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LE TEMPS D'UN RP

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Berlin
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Berlin
Mar 21 Mai - 5:23

Lucifer Morningstar
Je suis immortel et je vis désormais à San Francisco, USA. Dans la vie, je suis trafiquant majoritairement car je m'emmerde et c'est si plaisant de faire chier la police. Je suis ça et tant de choses à la fois. Mais nous n'avons pas toute la journée. On peut ajouter à la liste qu'il m'arrive aussi de mettre fin aux jours de certaines âmes.




Tom Ellis - aerie
Je n’avais pas la moindre idée de tout ce que pouvais vivre Pierce, loin de là. Heureusement pour lui, car je ne me serais pas gêné pour lui dire qu’il rendait son existence beaucoup trop compliquée pour rien. Relaxe Marcus. Autant parler à un mur. Quoi qu’il n’y avait pas grande différence entre les deux, autre que la parole. Attendez une petite minute. Il avait des émotions? Était-ce de la jalousie que je venais d’entendre ? J’étais loin d’avoir le moindrement affiché mon air baveux pour lui répondre. Un peu trop surpris pour rajouter quoi que cela soit aussi, en toute honnêteté. L’alcool. Il devait beaucoup trop délirer et oublier qu’il n’avait plus besoin de jouer son rôle. Encore en mode Mark, qui chialait parce que son époux avait fait son petit charme avec un autre homme, et qu’il ne se sentait toujours pas merveilleusement bien dans cet univers, lui et ses grandes insécurités.

Ou alors c’était de la jalousie face à mon très précieux talent. Celui d’avoir fait la majorité du boulot ce soir, sans réellement avoir eu besoin de son assistance. Et pour un flic aussi bien et haut placé, ça devait faire atrocement mal à son estime, à son orgueil. Un criminel qu’il n’arrivait pas à attraper, le menait par le bout du nez avec les informations dont il disposait, donc de base, le faisait royalement chier, mais qui en plus, menait l’enquête sans la moindre difficulté. Bon oui, ça me faisait quand même un peu plaisir, je n’allais pas mentir là-dessus. Mais restait qu’il était un peu trop dur avec lui-même. Il ne pouvait pas se comparer avec moi. Nous n’étions pas du même niveau. J’avais de l’expérience depuis la nuit des temps avec beaucoup de choses, et lui et bien… Il avait sa petite vie de quelques années seulement.

J’étais décidément perdu dans ma tête, déconnecté, ce pourquoi je ne réalisais pas vraiment ce que j’étais en train de faire, ou ce que l’autre aussi, pouvait bien être en train de foutre. Je réveillais le petit guerrier, sans le réaliser. Comme un aventurier trop con pour se rendre compte qu’il venait de mettre le pied sur la tête d’un dragon. Un dragon qui avait plus que la capacité émotionnelle d’un fromage. Je le réalisais assez vite merci lorsque le mur était si près de moi, et qu’il vint refroidir ma peau. Mon air était certainement priceless, remplit de cette émotion de pure surprise, de celui qui ne comprenait pas ce qui lui arrivait mais aussi ce qui pouvait bien lui prendre. Pour une fois, j’avais rien fait ok. Il me posait une question qui ne faisait aucun sens pour moi. Avant que les liens ne se fassent, éventuellement en mon esprit. Il n’était pas content, mais en bas son ami lui il était plutôt heureux de faire ma connaissance. Il me malmenait un tout petit peu, et il aurait le plaisir de découvrir ma grande docilité. Comme si j’allais faire mon difficile. Comme si je ne voyais pas une opportunité et que je n’allais pas en profiter. J’avais le choix entre les poings ou autre chose qui viendrait me cogner à plusieurs reprises. Le choix était pour le moins assez aisé. « My plan? Not at all… » Je n’avais pas prévu de le réveiller, alors que j’étais pourtant certain qu’il faisait tout pour se retenir de vomir mentalement lors de nos petits échanges de la soirée. « Stop thinking, let it go. » Comment dire. J’avais le don aussi pour avoir un regard bien cochon quand je le voulais. « Should’nt be too hard… » Oups. Je n’avais pas pu m’en empêcher. Quoi que je devais bien garder le feu de la haine bien animé n’est-ce pas?


El Profesor
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El Profesor
Mer 22 Mai - 3:49

Marcus Pierce
Je suis immortel et je vis à San Francisco, USA. Dans la vie, je suis lieutenant de police et je m'en sors très bien, quoi que je ne sois pas apprécié de tous. Sinon, dû à cette malédiction d'immortalité qui pèse sur mes épaules, j'évite les sentiments et les relations et je le vis plutôt mal.

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Tom Welling
Je ne savais pas ce qui m'arrivait. Je ne parvenais pas à me souvenir de la dernière fois où je m'étais senti ainsi, où mon corps, mon être en entier s'était rebellé et avait ainsi fait des siennes. Je me souvenais de la colère, de la haine bien brûlante qui avait déjà coulé dans mes veines, une furie sans nom qui m'avait poussé à des actes irréparables dont j'avais cependant entièrement conscience, qui étaient délibérés et jamais regrettés. Je me souvenais de l'envie de tout détruire, à commencer par moi-même. Je me souvenais de ma toute première tentative de suicide, il a des centaines d'années de cela ... et la colère toujours plus grande qui revenait à chaque échec, enfant maudit que j'étais, le désespoir pointant le bout de son nez jusqu'à ce que je ne trouve une certaine forme de paix. Que la colère s'apaise, ayant trop brûlé. Que la haine ne s'effrite, d'avoir trop détruit sur son passage. Il ne restait plus rien. Qu'une enveloppe vide qui se devait d'affronter la vie. Qui avait tenté de survivre autrement, profiter de son temps et vivre à fond les plaisirs, jusqu'à l'excès, jusqu'à ce que même ces folies ne deviennent banales et que la vie n'ait plus rien à offrir. Les tentatives s'étaient multipliées, mais la colère n'était plus que l'ombre d'elle-même. Je n'en avais plus la force, plus l'énergie ... J'étais abattu. J'étais coincé dans mon petit enfer personnel et n'avait plus l'espoir de jamais en sortir.

Mais Lucifer ravivait aujourd'hui des émotions réduites en cendres il y a de cela longtemps, soufflant sur les dernières braises par son arrogance pour rallumer une petite flamme au creux de mes entrailles. Des pulsions de vie, des pulsions de mort. L'envie de le détruire et de le posséder, à défaut de pouvoir me détruire moi-même. Le désir de le vivre, de vivre avec lui, de vivre ensemble en ne faisant plus qu'un l'espace d'un instant où même le temps ne ferait plus de sens. Une pause bien méritée dans mon supplice. Il était ma délivrance d'un instant, bien qu'il n'en soit pas encore conscient. Il se laissait pourtant faire, et je ne savais pas si cela me plaisait ou me faisait chier. J'aurais voulu qu'il me fight. Qu'il m'oppose une résistance. C'était si facile de prendre ...

Il me disait de laisser aller. Pauvre inconscient. Il n'avait aucune idée de ce qu'il risquait de déclencher. Ma main se logea contre sa gorge, alors qu'il me passait son petit commentaire, se moquant encore à sa façon, y prenant plaisir. Je serrais un peu, jamais assez fort pour lui faire mal, ni même pour le rendre inconfortable. Doux malgré ma rudesse, malgré mes pensées violentes. Je voulais qu'il se taise. Ma main contre sa gorge tira doucement sa tête vers l'arrière pour me libérer un meilleur accès à sa mâchoire, que je continuais de dévorer doucement de petites morsures. Oui, j'aimais le mordre, faut croire. World's first murderer and all, I was bound to have weird kinks

Sans prononcer un mot, je m'emparai de la taille de son pantalon pour le tirer vers l'arrière. C'était là une jolie démonstration de ma force, usage de mes superbes biceps, traînant presque Lucifer en direction du lit. Ce fut son tour d'y être laissé tombé, alors que je lui laissais enfin un moment pour respirer, réaliser ce qui lui arrivait. Je me débarrassais de mon sweater sans presse, mais ouvrit les pans de ma chemise d'un coup sec sans prendre la peine de détacher les boutons, laissant tomber celle-ci au sol sans plus de cérémonie. Rapidement je surplombai l'homme, peau nue contre peau nue, nos torses pressés l'un contre l'autre alors que je plongeais à l'assaut contre ses lèvres. Un baiser agressif, cherchant à prendre le dessus dans l'échange. Il n'y avait cependant pas moins de passion ni d'intensité, mes mains s'affairant sans plus tarder à le débarrasser de son pantalon. Je n'avais plus de patience, je me retenais depuis le maudit bar.

Mes lèvres le prirent sans doute par surprise en se posant presque tendrement contre sa pomme d'Adam, avant de descendre un chemin de baisers tout droit entre ses pectoraux, en direction de son nombril, puis plus bas. En contradictoire, mes mains tenaient solidement ses poignets et l'empêchaient de bouger. Il devait maintenant avoir une idée de ce que je m'apprêtais à faire, mais il n'était clairement pas prêt au coup de langue sur toute la longueur, et encore moins sur la façon dont je le pris habilement d'un seul coup, entièrement, sans la moindre trace de gag reflex. Des millénaires de perfectionnement. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, avec mon malaise imposant à jouer son petit ami, il n'était pas ma première expérience masculine au lit, loin de là. J'étais sur Terre depuis toujours, bien entendu que j'avais tenté des trucs ... et en cet instant, c'était lui qui me faisait envie. Je n'avais pas désiré qui que ce soit ainsi depuis longtemps, et je voulais tout goûter, toucher à chaque parcelle de sa peau. Je lui donnais le bj de sa vie.

Berlin
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Jeu 23 Mai - 23:44

Lucifer Morningstar
Je suis immortel et je vis désormais à San Francisco, USA. Dans la vie, je suis trafiquant majoritairement car je m'emmerde et c'est si plaisant de faire chier la police. Je suis ça et tant de choses à la fois. Mais nous n'avons pas toute la journée. On peut ajouter à la liste qu'il m'arrive aussi de mettre fin aux jours de certaines âmes.




Tom Ellis - aerie
Une pique. Une pique à laquelle je m'attendais une réponse verbale, une insulte, un petit truc, n'importe quoi le connaissant. Il me détestait après tout n'est-ce pas? C'était pour cette raison que j'appréciais particulièrement l'emmerder, après tout. Je n’avais pas vraiment peur de cette main contre ma gorge, le pauvre idiot aurait certainement une surprise en retour. J’étais plus prêt pour la tentative de meurtre que ce qui m’attendait réellement. Une certaine force, mais pas pour blesser. Plutôt, pour mordiller, encore une fois. Il faut croire qu’il avait faim et qu’il me voyait comme un morceau trop délicieux pour être complètement engloutis. Ou alors qu’il se retenait de passer à l’acte de serrer ma gorge assez fort pour couper l’air.

Ma provocation n’avait pas créé quelque chose de très attendu. La surprise à l’état pure, encore une fois. Alors qu’une force vint faire en sorte de me tirer, mais pas pour me recogner un peu plus fort contre le mur, mais bien pour terminer contre le lit. M’étouffer avec l’oreiller qui sait ? Ou pas. Définitivement pas. J’avais profité de mon petit moment pour le regarder, se débarrasser de son haut. La première couche? Ni chaud ni froid. A seconde? Y’avais pas que moi qui avait eu un intérêt soudain. Mon mini moi était comme une marmotte qui sortait de son trou avec enthousiasme à cause d’un bruit, d’un intérêt pressant. Bon pas d’un coup sauvagement quand même. C’était peut-être pas une bonne comparaison en fait. J’étais pas un prépubaire après tout. Mais je dois dire que j’avais quand même eu un coup de chaleur, un boost hormonal sous l’appréhension de la suite. Soit rien de bien doux, certainement la bête qui prendrait le dessus sur l’homme, les préliminaires minimums, voir aucun qui sait. Of course I didn’t mind at all. Je mangeais les péchés à pleine dents, moi. Comme si j’allais dire non, ennemi ou pas. Il ne l’était pas pour moi du moins. Et même si ça aurait été le cas, j’aurais bien vite oublié en ce moment même. Autant avec la démonstration de virilité, que la suite qui m’attendait.

Soit aucune perte de temps. De la peau contre de la peau, des lèvres qui se faisaient déguster par un homme qui n’avait rien mangé depuis des jours. J’étais bien docile, suivant sans mal ce qu’on m’imposait. Pour une fois je ne cherchais ni à dire le contraire, ni à faire quelque chose de contradictoire à lui. J’avais pas besoin de plus pour bien m’allumer, pour participer à la perte de mes derniers vêtements en soulevant mes fesses pour faciliter le tout. Du coup, sans plus de cérémonie, sans nous laisser languir avec une dernière petite protection. Flambette, comme on dit. Surtout, dans toute ma splendeur.

Enfin pas encore, mais ça s’en venait bien rapidement, Pierce s’occupait du reste comme un grand. Il savait décidément ce qu’il faisait. Moi qui l’avais pris pour un pur hétéro, tout simplement car il n’existait pas plus malaisé que lui, dans ce fameux bar et son rôle. Sauf un homophobe bien entendu. J’avais effectivement une petite surprise, à la douceur, puis une nouvelle en comprenant vers où il se dirigeait. Mon souffle trahissait certainement mon appréciation. Un peu plus encore lorsque monsieur décida que j’étais sa cible, et que je devais me laisser faire. Je n’avais pas le droit de toucher, je devais subir. Une petite frustration oui, moi qui aurais apprécier glisser mes doigts dans sa chevelure. Je comprenais toujours rien de ce qui avait pu se passer entre ses deux oreilles pour me ravager de la sorte, mais encore une fois : rien à faire. Il était habile. Et il s’occupait de bien me le faire comprendre. Avec un départ en beauté, et une suite qui ne se fit pas attendre. Je n’étais clairement pas son premier. Et c’est sans retenue que je me permis de penser qu’il était presque aussi habile que moi. Presque, parce que je devais rester le meilleur dans mon propre domaine après tout. Il faut dire que je ne comprenais pas comment une chose pareille pouvait être véritable, compte tenu qu’il n’était qu’un petit humain parmi tant d’autres. Un coup de chance peut-être, pour savoir exactement ce qu’il fallait faire. Un talent caché qui sait. Qui me faisait perdre le souffle, un peu la tête aussi. Et me frustrait toujours un peu d’avoir les mains ainsi liées. Mais qui ne m’empêchait de bouger mon bassin. Et de le regarder avec indécence. Comme si j’allais me gêner oui.

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Ven 24 Mai - 1:43

Marcus Pierce
Je suis immortel et je vis à San Francisco, USA. Dans la vie, je suis lieutenant de police et je m'en sors très bien, quoi que je ne sois pas apprécié de tous. Sinon, dû à cette malédiction d'immortalité qui pèse sur mes épaules, j'évite les sentiments et les relations et je le vis plutôt mal.

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Tom Welling
Pour une fois, Lucifer ne trouvait rien à dire, ou du moins, décidait qu'il était préférable de se taire. Cela me procurait un petit sentiment de victoire et de satisfaction non-négligeable. Lui qui était toujours chiant avec ses répliques se laissait maintenant faire sous mes traitements en restant tranquille, ne cherchant pas à prendre les rennes de la chose. C'était plaisant, d'avoir cette petite forme de pouvoir de rien sur lui, de pouvoir être maître de son plaisir et retenir ses poignets malgré qu'il luttait un peu contre mon emprise. Je ne lui laissais aucune chance, m'occupant de son cas avec talent. Je savais bien tout ce que je pouvais lui causer, son souffle démontrant une certaine appréciation, bien qu'il ne soit pas des plus bruyants. Il avait cette façon de bouger en rythme avec moi, de me regarder avec cet air purement indécent qui ne me donnait que plus envie de lui donner tout ce que j'avais. Ultimement, je relâchai l'un de ses poignets, m'attendant à sentir sa main venir se loger dans mes cheveux et n'ayant absolument rien contre.

Sauf que je ne le finis pas. J'aurais pu, mais alors que je le sentais approcher tranquillement mais surement, je me reculai avec un air vaguement amusé au visage, lui redonnant la monnaie de sa pièce. Lui qui jouait si souvent à ce genre de jeu avec moi, à se moquer et s'amuser à mes dépens, me voilà le laissant un peu en plan par pur plaisir ... mais aussi car j'avais autre chose en tête. Une idée qui impliquait du lube et mes doigts dans son cul. Il n'y avait pas de presse, mais j'en voulais plus, toujours plus, plus vite. Alors je me dépêchais autant que son corps pouvait le prendre, pour une préparation un peu à la va-vite. Il le méritait, le pauvre con, pour faire autant chier. Qu'il souffre un peu, il n'en tirerait que du plaisir au final. Je ne perdais ainsi pas plus de temps que cela avant de décider que ce serait suffisant. Étant encore vêtu du bas, je me débarrassai bien rapidement du tout, prenant un petit instant pour passer une main chaude contre le corps de l'homme, contre son torse, son ventre, découvrant un peu avec une certaine fascination. Petit moment de perte qui ne dura pas trop longtemps, avant que mes mains ne s'emparent de ses hanches, le positionnant à ma guise pour, sans plus attendre, amorcer la suite des choses. En lui laissant tout de même un instant pour s'y faire, entamant ensuite des mouvements un peu durs, profonds, défoulant sur lui toutes ces hormones endormies depuis longtemps, toute la frustration qui m'habitait à le côtoyer.

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Ven 24 Mai - 3:38

Lucifer Morningstar
Je suis immortel et je vis désormais à San Francisco, USA. Dans la vie, je suis trafiquant majoritairement car je m'emmerde et c'est si plaisant de faire chier la police. Je suis ça et tant de choses à la fois. Mais nous n'avons pas toute la journée. On peut ajouter à la liste qu'il m'arrive aussi de mettre fin aux jours de certaines âmes.




Tom Ellis - aerie

Plus ça allait, plus la petite frustration vint m’agacer. Je tentais de me déprendre, subtilement, mais il faut dire que ce petit humain avait de la poigne. Faut avouer que j’étais totalement déconcentré aussi, avec ses traitements, et que je crois bien qu’il était préférable de rester sage que de tout ruiner right? Le connaissant, il en serait bien capable. La preuve avec notre bisou qui avait été si difficile à obtenir, en prime de terminer de la manière la plus frustrante qu’il soit. Enfin une des manières, je savais bien qu’il y avait pire. Mais en ce moment, il n’y avait absolument rien d’affreux. Mon souffle le démontrait plus que bien malgré que les voisins avaient la paix pour le moment.

Un peu de liberté, celle que j’avais tant cherchée. Au moins juste un peu. Une main qui ne se fit pas prier pour se glisser dans ses cheveux, juste un peu. J’avais déjà des intentions qui se dessinaient, et qui impliquaient certainement une certaine pression, et des mouvements un peu plus prenant. Oui j’essaie d’être poétique en disant bz la bouche bon. Mais cette chance venait de s’évader sauvagement, alors que je sentais la fin vraiment pas si loin, alors que je m’étais fait des plans moi, mentalement, pour finir en beauté la suite. Il avait arrêté. Le salopard. L’enfant de pute. Les insultes fusaient dans mon regard, car bien entendu je lui donnais des mauvaises intentions : celle de me laisser en plan, de me faire payer comme ça. Encore une fois. Je crois que j’avais compris qu’il n’était pas digne de confiance à ce niveau. Voir tout court en fait. On pouvait voir ma frustration, fulgurante. Il y avait certainement un petit éclat rouge qui venait de passer, là-maintenant.

Bon ok. Une chance que j’avais rien dit. Mais j’aimerais bien vous y voir moi. Alors qu’on est si proche, encore un peu et l’extase. Et qu’on vous l’enlevait avec cette intention de le faire. Il n’était pas parti ni bien loin, ni bien longtemps, ne me laissant pas le temps de dire quoi que ce soit. Parce que j’avais un peu de fraicheur surprenante qui venait de se glisser right in mah butt. Nouvelle petite frustration, bien légère. Parce que je payais un peu aussi pour les mots que je lui avais dits. Il ne faisait que les prendre pour acquis, soit que je le laisserais me mener comme bon lui semble. Pour ce genre d’activité du moins. Crap. J’allais m’en remettre de toute. Je n’avais rien contre soudainement de toute, parce qu’on venait de cogner à la bonne place. Un tout petit son. Et quelques courtes secondes plus tard Pierce était complètement à poil, me découvrait en guise de petite pause avant de me placer. Me placer ? Presque. Il avait suffi d’avoir des mains qui m’empoignent les hanches pour que mes jambes ne s’occupent du reste. Il semblerait que nous soyons deux qui ne trouvaient pas les préliminaires nécessaires. Mais le pauvre idiot qui venait de découvrir que je devais pas avoir l’habitude derrière (c’pas vrai, j’avais juste des petits avantages à guérir en moins de deux, muscles inclus quoi), allait pas comprendre la suite. Qui sait. Il en avait peut-être rien à foutre de me faire mal ou pas.

Finalement, il avait eu juste assez de gentillesse pour me laisser un tout petit peu de temps. L’introduction pressé ne m’avait pas créé la moindre douleur sur les traits. Plutôt un soulagement. J’allais avoir ce que je voulais après mes frustrations. Et il ne le pourrait pas s’en aller believe me. J’allais serrer mes jambes contre lui s’il le faut, mais pour le moment elles n’étaient qu’en place, en prévision de sa prochaine petite fuite. Voilà. On est jamais trop prudent.

Je crois que cette idée venait de me quitter. Comme tout le reste de mes pensées d’ailleurs. Un premier coup sans douceur, mais qui venait chercher profondeur. Un son de délicieuse surprise qui m’échappait, alors que je savais bien que j’aurais le droit au retour de la bête. Elle n’était partie que pour me déguster. Car la suite ne se fit pas tarder, sachant bien que je devenais ce défouloir hormonal. Et c’était ma foi, fabuleux. Un désir à l’état pur, une passion, la retenue qui n’existait pas. J’avais l’impression de me taper un prêtre qui se permettait après de années d’abstinence de se laisser enfin aller, et de goûter à ce que le démon avait à lui offrir. Le démon qui prenait son pied, et qui savait créer le doute chez le voisinage. Le doute du film porno, alors que c’était en fait bien réel. Ça venait de moi, ces sons-là. Je m’accrochais aux draps, goûtant à toute sa frustration et sa haine. Hatesex. C’était carrément ça. Et s’il voulait me détester ainsi, se défouler de la sorte, je le ferais certainement à chaque jour sans le moindre regret.

Mais hey. J’étais Lucifer, remember? Et je savais qu’on en aurait vite terminé. Résultat? Je devais toujours un peu m’amuser right? J’étais habile, mine de rien. Habile pour user de mes jambes, de mon corps pour faire en sorte que monsieur termine dos contre le matelas. Je lui donnais un moment de satisfaction. Gardant une partie du rythme, riding the shit outta him. Un moment de déconcentration. Alors que mon autre main avait mis la main sur sa chemise afin de l’utiliser pour l’attacher au lit entre deux. Faut dire que j’avais le don de jeter de l’huile sur le feu. Pourquoi? Parce que je ralentissais le rythme, pour ne devenir qu’une tortue, torturant oui. Je savais très bien que je le frustrais. Que j’allais le regretter. Mais je voulais qu’il travaille un peu. Il ne pouvait pas TOUT faire ce qu’il voulait avec moi right? Il ne copulait pas avec n’importe qui après tout. Mais bien avec le maître de la luxure. Celui qui prenait désormais son temps, presque exagérément, devenant du sexe presque paresseux, avec cet air autant baveux que diabolique. Allez Pierce, t’es capable de te défaire des liens tout seul comme un grand right ?
El Profesor
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Ven 24 Mai - 4:24

Marcus Pierce
Je suis immortel et je vis à San Francisco, USA. Dans la vie, je suis lieutenant de police et je m'en sors très bien, quoi que je ne sois pas apprécié de tous. Sinon, dû à cette malédiction d'immortalité qui pèse sur mes épaules, j'évite les sentiments et les relations et je le vis plutôt mal.

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Tom Welling
Ses jambes s’accrochaient à moi, comme m’interdisant de partir, sans doute suite à la petite crainte que je lui avais causée en reculant de lui sans le finir un peu plus tôt. Ce n’était pas plus mal, je ne comptais pas m’en aller cette fois, ni arrêter, pas tant que je n’aurais pas moi-même obtenu satisfaction. Il était délicieusement étroit et les sensations me revenaient presque violemment, me frappant en plein visage avec toute la puissance des années d’abstinence. C’était toujours aussi bon, et je redécouvrais pleinement ce que j’avais manqué depuis tout ce temps. Si le sexe avait autrefois perdu son intérêt, il s’avérait que de s’en passer suffisamment longtemps ramenait le plaisir de la chose … ou alors peut-être bien que c’était cet homme en particulier qui me faisait un effet tout spécial, mais cette perspective ne m’enchantait guère. Pourtant, mon bassin s’en donnait à cœur joie à marteler monsieur de coups savamment envoyés, allant toucher cet endroit bien précis au fond de lui qui lui ferait voir des étoiles. Habile de toutes les façons, expérimenté et bien destiné à procurer autant de plaisir à mon partenaire que je pouvais en tirer moi-même. Le sexe, c’était une histoire à deux.

Il se laissait enfin aller, sa voix venant caresser les tympans de probablement les autres habitants du bloc en plus des nôtres. Heureusement que ce type de condo était mieux insonorisé qu’un simple petit appartement plus modeste, le luxe en valait le prix, mais il était sans doute bien assez bruyant pour vaincre même cette insonorisation de qualité. Pas que cela ne me dérange le moins du monde. En d’autres moments, peut-être. Mais pas en pleine action, à m’abreuver de tout ce qu’il pouvait me donner comme sensations. Dans le pire des cas, notre couverture n’en serait que plus forte, un grognement particulièrement senti de ma part venant rajouter une seconde voix masculine à nos ébats, meilleure preuve que nous étions sincères …. Et merde, que c’en était en fait tout autrement.

Je ne vis jamais venir le coup. Son petit plan malin pour reprendre le contrôle. Ses jambes s’étaient accrochées à moi, et dans une sorte de prise de lutte ou je ne saurais trop dire, peut-être bien un mouvement d’art martiaux quelconque, il avait utilisé mon propre poids contre moi pour me renverser sur le dos et se retrouver sur le dessus. Ce n’était pas plus mal ainsi, la poursuite du rodéo se faisant autrement, mais de façon toujours aussi plaisante. Mes mains avaient trouvé ses hanches et lui laissaient le choix du rythme, suivant sans mal. Or, ces mains furent bien vite occupées ailleurs, tirées vers le haut par Lucifer lui-même qui, sans que je n’aie le temps de pleinement réaliser ce qu’il se passait, m’avait attaché les poignets à la tête de lit. J’étais officiellement en position de soumission, attaché dans une position bien kinky merci, désirable, étalé comme ça devant lui à sa merci. Comme dans un vieux porno. Salope.

Je grognai, parce que évidemment. Tirai même un peu sur mes liens, testant leur solidité, forçant un peu contre ceux-ci et échappant un nouveau son à la résistance qui s’offrit à moi. Peut-être bien que ça me turn on, en fait. Si ce n’avait été de Lucifer qui ralentissait autant le rythme et m’offrait à peine de sensations, ç’aurait même pu être plaisant. Mais à la façon dont les choses allaient, c’était plus frustrant qu’autre chose, mes yeux se rivant dans les siens dans une tentative de le fusiller … mais mes pupilles dilatées assombrissaient elle-même suffisamment mon regard pour qu’il me soit difficile de lui jeter un regard noir sans avoir l’air délicieusement needy et ravagé. C’était terriblement lent, il faisait à peine des efforts, se soulevant sans presse et prenant tout son temps pour redescendre s’asseoir contre moi, une vrai torture que j’endurai quelques instants, le souffle court et rapide, le front humide de sueur. C’était enrageant. C’était délicieux. C’était le meilleur sexe que j’avais eu depuis longtemps. Je voulais le tuer. Je voulais qu’il s’active enfin, qu’il me donne ce que je voulais, ce dont j’avais besoin … Toujours encore, je tirais sur mes liens, presque à m’en écorcher les poignets- ils auraient été en sangs s’il avait utilisé de la vrai corde, ma chemise étant heureusement plus clémente contre ma peau. Mais peut-être bien qu’au fond … Je ne cherchais pas réellement à m’en défaire … Peut-être bien qu’au fond, je prenais mon pied dans son petit jeu …

Et contre toute attente, je soufflai un petit « Please … »


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Ven 24 Mai - 5:11

Lucifer Morningstar
Je suis immortel et je vis désormais à San Francisco, USA. Dans la vie, je suis trafiquant majoritairement car je m'emmerde et c'est si plaisant de faire chier la police. Je suis ça et tant de choses à la fois. Mais nous n'avons pas toute la journée. On peut ajouter à la liste qu'il m'arrive aussi de mettre fin aux jours de certaines âmes.




Tom Ellis - aerie
Il n’avait pas cherché à se défaire de mon emprise. Excellent. Il se laissait faire, tout comme moi je l’avais fait, commençant à me dire qu’en quelque part, on était réellement deux à aimer ce petit jeu. Vivre de cette envie irrésistible, de ce besoin, mais aussi de cette frustration qui nous était si délicieuse. Je prenais pas mon pied, mais bien les deux. Of course I did. Parce que j’avais droit à ma petite partie moi aussi, à mon temps de récréation. Ce n’était pas toujours le cas avec moi, mais Pierce, c’était Pierce. C’était mon âme sœur que j’aimais détester, et c’était certainement pareil pour lui. Aucune idée dans quoi on était tombé, tous les deux. J’avais beau être Lucifer, je n’avais pas toutes les réponses, et j’aimais vivre dans les mystères et les surprises. J’étais loin d’être un control freak, mais plutôt le genre à lâcher une bombe et regarder le résultat du spectacle. Imprévisibilité et spontanéité, certainement impulsivité aussi, faisaient majoritairement parti de mon dictionnaire. La preuve était bel et bien là. J’avais laissé mes envies me guider, et Pierce était désormais devenu ma victime. Ma victime qui prenait son pied malgré tout, avec sa frustration qui me ferait des merveilles.

C’est dans des moments pareils que je ne regrettais pas mon séjour sur terre. Lorsque je goûtais à la luxure oui, mais à une qui avait le goût du feu et des flammes, mon paradis bien à moi. L’enfer était tout ce qu’il y avait de bon, et j’étais heureux d’en être le maître si j’avais droit à des moments pareils.

Je me nourrissais de son air si ravagé, qui me hurlait le besoin. Lui, bloque de glace que je venais un peu de faire fondre, de le sortir de son air si impassible. Je le voyais tenter de se déprendre, mon petit sourire ne se faisant que plus grand. Il n’y mettait pas plus d’énergie que cela. Après tout, il avait bien arraché sa chemise comme rien. Peut-être n’était-il pas si fort que cela aussi… À voir. Mais le voilà qui me surpris de la plus délicieuse de façon. Une supplication. Oh. J’adorais de plus en plus mon initiative. « Please..? » Comme si je ne comprenais rien. Moi et mon air faussement innocent, moi et ma lenteur. Moi qui avais osé me pencher, pour lui voler un baiser et lui déguster la mâchoire, le cou, pour finir par un long coup de langue tout le long de se dernier qui terminait par son oreille. Un murmure, sans plus ni moins. « You can say please as much as you want… But I’m not gonna give it to you… » Il allait finir par attacher la tête de lit. Tant mieux. « Come and get it. » Ce que ça voulait dire? Que j’avais arrêté oui. J’étais aussi un maître dans l’art de la torture de toutes ses formes. Il avait osé, un tout petit peu, et je me vengeais en partie. Encore un peu plus avec mon air et mes ongles qui venaient de doucement griffer son torse. Il était masochiste, je l’avais vite compris.

El Profesor
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Sam 25 Mai - 2:20

Marcus Pierce
Je suis immortel et je vis à San Francisco, USA. Dans la vie, je suis lieutenant de police et je m'en sors très bien, quoi que je ne sois pas apprécié de tous. Sinon, dû à cette malédiction d'immortalité qui pèse sur mes épaules, j'évite les sentiments et les relations et je le vis plutôt mal.

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Tom Welling
Lucifer jouait à l'innocent et ça me faisait rager. Il savait parfaitement ce que je demandais, mais se refusait à me l'offrir, préférant jouer le jeu, s'amuser à mes dépends. Il s'était penché sur moi, me donnant ses lèvres un instant, le temps d'un baiser, avant de plutôt dériver vers ma mâchoire et mon cou pour leur donner de l'attention. Les frissons parcouraient mon corps sans faiblir, un petit son s'échappant d'entre mes lèvres. Il n'en manquait pas beaucoup, juste un peu, et ma peau hypersensible réagissait désespérément à son contact. Bien entendu qu'il ne me laisserait aucune chance et profiterait de moi au maximum. Il me provoquait et refusait d'assouvir mon besoin le plus pressant, me mettant plutôt au défi d'aller chercher moi-même ce que je voulais de lui.

Je grognai ma désapprobation, tirant de nouveau sur mes liens, mes mains serrées sur ma chemise qui me ligotait. Au contact de ses ongles contre mon torse, griffant juste assez pour laisser des traces rouges et me tirer un petit grognement, un petit son pas mécontent de la chose, je décidai que j'en avais assez. Il avait parfaitement su attiser le feu dans mon ventre et réveiller la bête. Je serrais désormais ma chemise à deux mains, tentant de la déchirer en écartant mes poignets le plus possible l'un de l'autre, autant que cela me le permettait. C'était difficile, tout de même, mais un petit craquement de rien fini par récompenser mes efforts. Une faiblesse de créée, qui me permis de tirer plus fort encore, de redoubler d'ardeur jusqu'à ce que dans un ultime coup, le tissu ne s'arrache complètement, me rendant ainsi libre.

J'avais les poignets rougis, brûlés du frottement contre ma peau, mais je n'en avais rien à faire. J'avais une bonne tolérance à la douleur, à force. Je ne me fis donc pas prier pour utiliser ces mêmes mains auparavant ligotées, pour plutôt repousser Lucifer sur le dos contre le lit et aller chercher ce que je voulais, la complétion, en reprenant le dessus et forçant en lui des coups plus brusques et profonds les uns que les autres, sans faiblir, jusqu'à la toute fin. Dans un dernier grognement, m'effondrant par la suite sur lui et reprenant mon souffle, le front humide de sueur, parfaitement contenté.


Berlin
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Sam 25 Mai - 3:18

Lucifer Morningstar
Je suis immortel et je vis désormais à San Francisco, USA. Dans la vie, je suis trafiquant majoritairement car je m'emmerde et c'est si plaisant de faire chier la police. Je suis ça et tant de choses à la fois. Mais nous n'avons pas toute la journée. On peut ajouter à la liste qu'il m'arrive aussi de mettre fin aux jours de certaines âmes.




Tom Ellis - aerie

Un défi merveilleusement lancé. Je savais bien que j’allais en payer le prix et plus qu’un peu. Et c’était bien là le but de tout ce petit jeu. Je me créais une frustration, à moi aussi, mais je savais me montrer patient. Une torture à deux, alors que je l’observais, que je reprenais un peu de mon souffle et faisait durer le tout un peu plus longtemps encore. J’avais visé juste, il était réellement masochiste. Tout simplement car il s’exécutait. Sans le moindrement tenter de m’envoyer chier ou qui sait quoi d’autre.

Je l’observais faire, bien entendu, en sachant bien que je n’avais pas aidé les choses en faisant un très bon nœud. Un peut de résistance, tout de même. Sinon c’est trop facile. Sa peau devait bien chauffer, mais il était fort, tout de même. Il avait réussi à offrir un craquement au tissu, ce qui donna un délicieux élan de panique chez moi. De celui qui savait qu’il était bien cuit. Voir calciné. J’avais eu une poussée d’hormones, plus intense encore lorsqu’il fut enfin libre. Je crois qu’un petit rire m’avait échappé, avant de sentir le matelas contre mon dos. Et bien plus encore oui. Je savais que j’obtenais tout ce que je pouvais de lui. Toute sa force, toute son inhumanité aussi. Une véritable bête, un petit diable aussi plutôt, avec ses mouvements qui étaient loin de manquer d’énergie. Et c’était le retour de ma voix, pour les derniers instants qui cette fois n’allait pas être interrompus.

La fin était plus qu’en beauté. Elle n’avait tout simplement pas de mot. Le contentement était tel que je m’avouais sans mal qu’il y avait certainement de cela bien longtemps que je n’avais pas autant prit mon pied avec un petit humain. Je n’avais pu m’empêcher de sourire, de passer mes doigts dans les cheveux de sa nuque. C’était dingue n’est-ce pas ? Comment on avait pu terminer ainsi. C’était à rien y comprendre. Mais je n’avais rien contre, moi. « That was amazing … Honey » On venait après tout, de rendre notre couverture encore plus coulée dans le béton. « I’m glad I married you. » Je faisais un peu mon petit con et je l’assume. Mais ça va j’allais pas plus loin pour ce soir pour ne pas raviver sa haine. Surtout dans son état alcoolisé qui devait certainement me dire qu’il ne pourrait en prendre davantage. Et que le sommeil était ce dont il devait rêver. Je ne pouvais m’empêcher de me questionner sur le lendemain. À voir.


El Profesor
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Sam 25 Mai - 4:10

Marcus Pierce
Je suis immortel et je vis à San Francisco, USA. Dans la vie, je suis lieutenant de police et je m'en sors très bien, quoi que je ne sois pas apprécié de tous. Sinon, dû à cette malédiction d'immortalité qui pèse sur mes épaules, j'évite les sentiments et les relations et je le vis plutôt mal.

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Tom Welling
J'étais complètement vidé. L'alcool aidait à me mettre dans un cet état, le grand contentement et la libération des pulsions et des hormones aussi. Je ne pouvais nier que le moment avait été fort agréable, sans doute l'une de mes meilleures aventures depuis fort longtemps. Lucifer savait exactement comment s'y prendre avec moi, c'en était presque effrayant. Il avait cette façon d'activer la haine et de garder les choses brûlantes, agressives, tout en sachant exactement comment me pousser plus loin, en ne franchissant pas la ligne, mais en sachant flirter avec. Il avait osé me confronter, me mettre au défi, se jouer un peu de moi, et j'avais pris mon pied dans le petit jeu, dans le fait de devoir me battre pour avoir tout ce que je voulais.

On aurait dit qu'il savait exactement quoi faire, alors que moi-même je ne m'y attendais pas, n'aurais pas su le dire. C'était parfait en tout points, le teasing et l'attente, la provocation, mais aussi la délivrance ... et alors qu'il employait de nouveau ce petit surnom pour s'adresser à moi, je ne fis que grogner un peu, sans plus, pas vraiment agacé au final, plantant un petit baiser sur sa tempe en réponse. Ma façon de lui renvoyer le honey. « You don't marry people for sex » mais c'était dit sur un ton un peu rieur, un peu fatigué, vaguement découragé de sa stupidité.

Je ne voulais pas bouger, mais dû bien me résoudre à le faire pour une petite étape de nettoyage. Quelque chose de bien rapide me permettant de retrouver un plus grand confort. Je n'avais cependant pas l'énergie de faire bien plus, et me glissai ainsi nu sous les draps, choisissant mon coté du lit et soulevant les draps en invitation à Lucifer. J'étais épuisé et ne perdit pas de temps avant de laisser le sommeil me gagner, et si mon corps chercha un peu le sien pendant la nuit, ce n'était pas conscient, je le jure.

Debout le lendemain avec toute mon énergie récupérée, et davantage prêt à affronter une nouvelle journée dans la peau de notre personnage, je décidai de préparer un petit-déjeuner pour nous deux, ainsi il ne pourrait pas dire que je ne m'impliquais pas dans mon rôle. Même si j'avais fait des toasts et du café, quoi. Jsuis pas fancy dans la vie, vous vous attendiez à quoi, une omelette ? « Honey, wake up its time » en élevant un peu la voix, l'appelant depuis la cuisine. L'immortalité venait tout de même avec ses joies, comme l'absence de hangover. Il se guérissait seul pendant mon sommeil, et ce n'était pas plus mal.

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