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LE TEMPS D'UN RP

You're hurting my feelings ! (les sentiments)

Lafayette Love
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Univers fétiche : Open-minded
Préférence de jeu : Les deux
Sabrina
Lafayette Love
Dim 12 Mar - 22:53
Le contexte du RP
Mise en situation

La situation

United States of America, an de providence numéro 2017, immense villa en bord de mer dans une sombre ville inconnue, été, vacances, joie.

Une loterie lancée par une grande entreprise, un tirage au sort... Et voilà qu'une vingtaine de personnes se voient offrir des vacances près de la mer et sous le soleil. Le rêve ! A l'exception près que cette vingtaine de personnes sont toutes différentes les unes des autres et vont devoir toutes cohabiter ensemble... Bienvenue à Funky Town !



En bref : le principe est que chaque personnage incarne un sentiment et/ou une émotion, et le jeu est de les voir interagir les uns avec les autres. :vic:

les joueurs fous :

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Présence réduite
Lafayette Love
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Univers fétiche : Open-minded
Préférence de jeu : Les deux
Sabrina
Lafayette Love
Dim 12 Mar - 22:57

Aimee Tennyson
J'ai 26 ans ans et je viens de New York, USA. Dans la vie, je suis artiste, chanteuse, danseuse et actrice mais surtout serveuse parce que la vie est chère et je m'en sors mal mais bien, soyons optimistes ! Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt moyennement bien, mais un jour mon prince ou ma princesse viendra. J'ai gagné mon ticket pour les vacances par hasard mais je le vis bien parce que j'aime les vacances. Dans la vie, je suis une fleur bleue et je déborde d'amour. #Amour

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Melissa Benoist © Charney
Aaaaaaah !!! Voyelle, voyelle, exclamation exclamation exclamation !! Je suis sur un petit nuage. Je suis béate, la bouche grande ouverte, en train de prendre une inspiration de joie tandis que les rues défilent sous mes yeux. Je me trouve dans un taxi, assise à côté d'une personne des plus accueillantes qui soient et nous sommes sur la route de la villa. Qui a l'air assez exceptionnelle pour être écrite en italique, oui ! J'ai des étoiles dans les yeux et des cœurs qui s'échappent de chaque petite parcelle de ma peau. Je respire le bonheur. Je crois que je suis amoureuse. Cette ville, dont j'ai déjà oublié le nom honte à moi, est fort charmante. Je me meurs. C'est décidé, dès que je rentre, j'appelle mes parents pour leurs dire de déménager ! Et ils me diront que non, Aimee, tu sais bien que la vie ça ne marche pas comme ça avant de raccrocher pour pouvoir soupirer de mon enthousiasme à l'abri de mes oreilles sensibles. Des appels comme ça, ils en reçoivent régulièrement toutes les semaines. Dès que je fais quelque chose d'exceptionnel, rencontre quelqu'un de nouveau, mange un plat particulièrement bon... Il en faut peu pour me contenter, et il faut toujours que je partage tout de mon expérience. Oui, mes comptes sur les réseaux sociaux sont particulièrement fournis. Et la première chose que je fais, d'ailleurs, lorsque je pose le pied par terre est de prendre une photo de la somptueuse maison qui se dresse devant mes yeux. Enfin non. La première chose que je fais... « Oh mon dieu oh mon dieu oh mon dieuuuuuu ! » Je m'extasie. Je n'y peux rien. C'est trop grand, trop majestueux, trop BEAU !! « Aaah ! » Voyelle, voyelle, exclamation ! Je sautille sur place, prends la photo et me dépêche de faire un câlin à mon accompagnatrice qui rit de mon entrain plus qu'évident. Je souris, écoute tout ce qu'elle me dit concernant les vacances avant d'attraper la poignée de ma valise qu'elle me tend. Elle repart. Et je vais affronter mon destin comme un cheval sauvage. La petite référence qui passe crème. Je remonte l'allée, immense sourire aux lèvres en sautillant comme une bien-heureuse. En chemin, je croise une personne qui s'est arrêtée pour regarder la villa. Elle aussi, elle voyelle voyelle exclamation, je suis sûre ! Impatiente à l'idée de rencontrer mes camarades de vacances, je m'empresse pour aller me présenter. Je lâche ma valise qui tombe dans un bruit ridicule, n'en ai cure puisque mes bras se referment déjà autour de camarade. Brièvement, cependant, j'ai appris que tout le monde n'est pas fan des câlins et je respecte un minimum cette notion d'espace personnel. « Bonjour ! Je m'appelle Aimee ! » Je me retiens de l'agresser de questions parce que, maintenant que je peux observer d'un peu plus prêt cette personne... Woaw. Okay ? Juste. Woaw. Je n'étais finalement pas prête à rencontrer du monde. Ou plutôt que ce monde soit un peu trop joli pour être qualifié de décent. Woaw. Mes joues rougissent légèrement et j'en perds un peu le fil de mes pensées. Qui suis-je, où vais-je, qu'est-ce qu'on mange ce soir ? « On entre ? » Je demande, d'une voix soudainement timide mais toujours le sourire aux lèvres et l'impatience en moi.


Présence réduite
Anonymous
Invité
Sam 18 Mar - 14:42

amber sullivan
J'ai 27 ans et je vis à Sitka, Alaska, USA. Dans la vie, je suis étudiante en médecine et je m'en sors trop bien à mon goût. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien, parce que personne n'arrive à me supporter.. J'ai gagné mon ticket pour les vacances grâce à mes parents, ils pensent que j'ai besoin d'air frais, je ne le vis pas très bien, parce que je n'aime pas les vacances. Dans la vie, je suis colérique, violente et pas très sereine. #Colère

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holland roden © BALACLAVA
des vacances. la môme en avait bien besoin. cela faisait des années qu'elle travaillait. des années qu'elle vivait avec caféine et insomnie comme meilleurs copines. putain d'études qui vous sucent le sang, jusqu'à ce que vous ne soyez plus qu'un tas d'ossements flottant. elle sait qu'elle aurait dû choisir autre chose. n'importe quoi. serveuse dans un bar. prostituée. tout sauf les études de médecine parce qu'il n'y a pas moyen qu'elle y survive.
enfin c'est ce qu'elle a cru, jusqu'à ce qu'elle termine son année et que ses parents ne lui disent, tiens princesse, t'as bien bossé, va donc te reposer. miracle. joie.
colère.
elle a la haine parce que le soleil, ce n'est pas son truc: ça fait trop de semaines qu'elle n'est pas sortie. les rayons vont réveiller ses tâches de rousseur, brûler sa peau de bébé et illuminer ses cheveux roux. elle va finir desséchée et déshydratée. elle n'a même plus envie de partir.

elle est arrivée depuis une minute, l'air quittant ses oreilles comme un train parce qu'elle a trébuché sur une des marches et que l'humiliation lui donne envie d'hurler. comme souvent. faut savoir qu'avec amber, les murs tremblent souvent. ( que ce soit la faute des vases qui s'explosent contre les murs ou les cris stridents qui résonnent. )
les yeux rivés sur la villa. pas intéressant. les docteurs, fils de docteurs, cousins de docteurs, tout le petit monde vit dans ce genre de maison. même les parents d'amber vivent dans ce genre d'endroit, parce qu'ils en ont rien à foutre de l'argent. c'est ce qu'ils disent. ça lui donne envie d'hurler, à amber, parce que l'argent c'est important, ça manque cruellement à certains endroits. y'a des gens qui se tuent pour quelques pièces.
foutue villa.
il y a un bruit dans son dos, donc amber se retourne. elle sait qu'il y aura du monde mais personne ne l'avait prévenue que le 'monde' serait une pieuvre taille humaine essayant désespérément de l'embarquer pour un câlin. what the fuck. puis la pieuvre se recule aussi vite qu'elle est arrivé et putain, la rousse a déjà mal à la tête. « amber. » mais la pieuvre a un joli sourire et des joues un peu rouge, alors la môme stoppe le regard de la mort et penche la tête sur la droite. foutu tic. « enchantée. »

entrer. excellente idée. comme ça, elles pourront choisir leurs chambres. amber veut évidemment celle la plus proche de la cuisine et la plus éloignée du soleil. autant vous dire que ça ne va pas être exactement simple.
ses doigts sur ses valises (parce qu'une lady ne vient jamais avec un petit sac, hein), elle entreprend le chemin jusqu'à la porte.
entreprend, parce que la valise ne démarre pas et comme toujours, amber se ramasse dans un « FUCK. WHAT THE EVER LOVING FUCK. NON MAIS J'Y CROIS PAS. C'EST QUOI CES PUTAINS DE MARCHES TROP ELEVEES. » le reste du discours n'est qu'un marmonnement violent qui continue jusqu'à ce qu'elle soit de nouveau sur ses pieds, qu'elle inspire un grand coup et qu'elle se tourne vers aimee. « tu voudrais pas y aller d'abord? tu testes les marches et j'surveille tes arrières. » great idea. comme d'hab.
Lafayette Love
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Univers fétiche : Open-minded
Préférence de jeu : Les deux
Sabrina
Lafayette Love
Lun 20 Mar - 23:51

Aimee Tennyson
J'ai 26 ans ans et je viens de New York, USA. Dans la vie, je suis artiste, chanteuse, danseuse et actrice mais surtout serveuse parce que la vie est chère et je m'en sors mal mais bien, soyons optimistes ! Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt moyennement bien, mais un jour mon prince ou ma princesse viendra. J'ai gagné mon ticket pour les vacances par hasard mais je le vis bien parce que j'aime les vacances. Dans la vie, je suis une fleur bleue et je déborde d'amour. #Amour

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Melissa Benoist © Charney
Dieu a un nom et il s’appelle Amber. Et c’est aussi une femme, diaboliquement et effroyablement belle, dont les cheveux roux m’éblouissent beaucoup trop et font grimper mon rythme cardiaque. Olala. Est-ce que je viens de rencontrer Satan ? Non. Non, Amber est beaucoup trop… Trop pour être diabolique. Exclamation, tiens ! Et owwwh. Elle a l’air vraiment adorable, d’accord ? Quand elle penche sa tête sur le côté, je suis conquise. Je pense sérieusement être amoureuse. Mon corps réagit ainsi, en tout cas. Ce n’est pas normal. « enchantée. » Grand sourire. Grand sourire parce que Déesse Rousse m’a adressée la parole, dans un sentiment accueillant et positif. Je meurs. Elle sait que j’existe. J’ai eu l’occasion de la serrer dans mes bras. Je peux mourir une femme heureuse, là, dans la seconde, maintenant. « De même ! » Je chantonne, toujours souriante. Je propose à ce qu’on entre avant que je ne m’embarrasse, et aussi parce que je suis impatiente de voir l’intérieur de la villa et de rencontrer les autres personnes avec qui on va passer nos vacances. Même si je suis sûre que Amber peut suffire à me combler de bonheur temps qu’elle ne me rejette pas, ah.

Je file récupérer ma valise, prête à affronter les marches de la mort. Amber, elle, semble avoir beaucoup plus de mal… Non, en fait, Déesse Rousse finit carrément par terre. « Oh mon dieu, Amber ! » On lui pardonne les grossièretés, évidemment, parce que tout le monde aurait fait la même s’il s’était retrouvé dans sa situation. Je me précipite pour l’aider à se relever même si elle n’a pas vraiment besoin de mon aide. C’est une déesse, je vous rappelle. Elle gère like a boss. « Est-ce que ça va ? » Je demande d’une petite voix, parce que je ne sais pas où me mettre et qu’elle a l’air fâché. Bébé chat. « tu voudrais pas y aller d'abord? tu testes les marches et j'surveille tes arrières. » Je lui souris doucement, pour essayer de la rassurer. T’en fais pas, Amby. Même par terre, t’es toujours une déesse. Et je braverai le danger, pour toi, pour nous, pour les enfants que nous n’avons pas… Aherm. Je me calme. Je vais tester les marches. « Je peux aller voir s’il y a quelqu’un là-haut, pour nous aider ? » Parce que je n’ai pas assez de muscles pour l’aider avec ses valises, et que, éventuellement, j’ai aussi la flemme de porter la mienne. Alors, après un dernier sourire à Déesse Rousse, je file monter les marches et pousse la porte de la villa. « Woo-hou, il y a quelqu’un ? On a besoin d’aide pour porter nos valises ! » Là, clairement, personne ne va venir. Je fronce légèrement les sourcils, cherchant un moyen d’attirer l’attention… Uh. « Je sais faire des cookies du feu de dieu, et je récompense en câlins ? » Je tente, à tout hasard. Âme charitable en manque d’amour, quand vous voulez.


Présence réduite
whovian
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Crédits : lj candream

Univers fétiche : city
Préférence de jeu : Les deux
Sabrina
whovian
Jeu 23 Mar - 11:08

Archie Colt
J'ai 30 ans ans et je vis à Denver, Etats-Unis. Dans la vie, je suis analyste fiancier et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis veuf et je le vis plutôt mal. #Tristesse

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sebastian stan © masayume


Tu ne savais pas comment tu avais gagné. Enfin, si, tu avais participé à une loterie. Toi qui ne prenait jamais le moindre billet, tu avais eu un coup de folie ce jour-là. Et tu avais gagné. Un voyage tout frais payé dans une villa avec une vingtaine de personnes. Et tu étais triste. Tu avais pleuré lorsque tu avais appris que tu avais gagné, mais ce n'était pas des larmes de joies. Pourtant tu avais fait ta valise, à contre-coeur. Tu ne pouvais quand même pas passer à côté de vacances tout frais payé, ça n'arrivait pas deux fois dans une vie une telle opportunité et il fallait la saisir. Tu avais été morose pendant tout le voyage. Et maintenant que tu étais face à l'immense maison, tu avais envie de faire marche arrière. De t'en aller avant que tout ça ne dégénère. Tu avais gravi les quelques marches, poussant la porte. Tu étais tout seul. Le premier arrivé ? Quelle chance. Tu tirais déjà la tronche. Tu glissais ta valise dans un coin de la maison, espérant pouvoir y faire un tour rapide. Mais elle avait l'air immense et tu sentais déjà la tristesse t'envahir. Tu aurais aimé une maison aussi grande pour toi et ton armée d'enfant. Mais tu n'aurais jamais d'enfant parce que la femme que tu aimais t'avait quitté. Elle avait quitté ce monde, te laissant, triste et aigri. Tu ne broyais que du noir. Pourtant une voix te tirait de tes pensées sombres. Tu n'étais plus tout seul. Tu sortais de la cuisine pour retourner vers la porte d'entrée « Bonjour. » avais-tu dit d'un ton las. Tu n'étais pas content d'être là, pas content de partager ses vacances avec vingt personnes. Tu ne savais même pas comment ça allait se passer mais ça ne pouvait pas bien se passer, il y aura sûrement des cons, des gens méchants. Tu avais encore les larmes aux bords des yeux rien que d'y penser. La jeune femme demandait de l'aide pour porter les valises. Tu secouais la tête doucement, t'approchant d'elle. Son invitation pour un câlin te faisait bien plaisir mais tu ne savais pas si tu pouvais en profiter maintenant. Elle allait te prendre pour un gros pervers et tu allais être triste qu'elle pense ça. « Je peux avoir le câlin en premier ? » demandais-tu en faisant face à une jeune femme. Tu essayais de dessiner un sourire sur ton visage, mais tout ce qui était visible c'était une moue plus ou moins agréable avec des yeux globuleux prêt à verser des milliers de larmes.


It's love Yes, all we're looking for is love from someone else A look in somebody's eyes To light up the skies To open the world and send it reeling A voice that says, I'll be here And you'll be alright —
city of stars
(lions' tears.)
Hako
Messages : 16
Date d'inscription : 13/03/2017
Région : Île-de-France
Crédits : Pomeline

Univers fétiche : Réel/Disney/Université
Préférence de jeu : Femme
Valise
Hako
Jeu 23 Mar - 12:15

Noha Adams
J'ai 23 ans et je vis à La havane, Cuba. Dans la vie, je suis Dj/Mannequin et je m'en sors Super bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis Célibataire et je le vis plutôt bien ça me permet de prendre du bon temps et d'être proche des gens que j'aime.

J'ai gagné mon ticket pour les vacances en le trouvant dans ma boite aux lettre à la fin d'une soirée mais je le vis bien parce que j'avais vraiment envie de partir quelque part. Dans la vie, je suis quelqu'un de très souriant, qui aime parler et surtout agir! #Joie


Stephanie Bertram Rose © sanae
Je m'étais levé aux aurores ce matin. Me préparant en musique à ce qui allait être pour moi l’aventure de ma vie ! Je savais déjà que tout allait bien se passer, que je me ferais pleins d'amis là-bas et que ce sera le fun absolu ! Vous êtes un peu perdu là, non ? Je le sens bien alors je m'explique.
Un peu plus tôt dans la semaine, j'avais trouvé à la fin d'une de mes soirées un petit ticket dans ma boite à lettres. Je pensais au début que c'était un prospectus avant de le prendre et de découvrir que ça n'avait rien à voir. C'était un ticket. Un ticket gagnant pour des vacances tous frais payés. Je sautais de joie sur place allant jusqu'à faire ma célèbre danse de la joie. Si a une semaine du voyage, j'étais excité comme une puce, je n'ose même pas imaginer mon état si je l'avais eu avant.
Le fait est que le jour J est enfin arrivé ! Je n'avais pas besoin de revérifier mes affaires, je savais que j'avais mis tout ce dont j'avais besoin pour le voyage et puis dans le pire des cas, j’achèterais là-bas ce qui me manquait.
Après quelques heures de trajet, j'arrivais enfin au lieu de rendez-vous et ... C'était aussi beau que je l'imaginais, je sortis alors mon téléphone et commençai à faire des snaps photos et vidéos de l'extérieur de la villa. Ayant une certaine popularité sur les réseaux sociaux, j'en profiter pour montrer ce que je faisais à mes followers. J'entrais dans la maison toujours le téléphone à la main tellement heureuse d'avoir eu la chance de venir ici. Je remarquais alors que je n'étais pas seule puisque une jeune femme aux cheveux flamboyant se tenait devant moi ses valises à la main. Je m'empressais d'aller vers elle tout heureuse.
"Hey! Salut ! Toi aussi, tu es là parce que tu as gagné un ticket ? Parce que c'est mon cas, j'ai eu une de ses chances ! Tu sauras jamais où je l'ai trouvé DANS MA BOÎTE À LETTRE si ce n'est pas fou ! Je pense surtout que ce sont des amis à moi qui m'on fait ce cadeau et toi comment tu l'as eu ? Au faîte, moi, c'est Noha enchanté et toi ? Je sens que l'on va vivre des supers choses ici ! J'adooooooooore ta coiffure ! "
Lorsque j'étais trop heureuse, j'avais un débit de parole très rapide et pour éviter de perdre des idées, j'avais tendance à dire tout ce qui me passait par la tête. Ce n'était pas une mauvaise chose selon moi, je dirais plus que ça permet à la personne en face d'avoir l'embarras du choix en matière de conversation. Je regardais alors ses valises en souriant.
"Mais t'en as une tonne dit moi ce n'est pas trop lourd ? Tu veux que je t'aide ?"
Lui proposais-je gentiment.
son of coul
Messages : 795
Date d'inscription : 23/02/2017
Région : sur pluton
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Univers fétiche : généralement fantastique, tant que ça sort de l'ordinaire, i'm in
Préférence de jeu : Homme
Cités d'or
son of coul
Ven 31 Mar - 2:22

Liv
Asleep

J'ai 40 ans et je vis à Chicago, États-Unis. Dans la vie, je suis bibliothécaire et je m'en sors plutôt pas mal, même si je dors tout le temps. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. #Fatigue

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ellen pompeo © B A R D A
Ce concours ? Elle avait su qu’elle avait gagné à la toute dernière minute. Naturellement, Liv était encore toute fatiguée quand la lettre était arrivée dans sa boîte aux lettres. En réalité, elle ne prenait jamais de loterie, mais voilà, par fatigue, elle avait demandé la mauvaise chose à son épicerie locale et elle s’était retrouvée avec un de ces jeux de hasard. Quelle ne fut pas sa surprise lorsque la bibliothécaire de Chicago se rendit compte qu’elle avait gagné. À deux jours du voyage, elle s’était bouclé un vol et avait fait ses valises. Bien sûr, elle avait bien failli ne louper son avion parce qu’elle était encore bien endormie, mais ce n’était qu’un détail. En général, Liv se voyait ravie de sortir du décor de l’Illinois pour aller sur le bord de la mer et pouvoir dormir ailleurs que dans la ville du Nord. Elle y pensait et ses yeux se fermaient à cette douce rêverie. Ce fut le chauffeur de l’autobus qui la secoua un peu pour la réveiller. Oh, mais qu’est-ce qui... Ah, je suis arrivée... C’était un peu gênant comme situation. Elle ouvrit les yeux et les essuya pour avoir une vision plus claire de la chose. Le soleil tapait dans ses pupilles. Liv se rendit compte qu’elle avait oublié ses lunettes. Zut alors, ce n’était pas si grave que ça, après tout. Les autres personnes qui avaient également gagné le concours étaient aussi là. Elle n’avait fait qu’une seule valise, pour le temps qu’elle avait eu, c’était pas mal du tout. L’autobus derrière elle s’en alla et déjà, elle était fatiguée et aurait préféré... dormir à nouveau. Mais en présence des autres, mieux valait se présenter correctement. Salut, je m’appelle... Et elle se mit à bailler, Liv. Je viens de Chicago. La route avait été longue et périlleuse, mais elle était enfin sur place. La bibliothécaire vit que les choses bougeaient un peu, ce qui la réveilla un peu. Évidemment qu’elle voulait aider. Cependant, elle n’était pas certaine qu’il y ait quelqu’un à l’intérieur. La pauvre Aimee faisait des efforts pour rien. Je crois qu’on va être obligés de tout faire nous-mêmes. Quelqu’un d’autre a besoin d’aide pour les valises ? Et la jolie châtaine bailla à nouveau. Pourquoi fallait-elle tout le temps qu’elle soit à bout de force, alors qu’elle avait le travail le plus facile du monde et qu’elle dormait toujours ? Pardonnez-moi, je n’ai pas eu le temps de dormir énormément durant le voyage... Chose qui était totalement fausse, mais personne n’avait vraiment besoin de le savoir, n’est-ce pas ? Elle prit alors l’initiative d’entrer avec quelques valises et dès qu’elle entra, Liv remarqua le joli divan dans la salle commune qui avait l’air si confortable, à s’en mordre les doigts, autrement dit. Mais elle passa tout droit, se rappelant qu’il fallait entrer les autres valises.


--- attrapez-les tous
because the truth is... i'm not just an history teacher. my name is phil couslon and i'm an agent of shield ✰
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