup.
Il ne savait pas si elle connaissait son visage. Bien évidemment, il était suspecté de faire partie des têtes pensantes d'une des mafias les plus influentes de Boston mais pour l'instant, du moins à sa connaissance et à celles de ses indics dans la police, il n'y avait pas de preuves tangibles. D'une certaine manière, il était encore un fantôme. C'était une sensation grisante que de savoir qu'il passait entre les mailles du filet. D'une certaine manière, ce qui était encore plus agréable, c'était de se dire que même s'ils avaient des informations compromettantes, celles-ci seraient amenées à disparaître. Il se sentait intouchable, comme un homme au sommet du monde. C'était sur cette pensée universelle et pleine d'égo, qu'il pénétra dans le bureau de la psychiatre. Persuadé que c'était lui qui aurait l'ascendant psychologique sur elle. Cruelle ironie que celle-ci.
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