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LE TEMPS D'UN RP

(E&D) you could be the corpse and i could be the killer

Nimue
Messages : 139
Date d'inscription : 12/07/2018
Région : Occitanie.
Crédits : lilousilver, code by AILAHOZ.

Univers fétiche : Fantastiques à 99,9%.
Préférence de jeu : Femme
Tournesol
Nimue
Jeu 7 Fév - 23:56

Demelza
von Hohnstedt

J'ai 17 ans et je vis en Allemagne dans le Manoir d'Ebenezer von Hohnstedt. Dans la vie, je suis une sorcière et je m'en sors très bien, faisant partie de l'aristocratie sorcière allemande et anglaise. Sinon, grâce à ma drôle de chance, je suis récemment mariée et je le vis plutôt avec délectation.
Couleur de dialogue #82628E
Mildred : #996284
Amalrich : #434D78
Ulrich : #8A6343




ft. dove cameron by © TWISTY RAIN.
Une plume, elle est une vulgaire plume entre ses doigts, qu’il soulève avec facilité, qu’il kidnappe honteusement. Il est imprudent, soudain, l’héritier, il se perd sur sa peau alors même qu’il remonte les escaliers, il arrache les frissons à la pauvre prisonnière sans lui laisser l’occasion d’intégrer ce qui lui prend. Il allait mieux mais était-ce une raison pour se jeter si vite dans des efforts pareils ? Elle ne voit pas non plus le domestique se dissimuler dans les ombres, occupée qu’elle est à s’accrocher, à vérifier que le sol ne se rapprochera pas trop vite.

Le petit cri précède le rire quand ils terminent la course sur le lit. C’est un joli rire qui envahit la pièce, léger, qui s’estompe doucement dés que ses yeux croisent les siens. Elle ne l’aide pas vraiment, le laisse se battre avec le tissu, avec les vêtements qui semblent refuser de céder sous l’empressement de l’époux. Elle a déjà fermé les yeux, Demelza, parce qu’elle n’a pas besoin de voir, elle veut sentir, reconnaître sa peau qui se promène contre la sienne, ses lèvres qui auraient pu la dévorer quelques mois plus tôt. « Tu es comme un trésor ancien, Demelza. Plus j’essaye de creuser, plus je m’écorche à te vouloir. » Les billes se rouvrent, découvrent qu’il a été vaincu par la création. Le sourire malicieux ne veut pas se moquer, elle est simplement étonnée qu’il attende ainsi plutôt que de déchirer le tout, réduire à néant ce qui fait obstacle. Elle se redresse, lui échappe pour se mettre debout, défroissant les plis. « Laisse-moi faire. » Un tour sur elle-même, puis deux, puis trois. Plus elle accélère, plus le tissu flotte autour d’elle et il ne faut pas bien longtemps pour qu’il se consume, ne laissant derrière que l’odeur de cendres et les sous-vêtements sur la peau claire.

Etourdie par le stratagème, elle retombe presque aussi vite sur le lit, la chaleur émanant doucement de l’enveloppe charnelle offerte. « Promis, le reste ne contient aucune magie, aucun risque de te faire dévorer les phalanges. » La paume vient caresser la joue d’Ebenezer avec tendresse. Est-ce qu’elle lui dit assez qu’elle l’aime ? Est-ce qu’il est assez heureux avec elle ? Elle en a oublié l’étrange visiteur ou les domestiques.

En revanche son corps n’a pas oublié, lui, la cave. Le goût lui revient presque sur la langue. Elle se perd dans le vague, un instant, songe à l’étrange expérience. Les lèvres s’accrochent aux siennes, cherchent avidement à effacer les pensées, les caprices de la mémoire. La morsure est inévitable, soudaine, fait perler le précieux liquide de la bouche masculine ainsi capturée. Frissons presque palpables. Elle s’entiche de la langueur de l’échange, ne songe pas une seconde à quel point elle manque d’expérience, à quel point elle ignore ce qu’il faut qu’elle fasse pour ne pas abuser de ses forces. Abandon.

Eclair de lucidité. « A-attends. » Elle peine à respirer correctement, à garder le contrôle sur ses actes, sur le fil de ses envies. « Je dois.. » Essayer d’effacer le sang. Essayer de se faire pardonner. Pas la patience. Combien de semaines, déjà ? Combien de mois depuis le premier baiser ? Depuis les dents dans sa chair.  

Sha
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Univers fétiche : Sadique polyvalente.
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Sabrina
Sha
Mar 13 Juil - 15:03
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Ebenezer von Hohnstedt
J'ai 17 ans ans et je vis tout en haut de Feldberg, dans un Manoir qui surplombe la Schwarzwald et Baden Baden, en Allemagne. Dans la vie, je suis un sorcier. Mon sang est celui de l'aristocratie sorcière allemande et anglaise. Sinon, grâce à ma chance, je suis récemment marié et je le vis plutôt avec délice.

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Mémo

Dialogue : #232169


Le corps souffre aussitôt qu’elle s’arrache à lui, qu’elle s’arrache au lit. Curieux, il roule sur le dos, se redresse du bout des coudes. Son regard de glace suit la silhouette, la détaille avec envie, avec gourmandise – car elle est son péché le plus mignon, sa damnation sur talons. Et elle tourne, tourne, comme une danseuse silencieuse, faite de cendres, faite d’une chaleur qui rappelle l’enfer et ses langues de feu.
Un instant, Ebenezer ferme les yeux. Il inspire profondément. Il ne sait plus ce qui le prend, sans douter de ce qu’il voudrait prendre. Il la laisse revenir vers lui sans un mot, ses yeux caressant la silhouette qui affole son cœur mort. Il ravale difficilement sa salive quand elle s’allonge à ses côtés. Le regard du jeune amant n’est pas sage, il dévale le rond de sa poitrine, le creux de son ventre vide. Il se mord l’intérieur de la joue, avant de fermer les yeux quand il reçoit la caresse.

« Comme j’aimerais que tu me dévores tout entier, parfois… »

Le murmure se meurt sur ses lèvres, alors qu’il ouvre les yeux pour mieux la voir venir s’accrocher à sa bouche. Avec plaisir, il la laisse faire, répond, avant d’être mordu par celle qu’il trouvait bien sage la seconde d’avant. Un grognement s’échappe de ses lippes, mais il n’est en rien fâché – il est grave, comme quand on est trop excité. Il la fixe, d’un air presque surpris, mais elle est douce la surprise, elle est satisfaisante.
Surprend-moi encore, pense-t-il alors qu’il passe sa langue sur le coin de sa lèvre, pour mieux sentir l’hémoglobine qui tâche déjà ses dents. Son cœur bat fort, bat plus fort. La bête gratte en dedans, mais tout ce qu’il voit, c’est la flamme dans les yeux de Demelza. Petite étincelle qui s’éteint aussitôt qu’elle se rend compte que sa peau a frissonné quand elle a goûté son sang.

« Je ne vais pas pouvoir attendre… » marmonne-t-il, amusé par sa soudaine prise de conscience.

Sans la brusquer, il la surplombe et vient capturer de nouveau ses lèvres, non pas pour faire taire ses protestations mais bien pour la rassurer. Il partage avec elle sa salive mêlée à son sang, ce liquide qui a le goût du cuivre. Il souffle lourdement alors que ses hanches se glissent contre les siennes, entre ses cuisses blanches qu’il parcourt d’une main fébrile.

« …si tu me fais ça… » murmure-t-il de nouveau.

Un nouveau baiser ponctue sa phrase, avant qu’il ne se redresse, à genoux devant elle. D’une main qui tremble légèrement, il commence calmement à déboutonner sa chemise, son regard ne cessant de parcourir le corps de Demelza avec envie. Ebenezer n’est pas l’homme le plus expressif, mais ce soir, tout transparait dans le céruléen de sa pupille. Absolument tout.

Alors calmement, il laisse tomber sa chemise derrière lui, et avec le même calme olympien – du moins en apparence – il commence à déboucler sa ceinture qui comprime depuis quelques secondes son érection.
Après un nouveau regard pour sa femme, il inspire profondément. La ceinture est toujours à son bassin, la boucle dans une main, l’attache dans l’autre. Il aimerait comprendre, savoir ce qui la traverse quand elle le fixe comme ça, quand elle le détaille.

« Sauf si tu veux que j’arrête ? »




Oh Darling,
Darling, What I have done ?
Nimue
Messages : 139
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Univers fétiche : Fantastiques à 99,9%.
Préférence de jeu : Femme
Tournesol
Nimue
Mar 13 Juil - 16:43
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Demelza
von Hohnstedt

J'ai 17 ans et je vis en Allemagne dans le Manoir d'Ebenezer von Hohnstedt. Dans la vie, je suis une sorcière et je m'en sors très bien, faisant partie de l'aristocratie sorcière allemande et anglaise. Sinon, grâce à ma drôle de chance, je suis récemment mariée et je le vis plutôt avec délectation.
Couleur de dialogue #82628E
Mildred : #996284
Amalrich : #434D78
Ulrich : #8A6343

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ft. dove cameron by :copyright: TWISTY RAIN.
Où est la raison, à cet instant ? Elle s’enflamme, brûle telle une vulgaire feuille de papier, buvard imprégné d’hémoglobine, ramène les ombres au milieu de la pureté délicate de la jeune femme. « Comme j’aimerais que tu me dévores tout entier, parfois… » Entre ses lèvres, entre ses baisers, il y’a le souffle qui s’écourte. « Je pourrais te consumer.. » Que dit-elle ? C’est une hérésie, une absurdité, un instinct qui s’échappe de quelque part, dans un coin d’elle qu’elle ne veut pas voir. Elle n’est pas folle, Demelza, pas vrai ? Si, elle est folle de lui, folle d’amour, folle de possessivité quelques secondes aussi.

Il la surplombe et son monde vacille, elle ne veut pas être sage même si elle le devrait, elle ne veut pas l’épuiser pourtant elle ne désire que cela à la fois, profiter jusqu’au dernier battement de coeur, jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus que mourir de son amour. Il faudrait le préserver, elle se le répète mais ça n’est plus qu’un murmure dans son esprit, un lointain conseil qui s’étiole sous le contact de sa peau. « …si tu me fais ça… » La moue de l’innocence. Il ne va pas pouvoir attendre si elle lui fait ça. Elle se fait toujours belle pour lui. Elle se fait toujours douce. Du sucre sur les plaies de son existence pénible.

« Sauf si tu veux que j’arrête ? » Est-ce qu’il l’aime vraiment ? Est-ce qu’elle lui plait ? Elle le détaille à son tour, trop dénudée pour ne pas songer que ce serait sa faute, s’il lui arrivait quelque chose. D’un autre côté, elle sent toute son enveloppe charnelle réclamer plus encore, des baisers sur chaque parcelle, des élans passionnés pour lesquels elle n’a pas d’expérience mais auxquels elle crève soudain de s’abandonner. Quand elle le voit comme ça, elle peut que glisser dans les travers de ce qui les lie, envers et contre la sagesse dont ils devraient faire preuve afin de préserver la santé d’Ebenezer.

« Est-ce que tu veux toujours de moi.. ? » Certes, l’évidence devait lui sauter aux yeux, la boucle de cette ceinture dans les mains, la chemise échouée et l’expressivité de son regard, ça ne l’empêche pas de se rappeler leurs premiers échanges, la difficulté qu’ils avaient eu à parvenir jusqu’au mariage, jusqu’à ce point précis où rire n’est plus si compliqué.

« Et si je te décevais ? » Et si entre ses cuisses, ça n’était pas si doux, et si contre sa peau, ça n’était pas si tendre qu’il l’imagine peut-être ? Toutes les peurs classiques échappent à son raisonnement, seule la plus profonde l’effleure, parce qu’elle ne veut pas retourner ni dans une tour d’ivoire ni dans une tour sombre, pauvre fille craignant plus que tout d’être reléguée au fantôme qu’elle avait l’impression d’avoir été.   

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