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LE TEMPS D'UN RP

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Berlin
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Dim 2 Juin - 1:47

Lucifer Morningstar
Je suis immortel et je vis désormais à San Francisco, USA. Dans la vie, je suis trafiquant majoritairement car je m'emmerde et c'est si plaisant de faire chier la police. Je suis ça et tant de choses à la fois. Mais nous n'avons pas toute la journée. On peut ajouter à la liste qu'il m'arrive aussi de mettre fin aux jours de certaines âmes.




Tom Ellis - aerie
Je crois que j'en avais rien à faire en fait, ce pourquoi j'étais sortit sans me soucier du reste. J'étais bien persuadé qu'on était deux idiots à ne pas se préoccuper de l'un et de l'autre. Deux idiots en train d'échouer une mission pourtant pas si compliqué. Deux idiots qui n'arrivaient plus à s'endurer pour une raison obscure, qui ne savaient plus vraiment ce qu'ils faisaient ou devraient faire, qui ignoraient comment ils avaient pu se rendre là. On était peut-être bien tranquillement en train d'échouer qui sait, mais ça aussi je n'en avait plus grand chose à faire. J'étais en train de me convaincre que je pourrais peut-être trouver un autre moyen de me venger, ou de tout simplement laisser gagner Frank, pour cette fois. Il faut dire aussi que j'avais pas pour habitude la cohabitation, et mélangé à tout le reste ça embrouillait certainement ma tête qui ne savait plus trop comment penser comme à ses habitudes. J'étais persuadé qu'on était tous les deux, sur la même longueur d'ondes dans notre haine réciproque, avant de voir sa tête.

Sa tête de celui qui savait que j'avais changé de parfum. La tête de celui qui n'avait plus envie de me crier dessus, de dépenser encore de l'énergie là-dessus. J'aurais pu croire que c'était bel et bien parce qu'il avait laissé tomber, qu'il n'en avait plus rien à faire mais j'étais pas assez con pour ne plus savoir lire la douleur. Et là je dois dire que je ne le comprenait pas. Comme toujours me direz-vous, mais c'était encore pire dans ce cas. Comme quoi je devrais m'habituer à ne pas savoir comment bien le lire, bien le saisir, et que cette carapace énervante étant en fait, fait d'adamantium. Il était peut-être carrément né avec, et que je n'y pouvais absolument rien. Ou alors était-il en train de se foutre de ma gueule qui sait. Il n'en avait rien à faire de moi, il me traquait depuis des mois, il me détestait, et me détesterais toujours. Comment pouvait-il être blessé par ma personne ? J'avais certainement un petit froncement de sourcils, d'incompréhension, d'irritation aussi en le voyant quitter sans plus ni moins. Car je savais aussi que j'étais en train de passer un sale quart d'heure entre ses deux oreilles. Comme toujours en fait, du moins j'en était persuadé. Les mortels ne complimentaient pas Lucifer, de toute manière. À quelques exceptions près, qui eux aussi se faisaient juger durement, parce qu'ils me démontraient de l'amour. Enfin en quelque sorte. Je n'avais jamais réellement porté attention à leurs rituels.

Merdé. Je pense que j'avais merdé au final. Et que la petite rencontre de demain serait la dernière. Je savais déjà que ça terminerais très mal, qu'on allait encore en venir aux paroles brusques, voir même les poings qui sait, et que le projet serait remis entre les mains d'un autre. Le nouveau mari de Mark, à qui la malchance? Résultat? Je comptais bien rester avec la petite bande de Frank, en mode fuck it et faire ce qui me chante. Tout pour retarder le moment fatidique de rentrer chez moi. Je ne sais pas si j'avais bien fait, mais j'avais fini par le comprendre plus l'alcool rentrait dans le système de tout le monde, et qu'il m'avouait ses petits secrets, little by little. Ceux qui me disaient que son boulot, était peut-être pas complètement légal non plus, et que si j'étais worth it, il allait peut-être me proposer une petite collaboration. J'avais fait pareil en échange, sachant bien que c'était donnant donnant. Il me coinçait et je le coinçait, ainsi on saurait qui se fou le nez dans les affaires de l'un et de l'autre, et qu'il avait de l'information à donner, lui aussi, si un ou l'autre s'ouvrait la bouche. On était ancré tranquillement dans le jeu des criminels, celui que je connaissais si bien.

On avait fermé le bar, bien entendu. Frank ne poussant pas sa chance trop loin, un peu trop remplis de liquide pour tenir debout. L'humain est si faible et pathétique. Et j'allais devoir en rencontrer un autre. Mais le temps ne pressait pas, ce pourquoi j'avais décidé de prendre une marche, bien longue, pour retarder encore le moment avant de rentrer. En silence comme un voleur oui. Je n'avais pas envie de réveiller le puzzle que nul homme ou surhumain serait en mesure de résoudre. Y'avais certainement que mon père qui pourrait y arriver sans mal, maintenant que j'y pense. Bref, je ne me forçait pas plus que nécessaire, me rabaissant au divan pour cette fois, en sachant que je devais certainement l'avoir mérité de toute, parce qu'on avait osé me toucher un peu trop vivement dans une partie dite intime et que j'avais certainement apprécié ce massage déplacé. Persuadé que de toute, ça serait ma dernière nuit ici. Nous verrons bien demain... Ou plutôt dans quelques courtes heures, dans mon cas.
El Profesor
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El Profesor
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Marcus Pierce
Je suis immortel et je vis à San Francisco, USA. Dans la vie, je suis lieutenant de police et je m'en sors très bien, quoi que je ne sois pas apprécié de tous. Sinon, dû à cette malédiction d'immortalité qui pèse sur mes épaules, j'évite les sentiments et les relations et je le vis plutôt mal.

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Tom Welling
J'étais allé me coucher avec cette drôle de boule à l'estomac, un pincement que je ne parvenais pas à m'expliquer, ne cherchant pas plus loin et n'osant pas me poser de questions. J'avais pris ma place dans le lit, sur mon côté, laissant le sien libre malgré tout. Je ne croyais pas qu'il revienne. Je savais presque avec assurance qu'il découcherait. Mais le côté droit était mon côté du lit et je l'avais pris malgré tout sans m'étaler, soupirant en enfouissant mon visage dans l'oreiller et terminant sur un grognement. Je ne savais plus quoi faire de ma peau. Ma tête était trop pleine et le sommeil semblait m'avoir abandonné, me forçant à me tourner et retourner dans le lit sans parvenir à atteindre l'inconscience tant souhaitée.

J'y passai bien une heure, peut-être plus, finissant par enfouir mon visage dans l'oreiller de Lucifer -parce que le mien était rendu trop chaud, oui oui- et m'efforçant de rester immobile et de me concentrer sur ma respiration. Inspire .... Expire .... Inspire ... Expire ...
Faut croire que c'était suffisamment emmerdant pour que je finisse par m'endormir, enfin, douce délivrance de mes émotions et de mes pensées. Je n'entendis pas l'homme rentrer, trop profondément parti, d'autant plus qu'il ne se pointa pas à la chambre mais opta plutôt pour le divan, choix judicieux vu les circonstances.

Mon sommeil avait beau être assez profond, il ne fut pas de longue durée. Rapidement, il devint plus agité, jusqu'à ce que je me réveille au beau milieu de la nuit, petites heures du matin, le soleil pas encore levé mais sans doute pas si loin. J'avais chaud et un petit tour aux toilettes s'imposait. J'avais soif aussi, l'alcool ça vous fait ça hein, déshydratation et tout le truc. Le lit était encore vide à mes côtés, les draps froids à l'endroit où Lucifer aurait normalement dû être couché. Bizarrement, après une semaine à partager son lit, le trouver vide de toute autre présence que la mienne me créait un sentiment un peu étrange. Soupirant, je me levai pour mon petit besoin naturel, avant de me traîner les pieds à la cuisine, comme ça en sous-vêtement. J'avais l'habitude de porter un bas de pyjama, mais en dormant seul, je m'étais permis un peu plus de liberté.

En allant vers le salon pour m'asseoir un peu et boire mon verre d'eau tranquille avant de retourner me coucher, quelle ne fut pas ma surprise de trouver Lucifer couché sur le divan. Alors il était bel et bien rentré .... mais à quelle heure, dans quel état, et après avoir fait quoi ? Toutes des questions fort pertinentes que je ne voulais pas me poser, que je ne devrais pas me poser. Qu'est-ce que ça pouvait bien me faire, hein ? Le gars est un idiot .... Right ... ?

Assit dans le fauteuil face à lui, je bus mon verre d'eau bien tranquillement, sourcils froncés, à le regarder dormir. Like a creep. Like a weirdo. J'avais envie de lui casser mon verre sur la tête. Lui fendre le crâne bien net et le regarder se vider de son sang sur le tissu du mobilier. Le joindre dans ce dernier souffle, si seulement ça m'était possible ... J'aurais dû ravaler le goût amer que ses agissements m'avaient laissé, mais ce fut plus fort que moi. Je tendis éventuellement la jambe, jusqu'à pouvoir le pousser avec mon pied. Le secouer un peu, le réveiller sans pourtant me lever de mon fauteuil. Le regard sombre, je le fixais, le regardant revenir tranquillement parmi nous, lui laissant un instant pour réaliser ce qu'il se passait, où il était et ce par quoi il avait été réveillé. « How was Frank ? » furent les premiers mots que je prononçai, le ton froid, presque de dédain à la prononciation du nom. Ma question était très claire, et plutôt réthorique. Je ne voulais pas de réelle réponse sur à quel point il pouvait être bon -ou non- au lit. J'étais simplement en colère et ... et peut-être bien autre chose aussi, et je voulais le faire chier. Le lui laisser savoir. « Couldnt help yourself, could you ... » ce n'était pas une question. Une constatation, plutôt. Mon ton n'exprimait pas la colère, davantage un sentiment de trahison. Levant ma main, de sorte qu'il puisse voir la bague à mon doigt, je renchéri d'un : « This doesnt mean anything to you ? »

Berlin
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Lucifer Morningstar
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Tom Ellis - aerie
J’avais un semblant de paix. J’avais ma tête à moi, mon moment dans lequel personne n’existait, pas même cet idiot de Pierce qui passait le plus clair de son temps à me faire chier. J’étais bien, j’avais la pause que je pensais bien mériter pour cette rude journée et fin de soirée tout aussi catastrophique que ces derniers jours. Mais. Encore une fois, Pierce était toujours là pour venir me faire chier. Je pense que j’avais eu droit à une heure, deux maximums avant de sentir quelque chose venir me déranger. J’étais épuisé, mais je n’avais pas le droit de trouver mon repos. Un peu comme une maman qui ne pouvait même pas pisser en paix sans avoir les gosses pour venir la déranger dans les toilettes. Ça avait prit un petit moment, avant que je n’ouvre tranquillement les yeux, et que ma colère se pointe tout de suite le bout de son nez. J’étais pas content, et c’était évident, avec mes sourcils arqués de désapprobation face à son geste. Oui je sais, il n’en avait rien à faire, cet idiot. Il osait en plus, ramener Frank sur le tapis. Il me faisait une crise de jalousie, à une heure pareille. Il me réveillait pour cette raison aussi idiote que lui. J’avais envie d’aller dans la cuisine et de le torturer lentement avec un couteau à beurre. La mandoline était aussi une option mais avec les os, c’était plus chiant qu’amusant.

En plus, il me montrait sa bague, comme si nous étions réellement marié. Et si la colère n’avait fait que ce pointer, elle était d’autant plus vive en ce moment. Mais je n’avais ni la force, ni l’énergie, ni l’envie de la laisser pleinement vivre. J’étais froid moi aussi, bien sec si possible, de celui qui en avait marre de lui, marre de nous en fait. « You cannot be serious. You woke me up because of this stupid thing. What the fuck. What the hell are you doing. » Lui j’allais le tuer, et pour une fois dans ma vie je comptais bien prier pour son âme, pour qu’il puisse aller au paradis et faire chier les autres plutôt que mon propre royaume. « Pierce. Wake up. We are NOT married. You are Marcus Pierce. Not Mark. You don’t need to play the stupid thing when there’s no one else around. Let me sleep jesus Christ. » J’en perdais mon langage bourgeois et mes moyens oui. « If I need to fuck him to have the informations? I damn will. I made progress when you were busy being a big baby. You’re jelly because he doesn’t look at you? Well get over it. You have a lot of things stuck up your butt. Let them out and you might have a damn chance. » Fin de la conversation. Parce que je m’étais retourné pour avoir un semblant de sommeil. Même si je doutais fort que j’allais réellement avoir le choix.
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Dim 2 Juin - 21:37

Marcus Pierce
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Tom Welling
Tout compte fait, je n'aurais sans doute pas dû le réveiller. Je le provoquais consciemment et était sur le point de créer une engueulade inutile qui ne ferait que plus mal encore. À lui, à moi. On allait s'envoyer chier, peut-être même se taper sur la gueule, qui sait. C'était inutile de le réveiller pour cela. Mais je l'avais fait, parce que j'étais brûlant que choses que je ne voulais pas regarder en face, de jalousie peut-être bien, de colère, de haine, de cette envie de violence qui me prenait les entrailles. Comme prévu, il s'était redressé avec colère, les sourcils bien arqués. La froideur de son ton rivalisait avec la mienne, et j'étais content, quelque part au fond de moi, dans ce petit endroit malsain qui aimait le fait qu'il répliquait, qu'il se laissait emporter dans mon petit jeu ridicule de haine et de violence. Il argumentait. Il tombait dans le piège que je lui avais tendu, pour assouvir ces besoins primitifs et dégueulasses qui me chamboulaient depuis qu'il avait réveillé en moi des .... choses ... auparavant endormies.

« Go fuck yourself, Lucifer. For the purpose of this mission, we ARE married and you just can't go sleeping around like a dumbass because you can't control yourself for a few days. There are other ways to get information and you're making us look bad. What kind of fucking couple goes sleeping around ? You're an idiot and you're lucky the guy is a fucking moron and just wants to get in your damn pants, or you'd ruin everything »

Parce que même s'il s'obstinait à dire que nous n'étions pas mariés et que nous avions simplement un rôle à jouer, j'avais tous les droits de lui en vouloir. Parce qu'il mettait ce rôle en péril avec ses conneries, nuisait à la couverture en allant se taper la cible comme si rien était, comme si un couple marié normal faisait ce genre de choses. Le pauvre idiot qui OSAIT mettre tout cela sur mon dos et me dire de relaxer, moi. Il n'en avait pas fini en prime, se permettant de m'envoyer le coup final, me dénigrer bien relaxe avec son commentaire de trucs up my ass et celui-là ne passa pas bien. S'il s'était retourné pour espérer avoir la paix, il aurait tout autre. Soit mon verre déposé sur la table, et mes mains s'emparant de lui pour vivement le tirer hors du divan et l'envoyer valser au tapis. Pauvre con. Qu'il se relève. Qu'il affronte la colère qui découlant de ses actes en une conséquence bien physique et violente s'apprêtant à s'abattre sur lui. « Get the fuck up and face me. » Il voyait peu à peu tous mes côtés les moins beaux, les plus primitifs. Il allait goûter à ce qui faisait de moi le monstre digne de cette malédiction qui m'accablait. Je n'étais pas encore là pour rien. Je n'étais pas humain, pas complètement, je ne pouvais pas. J'étais ... quelque chose, par moments assoiffé de sang, qui se régalait de la violence et de la destruction. J'étais un monstre, que l'on avait condamné à l'éternité ... et si je m'étais avec le temps calmé, Lucifer me donnait envie de tuer à nouveau. Sans remords, sans merci, sans pitié.

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Lucifer Morningstar
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Tom Ellis - aerie
Monsieur avait certainement fait un petit détour nu sur la plage, et avait prit le temps de bien s’asseoir avant de rentrer ici. Son sable était encore bien pris, et il m’en faisait payer le prix, à moi qui regrettais amèrement de ne pas avoir suivit Frank et ne me le taper jusqu’à temps qu’il en crève. Voilà ce que j’aurais dû faire. Mais au lieu de quoi j’avais pris la décision de rester sage, et de revenir ici même. Moi et ma gentillesse qui avait décidé aussi, de ne pas le déranger, de me résoudre au divan. Tous ces efforts pour rien. Parce que ce trou du cul était un trou du cul. Tout simplement. Lui ne voyait rien, lui cherchait les problèmes, surtout moi et allait me trouver de la pire des manières qui soit. Et si au départ bien entendu, il me déferla dessus toute sa haine, sachez que je ne l’écoutais pas le moins du monde. Réduisant son importance à celui du vent. J’avais dit ce que j’avais à lui dire après tout. S’il voulait faire l’autruche c’était son problème après tout. Il allait mener cette mission à un échec et il devra apprendre à vivre avec ses erreurs. J’avais eu beau l’informer des progrès, sa jalousie était plus importante que le reste. J’aurais dû l’enregistrer et le montrer à ses précieux collègues. Une humiliation lui ferait le plus grand bien.

Mais dans cette pensée dernière il était en vie. Ça. C’était avant qu’il n’ose me toucher, qu’il ose m’envoyer plus loin comme si j’étais une balle lancée au chien.

Il était un homme mort.

Le pauvre crétin venait de signer son décès. Venait aussi de déclencher la folie qui n’était jamais bien loin en moins. Un rire. Ce fut le première chose qui venait de sortir de ma bouche. Le rire du psychopathe qui savait que sa victime respirait ses dernières bouffées d’air, qu’elle était coincée, et qu’il aurait le plaisir de voir quitter ce monde tranquillement en se vidant de son sang. « You have NO idea who I am. How about I show you…. » Évidemment ça sonnait prétentieux. Mais quand on est le diable en personne, on pouvait se le permettre. Parce ce qu’ON était important. Je m’étais levé, avec rien de plus que ma haine, ce regard bien sombre et diabolique. « I’ll fucking kill you. » Au moins il était averti. Mon dernier élan de gentillesse avant de lui foncer dessus tel un joueur de football pour rencontrer la télé qui venait elle aussi de mourir sous le choc. Ça et tout le reste qui servait de décoration sans le moindre doute. Comme ce vase en verre, dont 20% venait de terminer dans ma main qui ne réalisait pas encore que ma peau était devenue aussi faible que celle d’un petit humain coupée sous le serrement, car elle comptait bien utiliser l’innocence première de cet objet pour transpercer la peau de monsieur ici présent sous moi. Dans l’épaule, pour bien entendu, le faire souffrir un peu avant. Sinon ça ne serait pas bien amusant n’est-ce pas?
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Dim 2 Juin - 22:38

Marcus Pierce
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Tom Welling
Lucifer riait et je m'enflammais de plus en plus. J'avais l'impression d'avoir enfin trouvé un égal. Ce rire de psychopathe me tirait presque un sourire, parce que cet homme devait être presque aussi fou que moi. Il avait cette violence en lui, je le sentais, on allait se battre et se faire mal et s'entredéchirer, on allait se détruire avec toute la passion qui existait en ce monde et ce serait glorieux. C'était encore mieux s'il pouvait rendre coup pour coup, me donner du challenge, m'offrir une résistance. J'en avais bien l'impression, alors qu'il se relevait, toujours aussi prétentieux même alors qu'il venait de manger le plancher. Il parlait de me tuer et c'était mon tour de rire, parce que je n'attendais que ça, goddamnit.

« I'd like to see you try ... » Parce que je savais pertinemment que même s'il me tuait une fois, deux fois, cent fois, je reviendrais toujours. Parce que peu importe ses tentatives, son niveau de violence et de rage, il n'y arriverait jamais, du moins pas de façon permanente. Pour une fois que cela m'amusait, plutôt que de me faire profondément chier .... Lucifer ne perdait pas de temps, fonçant sur moi et me projetant contre la tv qui rendit l'âme sous nos poids combinés et la force avec laquelle elle fut heurtée. Un simple grognement m'échappa, alors que mes mains serraient ses bras, cherchant une prise, un appui pour pouvoir m'élancer et le cogner. Je n'en eu pas le temps. L'odeur du sang était déjà dans l'air alors que nous avions à peine commencé, et l'explosion de douleur dans mon épaule fut accueillie presque avec un rire, mélangé à l'important grognement qui m'échappa, les dents bien serrées et une main se refermant sur son poignet pour l'écarter de là et retirer le bout de verre. Je m'en délectais carrément. Je vivais actuellement pour cette violence, parce que je n'avais plus rien à perdre, plus de raison de vivre, et des millénaires de frustration accumulée. Pas le temps de crisper ma main contre mon épaule pour chercher à arrêter le saignement, je ripostais directement en envoyant mon coude avec toute la brutalité possible contre le si beau visage de ce connard, cognant brutalement sa mâchoire et l'envoyant reculer de quelques pas. Un peu d'air pour respirer, mon espace retrouvé, me permettant de rivaliser plus efficacement. Mon verre d'eau délaissé récupéré sur la table basse, je le lui fracassai sur la tête dans un grognement de rage bien senti, mon souffle déjà plus haletant, la sueur commençant à faire son chemin contre mon corps. Parce qu'au final, malgré toutes ces années, malgré tout ce que j'avais traversé et toutes les habiletés que j'avais développées, mes techniques de combat soigneusement travaillées pour faire de moi une machine autant qu'il ne l'était possible ... malgré tout cela .... Je ne restais qu'un humain.

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Dim 2 Juin - 23:21

Lucifer Morningstar
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Tom Ellis - aerie
Oh en voilà un autre qui prétendait être plus fort, être plus important. Un qui contrairement à moi ne méritait pas une telle vantardise. Il allait y repenser à deux fois la prochaine fois. Ou pas en fait. Car il n’y aura pas de seconde fois pour cette âme qui allait bientôt quitter le monde des mortels. Mais bien entendu il allait se battre pour y rester, convaincu qu’il pourrait. Je devais avouer qu’il était coriace à ma grande surprise mettant le coup sur l’adrénaline, avec ce petit rire, et son presque manque de réaction à la première blessure. La force de m’enlever de là, ma main et le morceau de vitre. Ou plutôt mon poignard recyclé. Les hippies seraient contents de la nouvelle utilité que je lui avais trouvée, n’est-ce pas ?

Je crois bien que Pierce était tout aussi fou que moi. Qu’il me sortait avec joie son véritable côté qui puait le sang et la violence. Oh je savais depuis bien longtemps qu’il me détestait, mais de là à vouloir se nourrir de mon sang? Ça voyez-vous, c’était une petite découverte. Il me détestait au point de me voir disparaitre. Ce qui rendait les choses bien intéressantes. Malgré le coup de coude si bien envoyé avec force et qui, bien entendu, avait réussi à me déstabiliser bien assez pour se libérer et d’y aller d’une seconde attaque. Et je dois dire que j’étais tellement en colère et sous mon mode de meurtrier, que je ne réalisais pas que quelque chose sortant de l’ordinaire se produisait. Du sang qui était mien et qui coulait de mon front On était deux à se grogner dessus, à faire un beau vacarme pour les voisins, cette fois bien différent de la dernière fois. La pauvre petite bête s’essoufflait, ce qui me causa un nouveau rire tout aussi saint d’esprit que mon dernier. À mon tour de prendre le premier objet que je trouvais et le lui lancer dessus, pauvre chaise. Et bien vite ce fut les poings qui suivaient, autant les miens, que les siens à un moment. Les seules chances qu’il avait étaient simplement dû à ma frustration de le voir me résister autant et de me laisser croire qu’il n’était peut-être pas si faible que ça. Je crois même que je l’avais laissé faire à un moment, sachant qu’il allait me relancer. Et j’avais eu raison. Ça m’évitait de dépenser de l’énergie pour me rendre plus rapidement à la cuisine voyez-vous. Le réveil de l’idiot qui venait de comprendre en me voyant presque m’empresser vers cet endroit. Plus rapide pour me plaquer et me tirer vers l’arrière. Mais pas assez pour éviter ma Manoeuvre qui se termina en petite prise d’étranglement avec mes cuisses. Juste assez pour l’étourdir, juste assez pour me relever avec la ferme conviction de mettre fin à ce petit jeu qui avait assez duré. Il avait beau chercher son air, tousser, peu importe, j’avais quand même pris le temps de sortir l’arme blanche, qui deviendrait bientôt rouge. Et s’il avait tenté en un dernier souffle de l’utiliser contre moi, en un beau coup de pied qui me fit à nouveau valser au sol, il avait bien vu que ça ne me faisait ni chaud ni froid, malgré le cœur qui avait été visé par la lame. Quel meilleur moment que l’effet de surprise pour le sortir de là, lui montrer mon regard bien rouge, avant de le lui enfoncer dans le crâne. C’était terminé.

Plus de Pierce, que la paix. Je ne savais plus à qui appartenait tout ce sang, mais en ce moment je n’avais absolument rien à chier de tout ceci. Je reprenais mon souffle, le retour de mon calme, de ma paix intérieure si l’on veut. J’allais m’occuper du désordre et de son corps un peu plus tard. Pour le moment j’avais besoin d’un verre. Qui ne mis pas de temps à être versé et but d’un coup sec. Ça allait aider.


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Tom Welling
Malgré toutes mes tentatives, la bagarre ne tournait pas à mon avantage. Mon épaule m'élançait et le sang qui s'en écoulait n'aidait en rien à ma faiblesse grandissante. Je n'étais pas prêt d'abandonner, rendant coup pour coup mais mangeant beaucoup plus de mal que lui ne le semblait. J'avais beau le frapper, l'envoyer au plancher, il trouvait toujours le moyen de m'avoir à son tour, encore plus fort, encore plus violent. Je savais saigner de plusieurs endroits et tirait satisfaction de voir qu'il n'était pas en parfaite forme non plus, au moins. Mais je n'avais pas le dessus et en le voyant essayer de se traîner vers la cuisine, je compris en moins de deux ses intentions. Je me jetai presque sur lui pour l'empêcher d'atteindre son but, luttant avec lui pendant quelques instants jusqu'à ce qu'il parvienne à me maîtriser, ses cuisses serrant, comprimant ma poitrine et ma gorge, et le souffle commença éventuellement à manquer. Même si je tapais désespérément la paume de ma main contre sa cuisse comme pour abandonner, déclarer forfait et lui demander de me lâcher, il avait l'air décidé à conserver sa prise.

Il attendit suffisamment longtemps pour que je prenne une grande inspiration bruyante et désespérément lorsqu'il me relâcha enfin, portant une main à ma gorge en toussant, cherchant à reprendre mon souffle -et mes esprits, un peu aussi. Je l'avais perdu de vue, mais savait où il devait être allé, et je n'avais pas encore dit mon dernier mot. J'allais me battre jusqu'à la toute fin, tuer ou être tué, mais sans jamais abandonner la partie. Alors que ses yeux semblaient vivement briller de rouge, je senti que c'en était fini, senti que je venais de perdre, et ne pu rien faire d'autre que d'encaisser le coup fatal. Instant kill. Je retombai mollement sur le dos, inerte .... mort.


Cela pris du temps. Il ne m'avait pas manqué, le salopard. Il avait sans doute eu le temps de prendre une bonne douche et de retourner se coucher, dans le lit cette fois, maintenant que je n'y étais plus. Avec un peu de chance, l'odeur de mon gel douche, délicieusement masculine, allait le hanter pendant son sommeil, c'était tout ce qu'il méritait. Ce fut long, mais éventuellement, la malédiction fit son oeuvre. Dans un halètement de douleur, dans une grande inspiration forcée et bruyante, la vie revint en moi. C'était la chose la plus douloureuse qui soit, ce moment où je reprenais conscience après avoir été brutalement assassiné. Parce que les blessures n'étaient pas encore refermées, que le sang coulait encore et que je me trimbalais une blessure normalement mortelle alors que j'étais toujours vivant pour en sentir la puissante douleur. Je pris un petit instant pour respirer avant que ma main tremblante ne s'empare du couteau pour le retirer, dans un long gémissement. Bordel de cul ....

Je me remis lentement debout, la plaie béante toujours bien ouverte et sanglante contre mon crâne. J'avais besoin d'un verre. Pas de verre, en fait. Une bonne, longue gorgée de whisky à même le goulot de la bouteille. Mes mains pleines de sang laissèrent une belle trace contre la bouteille, signe de mon passage. La pièce elle-même en gardait toutes les traces, de notre bataille, de nos blessures qui avaient bien saigné ... Aucune trace de Lucifer, mais il ne devait pas être bien loin. Je pris le temps qu'il me fallait pour me rendre à la chambre, sans me presser, j'avais toute l'éternité devant moi. Il était là, endormi, inconscient de ma présence ... de ma résurrection. Il allait avoir la surprise de sa vie, et je me réjouissais d'avance. Le couteau bien serré dans ma main, je m'avançai jusqu'aux côtés du lit, le poussant de la main pour le réveiller, une seconde fois cette nuit. Je voulais qu'il voit. Qu'il soit bien conscient lorsque je le tuerais.

Ses yeux s'ouvrirent enfin, croisèrent les miens. Le bleu de mon regard, un peu fou peut-être, le sourire malsain qui s'étira contre mes lèvres alors que je voyais la réalisation se créer dans le brun de ses prunelles. Je ne prononçai pas un mot. Levai simplement le couteau. J'étais comme une véritable apparition, ensanglanté, revenu d'entre les morts, et sans qu'il n'ait le temps de réagir, je plantai vigoureusement le couteau dans son coeur.

Berlin
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Lun 3 Juin - 1:53

Lucifer Morningstar
Je suis immortel et je vis désormais à San Francisco, USA. Dans la vie, je suis trafiquant majoritairement car je m'emmerde et c'est si plaisant de faire chier la police. Je suis ça et tant de choses à la fois. Mais nous n'avons pas toute la journée. On peut ajouter à la liste qu'il m'arrive aussi de mettre fin aux jours de certaines âmes.




Tom Ellis - aerie
Un autre verre pour la route, avant de me glisser sous la douche tant qu’à être bien réveillé. Ce n’était pas comme si je comptais me rajouter davantage de trouble en tâchant le lit. Une belle petite marre rouge qui fuyait doucement pour me laisser intact, ou presque. Je dois dire que j’avais pas l’air très content en sortant de la douche, à admirer ce qui semblait être une trace de vieille cicatrice. Qui ne partait pas. Je n’avais pas l’habitude de saigner. Je crois même que c’était la première fois que ça m’arrivait et je ne comprenais pas le moins du monde le pourquoi du comment. C’était bien perplexe que j’avais retrouvé désormais MON lit, pour enfin trouver un peu de repos. Le ménage il allait attendre, et le meeting aussi.

Mais moi, je ne pouvais définitivement pas, attendre. Le réveil encore tout aussi irritant que le premier, qui me fit sortir de toute mon innocence. Une vision d’horreur pour d’autre, ma fois bandante dans un autre contexte pour moi. Parce qu’en ce moment je devais tenter de comprendre pourquoi je n’étais plus dans le monde des rêves en quelque sorte et pourquoi Pierce était au-dessus de moi avec le couteau qui avait quitté sa tête pour sa main. En vie, il était en vie ???? « What the--- » Bien entendu on oubliait les manières. Il ne comptait pas m’expliquer, impoli. Bonjour le cri de douleur et de surprise. Parce que je n’avais pas l’habitude de ressentir quoi que ce soit. J’avais la tête du type qui n’arrivait pas le moins du monde à saisir ce qui pouvait bien se passer. Pierce, le sang, ma douleur, tout ensemble. Comment on avait bien pu en venir là ? Aucune idée. Nouveau mystère de la vie je présume. « WHY DID YOU DO THIS ?? » Première question. « Why the fuck am I bleeding ?? » Le pauvre con ne devait pas comprendre non plus. Parce que j’étais bien vivant et que j’aurais pu faire ma journée avec ce poignard dans le cœur. Mais au lieu de quoi j’avais l’air désormais irrité plus qu’autre chose. « Okay enough u_u I can’t kill you. You can make me feel pain and make me bleed u_u Please don’t tell me you’re my father because that would be so disgusting. » Je ne voyais pas vraiment d’autre explications, là, tout de suite. Il n’y avait bien que lui pour me faire subir ce genre de trucs non ? J’avais enfin pris le temps de sortir l’arme de là, et cette fois ne pas l’utiliser contre Pierce, encore. Je voulais mes explications moi. J’avais pris la peine d’au moins regarder mon torse pour le voir cicatriser rapidement, fort heureusement. « You ruined the bed btw, bravo you. And you look terrible ._. » Je devais bien le faire un peu chier autrement.


El Profesor
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El Profesor
Lun 3 Juin - 2:34

Marcus Pierce
Je suis immortel et je vis à San Francisco, USA. Dans la vie, je suis lieutenant de police et je m'en sors très bien, quoi que je ne sois pas apprécié de tous. Sinon, dû à cette malédiction d'immortalité qui pèse sur mes épaules, j'évite les sentiments et les relations et je le vis plutôt mal.

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Tom Welling
L'incompréhension la plus pure sur mon visage, le petit sursaut que j'avais eu alors qu'il s'était écrié, non pas de douleur avant de rendre l'âme, mais plutôt de colère, bien irrité que j'aie osé le poignarder. Je ne comprenais absolument rien à la situation. Que je sois encore en vie, c'était normal, malédiction, immortalité et tout ça. Mais que lui s'en sorte comme rien n'était, avec un peu de sang certes, mais au final une blessure qui cicatrisait aussi rapidement, ça me dépassait complètement. Il n'y avait pas un tas de réponses possibles à cette question, et j'étais le mieux placé pour savoir que la divinité existait réellement. Le prénom, la visible immortalité, je savais faire un plus un. J'avais sauvagement baisé le diable.
... et essayé de l'assassiner.

Oh well.

Il n'avait au moins plus l'intention de me poignarder avec le maudit couteau, ce qui n'était pas plus mal. Je n'avais pas peur de mourir, bien au contraire, mais j'avais le corps endolori et mourir une seule fois en cette soirée me suffisait. Je ne guérissais apparemment pas aussi vite que lui, et avoir le crâne ouvert n'était pas particulièrement confortable. Time out pour ce soir. « Im not your father. Why would you even think something that nasty ? » avec un petit rire parce qu'il valait mieux en rire qu'en pleurer au final. Ça faisait hyper mal à mon crâne, de rire, en fait. Mais peut-être un peu de bien à mon coeur, à mes émotions en pagaille. Fallait que je me calme, faut dire que me faire sauvagement percer la tête avait aidé à ça aussi. « Sorry, honey. We'll wash the sheets, it'll be fine. Didn't think you would mind the blood, since you were supposed to die there, but I guess we both played each other ... »

J'eus une soudaine réalisation, levant ma main pour contempler la bague à mon doigt. « Now even death can't do us part ... » Serais-ce une forme de petite blague ? Peut-être bien que oui. J'étais trop exténué pour continuer de me battre, de me plaindre de lui, de l'engueuler. Je reconnaissais que j'étais peut-être allé un peu loin avec cette histoire de Frank ... et je préférais oublier. Je voulais dormir, plus que tout maintenant. Mais prendre une douche avant, parce que j'étais plein de sang, quoi. Faudrait pas salir davantage les beaux draps de monsieur. Contre toute attente, je relevai les yeux vers lui, et lui tendit la main. Celle avec la bague. Petit geste de paix. « Shower ? » Invitation, mine de rien. Enterrer la hache de guerre, du moins pour cette nuit.

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