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Tag i sur LE TEMPS D'UN RP 3hez5h Sujet: Les petits chats de PrinceGremlins~♡
PrinceGremlin

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Tag i sur LE TEMPS D'UN RP Ordi


Univers réel
les personnages récurents
 
The Social Butterfly
22 ans- Pansexuel- Trans Male- 1m65-69kg
Recherches : 1
Pour agrandir - 


En gros c’est qui?
Sam c’est le genre de gars qui n’a pas sa langue dans sa poche, mais si la majorité du temps, tu préférerais peut-être qu’il ferme sa gueule. Il n’a pas peur de foncer pour défendre ses valeurs, c’est une tête brûlée et ça la toujours été. Il finit toujours par sortir cette phrase que personne ne voulait savoir. Ce mec a vécu une mauvaise passe et il ne semble pas la caché vraiment dans le sens ou il dit toujours s’être comporté comme une vraie salope sans s’avancer plus. Il a l’air de bien s’assumer dans tous ses choix. Il est honnête, il ne ment à personne et surtout pas à lui-même. On peut lui reprocher qu’il ne semble pas se soucier de grand-chose. Sortir en boite le dimanche soir? Bah ouais, ça a tout à fais du sens !! Laissé traîner sa prothèse partout, bah non, y’as pas de problème. Il est un chouilla con., mais il fait ce qu’il peut. En termes d’occupation, il étudie au cégep pour devenir éducateur spécialisé, il travaille d’ailleurs dans une maison des jeunes pour payer ses études et survivre un peu.
 
Mais plus en profondeur
Sam est trans ftm et a terminé sa transition juste avant d’entrer à l’université, il en est maintenant à sa deuxième année et il a 22 ans. Il parle toujours à ses parents, en particulier à sa mère qui se trompe encore de pronom une fois de temps en temps. Ses relations avec son père ont toujours été plus ou moins froide. Il n’a que son meilleur ami en termes de connaissance avant sa transition. Celui-ci vous dira que Sam est un petit merdeux et Sam lui répondra merci mon amour. Il est très actif socialement, il aime s’impliquer et faire un peu de tout. Il donne l’impression que s’il cesse de bouger ou de parler, il explosera, littéralement. Il fait du bénévolat au moins une fois par mois, plus souvent lorsqu’il a le temps, il s’entraîne en plus des activités sportive qu’il organise régulièrement à la maison des jeunes ou il travaille. Oui, il profite un peu de son statut pour sauver du temps et rester en forme. Il aime son corps, il se trouve beau et tout le monde le sait. Faut dire qu’il envoie une image d’inconditionnel charmeur toujours trop sûr de lui, comme si les montagnes étaient de vulgaires pierres, va savoir en fait. Le mec a un petit cochon en peluche qui s’appelle Alie alors…
 
________________
«Juste comme ça, au passage, si un jours tu as 17 ans et la brillante idée de te faire tatouer sans l'autorisation de tes parents. C'est pas une bonne idée...»
   #I'mNotAPrincesseI'mAFuckingQueen
________________


Tranche de vie
- Allez je suis là qu’es qu’il t’as fait ce connard ???
- Euh… Sam?
- Quoi? Je suis pompé à block, la, je suis prêt!
- Est-ce que t’as oublié ton pantalon?
- Si….Et mon t-shirt aussi d’ailleurs, je me gèle le cul en fait.. On rentre?
.


les personnages récurents

Caleb Hartley
21 ans- Gay - Célibataire - Barman - Apprenti tatoueur
Recherches : 1 2
HISTOIRE

Le commencement  

De ma naissance à il y a quelques mois, je n'avais jamais été plus loin que le trou paumé qui me servait de ville. Pardon, village. Comprenant majoritairement des gens merdiques et des fermes contenants elles aussi de la merde. Je suis né un samedi à 3h10 du matin. Ouais, comment faire chier les gens, les réveiller un samedi matin vraiment très tôt, avec des contractions. À ce moment précis, j'ai littéralement réveillé tout le village pour les prévenir que j'existais et c'est drôle car, après, j'ai passé toute ma vie jusqu'à maintenant à montrer quel point j'existais jusqu'à en être, je l'avoue, un peu chiant, mais vous verrez par vous-même si vous avez la chance de me rencontrer.  

Je pense que j'ai eu une enfance normale. Mes deux parents se sont mariés avant ma naissance lorsqu'ils étaient tous deux aux études. Mon père était ce genre de type cool, sportif, et excellant en cours, un mec calme et sérieux. L'archétype de l'homme dont toutes les filles rêve et dont tous les hommes veulent ressembler. C'est ce qu'elle m'a dit. Y a pas à dire, selon ma mère, il était parfait et il l'est encore, mais ça reste discutable. Je ne peux pas dire que je déteste mon père, mais je ne peux pas dire non plus que je serais triste le jour de sa mort. Mon père est un homme droit, strict, sévère et qui sait exactement ce qu'il veut. Il savait exactement comment il voulait que son fils soit. Mon père a toujours voulu que je sois comme lui, mais en mieux, que je me tienne bien, que je sois parfait.... Et que je sois capable de ne pas parler de ma diarrhée à un repas de famille. SorryNotSorry. Ça aurait pu passer si ce n'étais pas seulement parce que j'avais dix ans, ça n'a pas été le cas. Mon père est quelqu'un de préoccupé dans la vie en général et moi, je suis de ce genre qui dérange, tout le temps. J'ai reçu quelques coups, seulement quand c'était nécessaire disait mon père, parce qu'un peu de discipline ne fera pas de mal à cet enfant. Je n'ai jamais su rester dans les cases et du plus loin que je me rappelle, j'ai toujours eu une grande gueule. Mon manque de tact est irrécupérable. J'ai reçu des claques, pas assez pour dire que j'étais un enfant battu, suffisamment pour dire que j'étais indiscipliné. Ça ne m'a pourtant jamais empêché de l'ouvrir. Ma mère voulait un autre enfant, mon père n'en a pas voulu d'autres, il a probablement eu peur que le deuxième soit identique au premier, infernal.  Vu ses exigences, c’était probablement mieux comme ça. Tout ce que je faisais n’était jamais suffisant. Je pouvais bien avoir des 80 partout dans mes bulletins, la conclusion restait la même. «Tu aurais pu faire mieux.» Ce jour-là, j’en avais tellement marre que j’ai pété les plombs. Je n’ai même pas pu le toucher et je me suis retrouvé avec un œil au beurre noir. Julie m’a appelé son petit panda pendant plus d’une semaine et ma mère n’a jamais su la vérité. Je m’étais blessé à vélo. C’est tout.

Si j'ai eu ce moment où j'étais en colère contre tout, j'ai fini par abandonner, laisser tomber l'idée que mon père serait un jour fier de moi, de qui j'étais et non de l'image idiote et inexistante qu'il attendait de moi. Je me suis résigné, l'homme qui était mon père ne changerait jamais et je ne pourrais jamais rien y faire. J'ai arrêté d'attendre vainement pour passer dans la résignation et l'ignorance.  

À part ça, nous étions confortables financièrement, mon père était avocat et ma mère avait été infirmière longtemps avant de devenir fleuriste quelques années plutôt.  Je n'ai donc jamais manqué de rien. La vie était assez tranquille malgré ma grande gueule. J'étais à l'époque, avant mes 14 ans, étonnement très sage. Mis à part le fais que je parlais beaucoup trop, je ne faisais d'emmerde à personne et je passais le plus clair de mon temps chez ma meilleure amie, Julie. Son vrai prénom est Juliette. On l'appelle Julie, parce qu'elle n'aimait pas l’original, elle disait que c'était un prénom de fillette. Elle disait aussi qu'elle se sentait un peu différente, je comprends pourquoi. Elle a changé depuis notre enfance, elle a laissé derrière cette petite fille parfaite qui voulait tant plaire à ses parents. Moi aussi d'ailleurs.  

Je ne sais pas comment elle a fait pour me supporter toutes ces années. Elle a toujours été là, dans mes bons coups et mes conneries. Surtout, dans mes conneries, soyons honnête. Cette fille est une perle. Combien de fois je suis devenu violent pour des cons qui l'avait blessé. Je prends tout avec humour normalement, sauf lorsqu'il s'agit d'elle. Et dire qu’à notre rencontre, c’est elle qui me protégeait, une petite blondinette de 4 ans prête à tout contre ceux qui m’embêtaient. Je voudrais tellement dire que je l'aime, que je voudrais être avec elle pour toujours, que je voudrais qu'elle soit ma femme, qu'elle porte mes enfants, mais... C'est une chose que je ne peux pas faire et qui n'arrivera jamais... Et je m'en veux souvent pour ça.  

Coming Out  

Elle voulait qu'on couche ensemble, juste comme ça, parce qu'on était tous les deux vierges. Ce n'était pas une chose à laquelle j'apportais beaucoup d'importance. Je n'assumais pas vraiment le fait d'être gay. Alors je disais seulement que ça ne m'intéressait pas et puis elle m'a proposé cette idée, pas si stupide que ça, de coucher ensemble. Juste une fois pour briser la glace, c'est un peu timide qu'elle me disait qu'elle voulait le faire avec quelqu'un en qui elle avait confiance, que ça ne voulait pas dire grand-chose, c'était juste comme ça. Et ça me semblait logique alors j'ai accepté. Je n'en avais pas réellement envie, mais je croyais que ça pourrait débloquer quelque chose. J'avais 14 ans et les filles... C'était aussi intéressant que de regarder ma mère faire du tricot. Honnêtement, je pensais vraiment que ça changerait avec le temps. J'appréciais pourtant beaucoup être avec elle, discuter, rigoler, les câlins, mais pas plus et je savais au fond de moi que ce n'était pas normal. Je savais que quelque chose clochait et c'est comme ça tout deux complètement à poil, moi au-dessus d'elle, que je lui ai révélé mon homosexualité... Oui, je sais, ce n'est pas très classe.  

- Pourquoi t'arrête ?  

- ... Je pense que... je suis gay... En fait, je suis gay.  

- Attends, tu choisis le moment où tu es à l'intérieur de moi pour me dire que tu es gay ?  

- Oui  

Je pense qu'elle voulait me frapper ou me tuer. Je ne sais pas. Je n'ai jamais vraiment su ce qu'elle en avait pensé. Je n'ai jamais vraiment voulu le savoir. On a passé la soirée à rire comme des con, collé l'un à l'autre en écoutant des films ringards.  

Un peu plus tard dans l’année, le soir de notre bal des finissants, saoule, elle m'a demandé le regard triste, dirigé vers le vide, totalement brouillé par l'alcool.  

- Caleb pourquoi t'es gay ?  

- Je sais pas.  

Je me suis toujours demandé pourquoi ça n'avait pas marché. Pourquoi c'était comme ça et... Je n'arrive toujours pas à comprendre.  

Elle a déposé sa tête sur mon épaule, puis à cesser de parler, elle s'était endormie. Tout ce qu'elle m'avait dit n'était pas très clair, mais j'avais exactement compris de quoi il s'agissait et j'ai préféré l'ignorer, plutôt que d'affronter la vérité. Je blessais à chaque jour de ma vie la personne qui comptait le plus à mes yeux. Je lui ai donc mentit le lendemain lorsqu'elle m'a demandé s'il s'était passé quelque chose. Je m'en souvenais très bien car je n'avais pas bu, désigné par son frère pour la ramené en toute sécurité ou il me tuerait. Je n'ai pas dormi cette nuit-là, j'ai seulement pensé, angoissé, une boule au fond de l’estomac.  

Pourquoi je devais être comme ça, pourquoi ça ne pouvait pas être simple, pourquoi j'étais incapable de faire comme tout le monde. Personne ne sait à quel point j'ai désiré ne plus être gay pour elle, seulement pour elle. J'ai essayé de me convaincre, parce que je connais sa valeur et je sais qu'elle mérite quelqu'un de bien, quelqu'un de présent, qui la respecte.  Ce n'était pourtant pas suffisant. Je ne ressentais pas ce truc, cette étincelle qui met le feu à ton ventre et qui rend tes pensées complètement incontrôlables.  

Pour ça aussi j'ai dû me résigner, mais ça n'a jamais été aussi simple que ça l'avait été avec mon paternel.  

Heureusement, mes comings out n'ont pas tous été aussi dramatique. Après l'avoir dit à Julie, je suis rentré chez moi le lendemain matin, ma mère était assise à la table en train de boire un café et de lire le journal. Je me suis arrêté et j'ai dit ; «maman, je suis gay. » Ensuite, j'ai ouvert le frigo alors qu'elle a figé un instant, sa tasse dans la main. Je me suis servi un verre de lait puis j'ai dit ; «il n'y a plus de lait.» J'ai jeté la pinte vide et je suis monté à l'étage aussi simplement que ça.  

Il faut dire que mes parents se sont toujours foutus de ce genre de truc. Un jour, une histoire sur un prof ouvertement homosexuelle passait aux nouvelles et mon père a juste dit ; pourquoi ils parlent de ça au lieu d'annoncer des choses importantes, on s'en fout qu'il soit gay, tant qu'il ne baisse pas sur son bureau devant les enfants. Et ma mère ; chéri tu le veux comment ton steak ? Bref.  

J'étais un peu stressé après l'avoir dit à ma mère sauf que c'était fait. Je n'aurais de toute façon jamais pu prévoir sa réaction. JAMAIS. Ma mâchoire s'est presque décrochée. Je venais de descendre pour le repas, nous étions seuls, puis elle a sorti avec un sourire d'ange innocent. Alors... Quand est-ce que tu ramènes un copain ?  

- Surpris, j'ai hésité.  

- Euh...Je...Je sais pas. Pourquoi ?  

- Et bien... Je voulais savoir. Est que tu comptes avoir des rapports anaux ? Ce n'est pas que je veux tout savoir, mais tu sais, c'est un endroit très fragile et aussi propice aux infections. Ce n'est pas parce que tu n'as pas de risque d'avoir d'enfant que tu dois oublier de te protéger et...  

J'ai cru que mon visage allait se décomposer et si je ne disais rien, elle aurait pu continuer encore dix minutes sur ce sujet... Maman... Pourquoi... C'est à ce moment-là qu'elle a commencé à s'intéresser un peu trop à ma vie sexuelle. À chaque fois qu'elle pouvait me refléter ses connaissances d'infirmière, elle le faisait. Ah et quand elle a dit qu'elle ne voulait pas tout savoir, elle a menti.  

Mon père pour sa part n'a pas semblé déçu. Je crois que lui aussi s'était résigné depuis longtemps à ce que je le déçois. Il a soupiré sans rien dire en roulant les yeux, puis est partit dans son bureau. J'ai fait de même jusqu'à ma chambre, qu'es que je pouvais y faire. Je n'essayais de toute façon plus le rendre fier depuis très longtemps. C'était devenu une perte de temps.  

Après  

À partir de ce moment-là, ma vie a pris un tournant à 90 degrés voir plus. J'ai seulement compris que je ne changerais pas. Ceux qui ne m'aime pas ne m'aimeront jamais, ceux qui m'aime ne cesseront pas de m'aimer et même s'il cesse, je ne pourrais rien faire pour les en empêcher. J'ai juste arrêté d'essayer et j'ai commencé à vivre comme je l'entendais. C'est-à-dire n'importe comment. Je suis passé du statut de fantôme à celui du gay que tout le monde connaît. Celui qui ne ferme jamais sa gueule qui s’amuse de chaque réplique, chaque regard de dégoût et qui sourit à tout le monde. Surtout ceux qui me détestent. J’ai eu mes premières bagarres et des conneries, j’en ai fait. J’ai été retiré de classe plusieurs fois pour insubordination parce qu'apparemment, les profs n'aiment pas entendre la vérité. De toute façon, avec mes projets, j’avais plus autant de temps pour l’école. Je pensais à mon futur de tatoueur, je rêvais de déménager dans une grande ville loin de la merde et des vaches. Je passais donc tout mon temps sur mon art. Du dessin jusqu’au petit tatou par-ci par-là. J'aurais toujours les mêmes défauts, les mêmes qualités et cette attirance en particulier pour ses gars aussi straights qu'un balai en métal avec ce look de bad boy sortit tout droit d'une fiction clichée sur Wattpad. Je sais... Ma vie est géniale. On le sent le sarcasme hein...  

Je dois dire que ma vie était clairement plus simple avant, mais bien moins intéressante. J'ai fait en deux ans tout ce que je n'avais pas fait en 14 ans et bien plus. Je me suis fait péter la gueule pour la première fois, j'ai baisé, j'ai été baisé, derrière l'école, j'ai fait beaucoup de choses plus ou moins légales, rien dangereux, plus du genre imprudent, comme volé de l'alcool dans une supérette ou conduire sans permis. Ouais, j'ai dormi au poste quelques fois d'ailleurs. Ma vie est devenue une montagne russe sans fin. J'ai fait mon premier tatou avec une aiguille. Aussi dangereux que cela puisse paraître, je n'ai jamais causé la moindre infection à personne. Je rappelle que ma mère était infirmière. Je suis devenu pas mal bon avec le temps et je crois que si je devrais un jour demander de l’aide à ma mère, elle me ferait lire de force tout son manuel sur la salubrité et ce machin fait 600 pages... Non merci.

Maintenant
Une fois l’école enfin terminée, j’ai tout foutu dans une boite que j’ai rangée bien au fond du garde-robe afin que personne ne puisse jamais la retrouver. Puis, j’ai entamé la préparation de mon projet. M’enfuir de cette ville de paumé. Deux ans auparavant, Julie avait fini le lycée et s’était installée à Los Angeles afin de tenter une carrière en musique là-bas. Ne connaissant pas d’autres endroits où aller, je l’ai simplement suivi. Il me fallait juste un travail et un appartement, pas de quoi fouetter un chat... Alors aussi prévoyant que je l’étais, j’ai pris ma voiture, remplis trois sacs de mes affaires et je suis arrivé chez elle comme une fleur. Elle n’était pas très surprise, disons qu’elle à l'habitude de mes folies, mais elle était ferme sur le fait que je ne pourrais pas rester là à glander toute la journée sur son canapé. Donc avec ma vielle bagnole et mes 50 cent en poche, je me suis cherché du boulot. Je n’ai malheureusement rien trouvé dans le tatouage, mais un bar a bien voulu me prendre à l’essai et après 3 mois, je n'ai toujours pas été viré. Après quelques semaines à squatter son divan, j’ai enfin pu me trouver un endroit sympa et j’ai eu de la chance sur ce coup. Je suis magiquement tombé sur une annonce pour une chambre sur Pacific Palissade dans une magnifique maison en bord de mer. Un homme veuf d'une cinquantaine d'année cherchait une personne pour s'occuper de la maison  et de son chat lorsqu'il est en voyage d'affaire en échange d'un loyer abordable et de garder une certaine propreté dans les lieux.  Au final, son chat ne sera jamais aussi bien traité dans sa vie mais aura peut-être un petit 5kg en trop. Tout  ne peut pas être parfait quand même.  Personnellement, je trouve que ça fait plus de chat à aimer. Bon puisque, ça été rapide et que je n’avais pas le moindre meuble, j’ai dû squatter le canapé un moment, mais je me suis vite remis sur pied. Sincèrement, quoi demander de plus. Pour le moment, les choses ne pourraient pas mieux aller. Je goûte à la liberté pour la toute première fois de ma vie et je ne pourrais plus jamais m’en passer. Le problème, c’est que me connaissant, je vais probablement finir par provoquer un bordel. Ce n’est qu’une question de temps, mais c’est la vie.  div>
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