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LE TEMPS D'UN RP

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Berlin
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Lun 20 Mai - 20:10

Lucifer Morningstar
Je suis immortel et je vis désormais à San Francisco, USA. Dans la vie, je suis trafiquant majoritairement car je m'emmerde et c'est si plaisant de faire chier la police. Je suis ça et tant de choses à la fois. Mais nous n'avons pas toute la journée. On peut ajouter à la liste qu'il m'arrive aussi de mettre fin aux jours de certaines âmes.




Tom Ellis - aerie
Je le laissais parler sans le moindrement enregistrer quoi que cela soit. Comme si j’allais me laisser gronder et accepter cette condition. Il comptait me suivre au doigt et à l’œil, et oui, il eu en réponse un sourire bien amusé. Parce que je savais bien qu’ainsi, je mettais toutes les chances de mon côté de l’emmerder davantage. Même si j’allais en payer le prix. Un peu de manipulation de ma part, qui sait, mais au moins il était bien averti de mes intentions, et que mon ingéniosité allait être mise à exécution, certainement, pour pouvoir m’en sortir moi et mes hormones. J’avais réussi à lui échapper de nombreuses fois, je ne voyais pas en quoi ce serait différent cette fois.

Ah tiens donc. Une réaction hors de ses habitudes. Un petit flex, et non pas un énorme roulement de ses yeux. Rien dans ses petites habitudes, de quoi me faire démontrer un air comment dire, agréablement surpris. Sans ajouter de commentaire, parce que ce n’était pas nécessaire après tout. J’étais trop occupé avec ma curiosité, pour voir les belles bagues que nous aurions et surtout à l’enfiler. Un petit rire m’échappait à ses mots. « Did you just make a joke? » Et le voilà qui m’emparait de sa mâchoire comme une tante l’aurais fait. « I’m sooo proud of you honey. » Je me délectais de sa haine oui. Ce n’était que le début de notre aventure palpitante. J’adorais déjà alors que nous n’avions encore rien de fait. « Of course  darling. » Avec un magnifique sourire en prime. Je regardais l’adresse pour une nouvelle surprise bien agréable. Je connaissais bien le cartier, réputé pour être bien chic, condo inclus. Car je crois que même un aveugle aurait compris que j’avais des goûts de luxe. Pourquoi vivre dans un endroit merdique, alors qu’on avait les moyens d’avoir bien plus. « Perfect! » Car je devais approuver le choix bien entendu. J’avais le plus gros bout du bâton ici.

J’eu la gentillesse de lui ouvrir la porte, avant d’aller vers le point B. Avec cette petite hâte de découvrir l’intérieur du condo. Traduction : j’étais avec un flic, et je conduisais hors la loi. Je n’avais pas pris la peine de mettre ma ceinture, et j’avais le pied un brin lourd. Criminel jusqu’au bout des doigts. Mes doigts qui une fois arrivé, s’étaient emparés joyeusement des siens. « Let’s see our love nest honey. » J’avais rapidement compris que le jeu commençais déjà et que je comptais bien le jouer sans plus tarder. Je le ferais sans la moindre difficulté. Car tout était source d’amusement chez moi. Et lorsqu’on maîtrisait aussi bien la manipulation que moi, ce n’était pas bien différent que ce soit dans mon réel ou dans un rôle quelconque. Je m’étais empressé de partir à la découverte de l’endroit, en laissant sécher mon mari à l’entrée. Not bad. Not bad at all. Il y avait bien assez d’espace pour nous, voir même trois. Je dis ça, en sachant bien que je ne pourrais pas ramener qui que ce soit ici. « I hope you’re ready for tonight. I know were we should start. » Il allait adorer ça. Un bar gay. Je crois qu’il pouvait le deviner avec mon sourire aux touches diaboliques qui le laissait présager.
El Profesor
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El Profesor
Lun 20 Mai - 21:36

Marcus Pierce
Je suis immortel et je vis à San Francisco, USA. Dans la vie, je suis lieutenant de police et je m'en sors très bien, quoi que je ne sois pas apprécié de tous. Sinon, dû à cette malédiction d'immortalité qui pèse sur mes épaules, j'évite les sentiments et les relations et je le vis plutôt mal.

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Tom Welling
J'avais rapidement remarqué son regard suite à ma démonstration de force, je savais que mes bras étaient souvent source de remarques positives et j'avais voulu en faire un tout petit peu plus, simplement pour me vanter, pour me régaler de cet air joliment surpris sur les traits de l'autre. Peut-être bien qu'il s'agissait d'un bref sourire en coin sur mon visage à la vue de son expression, qui disparu cependant bien vite lorsque sa main s'empara de ma mâchoire. Rapidement, ma main s'empara de son poignet pour le reculer de là, mon regard bien dur rivé dans le sien. « Don't touch me » ce qui, je le réalisais après coup, augurait bien mal pour notre couverture. Il faudrait inévitablement qu'il me touche, d'une façon ou d'une autre. « Like that » ajoutais-je rapidement, en petite correction. Don't grab my face like Im a dumb kid.

Il était déjà si impliqué dans son rôle et j'étais pour ma part si découragé et si peu prêt à la chose. Je l'avais suivi parce que je n'avais pas trop le choix, cherchant à puiser dans ma détermination pour m'investir suffisamment dans le rôle et ne rien ruiner ... le plus vite on faisait bonne impression et tissait des liens, le plus vite on récoltait l'information nécessaire, que la cible se retrouvait en prison et que ce petit jeu pouvait cesser. C'était tout ce sur quoi je me concentrais alors que je montais dans sa voiture, remarquant à peine qu'il m'avait ouvert la porte et me couvrait déjà de petits surnoms. J'étais dans ma bulle, carrément. Je n'avais pas mis ma ceinture non plus, mais ça c'est parce que je suis un lieutenant de police et je suis badass, I dont need that shit. Il pouvait bien conduire comme il voulait, si je commençais à faire des commentaires, je resterais trop dans mon rôle de policier et ce ne pouvait pas être bon pour le rôle de Mark le gars gay ... alors il fallait rompre avec ces habitudes pour l'instant.

Il me prenait la main. Okay fine. Okay. Je pouvais dealer avec ça. Je n'avais pas à serrer vraiment en retour, juste le tenir légèrement pour faire semblant de réciproquer le geste. Je l'avais suivi en traînant un peu derrière, et il ne pouvait ainsi pas voir ma tête de cul à ses mots. Lui s'amusait, pour ma part je m'exaspérais en silence derrière. Au moins il aimait bien le condo, et je constatai avec soulagement que c'était bien assez grand pour que l'on ne soit pas constamment dans les pattes l'un de l'autre. « What do you mean, what's going on tonight ? You well know Im not ready for that crap »

Un bar gay. J'étais mort. J'allais surement devoir danser et coller Lucifer et peut-être même le frencher qui sait, bordel de merde de cul d'enfoiré de Dieu. Clairement mon visage laissait entendre que l'idée ne me plaisait guère, mais au final, quoi de mieux pour faire sortir notre cible de l'ombre ? Parce qu'il devait forcément fréquenter ce genre d'endroit, je n'étais pas dupe ni idiot. « Im so not ready ... » mais je n'avais pas le choix. J'avais décidé de rester vêtu ainsi, parce que je ne voyais pas l'intérêt de me changer, figurez-vous. Même si Lucifer allait probablement passer des heures à la salle de bain pour se faire une beauté, le connaissant. Pas mon genre. Je m'étais même contenté de commander une pizza pour combler un petit creux avant la fameuse soirée, me disant que je serais peut-être de meilleure humeur et plus disposé le ventre plein. Meh, pas vraiment. Une fois l'heure arrivée, j'avais encore mon air de cul.

Berlin
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Lun 20 Mai - 22:40

Lucifer Morningstar
Je suis immortel et je vis désormais à San Francisco, USA. Dans la vie, je suis trafiquant majoritairement car je m'emmerde et c'est si plaisant de faire chier la police. Je suis ça et tant de choses à la fois. Mais nous n'avons pas toute la journée. On peut ajouter à la liste qu'il m'arrive aussi de mettre fin aux jours de certaines âmes.




Tom Ellis - aerie
J’allais lui laisser une chance, parce que c’était notre premier jour et que je savais à quel point cette idée le faisait souffrir. De la pure torture pour lui. I love it. Il n’était certainement pas prêt pour dealer avec moi et personne ne l’était réellement à dire vrai. Deux parfais contraires. Et je préférais certainement être moi, à trouver un amusement dans presque tout, que lui.

Bien entendu qu’il n’était pas prêt. Et dire qu’on s’inquiétait que MOI je fasse tout foirer. Alors que ça serait le parfait contraire, je le savais bien. J’allais même devoir sauver la situation à plusieurs reprises qui sait. Et expliquer que mon mari était né sans émotion. Que son cerveau manquait cette petite partie mais que je l’aimais bien malgré tout. Ou qui sait quelle autre connerie qui pourrait bien sortir de ma bouche selon la situation. J’avais rigolé, au moins, à sa réponse, dans tout mon amusement avant d’au moins le laisser tranquille pour la suite. Parce que je devais bien m’installer et réaliser à quel point ils n’y allaient pas de main morte, la police, en voyant notre penderie et certaines choses qui faisait tout à fait couple gay. On avait encore des trucs à discuter, et des arrangements à faire puisque nous allions vivre à deux. Demain peut-être. « You have the time to get mentally ready. » On avait quelques heures devant nous après tout. Lui plus que moi. Je devinais assez vite qui allait mener dans le couple, alias faire le fameux rôle de la femme. Il n’était certainement pas prêt pour ça.

On lui laisse la surprise. J’avais pour ma part pris la peine de piquer une pointe, alors que je travaillais moi, dans notre affaire. Fouillant, pour tenter de prévoir dans lequel nous devrions aller. C’est qu’il y en avait plus qu’un voyez-vous. Mais j’avais ma petite idée. Le bar qui avait une petite couverture, qui était un appât à petits criminels, parmi les civils, mine de rien. Je n’avais pas vu le temps passer lorsque j’étais sortit de ma concentration, prenant en hottage la salle de bain. Pour en ressortir encore une fois en mode Imma get all the houmans bodies. Une chemise bien colorée, encore mais cette fois avec un petit nœud papillon, des petites bretelles et des lunettes pour le style. Gay nerd. Je me forçais pour sortir de mes habitudes oui. Mais j’étais adorable là-dedans ok. Et me voilà tout prêt, invitant monsieur à se lever en lui indiquant que je savais exactement où aller. « I damn know he’s gonna be there. I hope you’re ready to work. » Je comptais bien voir comment il allait se débrouiller en infiltration. Moi je savais que j’étais excellent mais lui? À voir.

Ce n’était pas terriblement loin, on restait dans des cartiers fréquentables, sans pour autant que ça ne pue le ghetto. Trop facile, trop cliché. Et hop le retour de mon sourire si heureux et de ma main qui s’emparait de la sienne pour une toute petite marche en direction du bar. « Try not to drink too much tonight honey. » Pour garder ses facultés quoi. Ah que je devais l’emmerder royalement en le prenant pour un flic idiot et presque l’infantiliser comme on dit.

El Profesor
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Lun 20 Mai - 23:01

Marcus Pierce
Je suis immortel et je vis à San Francisco, USA. Dans la vie, je suis lieutenant de police et je m'en sors très bien, quoi que je ne sois pas apprécié de tous. Sinon, dû à cette malédiction d'immortalité qui pèse sur mes épaules, j'évite les sentiments et les relations et je le vis plutôt mal.

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Tom Welling
Heureusement, j'avais eu un peu de temps pour respirer avant que l'on ait à se lancer dans l'action. Je n'avais pas à me plaindre sur un point, Lucifer prenait les choses en main et usait de ses connaissances et peut-être même de ses contacts pour déterminer le meilleur endroit où trouver notre cible. À ce sujet, il en savait plus que nous, je devais le reconnaître, et qu'il prenne ainsi les devants était au moins satisfaisant à voir aller. Il y mettait quand même un minimum de sérieux, quoi. Je lui avais laissé une pointe de pizza, mais dévoré le reste avec appétit. Ça aiderait aussi à mieux digérer l'alcool ingéré plus tard, même si de base je n'étais pas un poids léger et tenait bien ma boisson.

L'homme vint me trouver lorsqu'il fut temps de partir, bel et bien changé et arrangé comme je l'avais prédit. Il faut dire que les petites lunettes et les bretelles étaient une belle touche, moi-même savais le reconnaître -peu difficile, je me disais que je ne porterais jamais ça et ça devenait automatiquement correct dans la situation actuelle. Ça lui faisait bien quand même, il avait l'allure à porter ça au final. Petit nerd. Il avait l'air beaucoup plus sympathique et attachant ainsi, pas que je ne le mentionne ... peut-être bien qu'il me serait plus facile à supporter en tant que petit nerd homosexuel, qui sait. Tant qu'il n'ouvrait pas la bouche, sa face me donnait moins envie de fesser dedans.

« Im ready. Lead the way ... hun » Pas tout à fait convaincu, mais mieux que rien, il fallait que je commence à m'exercer un peu. Ce n'est que des mots, ce n'est que des mots, oublie ce que ça veut dire ... Ce n'était pas si loin au final, et rapidement nous voilà sur le point d'arriver, main dans la main comme un beau petit couple heureux. Si l'on ne comptait pas mon visage absolument blasé d'être là. Il ne valait pas la peine que je réponde à son commentaire, qui me prenait encore une fois pour un idiot, je me contentai encore une fois d'un « Hum hum » qui voulait tout dire. J'étais capable de me gérer. Bien que mes actions ne le démontraient pas forcément alors que je traversais l'endroit en traînant Lucifer par la main, tout droit en direction du bar. Du whisky commandé, et sitôt avalé sans plus ni moins. J'avais besoin d'un drink pour commencer, au moins un petit fond pour être réchauffé et aider à me détendre. Je me connaissais bien. Not drunk enough for this shit. Ce n'est pas pour autant que je ne prenais pas mon rôle au sérieux, faisant un petit signe au barman et indiquant Lucifer d'un petit geste de la main. « And a Pina Colada for my boyfriend here, that'd be nice, thank you » Quoi, les gay ils aiment les trucs fruités non ?

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Lun 20 Mai - 23:48

Lucifer Morningstar
Je suis immortel et je vis désormais à San Francisco, USA. Dans la vie, je suis trafiquant majoritairement car je m'emmerde et c'est si plaisant de faire chier la police. Je suis ça et tant de choses à la fois. Mais nous n'avons pas toute la journée. On peut ajouter à la liste qu'il m'arrive aussi de mettre fin aux jours de certaines âmes.




Tom Ellis - aerie
Bon promis j’allais le laisser un peu respirer. Je ne voulais pas tout faire foirer non plus. Je voulais le faire chier, ce petit con qui avait ruiné un de mes plans. La preuve était que je faisais des efforts, en plus de trouver l’endroit où jouer nos rôles. Je le laisser me mener vers l’endroit de son choix, soi le bar pour se commander un verre d’eau. Non mais à la vitesse qu’il venait de le boire, y’avais pas de différence. Je savais déjà qu’il était en train de se dire : not drunk enough for this shit. Et décidément il faisait déjà des erreurs. J’avais un air bien vexé, déjà prêt avec une petite scène.  « Husband. Not boyfriend. Plus you forgot I’m allergic to ananas. U_u » Et hop me voilà qui corrigeait la commande pour un truc bien fort moi aussi avec ce regard de : Don’t you dare do that again. Nous n’étions pas obligés d’aller dans les stéréotypes après tout. « You’re lucky he didn’t have the time to do it. Or I would make you drink it. » Une petite menace peut-être, que moi aussi je pouvais le forcer à boire un truc qu’il devait tout autant apprécier que moi.

Mais voilà le retour rapide de mon petit air adorable à remercier le barman et prendre le bras de monsieur en hottage pour déposer ma tête contre son épaule. Bonjour la petite conversation avec le barman curieux. Qui devait avoir remarqué qu’on était nouveau dans le coin. La curiosité humaine. Je m’étais occupé avec brio de la conversation, et pokant doucement le nez de monsieur husband ici présent. « He’s not really the talking type :3 » Je ne comptais pas le sortir complètement de qui il était non plus. Ça serait peut-être un peu trop difficile aussi. D’avoir des émotions quoi.

Au bout du compte on avait de retour un petit moment à nous, et j’en avais profité pour mettre mes doigts sur le coin de ses bouches. « Smile a little. Nobody died… At least for now. » On ne sait jamais, après tout. J’avais commencé à observer l’endroit pour enfin remarquer que notre cible était déjà présente. Chose que je murmurais doucement à son oreille. « He’s here. » Et malheureusement pour lui sur la piste de dance. « I can go alone :3 I know you don’t like to dance that much :3 » Abus d’air cutes je sais.
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Mar 21 Mai - 0:21

Marcus Pierce
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Tom Welling
Moi qui croyait bien faire, je venais tout de suite de le vexer directement en partant. Parce qu'apparemment, il serait bien difficile et me rendrait la vie dure, même quand je faisais des efforts pour bien jouer mon rôle. Salope. À croire qu'il faisait exprès de me contredire à la moindre occasion. Je forçai un sourire, posant ma main sur son avant-bras en cherchant à la jouer gentil mari. « Sorry honey, I didnt know we were doing big titles and all ... and I swear its not a pineapple allergy, its probably something else, we should see the doctor about that, I told you » Parce que je me doutais bien qu'un mari devait connaître ce genre de choses à propos de son petit ami, les allergies c'est important après tout. Alors sauvons le truc, faisons comme si je savais mais n'était pas convaincu, un truc du genre.

J'avais au moins compris, pas de petit drink coloré et fruité pour monsieur ici. J'avais haussé les épaules à son regard, l'air de dire que ce n'était pas de ma faute, le laissant s'emparer de mon bras pour mieux déposer sa tête sur mon épaule comme un beau petit couple adorable. Je le laissai faire, conscient que c'était pour le jeu et que nous avions le regard du barman sur nous. Celui-ci faisait maintenant la conversation avec mon ... mari, et je me contentais de regarder Lucifer en silence alors qu'il s'occupait de tout, ma main libre doucement posée sur son genou sans que je ne le réalise vraiment. À quoi bon résister, huh. J'avais même une petite excuse, ma personnalité du type pas très jasant, et puis ça m'allait bien, ça évitait que je doive trop intervenir. Tout semblait aller comme sur des roulettes.

Jusqu'à ce que le barman soit occupé ailleurs, nous laissant seuls entre nous deux. L'homme s'était vite dépêché de me créer ce faux sourire forcé en remontant un peu les coins de ma bouche avec ses doigts, me faisant rouler les yeux et reculer un peu pour échapper à son emprise. « Fine ... » et un petit sourire un brin forcé s'installa sur mes lèvres, restant jusqu'à ce que Lucifer se penche pour m'informer discrètement de la présence de notre cible. Mon air retrouva alors son sérieux, m'apprêtant à lui demander comment nous allions procéder, mais l'homme fut plus rapide que moi et me fourni toutes les informations nécessaires. Bien entendu que je n'aimais pas danser, on le comprenait immédiatement à voir quel genre de personnage j'étais. Mais l'idée de le laisser aller complètement seul ne m'enchantait guère, des plans pour qu'il fasse tout foirer. Je m'emparai alors de sa main en me levant, forçant un nouveau mince sourire. « Not so fast, honey. I came here, might as well dance a little »

Je l'accompagnai donc sur la piste de danse, m'assurant d'aller aussi près que possible de notre cible, avant de l'attirer doucement à moi et placer mes mains sur ses hanches. Si on sentait que je n'étais pas vraiment dans mon élément, je faisais du moins tout pour atténuer cette impression. À commencer par instaurer une certaine proximité, puis lui laisser le contrôle du rythme, lui permettre de prendre les devants en m'assurant de le suivre du mieux que je pouvais.

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Mar 21 Mai - 2:16

Lucifer Morningstar
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Tom Ellis - aerie
Bon il s’était bien rattrapé. J’allais au moins lui accorder ça. Tout comme un petit break pour ne pas débuter directement avec une belle dispute. C’était relativement difficile de garder une belle couverture si nous partions du mauvais pied ainsi. Ce pourquoi je n’avais rien ajouté de plus, tout comme il faisait des petits efforts pour sourire. Jusqu’à temps que nous trouvions enfin la cible. J’étais prêt à tout faire moi-même, guidé par mes envies, en oubliant que nous étions deux dans cette histoire. Je n’avais pas l’habitude de travailler en équipe, ce qui serait un nouveau défi pour moi aussi. Évidemment il ne me faisait pas confiance pour y aller seul, mais je n’avais rien contre. On verra comment il se débrouille sur la piste de danse. Avec moi.

Avec moi et mon manque de gêne. Avec mon air de petit nerd qui cachait bien des choses derrières. C’était tout calculé oui. Autrement je n’aurais pas pris la peine de me… déguiser quoi. Mais pour le moment je profitais bien entendu de la proximité avec monsieur. Je me faisais bien touchy, plus que nécessaire certainement mais… Autant en profiter pour compenser nos jours de solitude. Ah et je me frottais aussi, bien entendu. Un vrai petit dévergondé qui brisait les mythes d’une telle apparence. Et qui venait peut-être d’attirer la curiosité d’un individu en particulier. Il ne fallait pas s’empresser. Je profitais encore un peu de mon cher époux, faisant frôler juste un tout petit peu nos lèvres sans jamais oser le plein contacte, avant de me retourner pour avoir mon dos contre son torse… Et bingo, la cible right in front of me avec son petit sourire de curiosité. Un autre qui connaissait ses habitués, qui faisait ses petites introductions mine de rien. La classique quoi, je les connaissais bien. Une forme de picky up line mais qui n’en n’était pas vraiment une puisque j’étais décidément déjà bien occupé. Il me demandait si c’était notre première fois ici, d’où on venait, et tout le reste. Auquel je répondis sans mal que nous étions nouvellement mariés et avions déménagé pas trop loin d’ici. Sous le charme, already. À demander aussi comment on s’était connu. Et je n’avais rien oublié. L’histoire de ce propriétaire d’une boîte de strip tease ailleurs qu’ici (trop facile de vérifier autrement), qui était tombé sous le charme d’un client. Pauvre Pierce. Au moins j’avais les choses bien en main. Sauf que là, on gueulait plus qu’autre chose, et au final il nous avait offert un verre et d’aller s’installer non loin pour discuter. « Of course! » Tout content. Le petit nerd. Qui venait de faire un clin d’œil à son mari. Les choses avançaient drôlement bien. Bien entendu, puisque j’avais tout calculé et que j’étais de la partie. Ce type ne pouvais pas faire autrement que d’être tout impressionné et adorer voir un petit nerd dévergondé, et qui en plus était propriétaire d’une foutue boîte de strip tease. En espérant que le reste de la conversation se passe magnifiquement bien.


El Profesor
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Mar 21 Mai - 3:14

Marcus Pierce
Je suis immortel et je vis à San Francisco, USA. Dans la vie, je suis lieutenant de police et je m'en sors très bien, quoi que je ne sois pas apprécié de tous. Sinon, dû à cette malédiction d'immortalité qui pèse sur mes épaules, j'évite les sentiments et les relations et je le vis plutôt mal.

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Tom Welling
Les petites lunettes n'étaient décidément qu'un déguisement. Il n'avait absolument rien de l'attitude du nerd qu'il prétendait être, vous pouvez me croire. Il ne se gênait aucunement pour se frotter contre moi, créant des contacts entre nos corps et se permettant de toucher sans se retenir. J'essayais péniblement de suivre son rythme, le coeur débattant dans ma poitrine, la tension se faisant sentir dans tout mon corps. Je ne savais pas du tout ce que je faisais et je n'étais pas sûr d'être confortable dans la situation. Ce n'était pas moi du tout et, peu importe à quel point je faisais des efforts, je devais avoir l'air d'un parfait idiot. Heureusement que je n'avais pas besoin de bouger trop, suivant seulement partiellement son rythme mais m'accrochant à ses hanches pour démontrer une proximité. Nos lèvres se frôlaient, mon souffle rauque se mélangeant au sien, et la chaleur montait d'un cran alors que je raffermissais ma prise, que je grognais un peu contre sa mâchoire, y laissant une petite morsure taquine. Je pouvais au moins jouer ce petit jeu à deux, à défaut de savoir réellement danser.

Il se tourna pour m'offrir son dos, mes mains glissant de ses hanches à ses cuisses pour le garder contre moi, peut-être un peu plus près que nécessaire, toute cette tension, cette chaleur, cette dévotion de ce petit démon contre moi commençant à se faire sentir. Cela faisait bien des années que je n'avais rien fait de tel, mis de côté des désirs qui n'avaient plus rien d'intéressant, qui avaient perdu leur saveur au fil des années. Lorsque l'on vit éternellement, même le sexe perd son intérêt. Mais cet homme, dans ses déhanchements et ses frottements, commençait à réveiller en moi des pulsions depuis longtemps éteintes, qui engendraient de la frustration, un début de colère à les sentir monter. Mes mains se faisaient plus dures contre lui, mais pouvant être méprises pour de la possession, alors que notre cible nous faisait face.

Lucifer discutait avec lui, j'avais pour ma part enfoui mon visage dans son cou pour ne pas avoir à faire la conversation, pour éviter de regarder l'homme et me trahir. Parce que j'aurais voulu boire à en perdre les sens, m'oublier dans la noirceur le temps de calmer le jeu, de retrouver mes esprits. J'aurais voulu serrer mes mains autour du cou de cet abruti de Lucifer pour son jeu de charme plus qu'excellent. Il racontait l'histoire de notre amour et je mordais son cou délicatement, refermant mes dents sur la peau, ne cherchant pas à blesser bien que l'envie aurait été présente. J'aurais pu lui faire mal. Il me donnait envie, de lui faire mal. Mais je me retenais, passif-agressif dans mon traitement de son cou, de sa gorge. Je ne me reconnaissais plus. Cela ne faisait qu'une journée ...

Notre cible m'avait délivré, qui l'aurait cru. Nous avait invités à aller s'asseoir dans un coin pour poursuivre la conversation, ce qui nous força à nous détacher l'un de l'autre, me permettant de respirer. Le clin d'oeil n'aidait en rien, et s'il avait porté un minimum attention, il aurait sans doute remarqué la détresse subtile sur mon visage. Il me fallait un autre drink. « I'll join you in a minute, I need a drink ... » Mon souffle un peu court, peut-être. Des rougeurs discrètes contre mes joues, aisément interprétées comme des reflets de lumière, nous étions après tout dans un bar ... « Want anything, darling ? »

Une fois au bar, je ne m'étais pas fait prier pour un bon verre de fort, qui était disparu sitôt qu'il s'était retrouvé entre mes mains. Le liquide me brûlait la gorge en procurant la plus délicieuse des chaleurs qui venait me lécher de l'intérieur, sensation familière et un peu réconfortante, c'est vrai. Il fallait me contrôler. Ne pas faire d'erreurs, ne pas faire d'abus. Deux verres de whisky avalés si rapidement, j'étais bon pour la soirée ... Alors à défaut de savoir quoi prendre de plutôt soft, j'y étais allé du fameux Pina Colada. Parce que ça avait l'air suffisamment dégueu pour m'occuper l'esprit et me décourager de boire davantage. Un verre de fort pour mon ... amour, et j'étais enfin retourné auprès d'eux, prenant place assis aux côtés de Lucifer. Assez près pour jouer le jeu, assez éloigné pour un peu d'air, pour garder ma sanité d'esprit. Je laissais l'homme faire toute la conversation, me contentant de brefs apports ou anecdotes pour ne pas avoir l'air complètement désintéressé. Je posais des questions à l'occasion, feignant la curiosité naïve, cherchant au final à en apprendre plus.

Le Pina Colada était bon, bordel de cul. Je buvais encore. Un drink de gay cette fois. Lucifer ne me le laisserait jamais oublier.

Ma main était retournée d'elle-même sur le genou de Lucifer. Faut croire que je marquais un territoire qui n'était même pas mien, semblant trouver que notre homme portait beaucoup trop d'attention à mon faux mari. Un peu ça va, mais le manger des yeux comme ça avec sa petite fascination face au nerd dévergondé qu'il était, ça va faire. Mine, pétasse.
L'homme, ça le faisait bien rire. Il trouvait ça charmant. Il disait qu'il comprenait la possessivité, qu'être nouvellement mariés, ça pouvait vous faire ça. Il trouvait ça mignon, le connard. On avait rien de mignon. On se détestait. J'étais convaincu que mon visage exprimait clairement que j'avais cette soirée profondément dans le cul, mais apparemment pas.

Je vidai le reste de mon verre d'un coup, poussant un profond soupir et enfouissant mon visage contre l'épaule de Lucifer en feignant la fatigue. Je voulais partir. J'avais chaud, faut dire aussi que je portais encore mon sweater par-dessus ma chemise, bel idiot. On avait communiqué, il avait fait bonne première impression, j'avais fait .... une impression quelconque. Ça suffisait pour ce soir. La tête me tournait un peu et je regrettais ma vie. « Can we go home ... ? » tout bas, murmuré contre sa peau.

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Mar 21 Mai - 4:03

Lucifer Morningstar
Je suis immortel et je vis désormais à San Francisco, USA. Dans la vie, je suis trafiquant majoritairement car je m'emmerde et c'est si plaisant de faire chier la police. Je suis ça et tant de choses à la fois. Mais nous n'avons pas toute la journée. On peut ajouter à la liste qu'il m'arrive aussi de mettre fin aux jours de certaines âmes.




Tom Ellis - aerie
Pierce était décidément bourré de surprise. Il cachait bien son jeu peut-être bien, derrière tant de froideur. Il ne se contentait pas du minimum, mais osait peut-être bien aller un peu plus loin que nécessaire. Moi c’était bien évident que j’allais trop loin, je faisais exprès de me donner bien à fond dans mon rôle oui. Était-ce une emprise possessive? Certainement. De quoi me faire sourire oui. Ça et absolument tout le reste. Sa tête qui trouvait sa place dans mon cou pour me laisser faire les premières discussions. Et si j’avais des petites surprises sur mon visage c’était bel et bien de SA faute. Lui. On aurait presque dit moi qui s’emmerdait, qui jouait. Il me mordillait moi. Je croyais rêver. Évidemment je ne voyais rien de mal là-dedans, alors qu’en vrai il ne rêvait que de mettre fin à mes jours. J’étais mieux ainsi, dans toute mon inconscience.

Ce qui voulait dire que je ne voyais absolument rien non. Je voyais ce que je voulais voir, comme toujours, bien entendu. Il me délaissa quelques minutes avec la fameuse cible, avec qui je discutais avec un tout petit jeu de charme oui. Alors qu’en vrai moi aussi j’avais envie de me venger et non pas de me laisser faire comme je le faisais présentement. Tout en restant sage, promis, pour ne rien ruiner de ma couverture. Je restais dans le jeu, sans plus ni moins. Jusqu’à temps que je ne vois un verre déposé devant moi, et un beaucoup plus élaboré devant mon charmant époux. Calme ta joie stp Marcus. « Oh fancy drink? Thank you honey » Il me tendait une perche, comment la refuser. Il avait même eu droit à un bref bisous pour son service. Faut dire que j’avais du mal à le comprendre complètement en ce moment, mais j’avais mieux à faire que de me préoccuper de son existence, à fond dans la mission oui et dans mon rôle aussi à venir l’emmerder de temps en temps en collant ma tête contre son épaule lorsque je discutais de trucs plus romantiques, avant de retrouver ma place sagement, lorsque nous parlions de d’autres sujets. Au moins il participait et je dois dire que la fameuse mission allait magnifiquement bien en ce moment.

Contrairement à Pierce. Je pense qu’il avait un peu abusé. Son air grognait presque, et l’autre l’avait bien remarqué. Il faisait son possessif. Rôle ou pas? Je ne sais pas. Il était peut-être en train de me céder. Ou alors l’alcool aidait son fort intérieur à complètement ressortir. I knew it. Encore de quoi me faire rigoler. Je le sentais peut-être dériver tranquillement, et j’avais cette toute petite crainte qu’il ne fasse foirer le reste. Heureusement que je lui avais dit de ne pas abuser. Je dis ça je dis rien. Crétin. Bon ça va je lui pardonne parce que pour une fois il était pas chiant mais étrangement adorable. Bon ça va il était un pauvre petit newbie dans le domaine et il avait travaillé fort et de son mieux pour ce soir. Il était temps de partir, en sachant très bien qu’on allait revoir notre cible éventuellement si nous revenions ici. « Yes babe we’re going home :3 » Je crois qu’il était littéralement en train de craquer pour nous, le type, ne se gênant pas pour nous le faire savoir. Il m’avait même donné son numéro en prétextant que ça pourrait être amusant de se revoir éventuellement. « Of course! That would be so nice! » Plein d’enthousiasme. Hum. Fake one of course. Que j’étais bon. Je méritais des oscars. Il avait eu droit à son petit clin d’œil et une excellente soirée, avant que je ne quitte en compagnie de monsieur. Pour le moment je devais jouer un peu la maman, en prenant soin de monsieur qui devait comprendre que de caller ses verres assis était une terrible idée. Mais bon ça va, les humains étaient si faibles et si peu endurant. Je n’avais rien dit, je m’étais plutôt occupé de l’installer et de le conduire sagement vers notre chez nous. Je prenais un peu le rôle de la béquille aussi en le sortant de là aussi. « We should’ve practice before. Or you should’ve gave me a gay cop instead of you. You’re not really good at this BUT. It wasn’t that bad. » Effet sandwich. Je le connaissais bien parmi ma liste des petites manipulations légères, alors que je le laissais retomber contrer le lit. Sans mal. J’avais l’air de rien avec ma shape, je le sais bien.

Je le délaissais la pauvre âme à ses occupations d'étourdissement. Pas très loin du moins. Je restais dans la même pièce, me débarrassant de mes fausses lunettes, de mes bretelles, puis tranquillement de ma chemise, le tout, dos à l'homme. Je n'étais pas pressé de toute manière, et j'avais toujours de faire les choses si ordinaires, avec une certaine grâce et sensualité oui. C'était tout naturel chez moi vous savez.

El Profesor
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El Profesor
Mar 21 Mai - 4:37

Marcus Pierce
Je suis immortel et je vis à San Francisco, USA. Dans la vie, je suis lieutenant de police et je m'en sors très bien, quoi que je ne sois pas apprécié de tous. Sinon, dû à cette malédiction d'immortalité qui pèse sur mes épaules, j'évite les sentiments et les relations et je le vis plutôt mal.

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Tom Welling
J'obtenais ce que je voulais, une confirmation que nous allions rentrer au condo. C'était vraiment tout ce que je demandais à cet instant. Je n'en pouvais plus de cette musique assourdissante, de ces lumières qui flashaient, de tous ces corps en mouvement qui n'éprouvaient aucune gêne. Je voulais simplement dormir, ou cogner dans un punchingbag, ou les deux. Peut-être vomir, à voir tous les clins d'oeil coquins qui s'échangeaient entre Lucifer et notre cible, qui semblait si charmé de notre faux couple misérable que je faisais foirer. Comment est-ce qu'on pouvait seulement croire que quelqu'un voudrait m'épouser ? J'étais pas con, et pleinement conscient que j'étais pourri à prétendre être gay. Faut croire que les gens étaient aveugles ou alors trouvaient attachant qu'un être si enthousiaste se soit épris d'un gros tas bourru comme moi. I dunno man. I dunno. Fuck we gotta stand up ...

Il m'aidait un peu à marcher en me servant d'appui, mais ça n'allait pas trop mal. Je survivais. J'avais certes un peu abusé, mais je tenais encore debout, bien que je ne refuse pas l'aide qu'il m'apportait. J'aurais été con de le faire, même si l'envie était là. Des plans pour que je trébuche et m'étale au sol comme un con, je ne voulais pas courir le risque. Même si je n'étais pas saoul ... enfin, pas tant que ça, pas concrètement. Le Pina Colada était définitivement de trop, par contre. But hella worth it, pas que je ne l'avouerais à voix haute à quiconque. Heureusement, Lucifer conduisait, la petite balade en voiture fut un charme, avec l'air frais contre mon visage aidant un peu à mon état. Il m'aida aussi gentiment à sortir, comme la bonne petite femme qu'il prétendait être ... bien qu'il n'ait plus à prétendre alors que nous étions désormais seuls. Je ne suivais pas du tout cet homme. Pas étonnant que nous n'arrivions pas à l'attraper ... Nous ne le comprenions absolument pas. Il était un mystère à mes yeux, un mystère dont je connaissais certaines habitudes, certaines caractéristiques, mais qui représentait un tout indescriptible que je ne parvenais pas à m'expliquer.

« Right, I know Im not as good as you are, but at least I tried. It wouldnt be so hard if you didnt go all lovely seductive to other men who are ACTUALLY gay and make me look like the loser boyfriend who's homosexuality is debatable » Bon d'accord, ce n'était pas prévu, ça. Il me laissait tomber sur le lit, mais je me redressais, les sourcils froncés. Mon ton avait perdu de son impassibilité habituelle, un peu plus dur, un peu plus agacé. Je crois bien que je n'avais pas digéré les petits yeux doux que lui et la cible se faisaient, la façon si aisée qu'il avait de jouer le jeu alors que je peinais à suivre le rythme. Je passais pour un con et je ne savais pas ce que je faisais. Il était en contrôle et ça me faisait chier. Cet autre homme avait CLAIREMENT un oeil sur lui et ça me faisait chier.

.... Ça me faisait chier .... ?

Cette pensée me stoppa un brin dans ma lancée, me donnant un instant pour regarder en direction de Lucifer sans renchérir dans mes paroles. La vision de son dos qui se dénudait devant mes yeux coupa elle aussi court à tous les mots qui auraient pu m'échapper, mon souffle semblant se bloquer dans ma gorge. Elles étaient de retour, les sensations non pas nouvelles, mais oubliées, celles que je réprimais depuis si longtemps et qui se réveillaient au contact d'un homme insupportable, d'un ennemi en quelque sorte .... et la colère recommença à bouillir comme un volcan. Comment osait-il débarquer dans ma vie et venir tout foutre en l'air ? Les murs que j'avais désespérément érigés autour de moi, afin de me protéger, de ne rien laisser m'atteindre ... il les détruisait à grands coups de flirt et de séduction et de commentaires provocateurs, il faisait foirer mes défenses et je le ne l'en détestais que davantage.

Je m'avançai vers lui sans prévenir, sans un mot, le pas solide dans son dos jusqu'à ce que toute la force de mon corps lui fonçant dedans ne le fasse avancer contre le mur, lourdement pressé contre celui-ci. J'avais la carrure pour compenser, pour l'y maintenir pressé, mon corps étroitement contre le sien afin de ne lui laisser aucune porte de sortie. « What are you doing to me ? » entre mes dents serrées, parce qu'il devait y avoir une sorte d'explication, qui justifierait les sensations qui se multipliaient dans mon corps, la chaleur et la tension qui s'y propageait sans mon consentement, amenant le sang à se concentrer en un endroit qu'il avait déserté il y a bien longtemps de cela ... Ma main se logea dans ses cheveux, tirant un peu sa tête vers l'arrière, mes dents allant mordre délicieusement dans la ligne de sa superbe mâchoire. « If this is all part of your plan, I swear I'll kill you myself when this is over » la voix rauque, le souffle court.

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