| | Shine Bright A Diamond (Ft Sonorus) Lawrence & Tess | |
| | Miaka
 | | (#) Sujet: Shine Bright A Diamond (Ft Sonorus) Lawrence & Tess Jeu 24 Oct - 0:55 |
| La situationDans leur petite ville tranquille, un bracage de bijouterie va bouleverser le jeune couple que forme Lawrence et Tess.  Il fait très chaud. Pourtant c'est agréable de flâner dans les rue de Wauwatosa et de profiter des dernières soldes. Par chance, il y a des passages où c'est ombragé. Les terrasses des cafés et des glaciers sont pleines et c'est une bonne chose pour la ville. Les magasins attirent du monde grâce aux soldes mais aussi grâce à leur clim. Cela permet de faire une pause plus fraîche même si on a rien à dépenser.
Il y a du monde quand un bruit de vitre brisée éclate en cette fin d'après midi. Deux braqueurs cagoulés pointent leur revolver devant les deux pauvres vendeuses abasourdies. Certains partent en courant pendant que des passants appellent rapidement les autorités. Cela fiche la pagaille dans la rue, certains sont confinés dans d'autres magasins. Et vous, où êtes-vous ? Rp, venant d'un Tc sur le forum Everything is Fine. Merci aux autres membres pour leurs participations, nous prenons juste le relais pour le terminer ici Contexte provenant de de nos différents forums |
|  | | Miaka
 | | (#) Sujet: Re: Shine Bright A Diamond (Ft Sonorus) Lawrence & Tess Jeu 24 Oct - 1:13 |
| Tess AllenJ'ai 20 ans et je vis à Wauwatosa, usa. Dans la vie, je suis bénévole à l'hopital et je m'en sors car je vis encore chez mes parents hyper protecteur à cause de ma maladie. Sinon, grâce à ma chance, je suis follement amoureuse et je le vis plutôt bien.

elle fanning@cigarette daydreams
Ta mère t'avait demandé de t'accompagner dans cette bijouterie alors qu'elle devait récupérer un de ses bracelets qui avait eu besoin d'une réparation urgente. Tu l'écoutais avec le sourire te raconter que c'était un héritage familiale, qu'un jour il te reviendrait peut être. Tu adores ta mère, la trouve parfaite et tu voudrais lui raconter tout ce qu'il se passe dans ta vie et dans ton cœur depuis ses derniers mois mais tu ne veux pas qu'elle l'utilise pour être encore plus stressée qu'elle ne l'ai déjà de te laisser un peu de leste. Elle n'a pas besoin qu'on en rajoute, définitivement pas.
C'est ce que tu aurais peut être pu expliquer aux braqueurs si tant est qu'une mère surprotectrice aurait pu les faire reculer ? Car ils venaient de se croiser quand elle venait de quitter la bijouterie un instant, ayant oublier son chéquier dans la voiture. Tu en profitais pour regarder les bijoux, choisir ce que tu aurais voulu pouvoir offrir à ton petit ami si tu le pouvais.Tu n'as pas le temps de te décider qu'un bruit de verre te fais remonter la tête. Tu ne comprends pas immédiatement, tu suis juste ce que font les autres et te met à terre avant de réussir à te rendre compte que tu es en plein braquage.
- LAWRENCE:
-
Ta bécane. une journée seul, tu aurais voulu la passer en compagnie de ta petite amie mais parfois il faut s'avoir s'éloigner pour mieux se retrouver puis elle devait passer la journée avec sa mère pour ne pas éveiller les soupçons. des sms, parfois des petits appels de quelques minutes juste pour tenir toute une journée, même si la voir est bien plus intéressant tu arrives à tenir. tu as donc prévus de faire un tour en moto en cette belle journée, vêtu de tout ton équipement malgré la chaleur tu ne prend aucun risque. t'aime être libre et pouvoir profiter de ta solitude, pas de route ou de destination particulière juste envie de se balader. Te dirigeant vers la sortie de la ville, tu roule pas vite et tu passe près de la bijouterie mais le mouvement de foule attire ton attention, des cries et les verre brisé contre le trottoir, tu comprends que quelque chose ne vas pas. Tu te gare un peu plus loin, descend et te libère de ton casque et ton gros manteau et te rapproche en petite foulée d'une femme qui semble perdu (@Nikki Reyes) tu arrives près d'elle, inquiet. - Tout va bien ? Que ce passe t-il ? demandes-tu à son attention alors que les sirènes de la police s'approchent. Tu vois son égratignure, rien de grave mais elle saigne un peu, heureusement ça ne te fais rien la vue du sang. Jusqu'à ce que tu entends quelqu'un crier le prénom de Tess, tu te redresse soudainement pour voir une grande femme blonde en panique devant la boutique. - Tess ? murmures-tu en regardant autour de toi espérant la voir en dehors.
- Pnj Intervention a écrit:
- es deux brigands pointent leurs revolvers sur les vendeuses puis sur une jeune femme devant eux. Ils crient, ils sont violents, ils parlent fort et semblent sous pression. De gros dégâts pourraient arriver si on ne garde pas son calme. On peut commencer à entendre le son des sirènes de police. Asseyez-vous, tous contre le mur et pas de bruit, hurle l'un d'eux en montrant l'un des murs aux protagonistes avec son arme. Le deuxième tire en l'air, ça fait un bruit assourdissant. Les bijoux, vite ! Dit le deuxième à une vendeuse en lui lançant un sac en tissu au visage.
- Nicky:
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Tu as eu peur c’est vrai. Il faut dire que tu ne t’attendais pas du tout à ça comme la majorité des passants. Tu es de la chance, tu es dehors, tu ne risques rien. Enfin pas grand-chose, tu as quand même pris un bout de verre sur la joue qui t’a fait saigner. Tu sens que ça picote mais que ce n’est pas grave. Tu es un peu abasourdie en fait puis un jeune homme arrive rapidement vers toi. Tu ne le connais pas du tout mais il a l’air inquiet. Du monde commence à s’arrêter au milieu de la rue. C’est fou comme l’humain a une nature voyeuriste. Y a eu un coup de feu … lui dit-elle paniquée, sans vraiment savoir ce qui se passe à l’intérieur même de la bijouterie. Elle l’entend évoquer le prénom Tess, elle hausse les épaules mais elle s’en veut. Je ne la connais pas, elle est comment ? C’est pour l’aider à la chercher, si elle est dans les parages. Elle ne se doute pas une seule seconde que la fille qui cherche est à l’intérieur de cette bijouterie. Une autre brune est prête à arriver comme une folle en hurlant que sa sœur est prise au piège. C’est la panique, Nikki se sent mal. Les autorités arrivent et commencent à évacuer en installant des cordons, développant un périmètre de sécurité nécessaire.
- TESS:
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Tu te sentais terrifiée et seule. Pendant un long moment tu gardais la tête baissée, les yeux fermés, comme si cela allait t’empêcher d'entendre le battement fou de ton cœur, des chuchotements des autres clients ou les mots brutes des cambrioleurs et ce coup de feu. Tu as sursauté, tenté d'étouffer ton cri en croisant tes mains sur ta bouche. Tu es traînée par les cheveux jusqu'au mur mais n'essaie pas de résister, tu restes un poids mort jusqu'à sentir la pierre contre ton dos. Là seulement tu oses regarder autour. Une jeune fille encore plus jeune que toi est accompagné d'une autre, certain sont en couple, mais bien d'autre sont seuls comme toi. Comme une petite fille, tu as envie d'avoir ta mère à tes cotés. Tu regardes à travers la vitre, tu captes son regard apeuré et en larme. Tu ne peux rien faire, rien dire pour la rassurer comme tu ne peux pas t’empêcher d'être attiré par une autre silhouette. Celle que tu ne cesse de chercher à tout moment : Lawrence. Il est là, tu ne sais pas pourquoi mais tu voudrais lui crier, de prendre ta mère par le bras et s'éloigner de cette folie. Tu trembles, tu veux ses bras à lui, tu veux la caresse de la main de ta mère derrière la tête. Tu entreouvres les lèvres et un « Je t'aime » se dessine .
- Carina:
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Tu es contre Effie jamais tu aurais pu croire que tu serais si proche d'elle, tu la regarde dans les yeux et tu sais qu'elle dit vrai, mais aujourd'hui en face de vous c'est des hommes armés. Relevant le regard tu reconnais la voix d'Axel, tu fais un petit sourire avant de lui attraper la main, tu te redresses doucement quand tu sens Effie derrière toi tu espère ne pas être vu, tu regardes Axel avec un sourire essayant de te calmer "Que fais tu ici?". Dis-tu en chuchotant pour ne pas les provoquer, ton regard se porte dehors, tu vois ton père mais aussi ta soeur, tu as envie de te lever, de courir vers eux, de sentir les bras de ton père autour de toi, d'entendre ta sœur te hurler dessus avant de sentir ses main attraper ton visage pour regarder si tout allait bien. Effie se redresse enfin, tournant ton regard vers, tu essayes de voir si elle à réussi à envoyer ce texto, t'aurais voulu qu'elle lui dire que tu l'aimais, que c'était ton père malgré tout mais trop long. Y'a une jeune fille avec lui tu lui donnerais l'âge de ta sœur, tu essayes d'attirer son attention "Tu t’appelles comment?" . Demandes-tu en tremblant toujours autant, tu attrapes d'une main celle d'Axel puis de l'autre celle d'Effie pour te rassurer, tu regardes les hommes avec les armes espérant qu'ils puissent partir rapidement.
- Axel:
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Tes doigts ont frôlé ceux de Carina pour lui faire comprendre que tu étais là et au son de ta voix, elle a levé son regard sur toi. Tu réponds à son sourire par un clin d’œil, signes que tu es là et que tu ne la laisseras pas tomber dans les griffes de ses chiens masqués. -J’tai venu voir un collier pour ma copine, toi ? chuchotes-tu. Tu serres sa main dans la tienne après avoir croisé le regard de la brune sur laquelle elle est installée. Sa sœur ? Sa mère ? Bref, tant ne sait rien du tout, peu importe, cela ne t’empêche pas de serrer la main de Carina dans la tienne avant de te retourner vers une petite blonde qui est tout près de toi. Elle, tu l’as vu se faire traîner par les cheveux et presque lancé contre le mur, plaqué froidement contre celui-ci. Elle a peur, tu sens qu’elle tremble et tu n’aimes pas trop qu’on violente les femmes de cette manière. Tu tends la main un peu pour l’agripper par le bras et la tires vers toi - n’est pas peur... souffles-tu, tu ne lui veux pas de mal évidement, mais simplement la rassurer. Un des hommes passe près d’elle avec son arme à feu, tu passes ton bras devant elle comme pour mettre une barrière entre lui et elle... Tu la protèges, autant que tu tiens la main de Carina et que tu ne laisseras pas un seul de ses bandits toucher à un seul de ses cheveux. Faut vous soutenir. Tu sens ton cellulaire vibrer dans la poche de ton jeans, tu sais que c’est ta copine qui t’appelle, t’aimerais tellement lui répondre, lui dire que tu l’aimes... mais c’est impossible, on vous surveille et cela te fait foutrement chiez, tu soupires contrarié.
- Intervention Pnj a écrit:
- C'est quoi ce bordel ? Hurla un des braqueurs en voyant ses otages s'amuser, discuter comme s'ils étaient dans un putain de café. Fermez tous vos gueules ! Il est ferme, il est sérieux et braque son arme sur le blondinet qui s'amuse à dragueur la jeune femme. Il tire une nouvelle fois en l'air avant de pointer l'arme sur une jeune brune au sol. Jette ton portable, jetez les tous ! Ils sont très énervés. Pendant que celui-ci vise les otages, son compagnon s'assure que la vendeuse met bien les bijoux dans le sac. Ils commencent à paniquer. Ils entendent la foule et la police.
- TESS:
-
Tu ne sais pas quelle position est le meilleure. Tu ne sais pas si tu ne préfère pas être là que dehors. Ici tu ne pouvais rien faire, tu ne savais pas si ça n'allait pas tourner mal. Mais là bas... si tes proches auraient été à l'intérieur. Tu serais devenue folle. Dans la bijouterie, vous essayez dans doute de trouver un dérivatif au danger qui plane sur vous. C'est souvent dans ce genre de situation que les gens peuvent montrer le pire, comme le meilleur. Les groupes se forment, certain se connaissent déjà, d'autre cherche juste du réconfort ou à en donner. Tu peine à continuer à regarder dehors, ça te paraît encore plus confus et trop loin pour avoir le réconfort dans les bras duquel tu ne peux pas courir de toute façon. Mais il y a cette petite brune, à peine plus vieille que toi qui est là, demande ton prénom. Ce n'est pas grand chose mais ça te donne l’impression que la terre peux tourner de nouveau dans le bon sens si on s'en donne la peine. Elle te demande ton prénom et tu murmure « Tess.. » Tu allais lui demander le sien mais un bruit te fait sursauter et tu te retrouve propulser contre le mur. Tu grimaces de douleur et ferme les paupières très fort jusqu'à ce que l'élancement cesse. Une nouvelle main qui t'empoigne mais celle ci est bien différente. Tu ne ressens aucune peur, tu sais qu'il ne te veux pas de mal quand ton épaule frotte la sienne . A le voir, on pourrait vite le juger avec ces tatouages et ces airs de bad boy, mais ce n'est pas ton genre de le faire et au contraire là il est toute la gentillesse dont tu as besoin . Tu hoches la tête « Merci.. » Dieu comme tu n'es pas aussi bavarde que d'habitude. Tu es assez proche pour entendre les vibrations de son portable, mais tu n'es pas la seule. C'est sans doute la goutte qui fait déborder le vase chez les braqueurs. Un nouvel éclat de balle, de nouveau un vent de panique. Tu accroche le bras du jeune homme pour te rassurer mais aussi pour t'assurer qu'il va bien. Les cris, les murmures, les mains qui cherchent dans leur porche et toi qui ne fais rien quand les premiers portables s'entassent au milieu de la pièce.Tu espère qu'on le remarquera pas. Mais ton portable est en réparage depuis sa mésaventure récente qui l'a fait rencontré Braden. Tu te terre un peu plus dans ton coin.
- Effie:
-
Tu prend des risques, surement trop même mais tu n'as pas envie de rester sans rien faire, puis un SMS secret ne peut pas être si grave.. si peut être. tu sursautes quand l'un des deux braqueurs te cris dessus en pointant son armes près de ta tempe. Il t'ordonne de lâcher ton portable, à toi mais aussi aux autres, tremblante tu obéis. Carina toujours près de toi comme les deux autres jeunes qui sont arrivés, un certain Axel et une petite blonde, Tess. tu ne les connais pas mais dans ce genre de situation tu comprends que tout peux vous rapprocher, être soudé c'est le principal. Mais alors que tu observes la scènes du deuxième braqueur et le voix prendre ta bague de fiançailles sans savoir pourquoi tu te redresses en levant la main vers lui. - Non pas celle-ci. dis-tu soudainement, un comportement que tu ne comprend pas toi-même, tu t'en fiche de cette bague, tu t'en fiche totalement. Elle est juste là pour faire plaisir à ton fiancé, pour que tout ce mariage soit réel alors que pour toi ça raisonne faux. Un comportement qui effraye le braqueur, tu étais imprévisible pour tout le monde et dans la panique, dans ton cris un coup de feu retentit. Une, deux, trois seconde avant que tu ne sente la douleur dans ton épaule gauche, la chaleur de ton sang qui coule contre ton bras et ton décolleté, ton autre main qui vient instinctivement touché ta blessure alors que tu commences à reculer contre le mur pour te laisser tomber au sol. Non, ce n'est pas grave..
- LAWRENCE:
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Tu panique totalement, Tess est bloqué dans cette bijouterie et tu ne peux rien faire pour l'aider. Tu ne sais pas comment garder ton calme, même si d'autres personnes ont peu être un proche dans le bâtiment, tu voudrais juste sortir ta petite amie. Égoïste certainement et pourtant si rare venant de toi. Une grande femme blonde cris son prénom, et pour avoir vu quelques photos tu la reconnais comme étant la mère de ta chère petite amie, hors elle n'est pas au courant de ton existence. Une double situation à risque. Tu restes assez loin de ta belle mère, tu essayes de voir Tess à l'intérieur alors que la foule restes derrière les barrières de sécurité, tu aperçois rapidement la chevelure blonde de ton ange, son visage et ses lèvres qui te murmure un " Je t'aime" tu sens ton coeur exploser, tu es près à bondir par dessus les barrière et les agents de sécurité quand Mme Allen commence à pleurer et à crier de sortir sa fille au plus vite, de sortir sa fille malade... Tu te fige un instant, sans comprendre, tu t'approches alors de cette femme que tu connais peu alors que tu aimes sa fille au de-là du réel. tu tente une approche délicate. - Mme Allen, je suis un ami de Tess. Comment ça malade ? demandes-tu sans vraiment prendre le temps de la rassurer, t'es aussi paniqué qu'elle voir même dans une situation que tu ne comprend pas. Elle te regarde et semble te reconnaître à moitié, tu l'avais rencontré une fois au bal de noël mais pas plus, elle sait que tu es bénévole avec sa fille. Un autre coup de feu retentit, des cris à l'intérieur, tu sursautes et passe un bras réconfortant autour des épaules de ta belle mère.
- Axel:
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Le braqueur pointe son arme sur toi alors que tu rassurais Carina et que tu ramènes la petit blonde vers toi. Tu fronces les sourcils mécontent, tu ne comprends pas réellement pourquoi ils ont décidé de voler une bijouterie en plein jour merde, c’est tellement plus facile de faire tout cela ni vu, ni connu. « Merci.. » Prononce la petite blonde alors que tu l’as ramené vers toi et ensuite mis un bras devant elle pour la protéger des braqueurs. Tes yeux sur elle, tu lui souris avec cette étincelle dans tes yeux qui te veut rassurant, parce que tu sais qu’elle a peur elle aussi. Tu n’es pas un héros, tu ne peux pas protéger tout le monde, mais si tu peux veiller sur quelques-unes c’est déjà bien. Il faut vous soutenir, tous. Tu fermes les yeux un instant lorsque tu sens ton portable vibrer, c’est sans doute ta copine qui te cherche... Un regard sur Tess suffit à lui faire comprendre de ne rien dire, mais trop tard, toi et elle, vous n’êtes pas les seuls à l’entendre. Nouveau coup de feu, tu restes surpris et la jeune femme aussi puisqu’elle t’agrippe le bras avec raison, c’est la panique dans la salle. - Ça va ? murmures-tu en passant un bras protecteur autour d’elle pour la maintenir contre toi et faire en sorte de lui servir de bouclier. Tu l'as rassure comme tu le peux. Ton cœur rate un battement en entendant tout à coup un cri et un second coup de feu, ton cœur rate un battement lorsque tu détournes vite les yeux vers Carina et l’attrapes brusquement pour l’attirer sur toi, tu as peur, terriblement peur qu’elle soit touchée par cette foutue balle que ce connard vient de tirer, tes mains fébriles qui passe sur elle pour constater qu’elle n’est pas blessée, tu la forces à mettre sa tête contre ton épaule pour l’empêcher de regarder ce que tu viens de constater. Ce n’est pas Carina qui est touchée, mais la brune qui est avec elle. Un air de surprise fige sur ton visage, vous devez l’aider... Tu pourrais t’énerver contre les braqueurs, mais ils sont tellement nerveux qu’ils font n’importe quoi, alors tu n’es pas certain qu’il ne tirait pas sur quelqu’un d’autre si t’osais lui faire comprendre que c’est un imbécile. Le braqueur est si nerveux que lorsqu’il te voit bouger pour prendre ton foulard dans ta poche arrière et le tendre à Effie pour qu'elle fasse pression sur sa plaie, il pose son arme en ta direction...
- Carina:
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Tu écoutes plus rien, tu n'arrive plus à a te concentrer sur la moindre chose quand le premier coup de feu fit son apparition. Ils voulaient les portables, tu ne pouvais pas donner ton téléphone, c'était toute ta vie. Tu fis mine de fouiller dans tes poches avant de le cacher tant bien que mal derrière ton dos. Tu refusais de le donner, tu ne pouvais pas. Heureusement tu avais avec toi Axel et Effie. Elle se mit à hurler Effie, tu voulais lui dire d'arrêter mais le coup de feu, le coup de feu qui se logea dans son épaule et Axel qui t'attrapas pour que tes yeux si purent ne puissent voir cela. Pourtant tu l'avais vu tomber, tu avais vu le sang, tu te débattis pour qu'il te lâche et regardas Effie, ensuite ton regard se posa sur le braqueur "CONNARD". Sans savoir pourquoi tu venais d'hurler cela, tu restas figé quand il braqua Axel, dans un instinct con tu mis ta main entre l'arme et Axel, tu refusais de le voir blessé. Regardant Effie, la haine montait en toi, cela pouvait se voir sur ton visage et tes gestes. La peur que tu éprouvais venait de disparaître. Tu regardas dans les yeux le braqueur, la haine que tu avais pour lui était visible, sans enlever ta main tu tournas ta tête vers Effie "Il faut la faire sortir, elle est blessée, merde". Les larmes qui coulaient sur tes joues étaient des larmes de colère et tu ne voulais pas voir Effie mourir sous tes yeux et voir ton père devenir encore une fois malheureux "Juste elle si vous voulez, mais il faut la faire sortir. Vous prenez un otage en bouclier pour pas vous faire tuer et c'est fait". Oui tu regardais beaucoup trop de films policier mais tu l'assumais
- TESS:
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Tout allait si vite et tes yeux papillonnaient de l'extérieure à l'intérieur sans savoir à quoi t'accrocher. Le réconfort de tes compagnons de souffrance ? Oui clairement, tu ne te sentais au moins pas seule dans ta galère . Ou alors essayer de trouver les yeux de ta mère ou le regard bleus de ton petit ami ? Ils avaient peur eux aussi, comme bien d'autre passants. Tu ne savais pas que dehors, ta mère était sur le point de dévoiler à Lawrence, ce que tu lui cachais depuis votre rencontre : ta maladie. En maman inquiète, elle pense que ça va changer quelque chose. Toi même tu ne penses pas être une priorité alors qu'il y a des otages plus jeunes. Mais Lawrence l'entends, lui en demande plus à son sujet. Tu sauterais au cou de mme Allen si tu pouvais la faire taire. Elle le reconnaît, sait que c'est un ami sans savoir qu'il est plus que ça alors c'est naturellement qu'elle ne s'étonne pas qu'il pose des questions, s’inquiète.. Surtout quand une autre balle frappe l'air. Tu te prostre tandis que ta mère finit dans les bras de ton amoureux, eux aussi là pour trouver du réconfort dans l'incertitude. Alors elle colle sa joue à son torse en essayant de garder ses larmes pour elle avant de chercher de nouveau la silhouette de sa blondinette de fille , la voir sans blessure apparente. « Oh mon dieu, oh mon dieu ! Elle a pas ses médicaments et … le stress c'est mauvais pour elle. Ses muscles, ils se rétractent... Ils nous restent du temps avec elle ! Six mois ! Un ans ! Deux ans ! Je ne sais pas ! Mais ce n'est pas censé être maintenant qu'on nous l'arrachera, pas comme ça, pas sans avoir essayer tout les protocoles pour la sauver ! »
Elle est paniquée pour toi et toi alors que ta nouvelle connaissance se retrouve braqué, une adolescente se lève entre lui et un attaquant et que l'autre brunette saigne abondamment... tu n'es pas la plus à plaindre. Là seulement tu réagis. Tu retires ta veste blanche, immaculée et la presse contre la blessure. « Désolée... désolée... je ne sais faire que ça... Un garrot. Oui un garrot ! » Elle cherche et défait la ceinture que la victime a et l'installe juste avant l'impact pour faire cesser l'écoulement et presse de nouveau de toute ses forces « Il faut vraiment qu'elle sorte ! Vous avez les bijoux, partez maintenant !» Comme si c'était aussi simple...
- Axel:
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Tu ne veux pas que Carina voie, t’as voulu sortir un bout de tissu pour la brune le temps de trouver une solution, mais le braqueur a décidé de braquer son arme sur toi. Carina à figé et réagit de façon instinctive, mais tu fais de grand yeux en la voyant mettre une main entre toi et l’arme…- Carina, non ! Prononces-tu d’un grognement, tu comprends, mais toi, tu ne supporterais pas qu’on se blesse pour toi. Voilà, c’est la panique dans la salle, Tess qui cherche à arrêter la blessure de la jeune femme, tu en profites pour observer la réaction du braqueur face à cette intervention. L’homme, il est nerveux et détourne le regard sur Effie et Tess. Toi, tu as que quelques secondes pour réagir, tu feras ce que tu aurais fait si ta copine avait été avec toi. Tu repousses Carina près de toi et bondis sur le braqueur. Tu fonces sur lui en empoignant sa main armée par le poignet juste à temps pour que le coup de feu par surprise atteigne le plafond et "non" une autre victime. Sous l'impact, il tombe au sol et toi aussi, son arme tombe sur sol et glisse vers le chanceux qui pourra l'atteindre en premier, ce n'est pas toi, ce pas lui... Mais une des victimes près du mur le plus proche qui le pourra, tandis que toi, tu dégaines rapidement une arme blanche à ta ceinture pour la foutre sous la gorge du braqueur qui se jette sur toi... La bagarre est prise - Fuck men, t'as pas choisi la meilleure journée pour me faire chiez !! Mais le problème, c'est que si lui fige sous ton arme, il y a l'autre qui s'énerve, mais y'a pas intérêt, parce que t'es prêt à tuer son partenaire de vol, là maintenant, s'il le faut et ça ne saurait pas la première fois que tu fais face à une tel situation.
- Intervention PNJ a écrit:
- La panique. Dans la foule, les curieux, les familles des otages mais aussi la police qui sécurisent les lieux. Tous sont perdus, le danger est présent. Les balles sont tirées mais personne ne sait si il y a des victimes. La confusion est réelle et pesante. Les cris des otages, les voix rauques des braqueurs alors que du mouvement s'organise à l’extérieur. Il est temps d'intervenir, attendre le bon moment. Un sniper sur le toit face à la boutique observe la scène et transmet chaque détail à son lieutenant @Edge Grimes, quelques passants peuvent entendre la discution "Un otage à été blessé, je répète une femme est blessé.". Alors que tout le monde retient son souffle, la brigade d'assaut se tient en position, dégageant les lieux pour intervenir à tout moment. Le sniper transmet un second message "Un otage se bagarre avec un braqueur, le second est distrait." l'occasion est trop belle pour ne pas intervenir. La brigade entre dans la boutique en criant, les armes pointées sur les deux individus, l'un à terre et l'autre surpris lâche automatiquement son arme au sol. " Tout le monde au sol ! " crie l'un des policier, alors que d'autres menottent les deux voleurs qui repartiront sans un bijoux et prêts à passer quelques temps dans une cellule.
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|  | | SonorusMESSAGES : 25 INSCRIPTION : 29/09/2019 RÉGION : haut de france CRÉDITS : subrosa (avatar)
UNIVERS FÉTICHE : City, Apocalypse, Science fiction PRÉFÉRENCE DE JEU : Les deux
 | | (#) Sujet: Re: Shine Bright A Diamond (Ft Sonorus) Lawrence & Tess Jeu 14 Nov - 22:01 |
| Lawrence WillisJ'ai 28 ans et je vis à wauwatosa, usa. Dans la vie, je suis psychologue dans le service pédiatrie de l’hôpital et je m'en sors plutôt bien maintenant . Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple avec un ange et je le vis plutôt très bien.
Informations supplémentaires ici.
nicholas hoult :copyright:️creationsbonbons.tumblr les bruits sourds des balles, les cris mais aussi les voix rauquent et puissante des policiers qui s'agitent autour de toi, t'es totalement perdu. tu sais juste que Tess est enfermé dans cette bijouterie et que deux types armés y sont rentré, les informations sont flous et tu voudrais péter un câble, foncer dans le magasin pour sauver ton ange, ton bébé innocente qui ne mérite pas une telle violence. tu en serais capable, pris par la folie, la colère, la peur et l'adrénaline tu pourrais le faire, mais avec tout ces policier, les brigades armés tu te retrouverais vite neutralisé et plaqué au sol comme un vulgaire criminel. tu veux pas prendre le risque d'aggraver la situation déjà tendu. Tess est une personne réaliste, elle sait être calme quand il le faut, tu as confiance en elle, elle n'a pas choix que de vivre, tu lui interdis de t'abandonner. Sa mère près de toi, tu es proche d'elle parce que tu voulais comprendre ses paroles, comprendre ce qu'elle voulais dire par malade. sa fille malade ? tu n'étais pas au courant et alors qu'elle commençais à paniqué et à tout te dire, tu deviens livide, la situation mais aussi ce que tu venais d'apprendre.. le peu de temps qui restais à Tess, sa maladie qui lui rendais sa vie infernal mais aussi sa présence régulière à l'hôpital.. tout devenais plus clair.. ton coeur se serra si fort que tu crus que tu avais reçu une balle en plein dans ton palpitant. un autre coup te fît sursauté, serrant instinctivement ton bras autour de ta belle-mère non officielle. A ce moment la brigade intervient et profite du chaos pour libérer les otages et arrêter les cambrioleur, tu entends dans la foule qu'une personne est blessé, une jeune femme.. brune.. ton coeur pourtant encore sous le choque se relâche un peu. Pourtant ta tête encore sonné par tout ce qui venait de ce passer. les otages sortent un par un, laissant la place au soin pour la jeune femme blessé. La foule, les pleures, les applaudissements pour les policiers, et les otages qui retrouvent leurs famille, tu es toujours là sans l'être vraiment, tout se chamboule, comme si le temps s'arrête et que ta vie ne tourne plus normalement. Puis la voix près de toi, celle de Madame Allen te ramène sur terre quand elle crie le prénom de sa fille. ton regard qui trouve automatiquement celui de Tess alors qu'elle accourt vers vous, ses cheveux au vent, elle reste magnifique peu importe la situation. tu es dans un soulagement immense de savoir qu'elle va bien et pourtant tant de question se bouscule dans ta tête, tu voudrais la prendre dans tes bras, l'embrasser et lui demander ce qui se passe mais rien ne sors, tu ne bouge pas peut être parce que tu ne peux pas a cause de sa mère présente et qui ne connais rien de votre relation ou juste parce que tu es paralysé par ce que tu venais d'apprendre. T'arrives juste pas à y croire.. non, tu voudrais la prendre dans tes bras, l'embrasser follement et lui dire que tu l'aimes.. oui, tu veux le faire mais c'est pas possible sous les yeux de Mme Allen alors tu te retient, c'est difficile.. - Tess, je suis content de voir que tu vas bien.. dis-tu simplement.. peut être trop froidement contrairement à d'habitude, ton regard fuyant.. ta gorge qui te serre.
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|  | | Miaka
 | | (#) Sujet: Re: Shine Bright A Diamond (Ft Sonorus) Lawrence & Tess Ven 15 Nov - 13:00 |
| Tess AllenJ'ai 20 ans et je vis à Wauwatosa, usa. Dans la vie, je suis bénévole à l'hopital et je m'en sors car je vis encore chez mes parents hyper protecteur à cause de ma maladie. Sinon, grâce à ma chance, je suis follement amoureuse et je le vis plutôt bien.

elle fanning@cigarette daydreams
Tu te concentres sur la plaie de la jolie brune, sur comment maintenir le garot en place car tu n'es pas capable de plus. Tu n'es pas une grande combattante, ni une grande médiatrice et tu en ferais pas grand peur aux cambrioleurs avec ton maigre physique et tes airs de poupées. Aussi, les yeux rivées à la blessure , tu n'as pas le temps de voir tout ce qui se passe autour, cela va trop vite et même si tes paupières restent grande ouvertes tu ne comprends pas l’enchaînement des actions qui ont mené à l'entrée des forces de l'ordre dans la bijouterie et que certain d'entre eux, après avoir immobilisé les brigand, se retournent vers vous et vous poussent vers la sortie. Après avoir vérifier que des ambulanciers s'occupaient bel et bien de la patiente, tu te laisse faire, va enfin pouvoir respirer de nouveau. Pas parce que tu sera à l'air libre, mais juste car tu allais revoir ta mère, pouvoir effacer ses inquiétudes et que tu pourras le voir lui, effacer les tiennes , tes pensées de -et si jamais plus je ne pouvais l'embrasser ? Me glisser dans ses bras ? -
Alors que tes jambes courent un peu plus vite, manquant presque d'être étourdie par tout ces bruits, les flashs de quelques photographes et journalistes, tu entends la voix de ta mère qui te guident vers eux. Tu changes de trajectoires et cours dans les bras maternelles mais cherchant des yeux ceux azurs de ton petit ami. Tu devrais te sentir coupable de penser autant qu'ils te suffiraient à cet instant, surtout après tout les sacrifices effectuées par ta famille. La visage enfouie dans le cou d'une femme qui n'arrivait pas à cesser de pleurer, tu lèves la main, tu voudrais attraper celle de Lawrence mais ses paroles finalement t'en empêche. Après toute ces épreuves, tu te demande si la pire n'est pas celle ci : le ton du grand brun est si froid, si éloigné de celui qu'il emploie quand il te murmure dans le creux de l'oreille des mots doux quand il te fait l'amour. Ta surprise et ta déception doivent se lire sur ton visage déjà atteint par le début de cette journée. Tu n'arrives même pas à lui répondre, car de toute façon les seuls mots que tu serais capable de lui dire c'était des -je t'aime- c'est la seule chose qui te vienne aux lèvres et ça te dévaste de voir qu'il n'en est pas de même pour lui. Tu comprends qu'avec ta mère dans les parages il ne peux pas faire preuve de trop d'affection mais tu t'attendais à le lire dans son regard, quelque part mais là tu ne sais pas ce qu'il en est, ce qu'il cache.
Mme Allen ne te laisse pas le temps d'éclaircir le malentendu. Caressant tes joues , elle se tourne vers ton petit ami. « Mer...merci d'avoir été là pour nous... je... je vous en serais toujours reconnaissante. J'avais si peur pour ma petite fille ! » « ça, ça va aller maman je t'assure. » C'était toi qui finissait par la consoler alors que tu te mettais enfin à pleurer, mais même pas à cause du cambriolage, car quelque chose se fissure si Law n'est pas lui même.Un policier s'approche. « Mademoiselle nous aurions besoin de votre déposition » Et toi tu avais besoin d'un baiser, un vrai alors que personne ne semblait vouloir t' exaucer. « Plus tard, nous allons à l’hôpital tout de suite ! » « Mais madame, nous avons vraiment... » « Inutile d’insister, vous nous trouverez là bas , ma fille a une extremement grave maladie et vu les événements elle a besoin d'un check up complet. Allez viens Tess. » Une poigne douce mais ferme se referma sur ta main, mais une chape de plombe s’écrasa elle sur ton cœur. Tu comprenais enfin. Elle avait du dire quelque chose, raconter la partie de ton histoire que tu cachais à ton amant. C'était désormais trop tard pour lui dire toi même, avec tes mots. Tu le cherches de nouveau du regard alors qu'on t’emmène plus loin, que ton âme reste déposer à ses pieds... La fissure ? Elle s'était transformé en cassure, et tu ne savais pas si elle était réparable ou pas.
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|  | | Miaka
 | | (#) Sujet: Re: Shine Bright A Diamond (Ft Sonorus) Lawrence & Tess Dim 15 Mar - 23:12 |
| Tess AllenJ'ai 20 ans et je vis à Wauwatosa, usa. Dans la vie, je suis bénévole à l'hopital et je m'en sors car je vis encore chez mes parents hyper protecteur à cause de ma maladie. Sinon, grâce à ma chance, je suis follement amoureuse et je le vis plutôt bien.

elle fanning@cigarette daydreams EPILOGUE
Tu étais comme en dehors de ton corps, tu suivais ta mère, les médecins comme une automate. Tu ne disais pas un mot, pas même à julio qui t'avait rejoint et dont tu serrais la main comme une muette désespérée. Tu savais que c'était fini.. Au fond de toi quelque chose s'était brisé en d'autant plus de morceaux que tout les bijoux détruits pendant le braquage . Ton meilleur ami ne t'abandonne pas, pas même pendant cette longue nuit où tu te permets enfin de pleurer dans ses bras. Tu l'as perdue... Au petit matin, quand tu l'appelles et qu'il ne te réponds pas, quand Julio te dis qu'il faut peut être du temps à l'amour de ta vie alors que tu le sens bouillir, quand les heures passent... quand les jours passent... quand tu vois Julio revenir avec une mine grave. « Il... est retourné en Angleterre. » Tes forcent t'abandonnent et tu ne dois ton salut qu'au canapé derrière toi quand tu tombes dans les pommes. Nouvel examen pendant que tu cherches des informations auprès des autres bénévoles et employés de l’hôpital « Son père a eu un problème, corona virus, il a du rentrer d'urgence » Cette fois ci tu n'avais plus pleuré . Tu avais juste tristement souris et dit que tu espérais que son père aille mieux. « Mais quel connard ! Je nous prends un billet d'avion et je vais lui casser la gueule et toi aussi tu lui cassera la gueule ! Il ne mérite que ça et... » « Julio.. non. Je lui ai rien dit, je l'ai laissé tombé amoureux de moi alors que je savais qu'il avait déjà vécu l'enfer à s'occuper de sa mère malade » « Et alors ! Ne lui trouves pas d'excuses tout ça car tu l'ai... » « Car je l'aime oui, et que je l'aimerais toute ma vie... toute ma minuscule vie ... » Tu te rappellerais de ses bras, de ses yeux, de sa voix, de son souffle, de tout ce qu'il t'as donné « Tes ? Nous avons les résultats de ton test sanguin et... nous devons aborder un point. » Le médecin s'installa face à eux « Tu veux qu'on appelle tes parents ou... ? » « Non c'est bon ...Allez y » Tu es prêtes à tout entendre. Rien ne pouvait être pire que ton cœur brisé, si ? « Tess, tu es enceinte. » Tes yeux bleus s'écarquillent, ton cerveau se déconnecte. Cette phrase tu l'avais rêvé depuis que tu es enfant , mais jamais tu n'aurais cru l'entendre depuis que ton diagnostique était tombé. « Vous êtes sure ? Mais comment ? Enfin je sais comment mais... on prenait nos précautions ! » « Parfois cela arrive, d'autant plus que la pilule que tu prenais et le nouveau traitement que tu essayais on put s'entrechoquer. Toutefois tu sais que celui ci marchait au delà de notre espérance mais qu'il est incompatible avec une grossesse. » « Je m'en fiche ! » « Tess » « Non julio. Je... porte un bébé. Notre bébé à lui et à moi... Il m'a laissé... un bébé» Toi qui croyais ne plus avoir de larmes. D'autre d'un nouveau genre s’écoulèrent le long de tes joues blanches. Tu serais incapable de dire si c'était de la tristesse, de la peur, du bonheur, tout en même temps. Tu sais juste que tu portes l'enfant de l'homme que tu aimes, qu'il t'a quitté mais t'as offert le plus beau cadeau que tu croyais ne jamais avoir. Et ce cadeau on a essayé de te le retirer. Des semaines durant, Julio, tes parents, Liz qui était revenu juste pour ça alors qu'elle n'avait pas été capable d'avorter de ses propres jumeaux quand elle était adolescente, tes médecins. Mais à chaque fois que tu posais tes mains sur ton ventre, tu savais que tu n'en ferais jamais rien. Celui ci s'arrondissait sur la silhouette frêle qui subissait les affres du manque de médication . Tu ne changeais pourtant pas d'avis, même quand on essaya de le contacter pour lui dire qu'il allait être papa et qu'on ne trouva qu'une ligne non attribué. Personne n'avait la possibilité d’enquêter en Angleterre, de le retrouver. Puis tu ne cessais de leur dire qu'il ne le fallait pas, que ça ne ferait que plus de mal encore, que tu préférais le savoir possiblement heureux ailleurs, prêt à s’accorder une autre chance d'avancer dans la vie sans toi, ta maladie et votre enfant qu'il n'avait pas prévu. Il était jeune, intelligent beau et quand tu t'endormais tu continuais de l'imaginer vieillir, toujours aussi beau, toujours aussi souriant que dans tes souvenirs, tu le voyais porter un costume et un anneau, épanouie dans sa vie . Tu ne t'imaginais juste plus à ses cotés en robe blanche. Et quand tu te réveillais, tu arrivais à te convaincre que le goût salé au coin de tes lèvres n'était pas du à quelques larmes. Tu arrangeais comme tu pouvais ta chambre d’hôpital, avec quelques dessins d'enfant hospitalisés dont tu continuais de t'occuper, tu avais recrée ton ciel étoilé au plafond avec les mêmes photos de lui, de vous, de tes amis, de toute les échographies. Tu rangeais tes papiers d'importance dans ta commode en soupirant. Les signer avait été naturel mais tu savais aussi ce que cela représentait... Un coup de pied se fit sentir en toi, un sourire puis soudain une grimace de douleur. Le travail avait commencé et il fût difficile. Tout le monde avait prévu de déclencher l'accouchement plus tard mais ce bébé dont tu n'avais pas voulu savoir le sexe était têtu. Tu eu mal comme tu n'avais jamais eu mal, comme tu n'aurais jamais plus mal et parmi tes cris, ce fût le prénom de Lawrence qui te venait souvent pour retrouver l'énergie nécessaire. Il t'en fallait tellement et il t'en restait si peu quand on te mis ta fille dans les bras « Coleen... » Tu avais cherché pendant longtemps, hésité mais devant le bébé parfait l'évidence s'était faite. Jamais tu ne t'étais sentit si complète, jamais tu n'avais trouvé meilleur raison d'avoir vécu sur cette terre, d'avoir aimé et pleurer si intensément que ce petit être à moitié toi, à moitié lui. « Comme je t'aime... mon dieu dites lui tout les jours que je l'ai aimais si fort... mon bébé » Chaque fils de ta vie s'arrachaient à ses minuscules doigts, à ses oreilles, à son petit nez. Chaque souffles que tu avais prit tu les lui donna en priant pour qu'elle ait une vie parfaite, une vie heureuse, qu'elle tombe amoureuse comme tu l'avais été de son père . Mais à chaque liens que tu créais avec elle, tu sentais que c'était les derniers. Tu avais eu sept mois pour te faire à l'idée, pour comprendre ton corps et ta nécessité d'être enceinte. Tu ne fermais pas les yeux, pas même une seconde alors que les machines qui te reliaient commençaient à sonner de toute part. Tu restais fixé sur ta fille jusqu'à ce qu'on te la prenne dans les bras pour la mettre en sécurité. Là seulement tu ferma les paupières et t'accorda … la fin. Ce n'était même pas douloureux. Tu avais fait ce pour quoi tu étais née, tu avais aimé comme il le fallait pour ne pas avoir à rougir de ta vie sur Terre. Alors tu l'abandonnais cette Terre, mais pas eux. Pas ta fille, pas ta famille, pas tes amis, pas Lawrence. Tu emportais une part d'eux dans ce qui ferait ton paradis, ton observatoire pour voir leurs vies s'assombrirent un moment avant de reprendre leurs courts. Tu avais confiance en eux. Tellement confiance qu'on trouva un accord pour adoption, au nom de Julio et de son petit ami Louis. Tu ne comptais sur personne d'autre pour prendre soin de la chair de ta chair. Lui seule pourrait lui parler de sa mère telle qu'elle était avec ses qualités, ses défauts mais aussi son cœur qui avait battu, battu si fort qu'il avait fini par s'épuiser trop tôt. L'aura blanche qui t'entourait était chaleureuse, tu savais que ce n'était que le premier stade du reste de ta mort. Tu n'avais pas peur, tu te voyais bien resté ici à veiller sur les tiens jusqu'à ce qu'ils te rejoignent le plus tard possible. Toutefois une voix te surpris « Tess » Cette voix, les frissons que cela te procurait, tu les reconnais comme si tu les avais ressenti hier. Tu te retournes, tes cheveux blonds voltigeant dans ta hâte « C'est ça le paradis ? Je peux invoquer un double de toi ? » « Non bébé... c'est vraiment moi » Lentement il s'approcha tandis que tu n'osais faire un pas. « Tu crois vraiment que je t'aurais abandonné ? J'ai eu un accident de moto une fois arrivé en Angleterre... Je t'attendais patiemment, je te regardais être courageuse pour notre bébé. Je suis si fier de toi, j'ai tant de chose à te dire... tant de chose à te raconter sur notre passé, sur le nombre de fois dont nous sommes tombé amoureux bien avant que je ne t'étreigne. Bébé, je t'aime au point de vouloir passer l'éternité avec toi, de renaître milles vies avec toi, renaître maintenant auprès de notre fille, dans cent ans, ou cinq cents ans mais toujours revenir à toi... bébé embrasses moi » Tu aurais du ressentir de la tristesse d'apprendre la mort de ton amour encore bien plus tôt que toi mais il n'était plus temps pour ça, car le tragique vous avez toujours réunis dans cette vie et quand tes lèvres se posèrent sur les siennes, tu savais que vous feriez des efforts dans la prochaine, que vous aviez eu votre quota de malchance dans celle ci pour mériter le bonheur dans toute les autres. FIN |
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 | | (#) Sujet: Re: Shine Bright A Diamond (Ft Sonorus) Lawrence & Tess  |
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